Par ailleurs, surprise sous le sapin, on a reçu la belle boîte de Citadelles, la renaissance (quatrième édition, lis-je sur l’interwebz). On ne connaissait pas, c’est une belle surprise, même si c’est aussi un classique du jeu contemporain.
D’après les enfants, qui s’y connaissent, c’est entre le Splendor et le Dominion. L’idée est de collecter des ressources et construire sa ville, selon un principe très simple, mais avec la perturbation introduite par le choix, à chaque tour, d’un personnage doté d’un « pouvoir » spécifique, qui permet soit d’améliorer sa collection, soit de nuire à un autre joueur.
Et du coup, c’est bien méchant, puisqu’une bonne partie de l’activité consiste à aller pourrir les belles constructions des autres jours. Et comme c’est méchant, hé ben c’est très marrant. Mais sans tomber non plus dans le n’importe quoi : on calcule à chaque tour le choix du bon personnage, on ne passe pas son temps à subir les aléas de ces perturbations.
Je suppose qu’il faut jouer rapidement, mais en gros, pour l’instant, nous on fait des parties qui durent une grosse heure et demi, donc c’est assez long comme parties.
Ça prend, comme Splendor et Dominion, la forme d’un jeu de cartes très joliment dessiné.