« En démocratie, informer qu’un président est quelque part n’est pas un délit, surtout quand on est journaliste. C’est même un métier... »
Communiqué de Reporters En Colère : Les charges qui pèsent contre notre confrère Taha doivent être abandonnées. Nous le soutiendrons ce soir devant le Palais de Justice de Paris, portes de Clichy, à partir de 21H.
La farce grotesque d’un exécutif qui instrumentalise la justice pour mieux se recroqueviller sur lui même continue puisque #TahaBouhafs devra expliquer à un juge d’instruction qu’un journaliste a le droit d’informer sur ce que fait un président... #LiberezTaha #LiberezTahaBouhafs
Le 15 janvier 2017, à 18h10, un quidam aperçoit François Hollande au théâtre plutôt que devant la primaire de la gauche. Alors que la pièce n’est pas terminée, des médias signalent sa présence et publient des articles. À la sortie du théâtre, BFM TV et Brut font même des directs.
▻https://twitter.com/Jacques_Pezet/status/1218549607128498177
L’avocat de Taha Bouhafs, Arié Alimi réagit à la sortie du palais de Justice lors de sa libération. Il revient sur la dénonciation calomnieuse du GSPR et annonce que deux plaintes ont été déposées par son client contre personnes dépositaires de l’autorité publique.
▻https://twitter.com/REC_Collectif/status/1218659752584138752
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