Sánchez defiende a Ábalos : “Hizo todo lo que pudo para evitar una crisis diplomática y lo logró” | España

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  • Emmanuel Macron a reçu à l’Elysée Juan Guaido, opposant du président vénézuélien
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/01/25/emmanuel-macron-a-recu-a-l-elysee-juan-guaido-opposant-du-president-venezuel


    Juan Guaido s’adresse à la communauté vénézuélienne à Paris, le 24 janvier.
    BERTRAND GUAY / AFP

    La France fait partie de la cinquantaine de pays, dont les Etats-Unis, qui reconnaissent Juan Guaido comme président par intérim du pays sud-américain.

    Le président français, Emmanuel Macron, a annoncé, vendredi 24 janvier sur Twitter, avoir reçu au palais de l’Elysée Juan Guaido, président de l’Assemblée nationale vénézuélienne, reconnu président par intérim par une cinquantaine de pays et qui tente d’évincer Nicolas Maduro depuis un an. Qualifiant sa rencontre avec Juan Guaido d’« échange constructif », le chef de l’Etat a joint à ce premier tweet une photo de lui serrant la main de l’opposant au président vénézuélien. :

    Échange constructif avec @jguaido réélu à la présidence de l’@AsambleaVE.


    La France soutient l’organisation rapide d’une élection présidentielle libre et transparente. Nous respectons la souveraineté et la liberté du peuple vénézuélien et nous restons à ses côtés face à la crise humanitaire qu’il subit.
    […]
    Répondant sur Twitter à M. Macron, Jorge Arreaza, ministre des affaires étrangères de Nicolas Maduro, a interpellé le président français sur la « répression » des manifestations qui ont eu lieu ces derniers mois en France :

    Le peuple français manifeste depuis des mois dans les rues, exigeant le respect élémentaire de ses droits sociaux. La seule réponse ? La répression. Un gouvernement sourd et arrogant qui ne peut donner de leçons de démocratie à personne, et certainement pas au Venezuela.
    […]
    Mercredi, il avait été accueilli chaleureusement à Bruxelles par les dirigeants de l’Union européenne, qui n’avaient toutefois pas annoncé de mesures concrètes pour influencer le processus politique dans son pays.

    • On notera le côté faux-cul d’absolument tout le monde…

      On reconnait, paraît-il, Juan Guaidó comme président par intérim, mais il n’est nulle part qualifié ainsi :
      – le titre parle d’ opposant
      – le tweet de Macron du président de l’Assemblée nationale vénézuélienne
      – quant aux dirigeants de l’UE, ils lui réservent un accueil chaleureux mais rien de concret.

    • https://elpais.com/politica/2020/01/24/actualidad/1579897148_446733.html

      Gros débat en Espagne car l’impétrant n’a été reçu « que » par le ministre des AE tandis que Madrid, tenue par la droite (et soutenue par l’extrême) l’a fêté... Les critiques disent que, justement, Macron (et Johnson avant lui) ont reçu « le leader de l’opposition venezuélienne »... Dans le même temps, un ministre a été délégué fissa à l’aéroport pour empêcher la numéro 2 de Maduro de fouler le sol espagnol (sous peine d’arrestation)
      https://elpais.com/politica/2020/01/25/actualidad/1579953643_629569.html

    • Ça change de la France où tout le monde s’en contrebalance (sauf pour répéter que Maduro c’est le mal).

      Mais les personnalités politiques espagnoles se sont beaucoup investies (p. ex. J.-L. Zapatero). Sans parler de Leopoldo López (père) eurodéputé pour le PPE.

      Et sinon,

      “España está dispuesta a albergar una reunión del grupo internacional de contacto, que lleva meses sin citarse. Sería útil, no solamente para hacerse una foto, sino para discutir cómo puede España ayudar a resolver las diferencias entre venezolanos. España busca ser constructiva”

      #pas_seulement_pour_la_photo
      ce qui définit assez bien_a contrario_ les actions de Guaidó…

      ou encore, à peine plus loin,

      Fuentes diplomáticas argumentan que las fotos de Guaidó con mandatarios de otros países no son útiles en este momento, cuando hay mucha división también dentro de la oposición venezolana, ni ayuda a calmar los ánimos ni a buscar una presión que fuerce a Nicolás Maduro a convocar unas elecciones.