• Moi aussi !

    Après une 4è dose de vaccin Covid toute fraîche le 2 décembre, une quantité écumée et non remboursée d’auto-tests et de masques FFP2 en 3 ans, j’ai enfin l’immense joie, bien en travers de la gorge, qui me fait bien tousser, d’être testé positif ! Un auto-test hier soir a brulé de peur (négatif la veille), un PCR ce matin qui confirme…

    Je sais pas où je l’ai choppé, peut être à la musique (je suis un soufflant, difficile d’avoir un masque en permanence), ou en croisant des mômes… et je suis bien amer.

    Amer après le Gouvernement qui n’a jamais tenu ses promesses de mesurer le CO2 des classes, d’y avoir des systèmes de ventilation efficace, de n’avoir pas imposé les masques en intérieur…

    Amer d’une majorité de la population qui aurait pu s’imposer d’elle-même de porter des masques en intérieur… et de ventiler si nécessaire. Qui aurait pu s’informer correctement aussi.

    On aurait pu ne pas en être là à tous·tes se le refiler pour un oui pour un non… C’est pas comme si les études épidémiologiques de son impact avaient de quoi réjouir…

    Bref, fatigue…

    Ça me questionne aussi sur mes loisirs musicaux… j’ai déjà arrêté la danse… faut il ne faire que des jeux vidéos ? et être dans un entre-soi en-cocooné ? C’est dur socialement quand même aussi, il faut le dire, à la longue.

    #covid #pcr #usure #communauté

  • Éloge de l’immunité de « troupeau » (herd immunity)

    Face à la septième vague de Covid-19, le gouvernement adopte un profil bas inédit depuis le début de l’épidémie
    https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/07/01/face-a-la-septieme-vague-de-covid-19-le-gouvernement-adopte-un-profil-bas-in

    Après deux années ponctuées par les flux et reflux de la maladie, le gouvernement juge que les Français ont appris à cohabiter avec le virus et en connaissent les dangers.

    #disruption #en_même_temps #GBD #paywall

    Ceci dit, si on croit ces chiffres, pas loin de la moitié de la population en France a été infectée ou réinfectée par #SARS_CoV-2. Je me souviens qu’en mars 2020, Angela Merkel était catastrophée par le fait que ce virus puisse atteindre 70 % de la population en un temps record. On y arrive, on y arrive. Merci Santé Public France.

    https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france

    “Merkel s’attend à un taux de contamination de 60 à 70 % [de la population]”, titre ce jeudi 12 mars la Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ). L’information a frappé les esprits dans le pays et au-delà. Elle a été diffusée par la chancelière lors de la conférence de presse qu’elle a tenue le mercredi 11 mars en présence du ministre de la Santé, Jens Spahn, et du directeur de l’institut Robert Koch (RKI), le centre de référence pour la santé publique en Allemagne.

    https://www.courrierinternational.com/une/prevision-coronavirus-lallemagne-sattend-un-taux-de-contamina

  • Je crois que je viens de découvrir mon nouveau héros au supermarché : alors que le port du masque n’y est plus obligatoire, le gars se promenait avec un masque FFP2. Un masque FFP2, mais sous le nez.

  • Une expression omniprésente en ce moment, y compris parmi des gens qui critiquent l’incompétence du gouvernement, c’est « les variants ont changé la donne ». Des fois que les gens ne mourraient pas en masse avant, des fois que les écoles n’étaient pas des lieux de diffusion du virus, des fois que…

    Mais zut.

    La première « vague » a fait 30 000 morts (dont une bonne partie étaient évitables : confinement trop tard, absence de masques, etc.).

    La seconde vague, alors qu’on était parvenus à quasiment éradiquer le virus au début de l’été, et malgré une bien meilleure connaissance des modes de transmission, malgré la très large disponibilité des masques, et sans doute de meilleures compétences pour traiter les gens, a fait 65 000 morts. Avec un gouvernement qui a passé son temps à claironner qu’il avait vachement mieux géré cette deuxième vague que la première…

    En fait, à la sortie du « deuxième confinement » (15 décembre), on totalisait près de 60 000 morts. Depuis cette date, il y a encore eu 37 000 morts. Une « normalité » totalement assumée qui a fait plus de morts que lors de la première vague.

    Tout cela avant que les variants ne « changent la donne ».

    Alors à chaque fois que je lis ou entends cette histoire de variants qui changent la donne, je trouve que c’est à la fois d’une connerie et d’une indécence totales.

  • France Coronavirus : 4,146,609 Cases and 91,437 Deaths - Worldometer
    https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france

    https://covidtracker.fr

    Macron, lors du Conseil de Défense hier :
    « Vous la sentez bien ma grosse troisième vague ? »

    Entendu ce matin dans le poste (France Inter, dsl, y a que ça qui passe dans le « bled ») :
    « Emmanuel Macron se veut créatif et imaginatif pour lutter contre la pandémie. Jean Castex appréciera si les idées du président sont compatibles avec la réalité » ...

    #cojonesvirus (le retour ?)

    J’aimerais pas être à la place de Jean Castex. Gérer un préz sous acide, c’est quand même pas une sinécure.

  • DÉMYSTIFICATION DU NARRATIF DE PROPAGANDE

    1. Le « coronavirus » est un virus extrêmement dangereux

    Les coronavirus sont une famille de virus à laquelle appartient le Sars-cov2, agent de la maladie appelée covid19. Cette dernière est une pneumonie atypique potentiellement dangereuse pour certaines catégories de la population, tout comme les autres infections respiratoires par ailleurs… Sinon, pas tant que ça. Du moins, pas autant que ce que l’on a cru au début. Le taux de létalité réel (nombre de morts par personnes infectées) est évalué entre 0,27 et 0,65 %(2). C’est 5 à 15 fois moins que les 3 % donnés en début de pandémie. C’est du même ordre de grandeur que le taux de létalité de la grippe saisonnière (0,1- 0,5 %) et bien loin des taux de létalité des virus les plus mortels comme Ebola ou la variole qui dépassent largement les 20 %.
    De plus, la mortalité par tranche d’âge est éloquente(3) : seules les personnes âgées payent, malheureusement, un lourd tribut à cette maladie. Dans les données statistiques belges, il n’y a aucune surmortalité dans les tranches d’âges inférieures à 65 ans pour l’année 2020. En Belgique(4), près de la moitié des décès « covid » ont eu lieu en maison de repos(5).
    Le fait est qu’une très grande majorité de « morts covid », 92 % selon un rapport Sciensano (6), sont des décès de patients ayant un ou plusieurs facteurs de risques appelés comorbidités. Beaucoup de victimes étaient donc malheureusement déjà très faibles lorsqu’elles ont été contaminées. Aussi, on peut se demander à quel point le virus a joué un rôle dans la mort de ces personnes ?
    Les cas graves chez les personnes en dessous de 45 ans et en bonne santé sont pratiquement anecdotiques ! En tout et pour tout, on observe une large proportion d’asymptomatiques ou peu symptomatiques(7) (l’équivalent d’un rhume ou d’un état grippal), moins de 5 % des « cas covid » doivent être hospitalisés, avec environ 1 % de cas graves nécessitant un passage en soins intensifs(8) qui sont en grande partie des personnes âgées et/ou fragiles.
    Quant aux séquelles du covid, elles sont difficiles à évaluer, mais semblent réversibles et concernent surtout des fatigues ou des pertes de l’odorat. Seuls 20 à 30 % des patients hospitalisés (eux même très minoritaires) présenteraient encore des séquelles majeures 60 jours après rémission(9).
    Avec jusqu’à 75 % d’asymptomatiques, une maladie qui épargne quasi totalement les enfants et une médiane des décès à plus de 80 ans(10)…Sans minimiser la douleur ou la souffrance des victimes et de leurs familles, on peut objectivement trouver pire comme affection.

    2. C’est un virus très contagieux

    Là encore, il n’a rien d’exceptionnel. La contagiosité du Sars-cov2 est du même ordre que la plupart des infections respiratoires virales, un peu plus contagieuses que la grippe, sans plus.
    On peut calculer théoriquement la contagiosité d’une maladie grâce à une formule mathématique appelée R0 ou « taux de reproduction ». Celui du covid19 varie, selon la littérature, entre 2 et 4(11). Le R0 de la grippe saisonnière est d’environ 2, celui des oreillons est de 4 à 7, la rubéole de 5 à 7, la diphtérie 6 à 7, la varicelle de 10 à 12 la coqueluche de 12 à 17, et la rougeole de 12 à 18…(12)
    Donc, contrairement à ce que l’on nous fait croire, le Sars-cov2 n’est pas plus contagieux que ses cousins, les autres coronavirus, responsables des rhumes qui ont des R0 qui se situent aussi aux alentours de 3.

    3. Il n’y a pas de traitements

    Faux ! L’orthodoxie méthodologique protocolaire des milieux académiques acoquinés au monde de l’industrie pharmaceutique, s’attache aux essais cliniques randomisés en double aveugle comme seule valeur de preuve. Mais ni la science ni la médecine ne peuvent se résumer à ce type de mesures statistiques. La médecine, c’est soigner les gens, quant à la science elle consiste principalement en l’observation… Et dans ce domaine, les observations faites par les praticiens de terrain à travers le monde ont mis en évidence plusieurs thérapeutiques qui donnent de bons résultats(13). Nous ne reviendrons pas sur la polémique de l’Hydroxychloroquine, mais cette dernière est utilisée dans beaucoup de pays avec des résultats satisfaisants selon leurs autorités sanitaires, le Maroc, la Grèce, l’Inde… Pour ne citer qu’eux(14). L’Azithromycine, un antibiotique fréquemment utilisé dans les infections respiratoires, est aussi plébiscitée par de nombreux médecins généralistes, car il semble éviter les formes graves, à condition d’être administré tôt dans l’infection. Utilisée en Afrique, l’Artemisia annua semble aussi avoir une efficacité contre la covid(15). Sans parler de l’Ivermectine, un antiparasitaire dont l’efficacité est aujourd’hui largement démontrée.
    En prophylaxie (en prévention), le zinc et la vitamine D pourraient permettre de réduire drastiquement l’incidence des cas graves. Aux stades plus avancés, on peut recourir aux corticoïdes comme la dexaméthasone, les anticoagulants pour éviter les phénomènes de thromboses, ou encore l’oxygénothérapie.
    L’intubation des patients en soins intensifs est surtout due au fait qu’ils arrivent à l’hôpital à des stades très avancés de la maladie. Chose qui se produit logiquement lorsqu’on choisit de ne pas soigner les gens en leur disant de rester chez eux et de ne prendre que du paracétamol…

    4. Nous avons assisté à une « deuxième vague »

    Le concept de « vague » ne repose sur aucun modèle épidémiologique d’infections virales. Il s’agit d’une terminologie de novlangue anxiogène qui ne reflète absolument pas la dynamique des épidémies virales.
    Les modèles épidémiologiques viraux observent des constantes(16) : un pic épidémique où l’infection est très virulente, puis s’estompe. Ensuite, soit le pathogène disparaît, soit il mute, s’adapte à son hôte et devient cyclique/saisonnier (comme c’est le cas de la grippe et d’autres virus endémiques). Il semblerait que ce soit le deuxième chemin que le Sars-cov2 ait emprunté.
    Aujourd’hui, on nous parle de 3ème vague comme si l’hypothétique pic de covid à venir et l’épisode d’automne étaient issus du même phénomène épidémique que le premier épisode de mars 2020. Il n’en est rien, car ce sont des variants différents du virus qui se sont propagés(17). La « deuxième vague » était une épidémie différente de la première, et n’était pas un « rebond » de la première voire un phénomène prévisible ou inexorable. Sinon, pourquoi n’y a-t-il pas eu de « deuxième vague » en extrême orient… ?
    Tout ce que nous pouvons faire ce sont des observations, car nous ne savons pas de quoi l’avenir est fait, en revanche, les spéculations catastrophistes vont bon train !

    5. Les variants ou mutants sont nécessairement plus dangereux

    Encore une fois, c’est une idée reçue largement véhiculée par les médias sensationnalistes. Tous les micro-organismes mutent, surtout les virus. Et la catégorie à laquelle appartient le Sars-cov2, les virus à ARN, mute énormément(18). Les virus responsables de la grippe mutent également. Chaque année, ce sont des mutants différents de l’an dernier qui donnent les épidémies hivernales. Le but d’un virus n’est pas de tuer ses hôtes, mais de s’y adapter pour survivre et se multiplier. C’est pourquoi, généralement, un virus mutant peut être plus contagieux sans être plus mortel.
    Depuis le début de la pandémie, on a recensé 12.000 mutations de ce Sars-cov2, seules quelques-unes ont eu un impact sur la dynamique de la pandémie(19)… de quoi relativiser donc !

    6. Il y a une augmentation des « cas » et des « contaminations »

    Il ne s’agit pas de « cas » ou de « contaminations » au sens clinique du terme. Ce qu’il se passe c’est que les autorités, ainsi que la presse, recensent des tests PCR protocolaires où l’on détermine si un individu est porteur du virus. Mais cela ne signifie pas nécessairement que la personne soit malade ni contagieuse(20). D’autant qu’une majorité de positifs sont asymptomatiques, cela signifie, au pire qu’ils sont en période d’incubation, ou au mieux que leur système immunitaire a géré le virus et que le patient est potentiellement immunisé.
    Sans compter que les tests PCR sont très sensibles et font sortir des faux positifs. Selon certaines études, jusqu’à 90 % des tests PCR positifs n’ont aucune signification clinique lorsqu’ils sont réalisés de manière aussi large au sein d’une population(21).
    Seuls des indicateurs comme les hospitalisations, l’occupation en soins intensifs et la mortalité ont une signification quant à la gravité de l’épisode épidémique. Et là encore, tout n’est pas fiable à 100 %, car ces indicateurs se basent aussi sur des tests PCR…

    7. Il faut imposer des règles à tout le monde pour protéger les personnes vulnérables

    Il s’agit du sophisme sur lequel repose toute la politique sanitaire coercitive si l’on tient compte des données épidémiologiques par tranche d’âge.
    Oui, les personnes âgées et/ou présentant des facteurs de risque sont invitées à se protéger. Mais le reste de la population n’a pas à maintenir toutes ces règles sanitaires étant donné qu’elle présente peu de risques et est donc potentiellement un vivier pour construire l’immunité collective de la population. Et cette immunité collective, c’est réellement le meilleur moyen de protéger les personnes à risque à moyen terme(22).
    Au début de l’épidémie, on a imposé toutes les mesures sanitaires, car on n’avait pas encore d’immunité collective, aujourd’hui les mesures qui sont prises empêchent de l’atteindre. Comme pour l’affaire des masques, déconseillés, puis obligatoires, c’est à n’y rien comprendre !

    8. Le vaccin est LA panacée, notre « seule chance » de venir à bout du virus

    Tout d’abord, La vaccination est un OUTIL sanitaire, pas une « baguette magique ». Or, on assiste littéralement à un dogmatisme vaccinaliste sans précédent, qui relève davantage de la foi que de la démarche scientifique ! Cette stratégie consiste à miser sur l’immunité collective artificielle obtenue grâce à une vaccination massive. Cette dernière n’étant, en réalité, qu’une « imitation » de l’immunité collective naturelle, mais sans les inconvénients sanitaires comme les cas graves et les décès. Du moins, en théorie…
    Pour l’instant, seuls deux (bientôt trois) vaccins sont disponibles en Belgique. Et ces deux premiers vaccins impliquent une nouvelle technologie à ARN messager pour laquelle nous n’avons aucun recul chez l’homme à une si grande échelle.
    Les seules données dont nous disposons pour évaluer l’efficacité et la sécurité de ces vaccins sont les publications des firmes pharmaceutiques sur leurs essais cliniques de phase III, réalisés sur un laps de temps inédit. Autrement dit, contrairement à ce qu’affirme péremptoirement cette gigantesque propagande vaccinaliste, on nage dans le flou. Aucune certitude sur les risques réels à long et moyen terme, qui demeurent inconnus. Rien n’indique avec certitude que cette campagne de vaccination sera efficace pour réduire l’incidence des cas graves. Surtout lorsqu’on nous affirme que nous ne savons pas si les personnes vaccinées seront toujours contagieuses ni combien de temps durera l’immunité hypothétique conférée par les vaccins, ou si ces derniers seront efficaces face aux nouveaux variants(23).
    Quand bien même, quel intérêt y a-t-il à vacciner toute une population pour une affection aussi peu létale dans les tranches d’âges qui correspondent à la population active ?
    Selon le principe de la balance bénéfice/risque, ces vaccins devraient être réservés aux personnes à risque exclusivement. Mais l’imposer ou le conseiller à l’ensemble de la population, à ce stade, il est légitime de considérer que c’est une ineptie !

    9. Le confinement et le port du masque obligatoire sont des solutions efficaces

    Le confinement et l’obligation du port du masque sont des mesures politiques et non médicales. Elles ne reposent sur aucune preuve scientifique d’efficacité tant sur la dynamique épidémique que sur la mortalité. ABSOLUMENT RIEN ! C’est d’ailleurs ce à quoi a abouti l’investigation scientifique du plus éminent épidémiologiste au monde, le Professeur Ioannidis de l’université de Stanford, dans une étude minutieuse parue dans la revue European Journal of Clinical Investigation(24).
    Par simple observation, les pays n’ayant imposé aucune de ces mesures (la Suède, la Biélorussie, l’Estonie) ou de manière locale ou allégée (Allemagne, Pays-Bas, Croatie) ont peu ou prou les mêmes courbes épidémiques(25), sans surmortalité significative, et s’en sortent même mieux que les pays qui ont imposé ces règles de manière drastique (Belgique, France, Italie, Espagne et Royaume-Uni)(26) !
    Souvenez-vous de la raison pour laquelle on a imposé le 1er confinement : aplanir la courbe des hospitalisations afin de ne pas saturer les lits de réanimation. Cet aplanissement de la courbe n’a JAMAIS été scientifiquement démontré, et le narratif officiel s’attache à confondre coïncidence et causalité lorsqu’il prétend que les « lock-down » sont suivis d’une chute de l’incidence des cas. Le confinement aurait soi-disant servi à éviter la saturation d’un système hospitalier déjà sous tension depuis 20 ans et très sont souvent surchargées lors des pics épidémiques de grippes(27).
    Que l’on soit clair :
    Il y a une différence entre dépister, isoler et traiter des malades contagieux (comme il s’est toujours fait en matière d’épidémie), et confiner aveuglément l’ensemble de la population sans discernement et sans prise en charge de proximité. Certaines études ont même montré l’effet inverse de celui escompté(28), sans parler de la mortalité secondaire (suicides, maladies non dépistées) ainsi que des conséquences sociales et économiques catastrophiques.
    Il y a aussi une différence entre porter CORRECTEMENT, de manière hygiénique, un masque de protection type FFP2 ou chirurgical, dans les lieux clos et bondés en phase de pic épidémique, lorsque le risque de contagion est grand surtout, si l’on est une personne à risque, et imposer de porter des bouts de tissus ou des masques chirurgicaux mal utilisés, sans règles d’hygiène préalables, y compris en extérieur et en dehors d’une période de pic épidémique par-dessus le marché. Ça, c’est de la grosse foutaise, pardon !
    Non, il est légitime de penser que le confinement aveugle et le port du masque obligatoire entraînent plus d’inconvénients que d’avantages escomptés.

    10. Les autorités savent ce qu’elles font

    Il est dans certains esprits peu subversifs l’idée que la classe dirigeante a le pouvoir parce qu’elle le mérite ou qu’elle a une capacité à diriger. Il n’y a rien de plus faux. Le système politique et le pouvoir hiérarchique des instances autoritaires en général, fonctionnent par médiocratie et cooptation. C’est-à-dire que les hauts dirigeants choisissent à des postes subalternes des individus médiocres, mais obéissants et reconnaissants.
    Dans ce contexte, les personnes qui cherchent à obtenir des postes de pouvoir et de responsabilité sont rarement compétentes, honnêtes ou bienveillantes. Ce sont des gens qui avouent rarement leurs erreurs, persistent dans leurs fourvoiements et n’ont que leur ambition carriériste comme objectif. Sans parler de leurs conseillers technocrates, souvent en conflits d’intérêts, qui ont des visions totalement déconnectées des réalités et agissent plus par idéologie que pragmatisme. Un sacré cocktail !
    C’est pourquoi, en conclusion, il est urgent de mettre fin à cette hystérie politico-médiatique ainsi qu’aux mesures sanitaires contre-productives, antidémocratiques et sans fondements médicaux ni scientifiques.

    Annes Bouria
    https://www.kairospresse.be/article/covid19-debunkage-du-narratif-de-propagande

    --
    1. Démystification.

    2. https://www.who.int/bulletin/online_first/BLT.20.265892.pdf

    3. https://datastudio.google.com/embed/reporting/c14a5cfc-cab7-4812-848c-0369173148ab/page/QTSKB

    4. https://statbel.fgov.be/fr/propos-de-statbel/que-faisons-nous/visualisations/mortalite

    5. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_Daily%20report_20210124%20-%20FR.pdf

    6. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_THEMATIC%20REPORT_COVID-19%20HOSPITALISED%20PATIENTS_FR.

    7. https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/analyse-covid-19-75-des-personnes-positives-au-sars-cov-2-etaient-asymptom :~:text=Parmi%20ceux%2Dci%2C%203%20%25,encore%20tout%20%C3%A0%20fait%20clair.

    8. https://datastudio.google.com/embed/reporting/c14a5cfc-cab7-4812-848c-0369173148ab/page/uTSKB

    9. https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2774380

    10. https://lameuse.sudinfo.be/555970/article/2020-05-07/voici-les-vrais-chiffres-de-la-mortalite-du-coronavirus

    11. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_sous-haute-surveillance-pour-le-deconfinement-comment-calculer-et-influe

    12. https://www.sante-sur-le-net.com/r0-virus-le-plus-contagieux

    13. https://www.amjmed.com/article/S0002-9343(20)30673-2/fulltext

    14. https://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/covid-19-depister-desinfo/2020/10/28/hydroxychloroquine-fini-probablement

    15. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-artemisia-une-plante-antipaludeenne-efficace-contre-le-coronavirus?id=

    16. https://www.virologie-uclouvain.be/fr/chapitres/transmission-epidemiologie/comportement-du-virus-dans-la-population

    17. https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-coronavirus-variante-espagnole-virus-origine-deuxieme-v

    18. https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-mutations-un-mode-d-adaptation-normal-des-virus_140746

    19. https://www.nature.com/articles/s41467-020-19818-2

    20. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-vous-avez-un-test-pcr-positif-et-vous-ne-l-etes-peut-etre-pa

    21. https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html

    22. https://www.grippe65plus.fr/histoires/immunit%C3%A9-collective-prot%C3%A9ger-les-membres-vuln%C3%A9rables-de-

    23. https://www.levif.be/actualite/sante/vaccins-covid-un-arsenal-elargi-mais-des-questions-en-suspens/article-news-1376777.html

    24. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/eci.13484

    25. https://www.worldometers.info/coronavirus

    26. https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps

    27. https://www.legeneraliste.fr/actu-medicale/la-grippe-provoque-lengorgement-de-certains-hopitaux

    28. https://meteopolitique.com/Fiches/Epidemie-Pandemie/analyse/confinement/Absence-de-base-probante-pour-soutenir-le-confinement-general-de-la-

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  • Ici on parle d’un virus qui ne donne aucun symptôme à 98% des personnes atteintes, qui ne donne que de légers symptômes à 98% des 2 % restants et qui dont le taux de survie des malades en réanimation est de 98%.

    Ce que Vittoria Colizza, Giulia Pullano et Laura Di Domenico proposent c’est une idée entre l’inutile, le ridicule et le fascisme médical.

    Covid-19 : « Si nous voulons éviter de passer les quatre prochains mois confinés, il faut changer de paradigme »
    https://www.lejdd.fr/Societe/covid-19-si-nous-voulons-eviter-de-passer-les-quatre-prochains-mois-confines-i

    Dans une autre étude que nous avions mené lors du premier confinement, nous avions montré qu’il faut trouver au moins une infection sur deux (ce qui permet de mettre la personne à l’isolement, de trouver ses contacts) pour éviter d’avoir une résurgence de cas et pour éviter d’être obligé de mettre en place des mesures de distanciation sociale très strictes, comme le confinement.

    C’est pourquoi il faut vraiment que les tests deviennent une habitude. On peut imaginer que, dans les semaines ou les mois à venir, d’autres technologies permettront d’améliorer encore la situation, comme le prélèvement salivaire, actuellement à l’étude. Au début cette approche a été mise de côté, car trop peu sensible, mais les protocoles ont été améliorés. On peut imaginer que dans quelques temps, les gens pourront se tester eux-mêmes.

    Si nous voulons éviter de passer les quatre prochains mois confinés, il faut changer de paradigme.

    • Ici on parle d’un virus qui ne donne aucun symptôme à 98% des personnes atteintes, qui ne donne que de légers symptômes à 98% des 2 % restants et qui dont le taux de survie des malades en réanimation est de 98%.

      je connais pas de virus qui corresponde à ces chiffres, c’est lequel ?

    • @koldobika

      Je parle du covid19. Alors bon, oui, ce n’est pas 98%, 98% et 98% Mais c’est 86%, 84% et 80,4%. Je vais reprendre un peu de magnésium pour améliorer ma mémoire, mais pas beaucoup.

      1/ Asymptomatiques : 86% des contaminés ne présentent aucun symptôme

      86% des résidents du Royaume-Uni testés positifs au Covid-19 ne présenteraient pas de symptômes spécifiques comme la toux, la fièvre, la perte du goût ou de l’odorat. Cette nouvelle étude réalisée durant le confinement en Grande-Bretagne (du 26 avril au 27 juin 2020) a été menée par des chercheurs de l’University College de Londres (UCL) et publiée dans le journal spécialisé Clinical Epidemiology. Pour arriver à ce résultat, les chercheurs ont utilisé les données de l’Office for National Statistics Coronavirus, qui réalise une vaste enquête basée sur la population examinant l’association entre les symptômes de Covid-19 et les résultats du test Covid-19.

      https://www.sciencesetavenir.fr/sante/86-des-personnes-contaminees-par-le-covid-19-n-auraient-pas-de-symt

      2/ Taux de survie en hôpital : 80,4% des hospitalisés survivent à la contamination

      Depuis le 1 mars 2020, 1 936 établissements de santé ont déclaré au moins un cas de coronavirus, 245 237 patients ont été hospitalisés (41 200 patients sont décédés à l’hôpital au 17 décembre). La durée moyenne entre l’infection et l’hospitalisation est de 11 jours, rapportait le Conseil scientifique dans un Avis du 26 octobre.

      https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2627893-hospitalisation-covid-19-france-courbe-cas-aujourd-hu

      3/ Taux de (non) sévérité (nombres de cas total/ nombre d’hospitalisations [245 237]) : 84% des contaminés ne nécessitent pas une hospitalisation

      France Coronavirus Cases : 2,547,771

      https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france

    • ouais,…

      il y a quand même une (petite) différence entre les 2 versions :
      • 2% x 2% x 2% = 8 ppm (8 par million)
      • 4% x 6% x 19,6% = 470 ppm
      appliqué à la population française (67 M), ça donne plus de 31 000 décès, soit la surmortalité observée pour chacun des deux épisodes printemps et automne.
      Soit pour les deux vagues (à ce jour, puisque la deuxième n’est pas terminée) 10% des décès annuels d’une année « normale ».

      On peut ajouter deux points supplémentaires :

      • c’est des vieux, on s’en fout… 93% des décès ont 65 ans ou plus (presque 80% ont 75 ans ou plus)
      https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france

      • entre une fois et demie et deux fois le nombre de morts (48 000 - 64 000) – de tous âges – ont des séquelles lourdes qui persistent au delà de 4 mois, mais on s’en fout
      https://www.20minutes.fr/sante/2906935-20201112-coronavirus-quatre-mois-apres-30-40-cas-graves-gardent-se

    • @simplicissimus Je pense que tu déplaces le sujet du post initial ("changer de paradigme" et tester les masses) vers un sujet que je n’aborde pas ("on s’en fout" des morts).
      Je ne me « fous » pas de ce virus, j’ai 59 ans, j’ai bossé 6 ans en hopital et vécu 26 ans avec une infirmière d’unité de réanimation. ça fait de bonnes raisons pour que je sois sensibilisé. J’ajoute que je fut militant LGBT et longtemps concerné par le SIDA. Pour autant je ne laisserai pas s’instaurer une dictature sous des prétextes médicaux. Voilà ce que je pense de toute cette histoire de Covid19, de nos gouvernements, des complotistes, des laboratoires, de big pharma et du capitalisme. ça se résume à : vous ne me fliquerez pas de la naissance jusqu’à la mort.

    • Désolé si je n’ai pas bien compris l’objet du message ; pour moi, le recours à des chiffres, minimisés de surcroît, est un signal d’alerte.

      Et pour qu’on soit bien clair, j’ai plus de 65 ans, un IMC autour de 30 kg/m2 et traité pour HTA depuis plus de 20 ans, j’ai fait un séjour de 12 heures mi-avril aux urgences covid pour un problème pulmonaire (ce n’était pas la covid, mais on ne me l’a dit que 3 heures avant que je sorte) mais, en l’état actuel des connaissances, je n’ai aucune intention de me faire vacciner. La vaccination, en soi, n’est pas bien ou mal ; chaque vaccin, y compris chaque type d’un même vaccin et chaque variante commerciale, est une décision différente, à la fois individuellement et collectivement. De ce point de vue, le passage de 4 à 11 vaccins obligatoires en France est un pur scandale de santé publique.

      Et donc, en l’état,
      • perso, je ne compte pas me faire vacciner et, du point de vue de la santé publique,
      • autoriser prématurément tel ou tel vaccin est une décision lourde qui me semble prise un peu hâtivement,
      • rendre le vaccin covid (lequel ?) obligatoire serait une très mauvaise décision

      Enfin, mais je change de paradigme, ;-) oui, la dépossession progressive des choix concernant les risques auxquels nous sommes exposés, sanitaire, terroriste ou autres…, au profit d’États ou d’institutions (économiques, industrielles, médiatiques ou complotistes – puisqu’on voit émerger aujourd’hui de telles « institutions » anti-système sur les réseaux) est très inquiétante.

    • Entièrement d’accord avec @Simplicissimus.
      Moi aussi, plus de 65 ans, et pas plus l’intention de me faire vacciner compte-tenu des éléments actuels en ma connaissance.
      Le problème ce ne sont pas les mesures sanitaires qu’il est nécessaire de respecter ; le problème ce sont ceux qui nous imposent et qui n’arrivent pas à masquer leur gueule de loup même quand ils enfilent le bonnet de dentelles de la grand-mère.

    • La comparaison grippe covid-19, fin de partie (pris à Drosten)
      https://inf-covid.blogspot.com/2020/10/faux-positifs-ecoles-mortalite-cellules.html

      [...] Les auteurs donnent également un exemple que j’ai trouvé très vivant. On a également évalué, à partir de nombreux ensembles de données, en particulier des USA, [la mortalité] de la grippe durant ces dernières années. […] Depuis le début de la pandémie, il y a des gens qui ont dit : « C’est aussi inoffensif que la grippe ». Et depuis, des chiffres fantaisistes circulent en public. Mais parfois ils ne se réfèrent qu’à un seul pays et parfois à une seule année […] Mais si vous analysez à partir de données aux États-Unis, qui ont un très bon système de déclaration, vous pouvez dire : La grippe a une mortalité par infection de 0,05% sur une période de plusieurs années. Chez nous, c’est un peu moins. Et d’après cette méta-analyse très bien faite, la Covid-19, c’est-à-dire l’infection par le SRAS-2, a une mortalité par infection de 0,8%. C’est 16 fois plus que la grippe. Pour chaque décès de grippe, il y a 16 décès de Covid-19 aux États-Unis . Mais maintenant, la population américaine est plus jeune que l’allemande. En d’autres termes, il faudrait compter avec un taux de mortalité par infection en Allemagne qui, selon cette analyse, approche le 1 %, voire un peu plus […]

      Mais je pense que nous devrions peut-être visualiser cela d’une manière différente, en regardant les taux de mortalité par infection [par âge] [...] dans la tranche d’âge entre 35 et 44 ans, c’est à peu près la même chose qu’avec la grippe. [...] Entre 45 et 54 ans, la mortalité par infection est de 0,2%. Entre 55 et 64 ans, soit les dix dernières années de vie active, 0,7%. Donc, selon la situation de comparaison, je dirais dix fois plus que la grippe. Ou même plus. Dans d’autres pays, ce serait 15 fois plus que la grippe. Les auteurs ont ici fait une comparaison intéressante, ils ont comparé avec les accidents de la route. Et ils disent que c’est un risque environ 200 fois plus élevé que de conduire une voiture pendant un an pour cette tranche d’âge. Donc, si quelqu’un est dans les dix dernières années de sa carrière, il peut conduire pendant un an et la probabilité qu’il ait un accident n’est que d’un deux centième [que celle de mourir de la] Covid-19.

      [...] Dans la tranche d’âge de 65 à 74 ans , où l’on vient de prendre sa retraite et qu’on peut vraiment profiter de la vie, la mortalité par infection est de 2,2 %, soit 30 fois plus qu’avec la grippe. Donc, dans ce groupe d’âge, nous avons 30 décès de Covid-19 pour chaque décès de la grippe. Et les chiffres dans les groupes plus âgés, sont terribles. Pour les 75 à 84 ans, 7,3% et les plus de 85 ans, près d’un sur trois. C’est autant que la variole au Moyen Âge ou certaines flambées d’Ebola en Afrique.

      […] Je pense qu’il est important de garder cela à l’esprit. C’est pourquoi de telles méta-analyses sont faites. Il ne s’agit pas de compter les morts. Il s’agit simplement d’évaluer la situation. Et ce n’est plus une science pure et froide, mais plutôt un message social qui l’accompagne. Une évaluation de la dangerosité du problème que nous avons devant nous avec l’arrivée de l’hiver.

    • A l’issue de cette journée du 22/10, il y a 41 622 nouveaux cas de COVID-19 en France (3e rang dans le classement mondial après les États-Unis et l’Inde qui ont respectivement 57 079 et 54 482 nouveaux cas ce jour).

      1,53 % de la population en France a été contaminé par #SARSCoV2.
      Depuis le début de l’épidémie, 3,4 % des personnes atteintes par la maladie sont décédées.
      Le nombre de cas total atteint désormais le nombre de 999 043.

      Le pays est en train de vivre une catastrophe sanitaire. Mais tant que la presse mainstream parlera en terme de « record », les lignes ne bougeront pas.

      (toujours la même source ; voir plus haut)

    • Notre « Douce France » bat des « records » quotidiennement. D’après LCI (ou un autre organe officiel de propagande), ce serait à cause des autres pays européens qui font rien qu’à sous estimer leurs propres résultats ... Étonnant, non ?

      La France arrive donc au 5e rang mondial pour le nombre total de cas (juste après les États-Unis, l’Inde, le Brésil et la Russie)
      https://www.worldometers.info/coronavirus

      Pour le nombre de cas toujours actifs, nous sommes au 2e rang (juste après les États-Unis). C’est ça l’effet « start-up nation ». We are one ! (Yessss !!!)

      Et en fait, si on réfléchit bien, ce doit être une volonté politique locale qui fait que l’on s’accroche encore au dogme de la « croissance exponentielle ».
      https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france

      #cojonesvirus (2e vague)

    • Ils font, au plus haut niveau, ce qui était demandé, dans les coins où on ne leur la fait pas. En effet, c’est le confinement qui a fait des morts, lors du premier round. Oui, le confinement, parce que du fait du confinement, pleins de soins n’ont pas pu être donnés. Et ça a fait pleins de morts. Alors on ne fait plus de confinement. Comme ça, on ne fait plus de soins non plus, mais ça, leur second neurone ne va le comprendre que dans 3 ou 4 semaines, devant le mur de cercueil, pour reprendre une expression passée par ici récemment.

    • Les chiffres d’hier pour la catastrophe sanitaire : la France en deuxième position au niveau mondial pour le nombre de cas de Covid toujours actifs (1 495 659) juste derrière les ... États-Unis (3 437 218).
      Source : https://www.worldometers.info/coronavirus

      Ratios cas toujours actifs/population totale :

      États-Unis : 1,04 %
      France : 2,29 %
      Italie : 0,88 %
      Allemagne : 0,27 %
      Belgique : 3,85 %
      Suisse : 1,40 %

      Ratios à ce jour (20201107) en % du nombre total de cas / population pour les pays d’Europe (moins la Russie) :

      Belgique : 4,20
      République Tchèque : 3,77
      Luxembourg : 3,57
      Monténégro : 3,56
      Vatican : 3,36
      République de Saint Marin : 3,07
      Espagne : 2,96
      France : 2,54
      Suisse : 2,44
      Pays-Bas : 2,36
      Gibraltar : 2,33
      Slovénie : 2,13
      Moldavie : 2,03
      Liechtenstein : 2,00
      Bosnie-Herzégovine : 1,87
      Macédoine du Nord : 1,80
      Royaume Uni : 1,72
      Portugal : 1,70
      Autriche : 1,63
      Malte : 1,59
      Croatie : 1,58
      Roumanie : 1,55
      Italie : 1,49
      Islande : 1,48
      Suède : 1,45
      Pologne : 1,38
      Slovaquie : 1,35
      Irlande : 1,30
      Monaco : 1,15
      Biélorussie : 1,11
      Hongrie : 1,09
      Bulgarie : 1,04
      Ukraine : 1,03
      Iles Féroé : 1,01
      Danemark : 0,93
      Lithuanie : 0,84
      Albanie : 0,82
      Allemagne : 0,77
      Serbie : 0,70
      Grèce : 0,50
      Chypre : 0,46
      Estonie : 0,45
      Norvège : 0,44
      Lettonie : 0,42
      Finlande : 0,31

    • Oui, j’espère au moins que ce n’est pas aux cabanes à frites qu’elles ou ils se contaminent ... (Bon, ok) ...
      Par contre, les Italien·nes (celles ou ceux-là même qu’on accusait de tous les maux pendant la 1ère vague) n’ont plus de leçon à recevoir des universalistes franchouillards.

  • Face à la seconde vague de Covid-19, le « miracle » italien

    Après avoir été cruellement frappée lors de la première vague de la pandémie, l’Italie semble en avoir tiré certaines leçons qui expliqueraient ses bons scores aujourd’hui. Explications.

    La presse anglo-saxonne ne tarit pas d’éloges à l’égard du « modèle italien », de ce « miracle » face à la résurgence de l’épidémie de coronavirus. Quel est ce miracle ? Deux mille contaminations par jour en Italie, contre 10 000 dans les principaux pays occidentaux. Quelles en sont les causes ? Walter Ricciardi, médecin et professeur universitaire, 61 ans, a été le représentant de son pays à l’OMS. Depuis sa nomination comme conseiller technique en février dernier, il est devenu le mentor de la politique « efficace » du gouvernement. Il répond aux questions de « l’Obs ».

    Quelle est la clé du « miracle » italien ?

    Il n’y a ni « miracle » ni « modèle italien ». Ni « recette ». Soyons sérieux, nous sommes à la veille d’une seconde phase de la pandémie qui n’épargnera aucun pays. Disons plutôt que la conscience de la gravité de la situation a été immédiate de la part de l’exécutif, et surtout de son ministre de la Santé, Roberto Speranza, 41 ans, qui est devenu un spécialiste des états de crise. La Santé, l’économie, le futur du pays sont ses sujets constants de préoccupation. Tous les pays qui ont sous-évalué la gravité du problème en payent aujourd’hui le prix.

    Le détail des mesures prises ?

    L’accent mis sur les tests dès février. Puis le renforcement de la médecine territoriale. L’embauche de 6 600 médecins et de 14 500 infirmiers. Les campagnes pour le port du masque dans les lieux publics, et leur distribution à un tarif plafonné. Puis l’imposition d’une distance physique de près de trois mètres dans les transports publics et sur les trains. Et enfin la fermeture des écoles pendant deux mois. Ayant été frappés les premiers, nous avons fait le confinement le plus long et le plus sévère de tous les pays occidentaux. Et maintenant nous avons lancé une campagne de vaccination anti-grippe avec 70 % de vaccins supplémentaires par rapport à 2019, réservés prioritairement aux structures sanitaires et aux personnes agées. Vingt millions de doses seront bientôt disponibles en pharmacie.

    D’autres pays ont pris des mesures analogues sans arriver au même résultat…
    C’est ici qu’interviennent les vraies raisons de notre « miracle » : l’alignement immédiat et rigoureux, voire disciplinaire, de la très grande majorité des citoyens, qui ont adhéré à la campagne, qu’ils se soient « alignés » comme disent certains, ou qu’ils aient « eu peur » − peur des amendes, essentiellement − comme soutiennent certains autres. Mais je résumerais avec une formule : « l’esprit de sérieux ». Je sais que l’Italie n’a pas une image de pays rigoureux. Mais cette idée reçue sous-estime un élément essentiel : dans les situations d’urgence nos concitoyens ont prouvé qu’ils savaient affronter les problèmes avec fermeté et un certain sens du sacrifice.

    Le président de la République Sergio Mattarella soutenait ces jours-ci que les Italiens aiment la liberté de mouvement, mais sont aussi capables d’un grand « esprit de sérieux »…

    Le président Mattarella incarne parfaitement notre effort actuel. Mais je n’oublie pas pour autant nos carences organisationnelles passées, avec cette malchance qui a fait de nous le premier pays occidental à subir la vague de contamination. Et donc à expérimenter en tâtonnant les premières réponses au Covid. Je n’oublie pas non plus que notre service national de santé est basé sur les régions, et que ces dernières sont très habiles à rendre aléatoire toute mesure décidée par l’exécutif.

    L’Italie est-elle prête pour la « deuxième vague » ?

    Nous y sommes. Elle durera au moins deux ou trois mois. Les gens seront coincés chez eux avec leurs grippes et leurs rhumes de saison, et sans doute avec une contamination plus ou moins bénigne par Covid. Mais nous ferons tout pour éviter le confinement national. Vous savez ce qui nous a le plus surpris dans la première vague ? Le fait que les hôpitaux sont devenus la principale source de contamination. Nous avons été les premiers à en faire l’expérience. Maintenant nous sommes blindés.

    https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20200927.OBS33927/face-a-la-seconde-vague-de-covid-19-le-miracle-italien.html

  • How Did Sweden Flatten Its Curve Without a Lockdown? | MedPage Today
    https://www.medpagetoday.com/infectiousdisease/covid19/87812

    Th[e] response hasn’t changed over time, through the June surge and into today’s decline, so there’s no definitive explanation for the flattening, though, and experts have several theories.

    “Swedes in general have changed their behavior to a great extent during the pandemic and the practice of social distancing as well as physical distancing in public places and at work has been widespread,” said Maria Furberg, MD, PhD, an infectious diseases expert at Umea University Hospital in northeastern Sweden.

    “During the months of March to early June, all shops were practically empty, people stopped dining with friends, and families stopped seeing even their closest relatives,” Furberg told MedPage Today. “A lock-down could not have been more effective. Handwashing, excessive use of hand sanitizers, and staying home at the first sign of a cold became the new normal very quickly.”

    Mozhu Ding, PhD, an epidemiologist at the famed Karolinska Institute, said the decline is “likely to be a combination of measures taken by individuals, businesses and a widespread information campaign launched by the government.”

    “Even without a strict lockdown order, many businesses allowed employees to work from home, and universities are offering distance courses to the students,” Ding told MedPage Today. “Individuals are also taking personal hygiene more seriously, as items like hand sanitizers and single-use gloves are often sold out in pharmacies and grocery stores.”

    Experts told MedPage Today there weren’t clear data to prove Tegnell’s assertion of widespread immunity in Sweden.

    Furberg said there is likely “some sort of unspecific immunity that protects parts of the population from contracting #COVID-19” but it’s not necessarily secondary to #SARS-CoV-2 exposure.

    For instance, a study by the Karolinska Institute and Karolinska University Hospital recently found that about 30% of people with mild or asymptomatic COVID showed T-cell-mediated immunity to the virus, even though they tested negative for antibodies.

    “This figure is [more than] twice as high as the previous antibody tests, meaning that the public immunity to COVID-19 is probably much higher than what antibody studies have suggested,” Ding told MedPage Today. “This is of course very good news from a public health perspective, as it shows that people with negative antibody test results could still be immune to the virus at a cellular level.”

    #suède

    • @arno : pourrais-tu, si tu as le temps, m’expliquer comment tu établis ces courbes ? A moins que tu l’aies fait dans le premier post où elles sont apparues.

      Et puisque tu fais une comparaison entre la France et l’Italie, je te livre deux graphiques (toujours la même source, Worldometers) qui montrent les graphes de l’évolution des cas toujours actifs dans ces deux pays.
      En France, on constate une circulation encore très forte du virus (même niveau qu’au mois d’avril au plus fort de l’épidémie). Par contre en Italie, on voit que le nombre de cas toujours actifs a fortement diminué.
      Les liens (consulter les données « active cases ») :
      https://www.worldometers.info/coronavirus/country/france
      https://www.worldometers.info/coronavirus/country/italy

    • – C’est une courbe que je produis chaque jour (ou presque) mais en ne conservant que les 21 derniers jours.

      – Source France : Santé Publique France. Pour l’Italie, chaque jour dans un quotidien italien (ça change, c’est le premier qui me tombe sous la main dans Google News.IT).

      – 21 jours parce qu’exactement 3 semaines entières, pour annuler l’effet des week-ends et de leurs rattrapages lundi et mardi.

      – Pour la France, uniquement les décès à l’hôpital, les chiffres en Ehpad n’étant plus fournis quotidiennement.

      – L’équation des deux corrélations linéaires est affichée dans la capture d’écran. Où l’on voit que, pour la France, la pente est désormais de seulement 0,56 décès en moins par jour, et elle est cinq fois plus importante en Italie (2,5), sur la période des trois dernières semaines. Et en France, cette pente est de plus en plus faible.

    • Apparemment, de temps en temps, ils se rendent compte qu’ils ont compté trop de morts. Je ne sais pas bien comment ça se passe, parce que je suppose que les chiffres sont basés sur des déclarations faites par les Ehpad ou les hôpitaux et centralisées via un réseau. Mais bon, une fois en Italie, et plein de fois en France, ils se rendent compte qu’ils ont compté 25, 50 ou 250 morts en trop, et donc un jour ils publient un chiffre corrigé, avec donc moins de décès que la veille.

      Et comme je ne vois pas comment il serait possible que notre génial système administratif françaouis que le monde entier nous envie, qui ne part jamais en week-end pendant une crise sanitaire majeure, se tromperait aussi régulièrement, je ne vois qu’une explication alternative crédible : les vieux des Ehpad ont ressuscité.

  • Les courbes du 2 juin :

    Les deux courbes sans les Ephad (dont on recommence à publier des chiffres, mais en tout cas, ça ne permet plus d’avoir une courbe pour observer une évolution de la tendance).

    En France, sans surprise, après un long week-end, net rattrapage administratif… Avec la tendance estimée sur 3 semaines, la baisse est très fragile (3 décès de moins chaque jour).