• #Julie_Bindel : Le nouveau harcèlement imposé sur les campus
    https://tradfem.wordpress.com/2021/05/04/le-nouveau-harcelement-impose-sur-les-campus

    L’une des grandes réussites du féminisme contemporain tient aux campagnes de sensibilisation du public à la reconnaissance du harcèlement sexuel en milieu de travail. Les universités ont encouragé les dénonciations et les procédures de plaintes anonymes afin que les femmes puissent signaler en toute sécurité ce type de ciblage. Mais lorsque les femmes universitaires font l’objet d’insultes infâmes telles que « TERF », tout bascule ; il est considéré comme raisonnable de traquer et d’humilier publiquement ces femmes.

    Il est intéressant de noter que la foule vicieuse des censeurs n’a pas tendance à s’en prendre à la poignée d’universitaires masculins qui s’élèvent contre le type d’idéologie transgenriste extrême qui entraîne la suppression des droits sexuels durement acquis par les femmes.

    Holly Lawford-Smith est professeure associée en philosophie politique à l’université de Melbourne (UM), en Australie. En 2020, elle a lancé le site noconflicttheysaid.org pour recueillir des données et des témoignages sur l’impact qu’avait sur les femmes l’utilisation par des hommes d’espaces réservés aux femmes, tels que les prisons, les vestiaires, les salles de bain, les services hospitaliers et les refuges pour les victimes de viol et de violence conjugale.

    Version originale : https://spectator.us/topic/campus-harassment-university-terf-trans
    Traduction : TRADFEM. Tous droits réservés à Julie Bindel et The Spectator (US).

  • Le paradis du proxénète
    Les bordels légaux du Nevada sont un désastre pour les femmes, écrit la journaliste d’enquête Julie Bindel, dans The Spectator (édition US), 14 octobre 2020
    Version originale : "https://spectator.us/pimps-paradise-legal-brothels-nevada"

    « Ce qui se passe à Vegas demeure à Vegas" dit le dicton populaire. On pense que cette phrase provient en partie des bordels légaux du Nevada, où les hommes sont assurés de l’anonymat. Ces bordels ont été considérés comme une industrie de services nécessaire dans la région depuis le XIXe siècle, lorsque le Nevada était presque entièrement peuplé de chercheurs d’or masculins. Il y a actuellement 21 bordels légaux en activité dans sept des comtés du Nevada, et j’en ai visité sept - en tant que journaliste et non en tant qu’acheteur de sexe. Ce que j’y ai vu et appris était horrible.

    Décrites par une ancienne prostituée du Nevada comme des "pénitenciers pour chattes", les bordels du Nevada ne sont autorisés que dans les comtés de moins de 400 000 habitants, afin de ne pas offenser les résidents.

    Les bordels légaux sont souvent décrits comme amusants et inoffensifs, comme dans le film Cathouse de HBO, une série documentaire sur le Moonlite BunnyRanch au Nevada. La réalité est tout autre. Les bordels légaux abritent les femmes les plus cruellement maltraitées, souvent pimpées, contrôlées et traitées comme rien de plus que des marchandises.

    Mais un changement pourrait être en marche. (...)

    https://tradfem.wordpress.com/2020/10/16/le-paradis-du-proxenete

  • #Julie_Bindel : LE PARADIS DU PROXÉNÈTE
    https://tradfem.wordpress.com/2020/10/16/le-paradis-du-proxenete

    « Ce qui se passe à Vegas demeure à Vegas » dit le dicton populaire. On pense que cette phrase provient en partie des bordels légaux du Nevada, où les hommes sont assurés de l’anonymat. Ces bordels ont été considérés comme une industrie de services nécessaire dans la région depuis le XIXe siècle, lorsque le Nevada était presque entièrement peuplé de chercheurs d’or masculins. Il y a actuellement 21 bordels légaux en activité dans sept des comtés du Nevada, et j’en ai visité sept – en tant que journaliste et non en tant qu’acheteur de sexe. Ce que j’y ai vu et appris était horrible.

    Décrites par une ancienne prostituée du Nevada comme des « pénitenciers pour chattes », les bordels du Nevada ne sont autorisés que dans les comtés de moins de 400 000 habitants, afin de ne pas offenser les résidents.

    Les bordels légaux sont souvent décrits comme amusants et inoffensifs, comme dans le film Cathouse de HBO, une série documentaire sur le Moonlite BunnyRanch au Nevada. La réalité est tout autre. Les bordels légaux abritent les femmes les plus cruellement maltraitées, souvent pimpées, contrôlées et traitées comme rien de plus que des marchandises.

    Traduction : #Tradfem
    Version originale : https://spectator.us/pimps-paradise-legal-brothels-nevada

  • #Meghan_Murphy : Internet et la « sociopathie performative » : est-ce devenu la norme que de haïr ostensiblement les gens qui n’ont pas les mêmes opinions que nous ?
    https://tradfem.wordpress.com/2020/02/29/internet-et-la-%e2%80%89sociopathie-performative%e2%80%89-est-ce-

    Si vous passez du temps sur Internet, vous avez probablement remarqué que l’espace numérique n’est pas celui de la nuance. Toutes les blagues y sont à prendre au pied de la lettre, suivies de longues explications aux consonances érudites sur le fait que vette blague équivaut, en fait, à de la violence. Tous ceux que nous n’aimons pas y sont des « fascistes ». Ceux qui ne sont pas d’accord avec nos idéologies y sont des « meurtriers », et les différends politiques y sont une cause d’excommunication. La réponse aux défaillances ou aux désaccords peut être une traque du ou de la coupable durant des jours entiers, pour conduire cette personne à implorer pardon ou à disparaître. À en croire les médias sociaux, la meilleure façon d’améliorer le monde serait de détruire les autres.

    En ce qui me concerne, on m’a exhortée à me suicider, à boire de l’eau de javel, et à me jeter au feu plus de fois que je ne peux en compter. La sentimentalité hypocrite est monnaie courante dans les médias sociaux, mais la compassion et l’empathie y sont rares. Mais, si beaucoup critiquent ce genre de comportement lorsqu’ils sont dirigés contre eux-mêmes, la situation change lorsque la cible n’est pas l’« un d’entre Nous », mais l’« un d’entre Eux ».

    Traduction : #Erell_Hannah pour #Tradfem
    Version originale : https://spectator.us/jordan-peterson-addiction-death-online-hate