Likud, Blue and White said closing in on deal for emergency government

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  • Likud, Blue and White said closing in on deal for emergency government | The Times of Israel
    https://www.timesofisrael.com/likud-blue-and-white-said-closing-in-on-emergency-government-agreemen

    Le Corona, et puis tout ça : bref, Gantz et Netanyahu se mettent d’accord pour que chacun d’eux puisse gouverner trois ans, et surtout pas d’accord de Gantz avec les 13+1 (juif non sioniste) élus qui auraient pu donner la majorité à Gantz.

    #israël la démocratie comme on l’aime

    Likud and the Blue and White party are closing in on an agreement to form an emergency unity government, with a rotation as prime minister between Benjamin Netanyahu and Benny Gantz, Channel 13 reported Friday.

    The report, which cited senior leaders from both parties, said they were working on a compromise agreement for a three-year term, with safeguards to ensure that the prime minister role would be handed over by Netanyahu to Gantz at the half way point.

    However, it noted that the talks were still in a delicate stage and could well yet fall apart.

    • Rappel de cet article de septembre 2019 qui détaillait ce qui se passerait si Gantz et Netanyahou faisaient alliance :

      Les Palestiniens, désormais troisième force politique d’Israël ?
      Marie Niggli, Middle East Eye, le 24 septembre 2019
      https://www.middleeasteye.net/fr/reportages/les-palestiniens-desormais-troisieme-force-politique-disrael

      Malgré le soutien surprise de dimanche soir à Benny Gantz, beaucoup en Israël – le président israélien en premier lieu – préféreraient voir se mettre en place un gouvernement d’union nationale. Depuis lundi, les discussions entre le Likoud et la coalition Bleu Blanc laissent penser qu’un accord est possible. Et dans cette configuration, les députés arabes deviendraient la première force d’opposition.

      Serait-il alors possible qu’Ayman Odeh, le dirigeant de la Liste unifiée, prenne la tête de l’opposition ?

      Fadi n’ose pas en rêver : « Quand un président ou un Premier ministre étranger viendrait en Israël, il serait obligé de rencontrer Ayman Odeh, s’il était le président de l’opposition. Ayman Odeh recevrait aussi chaque mois un briefing de la part des services de sécurité », du jamais vu dans l’État d’Israël, qui continue à percevoir les Palestiniens de l’intérieur comme des ennemis infiltrés.

      « Cela permettrait de faire monter les voix de notre minorité, qu’elles soient entendues dans le monde entier », se réjouit-il.

      Pas si vite, rétorque Alif Sabbagh. Ayman Odeh « est le président de la plus grosse faction de l’opposition. Mais ça ne veut pas dire qu’il va devenir le président de l’opposition. L’opposition peut voter pour quelqu’un d’autre qu’Ayman Odeh pour en prendre la tête, le droit le leur permet ».

      « Et quand bien même il serait président de l’opposition, que pourrait-il faire ? », poursuit l’analyste. « Le Premier ministre peut tout à faire dire : ‘’Je ne peux pas donner de briefings sécuritaires au chef de l’opposition parce qu’il est arabe.’’ Il peut invoquer des raisons sécuritaires pour ne pas l’informer. »

      #Palestine #Élections #Liste_unifiée