les résidents de maisons de repos infectés et affaiblis ne sont pas hospitalisés

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  • Et maintenant on culpabilise les citoyens
    https://www.bastamag.net/covid19-coronavirus-gouvernement-culpabilise-les-citoyens-eviter-rebellion

    « Une des stratégies les plus efficaces mises en œuvre dans toute situation d’urgence par les pouvoirs forts consiste à culpabiliser les individus pour obtenir d’eux qu’ils intériorisent la narration dominante sur les événements en cours, afin d’éviter toute forme de rébellion envers l’ordre constitué. » Une tribune venue d’Italie qui s’applique à ce qui se joue aujourd’hui en France. Une des stratégies les plus efficaces mises en œuvre dans toute situation d’urgence par les pouvoirs forts consiste à (...) #Débattre

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    #Santé_

    • Belgique : les résidents de maisons de repos infectés et affaiblis ne sont pas hospitalisés RTBF - Belga - 24 Mars 2020
      https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-les-residents-de-maisons-de-repos-infectes-et-affaiblis-ne-s

      Les occupants de centres de soins résidentiels très affaiblis et contaminés par le coronavirus Covid-19 ne font pas l’objet d’hospitalisations, selon une directive de la Société Belge de Gérontologie et de Gériatrie, adressée aux docteurs au sein des centres des soins et des services de gériatrie des hôpitaux, rapportent De Tijd et De Morgen mardi. Le document en question a été publié sur le site internet https://geriatrie.be .

      La disposition concerne les résidents les plus faibles chez qui il est évident que le Covid-19 sera fatal. « Dans les hôpitaux, nous ne pouvons rien faire de plus pour eux qu’offrir de bons soins palliatifs dont ils peuvent aussi bénéficier dans les résidences de soins. Les transporter à l’hôpital pour qu’ils y meurent serait inhumain » , estime la professeure Nele Van Den Noortgate de l’hôpital universitaire de Gand (UZ Gent).

      Pour les résidents de maisons de repos, qui présentent de la démence et des problèmes physiques qui les affaiblissent au point qu’un décès dans l’année est envisagé, il est demandé de réfléchir avec la famille.  "Il s’agit de patients pour qui un traitement peut prolonger la vie, mais qui offre peu de chance de rétablissement" , ajoute Mme Van Den Noortgate.

      Elle souligne que ces directives sont conformes à ce qui est mis en pratique pour d’autres pathologies. « De bons soins, c’est aussi parfois oser se rendre compte que les personnes passent de vie à trépas et de veiller à ce que le processus ne s’étire pas inutilement » . En gardant les résidents sans chance de survie dans les maisons de repos, cela diminue aussi le risque d’infection pour le personnel hospitalier ou ambulancier par exemple, et évite la surcharge des hôpitaux.