• Données COVID eaux usées en ligne | Z8PO / mammouth | 25.11.23

    https://z8po.github.io/covid-wasted-water-france

    National - Rouen - Rennes - Orleans - Nantes - Nancy - Marseille - Pau - Grenoble - Paris - Lille - Toulouse - Dijon

    Le dispositif national de surveillance des eaux usées - SUM’Eau - a été initié sous l’impulsion de la direction générale de la santé et de la direction de l’eau et de la biodiversité avec l’appui technique et scientifique des agences sanitaires. La surveillance des eaux usées poursuit deux objectifs, qui sont de détecter précocement la présence du génome du SARS-CoV-2 en population générale et de suivre les tendances de la circulation virale au sein de la population.

    Ces données sont actualisées à fréquence hebdomadaire à partir de Datagouv.

    Fait par un droïde protocolaire car « Personne aurait pu prédire que [...] Et je ne laisserai personne dire que nous avons manqué à [...] » voulait en fait dire 200k décès évitables.

    https://github.com/z8po/z8po.github.io

    https://framapiaf.org/@mushroom/111472143887008948

  • Autodéfense sanitaire : pourquoi et comment – STAA CNT-SO
    https://cnt-so.org/staa/2022/12/13/autodefense-sanitaire-pourquoi-et-comment

    La pandémie de covid19 n’est pas terminée, il est de notre responsabilité collective de nous protéger les unes les autres et d’assurer que nos réunions sont accessibles à toutes et tous, en particulier aux personnes fragiles, que la fin de l’obligation du port du masque exclut de fait des espaces publics. D’ailleurs, si certaines parties de la population sont plus à risques que d’autres de développer une forme grave de la maladie, le SARSCoV2 est un pathogène dont les conséquences à long terme sont encore méconnues mais qui peuvent toucher très largement la population, qu’elle soit ou non « fragile ». En effet, on évalue qu’environ 30% des infections au SARSCoV2 occasionnent des « covids longs », terme désignant l’ensemble de séquelles à long terme après la contamination et qui incluent des troubles cardiaques, vasculaires et neurologiques. On estime qu’environ deux millions de personnes en souffriraient rien qu’en France.

    • c’était possible de ne pas écrire

      30% des infections au SARSCoV2 occasionnent des « covids longs »

      alors que dans l’état actuel des connaissances c’est évalué entre 6 et 20%, avec un poids moyen à 10. comme si 10%, avec des réinfection, ça ne suffisait pas...

      #bourrins

      [la vaccination] ne peut pas être utilisé seul car [elle] n’empêche pas [ou plutôt : que partiellement] la transmission du virus et que son efficacité est limitée sur les covids longs.

      enfin, sinon, oui, pas mal, à part l’absence d’évocation du caractère social, à part les peu valides, c’est les prolos qui sont en première ligne. un point de vue parcellaire ("nos évenements") plus qu’un point de vue de classe qui puisse être défendu plus largement (au travail ! à l’école ! dans les transports !), faire l’objet d’une intervention politique et pas d’une règle de milieu (militant). ça reste petit bras.

    • Avec ce goût de l’autorité cinglante, @monolecte, fallait faire prof.

      Il y a une étude française qui évalue à 30% la part des covid longs parmi les covidés et la conclusion du com de presse qui l’annonce dit ceci :

      Les résultats de l’étude doivent toutefois être interprétés avec prudence. Bien que la méthode permette d’assurer la représentativité de l’échantillon, les résultats reposent sur un échantillon constitué de volontaires recrutés à partir d’un panel. La proportion déclarée de personnes ayant été infectées par le SARS-CoV-2 est toutefois comparable à celle estimée par les systèmes de surveillance. Ce travail se poursuivra avec une seconde étude sur un échantillon aléatoire en population générale, afin de produire des estimations plus robustes (...)

      https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2022/publication-des-premiers-resultats-sur-la-prevalence-des-affecti

      La France commence tout juste à faire mine de s’intéresser au covid long tandis que des études plus nombreuses sont faites en Angleterre, où là, évidemment, les estimations varient. Ce n’est pas être à jour que de se fonder sur la dernière étude parue. Faut pas confondre avec un système d’exploitation ou le denier gadget à modernisation obligée.

      Les gens qui savent que c’est 30% se font plaisir. Ils savent.
      Mais la réalité c’est qu’on ne sait pas, que ça semble important, énorme même au regard du nombre de contaminations, suffisamment important pour inquiéter et devoir faire l’objet de communications publiques claires (et contraindre à un minimum de RDR qu’on ne voit toujours pas venir), depuis la médecine de ville au ras du terrain jusqu’aux machines médiatiques. Quitte à citer des fourchettes. Balancer un chiffre, c’est prendre les gens pour des imbéciles.

      Par ailleurs, que ce soit un syndrome très extensif est manifeste. Même en en restant à une évaluation disons « basse » de 10%, si ne serait-ce que la moitié de ces 10% étaient en arrêt de travail (pour épuisement, incapacité, ou quoi que ce soit, puisque les covid longs ne sont pas évidents à faire reconnaître) il me semble que l’on en aurait entendu parler. Où sont les ouin-ouins patronaux bien de chez nous à ce sujet ? Est-ce que ça serait pas de nature, si ça se produisait, à faire dire quelque chose à des syndicats qui ne sont pas juste intéressés par leur milieu militant comme notre trop aimable CNT ?

  • Santé Publique France, 19/03/2021 : 20h passées, aucune donnée publiée, pas plus que d’info sur ce qu’il se passe.

    En même temps, il y a une certaine logique : on communique pour dire qu’on va annoncer quelque chose, on ne va pas communiquer pour dire qu’on ne va pas publier.

    • https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2021/absence-exceptionnelle-de-publication-des-indicateurs

      Suite à des incidents techniques détectés ce jour dans la chaine de remontée de données vers Santé publique France, les indicateurs épidémiologiques quotidiens ne peuvent être produits aujourd’hui.
      Mis à jour le 19 mars 2021

      Contacts presse

      Santé publique France
      presse@santepubliquefrance.fr
      Vanessa Lemoine : 01 55 12 53 36
      Marie Delibéros : 01 41 79 69 61
      Stéphanie Champion : 01 41 79 67 48
      Cynthia Bessarion : 01 71 80 15 66
      Charlène Charbuy : 01 41 79 68 64

      Ces incidents concernent les données issues des systèmes d’information Sidep et Vaccin Covid.

      Concernant Sidep, des écarts ont été constatés entre les données reçues par Santé Publique France ce jour et celles observées dans les territoires notamment en lien avec ses cellules régionales. Les indicateurs issus de la base Vaccin Covid, quant à eux, n’ont pas pu être produits en raison d’une indisponibilité des données.

      L’Agence a donc pris la décision de ne pas publier ces indicateurs.

      Depuis le début de l’épidémie, grâce à un large réseau d’acteurs sur le terrain et de systèmes d’information construits dans des conditions exceptionnelles, les équipes de Santé publique France sont mobilisées pour assurer ses missions en termes de cohérence du système de surveillance, de recueil et d’analyse des données en temps réel, et de mise à disposition de tous d’une information expertisée et de référence.

      L’Agence en a fait une priorité, ce qui se traduit par la publication quotidienne de plus de 140 indicateurs permettant de suivre la dynamique de l’épidémie.

      Cette priorité s’accompagne d’une responsabilité : fournir des données vérifiées, consolidées et fiables. Cela implique aujourd’hui de communiquer en transparence sur cet incident ponctuel sur lequel l’Agence, en lien avec tous les acteurs concernés, est pleinement mobilisée.

      Des investigations sont en cours avec l’ensemble de ces acteurs impliqués dans la chaine de production des données dans l’objectif de les rétablir dans les meilleurs délais.

      Nous remercions chacun de ceux qui utilisent quotidiennement ces indicateurs de leur compréhension.

  • Carnet d’un confiné, #Coronavirus 2020, #Jour11
    http://www.davduf.net/carnet-d-un-confine-coronavirus-2020-jour11

    JEUDI 26 MARS 20202 - JOUR 11 MATIN. Ça commence par une modeste virgule. Une simple virgule, l’amie discrète des mauvais temps et des belles lettres, c’est le journal La Croix qui l’a placée, et de quelle manière. Son titre : « L’Etat, d’urgence ». Par courriel, je prends des nouvelles d’un manifestant amoché par la police d’État lors des samedis Gilets jaunes. « Pour ma part, confinement dans mes 20 metres carrés, avec la nourriture des Restos du coeur car plus de moyens financiers. Impossible de (...) #Coronavirus

    / Une

    https://www.liberation.fr/planete/2020/03/24/le-virus-pourrait-etre-transporte-par-la-pollution_1782754
    https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2016/impacts-sanitaires-de-la-pollution-de-l-air-en-france-nouvelles-
    https://www.lopinion.fr/edition/politique/malgre-confinement-president-macron-continue-a-se-deplacer-215069
    https://www.babelio.com/livres/Vuillard-14-Juillet/850835