Le campement du bois de Vincennes, ou le féodalisme appliqué :
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2016/07/14/au-bois-de-vincennes-les-saisons-passent-les-habitants-restent_4969552_3224.
A Aulnay-sous-Bois, une enseignante remet le politique dans les mains des lycéens
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2016/01/08/a-aulnay-sous-bois-elle-remet-le-politique-dans-les-mains-des-lyceens_484419
L’idée avait germé dans la tête de Marion Roche, enseignante de français au lycée Voillaume d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), bien avant les attentats de janvier. C’était lors d’un mouvement #lycéens [sic] contre la réforme des retraites. Ses élèves bloquent l’établissement mais peinent à argumenter sur leurs motivations. Ils ne savaient pas faire une pancarte, pas monter une pétition, pas comment participer à une manifestation... » , énumère-t-elle encore.
La plupart évitent d’ailleurs d’ordinaire de s’engager dans des discours politiques. « Ils répètent souvent que puisque les politiques ne s’intéressent pas à eux, ils ne s’y intéressent pas non plus. » Un refuge selon l’enseignante, qui y voit une manière de dissimuler leur sentiment d’être « déconnectés » de la vie #politique et de ses codes. Et alimente chez ces lycéens issus de #quartiers_populaires, élevés dans des familles immigrées, pas forcément familiers du système politique français, l’impression d’en être exclus . « Et pourtant, ils ont tellement besoin de prendre la parole ! », regrette-t-elle.
« Une poignée d’élèves ont posé problème »
Et puis Charlie est passé par là. Ou plutôt les « je ne suis pas Charlie », slogan révélateur du malaise des élèves face à la société qui les entoure, et les régit. « Une poignée d’élèves ont posé problème pendant la minute de silence », relativise l’enseignante. Dans les salles de cours, c’est toutefois une autre inquiétude qui taraude l’équipe pédagogique. Outre les questions de laïcité et de liberté d’expression, les débats de l’après-Charlie révèlent l’ampleur de l’adhésion des lycéens aux discours conspirationnistes. Un phénomène qui s’enracine au même endroit que leur désinvolture politique selon Marion Roche. « Le complot, qui explique tout par des influences occultes, leur permet de se justifier de ne pas avoir de pouvoir politique et donc de ne pas agir ».
La jeune agrégée ne se résout toutefois pas à leur résignation, animée par ce qu’elle appelle la « dimension sociale » de son métier. « Travailler dans ce type d’établissement, se battre pour que ces élèves aient la même chance que les autres et décrochent leur bac, c’est une forme d’acte militant », martèle-t-elle. Une surprise pour cette trentenaire aux cheveux très courts, qui avait choisi l’enseignement « par sécurité » et non par vocation. « J’ai découvert en enseignant que j’adorais ça », confie-t-elle sur le trajet qui l’emmène quotidiennement du nord de Paris aux portes du lycée.
Armée de ces convictions qui l’animent et des échanges avec ses collègues également mobilisés, l’enseignante dépose, après les attentats, sur le bureau de son chef d’établissement, un programme d’« ateliers de pratique et de réflexion politique ». Objectif : aider les élèves, par des exercices concrets, à comprendre qu’ils ne sont pas exclus du champ politique et qu’ils peuvent en devenir de véritables acteurs.
Depuis le mois de septembre, Marion Roche promène ainsi ses talons et ses lèvres rouges de classe en classe, pour aborder de manière ludique la prise en main de la chose politique. Objectif : les mener à bâtir leur propre programme de politique sociale, leur faire écrire leur propre théorie du complot ou encore leur faire expliquer la laïcité – pas toujours bien comprise – à leurs parents. (...)
Marion Roche fait tout pour éveiller ses étudiants à la complexité du monde qui les entoure. « On se laisse happer par les discours complotistes parce qu’ils donnent du sens au chaos du monde », rappelle-t-elle à ses élèves de Terminale L au moment de clôturer l’atelier sur le #conspirationnisme. La classe vient d’en faire l’#expérience au moment de passer à l’action. Pendant les trois premières séances, les lycéens ont appris à identifier les codes de ces discours en en repérant, à la manière d’un commentaire littéraire, les caractéristiques stylistiques : le présent de vérité générale, l’argument d’autorité, la multiplication des preuves... Puis ça a été leur tour d’inventer leur « complot mondial », à partir d’un article de presse. Qui a véritablement piraté les boîtes mails de la CIA ? A chacun de démontrer qu’il s’agit un coup monté des profs de français.
Au tableau, Yanis, théâtral, invoque la responsabilité combinée des enseignants et du FBI. Objectif : éradiquer tous ceux qui écrivent « Sa va » au lieu de « ça va ». Hilarité dans la salle, Yanis embraye. « D’ailleurs, le B (de la devise) du FBI, pour “bravery”, ne vous rappelle-t-il pas quelque chose ? » Saisissant le feutre, il inscrit au tableau le nom de “Bovary” pour étayer la preuve de la complicité des enseignants francophiles. Le pastiche est parfait et les élèves se marrent.
« Qu’est-ce que ce cours vous a appris ? », tente de résumer l’enseignante. « Qu’on peut grave bien mentir », lance un Terminale. Approbation générale. Couvrant l’excitation hilare de la classe à l’approche de la fin de cours, Marion Roche donne des pistes à ses élèves pour les aider à éviter de se laisser convaincre par des discours mensongers. « Cherchez toujours qui est l’auteur de ce que vous lisez », poursuit-elle,« plus il se présentera, plus il y a de chance qu’il soit fiable ». Quelles leçons en tirent les lycéens ? « C’est l’éternel questionnement des enseignants », sourit Marion Roche qui souhaite maintenant élargir son programme d’atelier. A l’avenir, elle aimerait les inviter à bâtir un projet d’intérêt collectif pour la commune ou proposer des améliorations sur l’organisation des transports en commun. Manière, une fois encore,de décloisonner leurs horizons.
Quand même, c’est Le Monde, c’est l’éduc nat., ces lycéens ne sont pas prêts de voir leur éventuel projet de réorganisation des transports en commun locaux mis en oeuvre. Quant à apprendre à rédiger des pétitions.... C’est l’impuissance collective qui fait le succès des thèses de la toute puissance de quelques uns. C’est de conspiration des égaux que l’on manque.
L’auteure est une femme et pourtant une rédaction d’article un peu sexiste…
cette trentenaire aux cheveux très courts […]
promène ainsi ses talons et ses lèvres rouges de classe en classe
C’était lors d’un mouvement lycéens contre la réforme des retraites. Ses élèves bloquent l’établissement mais peinent à argumenter sur leurs motivations. « Ils ne savaient pas faire une pancarte, pas monter une pétition, pas comment participer à une manifestation... », énumère-t-elle encore.
La plupart évitent d’ailleurs d’ordinaire de s’engager dans des discours politiques. « Ils répètent souvent que puisque les politiques ne s’intéressent pas à eux, ils ne s’y intéressent pas non plus. » Un refuge selon l’enseignante, qui y voit une manière de dissimuler leur sentiment d’être « déconnectés » de la vie politique et de ses codes. Et alimente chez ces lycéens issus de quartiers populaires, élevés dans des familles immigrées, pas forcément familiers du système politique français, l’impression d’en être exclus.
[…]
Un à un ils promettent la baisse des impôts ou l’augmentation du SMIC, une plus grande reconnaissance des filières professionnelles ou une rémunération du travail associatif. Pour certains, les chômeurs devraient être privés d’aides après avoir refusé plus d’une offre d’emploi, d’autres veulent réduire les frais liés aux salariés dans les entreprises.
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Pendant les trois premières séances, les lycéens ont appris à identifier les codes de ces discours [complotistes] en en repérant, à la manière d’un commentaire littéraire, les caractéristiques stylistiques : le présent de vérité générale, l’argument d’autorité, la multiplication des preuves...
#éducation #lycée #EMC #éducation_politique #théorie_du_complot
De Seattle à Kingston, le #cannabis prend racine
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2015/09/14/cannabis-en-liberte_4749276_3224.html
Le Journal Le Monde publie un grand format sur différents modèles de régulation du cannabis de part le monde : États-Unis, Jamaïque, Urugay, Espagne, Pays-Bas.
"Un peu partout en Occident, l’attitude des autorités et du grand public à l’égard du cannabis est en train de changer. Aux Etats-Unis, à l’issue de référendums, cinq Etats l’ont récemment légalisé. Ainsi, à Seattle, patrie de Boeing, de Microsoft et d’Amazon, la culture et la commercialisation de la marijuana se développent à toute vitesse, souvent sous l’impulsion d’entrepreneurs du milieu high tech. A Washington, la capitale fédérale, le commerce en reste interdit, mais, depuis cette année, l’autoculture et la consommation y sont légales […] En Europe occidentale, la tolérance envers le cannabis gagne du terrain. En Catalogne, des centaines de « (...)
Les glaneurs des villes
►http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2015/02/27/les-glaneurs-des-villes_4584868_3224.html
Les mouvements anti-gaspi qui fleurissent depuis maintenant trois ans en France ont le mérite d’avoir porté la problématique de la lutte contre le gaspillage alimentaire sur la scène publique. Non sans ironie, on observe désormais les grandes enseignes se saisir elles-mêmes du problème et tenter de sensibiliser leurs clients à grands renforts de campagnes publicitaires, à l’image des affiches d’Intermarché en faveur des « fruits et légumes moches ».
A Radio France, les orchestres s’accordent contre les critiques
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2015/04/14/a-radio-france-les-orchestres-s-accordent-contre-les-critiques_4615709_3224.
Flambant neuf, et encore un peu timide, l’auditorium de la Maison de la radio retient son souffle, dans un silence respecté et respectueux. Au centre de la demi-lune formée par l’orchestre, la super-soliste Hélène Collerette se dresse et un « la » allongé s’élève de son violon. Au fond de la salle, un « la » plus grave lui fait écho, puis d’autres, et bientôt, cordes et vents confondus, tout l’orchestre résonne et s’accorde. L’auditorium vibre. Vendredi 10 avril, au 24e jour du mouvement de grève à Radio France, l’Orchestre philharmonique de Radio France répète. Au même titre que le « National » – l’Orchestre national de France (ONF) –, le « Philhar », comme l’appellent les mélomanes, est dans l’œil du cyclone, dénoncé par la Cour des comptes pour son coût en période de vaches maigres à la radio publique.
Je constate qu’il-elle-s sont au moins deux à faire le ’la’ ... N’y aurait-il pas là une source d’économies ?
#consultant
En images : la nouvelle #jungle de #Calais
Près de 2 000 migrants vivent aujourd’hui à Calais. Ils stationnent dans la ville en attente d’un passage en Grande-Bretagne, un pays situé hors de l’espace Schengen dont ils rêvent de forcer les frontières, cachés dans un ferry ou un camion.
Alors que la survie de ces migrants repose sur le travail associatif mené à Calais depuis 1999, le gouvernement français a décidé à l’automne dernier d’offrir quelques services dans un centre en périphérie de la ville. Le centre Jules-Ferry ouvre progressivement ses portes, le jour seulement. Pour la nuit, les migrants sont désormais priés de s’installer sur la lande voisine. Dix-huit hectares sans eau, sans sanitaires, dans des abris de fortune. Ainsi va la vie calaisienne des Afghans, Soudanais ou Erythréens…
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2015/04/03/en-images-la-nouvelle-jungle-de-calais_4608768_3224.html
#migration #asile #réfugiés #photographie
cc @albertocampiphoto
Calais : De l’encampement précaire toléré au sous-camp organisé. La défaite de la pensée ?
L’année 2014 a été marquée par l’augmentation du nombre de migrants à Calais et la détérioration de leurs conditions de vie. En septembre dernier, le gouvernement annonçait une série de mesures destinées à résoudre cette situation comprenant notamment la création d’un accueil de jour pour migrants : le centre Jules Ferry.
70m² c’est 8 ans de salaires en moyenne , un détail sur lequel passe l’observatoire des inégalités
Le #bidonville de Calais, « #Sangatte sans toit »
Trois palettes de bois, dix mètres de bâche, de la ficelle… En deux temps-trois mouvements, les conserves de légumes, les oignons, et les bouteilles d’eau retrouvent place dans ce qui doit devenir « l’épicerie afghane ». Dans la cahute voisine, les naans recommencent à cuire sur le feu de bois. Mercredi 1er avril, la communauté entreprend même la reconstruction de sa mosquée, une cabane bâchée. Après la parenthèse du « grand déménagement », la vie reprend chez les 1 900 migrants de Calais.
▻http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/04/03/le-bidonville-de-calais-sangatte-sans-toit_4609330_3224.html
Reportage photo sur les déchétariens, qui luttent contre le gaspillage alimentaire.
►http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2015/02/27/les-glaneurs-des-villes_4584868_3224.html
Les contractuels, « bouche-trous » de l’éducation nationale (LeMonde.fr)
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2014/11/20/les-contractuels-bouche-trous-de-l-education-nationale_4525419_3224.html
Le sort des contractuels de l’éducation nationale, ces précaires sans diplôme d’enseignement, embauchés massivement à la rentrée pour faire face à la pénurie de professeurs, est l’un des sujets de préoccupation majeure des enseignants et parents d’élèves
#éducation #enseignants #contractuels #salariat #témoignages
Les débarqués, de la Méditerranée au nord de l’Europe
Chaque été, des milliers de migrants entrent en Europe via les côtes italiennes. Alors que rares sont ceux à vouloir y rester, l’Italie a adopté, au grand dam de Bruxelles, une politique du “laissez-passer”. En quelques années, la route qu’empruntent les candidats à l’exil pour remonter vers le pays de leur rêve, plus au nord, est devenue presque aussi saisonnière qu’institutionnalisée.
Le #portrait-robot #génétique arrive en France
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2014/12/18/le-portrait-robot-genetique-arrive-en-france_4541590_3224.html
Un arrêt passé inaperçu a validé cette nouvelle technique d’enquête jusqu’ici interdite, et qui permet d’obtenir des informations sur la morphologie d’un suspect à partir de son ADN. (...)
Un verrou juridique a sauté : de nouveaux horizons s’ouvrent aux services de #police, que seuls les progrès de la génétique limitent désormais. Les scientifiques travaillent déjà sur de nouveaux marqueurs exploitables : écartement des pupilles, largeur de la mâchoire, volume de la boîte crânienne… « Nous n’en sommes qu’à la préhistoire », prévient Christian Doutremepuich, directeur du laboratoire d’hématologie médico-légale de Bordeaux, qui a réalisé le portrait-robot. A terme, c’est bien une « photographie génétique » que les laboratoires font miroiter aux enquêteurs.
La #méthode_Freinet, une pédagogie innovante au cœur de l’école publique
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2014/09/15/la-methode-freinet-une-pedagogie-innovante-au-c-ur-de-l-ecole-publique_44875
Malgré une demande croissante de la part des parents pour une pédagogie alternative, la trentenaire reste discrète sur son travail. « C’est une méthode peu connue, et surtout mal connue, argue l’institutrice. On se fond dans la masse. »
Mais ces dernières années, « les subventions et le crédit de ces mouvements ont été écornés ». L’ICEM, comme d’autres, a vu ses moyens amoindris. Et aujourd’hui, les mouvements pédagogiques proposant des projets innovants sont noyés dans la constellation des associations agréées par le ministère, comme le soulignait notamment Jean-Jacques Urvoas, le 3 décembre 2013 dans une question écrite à l’Assemblée nationale. Si l’ICEM, comme l’Association française pour la lecture ou le Centre de recherches et d’actions pédagogiques, « sont reconnus par l’éducation nationale comme partenaires à part entière (...), ils n’apparaissent toujours pas ni dans les textes ministériels (...) ni dans les programmes de formation destinés aux futurs professeurs des écoles », écrit le député socialiste du Finistère.
De la #Syrie à la #Picardie, l’#exil d’une famille syrienne
La famille Barzani est arrivée en #France, vendredi 16 mai, avec un groupe de cinq autres familles syriennes. Elle est parmi les premiers réfugiés syriens « réinstallés » en France. Un dispositif rare qui consiste à exfiltrer des personnes bloquées dans un pays vers une destination tierce. En 2013, le Haut-Commissariat pour les réfugiés a lancé un appel aux Etats européens face à l’afflux de déplacés syriens au Liban et en Jordanie. Depuis le début de la guerre, en 2011, seuls 80 000 sur plus de 2,5 millions ont pu gagner l’Europe par leurs propres moyens pour demander l’asile – dont 3 000 en France. En octobre 2013, François Hollande s’est donc engagé à en accueillir 500 dans le cadre du système de la « réinstallation ». Les premiers sont arrivés en janvier au Havre (Seine-Maritime). Le 21 mai, 25 autres ont pris la direction de la Dordogne. Autant devraient rejoindre l’Isère d’ici quelques jours. Resteront à venir 160 en provenance du Liban en juin, et 200, en septembre, de Jordanie.
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2014/05/23/de-la-syrie-a-la-picardie-l-exil-d-une-famille-syrienne_4424503_3224.html
#réfugiés #asile #photographie #témoignage #photo_reportage #migration
Les illusions perdues d’une utopie urbaine : beau, long, reportage photos sur les Espaces d’Abraxas conçus par Ricardo Bofill à Noisy-le-Grand (93). Qui dit « ne pas avoir réussi à changer la ville ». Tu m’étonnes avec un bâtiment d’un telle laideur et tarabiscoté. Au passage, ce type de construction truffée de recoins ne passerait plus aujourd’hui pour des questions de sécurité.
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2014/02/08/en-seine-saint-denis-les-illusions-perdues-d-une-utopie-urbaine_4360634_3224
A l’heure de la pause, l’intimité au travail
▻http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2013/04/04/a-l-heure-de-la-pause-l-intimite-au-travail_3153838_3224.html
sur Politis
▻http://www.politis.fr/lapause
Pause cigarette et pause café, pause solitaire ou tous ensemble, sur le lieu de travail ou à côté, ou juste devant, ou dans le local syndical...
Ces précieux moments conquis de hautes luttes sont savourés mais menacés. Par la demande de rendement et le stress qui envahissent un monde du travail qui change.
Fatigue physique, fatigue mentale : à l’heure de la pause, comment se repose-t-on ?
Et ne pas oublier la #sieste, pour recharger les batteries.
Le surpeuplement des lieux de détention, un mal français
►http://www.lemonde.fr/societe/visuel/2012/12/10/le-surpeuplement-des-lieux-de-detention-un-mal-francais_1804278_3224.html
#prison #surpopulation #cartographie #infographie #france #clpl #baumettes