Réalités Biomédicales – Rien que de la médecine et de la biologie, mais sous un autre angle

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  • Roland Topor - La Cuisine cannibale
    https://www.nouvelles-editions-wombat.fr/livre-P2.html


    Voici ma contribution du jour pour vous aider à construire un monde meilleur.

    Sionistes et antisemites, communistes et anticommunistes, nationalistes et épurateurs éthniques, génicidaires et fémicidaires, terroristes et militaires de tous les pays, assassins grands et petits pervers et avides, vous avez été des fléaux, chacun pour soi, chacun pour sa cause unique. Unissez-vous et libérez nous de la production animalière si néfaste pour la planète. Vous qui êtes des mangeurs d’homme refoulés, libérez vous enfin et montrez vous dignes de votre féroce réputation.

    Mangez vos victimes et le monde vous en sera reconnaissant, vous l’aurez sauvé par votre effort originel.

    Signé : un végétalien refoulé.

    MAMAN AUX ROSES BLANCHES

    Embrassez maman sur les deux joues puis coupez-la en deux ; jetez dessus de l’eau bouillante ; ôtez la tête qui sourit avec bonté – elle vous couperait l’appétit –, la colonne vertébrale et tous les os qui peuvent être ôtés. Préparez des pommes de terre cuites à l’eau que vous couperez en ronds et que vous mettrez en salade. Mélangez des petits bouts de maman à la salade, et arrosez d’huile d’olive au moment de servir. Vous n’oublierez pas de glisser quelques roses blanches sous le plat : elles protégeront la nappe, et puis maman les aimait tant…

    Infos supplémentaires

    Kochbuch-Spezialist Eckel - Kannibalen und andere Feinschmecker
    https://www.spiegel.de/kultur/literatur/kochbuch-spezialist-eckel-kannibalen-und-andere-feinschmecker-a-765051.html

    Six histoires de Français cannibales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2019/07/01/six-histoires-de-francais-cannibales

    Feeding Hannibal : a connoisseur’s cookbook
    https://vl-media.fr/livre-de-recettes-inspire-serie-hannibal

    La cuisine cannibale - Recettes anthropophages du monde entier
    https://www.decitre.fr/livres/la-cuisine-cannibale-9782378481292.html

    #cannibalisme #politique #cuisine #it_has_begun #wtf

  • 8 octobre 2023 · Le Covid-19, une maladie vasculaire
    https://cabrioles.substack.com/p/8-octobre-2023-le-covid-19-une-maladie

    Bonjour,

    Le Covid-19 a initialement été pensé sur le modèle de la grippe comme affectant essentiellement les poumons. Mais le #Covid-19 n’est pas la grippe, notamment parceque contrairement à la grippe, le Sars-Cov-2 utilise comme récepteur l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2, ou ACE2 pour infecter notre organisme.

    Cette enzyme est présente dans de très nombreux organes, ce qui fait du Covid-19, bien plus qu’une maladie respiratoire, une maladie multisystémique pouvant impacter de multiples systèmes organiques comme le système respiratoire mais aussi les systèmes gastro-intestinal et hépato-biliaire, ainsi que le système nerveux et le système cardio-neurovasculaire.

    L’impact sur ce dernier, et plus particulièrement sur les vaisseaux sanguins qui irriguent l’ensemble des systèmes organiques qui composent le corps, a été particulièrement souligné. Le Covid-19 semble avoir des effets importants sur l’endothelium, la paroi interne des vaisseaux sanguins qui joue un rôle majeur dans le fonctionnement normal des vaisseaux sanguins, prévenant notamment les phénomènes de coagulation et d’inflammation.

    L’affection de l’endothelium par le Covid-19 favorise ces phénomènes de coagulation et d’inflammation, entrainant la formation de caillots et de surinflammations suceptibles de provoquer des thromboses veineuses profondes, des crises cardiaques ou des accidents vasculaires cérébraux, ou encore des effets neurologiques à long terme.

    Le Covid-19 peut donc être décris comme une maladie multisystémique à fort tropisme #cardio-neurovasculaire.

    Les conséquences grandissantes des politiques d’infection de masse vont tôt ou tard être de plus en plus difficiles à invisibiliser. Les gouvernements qui ont présidés à l’abandon des populations et à la destruction des politiques de prévention pour satisfaire les désirs patronaux, de même que l’ensemble des médias qui les ont soutenus avec enthousiasme dans cette voie (avec en France le soutien notable des média dit de gauche), vont prétendre une chose : que de nouvelles découvertes ont été faites qui obligent à réévaluer les dommages du Covid-19, que jusqu’ici, nous ne savions pas.

    Il n’y a rien de plus faux.

    Les multiples aspects biologiques du #COVID_Long sont décris depuis les tous premiers mois de la pandémie.

    Et cela est particulièrement vrai en ce qui concerne les troubles du système cardio-neurovasculaire, leur implication dans les formes respiratoires graves et les dommages neurologiques.

    Pour faire le point nous vous proposons une poignée d’articles.

    Le Covid-19 est-il une maladie des vaisseaux sanguins ? | Dr Phoebe Kitscha

    Chaque COVID léger peut accroître le risque de problèmes cardiaques | Mariana Lenharo

    Comment le Covid-19 affecte le #cerveau | Jamie Ducharme

    Une attaque des vaisseaux sanguins pourrait déclencher la « deuxième phase » mortelle du Covid-19 | Catherine Matacic

    Covid-19 est aussi une maladie inflammatoire vasculaire, Marc Gozlan, 29/4/2020
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2020/04/29/covid-19-est-aussi-une-maladie-inflammatoire-vasculaire

    #maladie_vasculaire

  • #Covid-19 : comment Omicron a-t-il évolué depuis son émergence il y a un an ? – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/11/28/covid-19-comment-omicron-a-t-il-evolue-depuis-son-emergence-il-y-a-un-an

    Il y a un an, le 26 novembre 2021, l’Organisation mondiale de la santé désignait le variant B.1.1.529 comme variant préoccupant, sous l’appellation Omicron. Par quels mécanismes moléculaires ce lignage du SARS-CoV-2 a-t-il depuis évolué ? Quelles trajectoires évolutives a-t-il suivies pour générer de nombreux #sous-lignages, eux-mêmes à l’origine de multiples #sous-variants ? Et quelle sera l’évolution future du SARS-CoV-2 ? Des virologistes moléculaires et spécialistes en bioinformatique suisse, américain, japonais, italien et britannique, ont tenté de faire le point sur ces questions dans un article diffusé le 25 novembre 2022 sur le site virological.org.

    Depuis son émergence à la fin 2021, le variant Omicron n’a cessé de se diversifier pour donner naissance à de nombreux sous-lignages, parmi lesquels BA.1, BA.2 et BA.5. Suite à l’apparition et la diffusion mondiale du sous-variant BA.5 d’Omicron, le nombre de sous-variants a littéralement explosé, à tel point que certains parlent de « soupe » de variants. (...)

    D’où l’hypothèse que ces variants aient pu émerger dans un organisme humain qui aurait hébergé le SARS-CoV-2 pendant une très longue durée. Au sein d’un individu immunodéprimé, une infection persistante par le SARS-CoV-2 a pu favoriser l’émergence d’un virus génétiquement distinct du virus qui l’avait infecté au départ et qui aurait acquis au fil du temps une multitude de mutations. L’évolution des variants reposerait donc sur la ré-émergence de virus qui auraient eu le temps d’évoluer dans un hôte porteur pendant plusieurs mois d’une infection chronique.

    Une étude sud-africaine, communiquée le 24 novembre 2022 sur le site de prépublication medRxiv, a évalué certaines propriétés biologiques du virus corrélées avec la pathogénicité après plus de six mois d’une infection chronique chez un individu immunodéprimé (infection VIH à un stade avancé). Ces résultats montrent que l’évolution du SARS-CoV-2 lors d’une infection à long terme n’entraîne pas nécessairement une atténuation. Au contraire, le virus isolé au bout du 190e jour s’est avéré plus pathogène que les souches Omicron circulantes. Dans ce cas, le virus était doté d’une plus grande capacité de provoquer la fusion entre cellules infectées et cellules saines (augmentation de la fusogénicité) et d’entraîner la mort des cellules infectées.

    Un tel profil évolutif a continué jusqu’en 2022. Mais contrairement aux premiers variants, dits de « première génération », qui n’avaient pas entre eux un même ancêtre en commun, les variants suivants, dits de « seconde génération », semblent tous avoir émergé à partir de sous-variants déjà connus. C’est ainsi que BA.2.75, BJ.1, BS.1, BA.2.3.20, BA.2.83 et DD.1 dérivent tous du sous-lignage BA.2 d’Omicron, mais sans qu’il soit possible de remonter à des virus intermédiaires entre eux et BA.2. D’où, l’hypothèse, là encore, que ces variants aient émergé à la faveur d’infections chroniques chez des individus infectés par le variant BA.2 à la fin 2021 ou au début 2022. Aujourd’hui, le sous-variant BA.2 d’Omicron, BA.2.75, est celui qui a le plus diffusé. Un autre variant de seconde génération de BA.2, BA.2.3.20, a connu également une croissance notable au cours de ces derniers mois.

  • Covid-19 : le sous-variant BQ.1.1 d’Omicron progresse en France – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/10/24/covid-19-le-sous-variant-bq-1-1-domicron-progresse-en-france

    Les résultats des modélisations indiquent que les cas attendus de Covid-19 imputables à BQ.1/BQ.1.1 devraient représenter, entre mi-novembre et début décembre 2022, plus de la moitié des infections par le SARS-CoV-2. Début 2023, on s’attend à ce que la vaste majorité (plus de 80 %) des cas soient dus à BQ.1/BQ.1.1.

    Les pays qui connaissent actuellement la proportion la plus élevée de cas liés à BQ.1/BQ.1.1 devraient observer une dominance plus précoce de ces variants. Selon l’ECDC, cette augmentation prévisible des cas pourrait être associée à une transmission plus élevée (du fait du manque de respect des mesures barrières, d’une augmentation des contacts en milieux clos durant les saisons automnale et hivernale, du déclin des anticorps générés par la vaccination et/ou des infections antérieures), et pourrait donc constituer un sérieux problème de santé publique. Reste une inconnue : on ne peut formellement exclure d’ici-là l’émergence et la propagation d’un nouveau sous-lignage possédant un avantage de croissance substantiel par rapport à BQ.1/BQ.1.1.

    Les données de la base GISAID montrent la progression constante en France du sous-lignage BQ.1 et du nouveau sous-variant BQ.1.1 parmi l’ensemble des séquences virales déposées dans cette base de données génomiques.

  • Suisse, États-Unis, France : le retour du scorbut – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/10/06/suisse-etats-unis-france-le-retour-du-scorbut

    Stéphanie Thiemann, Valeria Cimorelli, Nadia Bajwa qui rapportent ce cas clinique de scorbut infantile survenu en Suisse, pays riche, rappellent que les premiers symptômes du scorbut sont principalement des signes généraux qui peuvent passer inaperçus. Des douleurs osseuses et musculaires sont présentes dans plus de 80 % des cas et s’expliquent par la fragilité des ligaments, des os et des fibres musculaires, la carence vitaminique entraînant une anomalie de formation du collagène. Les douleurs osseuses sont également directement provoquées par des saignements de la membrane synoviale qui tapisse l’intérieur des articulations, la présence d’hématomes sous le périoste et des micro-fractures. Les saignements sont dus à une fragilité capillaire. Il est à noter que la perte des dents et les saignements des gencives (gingivorragies), qui figurent parmi les signes historiquement associés au scorbut, sont des symptômes tardifs.

    Le traitement du scorbut infantile consiste généralement en une prise quotidienne de vitamine C par voie orale ou intraveineuse pendant une semaine. Les jeunes enfants sont ensuite supplémentés par voie orale pendant un à trois mois. Les symptômes généraux disparaissent en 24 heures alors que les signes cutanés et musculaires mettent plusieurs semaines pour s’améliorer.

    Selon les pédiatres suisses, ce cas clinique est « un exemple de l’importance de disposer de l’histoire détaillée du patient, y compris sur le plan nutritionnel », et d’ajouter : « Si nous avions inclus les carences nutritionnelles dans notre diagnostic différentiel initial, nous aurions été en mesure d’éviter des examens de laboratoire inutiles, d’imagerie, des procédures invasives, et nous aurions pu traiter le patient plus rapidement ». Il importe en effet de traiter les patients sans délai car cette carence vitaminique peut être mortelle.

    • Ces données suggèrent donc que, chez les sujets non vaccinés, BA.4 et BA.5 ne sont pas reconnus par le système immunitaire de la même façon que BA.1 et BA.2. Chez ces sujets dits « naïfs » sur le plan vaccinal, les nouveaux variants BA.4 et BA.5 présentent donc un profil antigénique particulier, très distinct de celui de BA.1 et plus proche de celui de BA.2. En d’autres termes, les anticorps dirigés contre BA.2 reconnaissent mieux BA.4 et BA.5 que ceux dirigés contre BA.1.

      […]

      Dans un modèle animal (hamster infecté), il s’avère que BA.4 et BA.5 sont plus pathogènes que BA.2. Ces nouveaux variants provoquent en effet une atteinte pulmonaire plus importante que BA.2.

      Ah ben c’était vraiment un idée géniale de ne pas vacciner les enfants français et de les laisser se contaminer massivement à l’école pour qu’ils soient immunisés naturellement (non) contre la vague suivante… (Encore une surprise vachement pas surprenante.)

      C’est moi qui fantasme, où le ministre de la santé de notre pays avait expliqué que si ça se trouve, avec Omicron on n’est jamais à l’abri d’une bonne nouvelle ?

    • Notre ministre de la santé chéri a changé de crèmerie, le pauvre, il reste ministre mais est absous de ses péchés passés amen ; pour autant, ptet que les citoyens revanchards de la 38-01 vont le dégommer dimanche grâce à Salomé la jeune Nupes ; c’était 40% pour lui et 37% pour elle au 1er tour, avec 60% de votants :-)

  • Omicron : ce que l’on sait des sous-variants BA.4 et BA.5 – Marc Gozlan
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/04/30/omicron-ce-que-lon-sait-des-sous-variants-ba-4-et-ba-5

    Initialement détecté au Botswana et en Afrique du Sud en novembre 2021, Omicron, nouveau variant préoccupant du SARS-CoV-2, est représenté par trois sous-lignages : BA.1, BA.2 et BA.3. Deux nouveaux sous-lignages d’Omicron, BA.4 et BA.5, classés variants d’intérêt par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ont depuis été détectés en Afrique du Sud.

  • Après infection par #Omicron, quelle réponse immunitaire contre d’autres #variants chez les vaccinés et non-vaccinés ? – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/03/28/infection-par-omicron-quelle-reponse-contre-dautres-variants-chez-les-vaccin

    « Par conséquent, les personnes non vaccinées qui sont infectées par le variant BA.1 Omicron, sans avoir été antérieurement infectées par le #SARS-CoV-2, pourraient ne pas être suffisamment protégées contre une infection par un variant SARS-CoV-2 autre qu’Omicron. Pour une protection complète, la vaccination est requise ».

    Cette conclusion est similaire à celle à laquelle parviennent les scientifiques sud-africains dont les résultats, publiés Cell Host and Microbe, montrent qu’une infection par le variant Omicron après #vaccination (breakthrough infection) s’accompagne d’une augmentation de l’immunité neutralisante croisée vis-à-vis d’autres variants préoccupants. Selon les chercheurs de Johannesburg, leurs résultats suggèrent qu’il existe dans le groupe non vacciné un risque de réinfection par d’autres variants qui continuent de circuler et d’évoluer en Afrique du Sud. Cette conclusion est également celle à laquelle sont parvenus des chercheurs américains au terme d’une étude publiée le 17 mars 2002 dans Cell et que je relatais dans mon précédent billet de blog.

    Implications vaccinales

    Les résultats par les chercheurs sud-africains ont des implications concernant le développement de #vaccins anti-#Covid-19 de seconde génération qui seraient adaptés au variant Omicron. En effet, il semble qu’il y ait peu de bénéfices sur le plan immunitaire à en attendre sur d’autres variants du fait de la faible #immunité croisée mise en évidence chez des individus n’ayant jamais été infectés.

    Si des vaccins basés sur la séquence d’Omicron peuvent représenter des rappels adéquats, il est donc en revanche peu probable qu’ils soient supérieurs aux vaccins actuels pour la primo-vaccination d’individus immunologiquement naïfs, autrement dit n’ayant jamais été auparavant infectés par le SARS-CoV-2, estiment les chercheurs sud-africains.

    Il a en effet été montré que des souris immunisées par Omicron ne développent pas une réponse immunitaire dirigée contre d’autres variants préoccupants. De plus, l’immunisation de souris avec un vaccin à ARN messager basé sur Omicron (séquence RBD, domaine de liaison au récepteur) n’entraîne qu’une réaction immunitaire ciblée sur ce variant. Enfin, une étude conduite sur des macaques rhésus a montré qu’un rappel avec un vaccin à ARN messager basé sur la séquence Omicron s’est montré moins efficace que le vaccin mRNA-1273 (celui de Moderna). Les titres en anticorps étaient moins élevés après administration d’un rappel avec un vaccin adapté à Omicron que lorsque celui-ci reposait à nouveau sur le vaccin mRNA-1273 (rappel homologue).

    « Globalement, ces données suggèrent qu’un rappel avec un vaccin spécifique d’Omicron chez des individus, ayant ou non une immunité préexistante [du fait d’une infection antérieure] n’est sans doute pas supérieur aux vaccins actuellement existants », concluent les chercheurs sud-africains.

  • Pourquoi vous devriez conserver le masque en intérieur - JustPaste.it
    https://justpaste.it/1rxvu

    Sous prétexte que la majorité des adultes ont reçu 2 ou 3 doses de vaccin, les gouvernements ont décrété un peu partout la fin de la pandémie et referment la parenthèse interventionniste qui allait avec.
    3. Du fait de cette capitulation totale des pouvoirs publics face à la circulation de SARS-CoV-2, vous allez être beaucoup plus exposé à l’infection que lors de la phase pré-vaccinale de la pandémie, avec une menace croissante pour votre santé.
    4. Or, quel que soit le baratin « rassuriste » en vogue, SARS-CoV-2 reste un pathogène dangereux. Dans une simple optique de préservation de votre santé, vous devriez essayer d’éviter l’infection autant que possible.

    • Et donc merci à « Maître Pandaï » qui, soit dit en passant, est un twittos remarquablement organisé qui réussit le tour de force de se référer à des tweets d’il y a plusieurs mois (dont les siens). Sans parler des nombreuses sources citées en exemple. Ce thread de 108 posts témoigne d’un argumentaire sans faille. Je suis toujours admiratif de ces personnes qui ont une telle puissance de travail et d’organisation.

      Ceci dit, il y a sûrement des outils sur la plateforme qui permettent une telle organisation des infos mais j’ai jamais vraiment pris le temps de creuser.

      Source : https://twitter.com/Panda31808732/status/1502747054979923970

    • Tentons un condensé des affirmations importantes, sans les preuves et détails :
      – Il faut garder un masque FFP2 partout en intérieur et aérer fortement.
      – Le virus continue de circuler fortement, partout.
      – C’est un virus AÉROSOL, en intérieur vous le chopez même loin des gens, et même si les gens qui l’ont expiré dans la pièce sont déjà partis ! Il ne faut donc pas DU TOUT respirer l’air intérieur sans masque filtrant fort (FFP2).
      – Les vaccins actuels sont moins efficaces et moins longtemps contre les variants du moment donc il FAUT se protéger de manière non pharmaceutique : masques + aération.
      – Le vaccin est un airbag ou ceinture : ça amortit le choc mais ça ne rend PAS les accidents (l’infection) désirables.
      – Tout le monde s’est focalisé sur les cas graves (hopital) et les décès, alors qu’on peut TOUS finir avec un covid long = des maladies chroniques handicapantes. Même celleux qui sur le moment ont juste eu le nez bouché. Même chez les jeunes, même celleux en bonne santé.
      – Le covid long, les maladies chroniques handicapantes, c’est le PRINCIPAL RISQUE quand on attrape le covid !
      – Le covid est une maladie SANGUINE (vasculaire, des vaisseaux sanguins) : elle peut toucher le corps entier, poumon, cerveau, cœur, reins, articulations, TOUT.
      – Une fois infecté, risque augmenté pour : insuffisance respiratoire, hypertension, démence, diabète, insuffisance rénale, maladies cardiovasculaires, AVC, embolie pulmonaire… Et ce risque augmente à CHAQUE infection.
      – Quand on est vacciné : minimum 10% de risque de finir avec des maladies chroniques, 1 fois sur 10, c’est beaucoup. Et c’est plus quand on n’est pas vacciné.
      – Or on peut être infecté des DIZAINES de fois dans notre vie : en moyenne 1 à 2 fois par an chacun, et à CHAQUE infection on aura un risque élevé de finir avec des maladies chroniques.
      – Le covid, ce n’est pas « ce qui ne me tue pas me rend plus fort » mais « ce qui ne me tue pas peut quand même bousiller ma santé, puis mute et réessaye quelques mois plus tard ».
      – Si on échappe aux handicaps la 1ère infection, la 2ème… c’est peu probable d’y échapper à chaque fois sur les dizaines de fois où on peut être infecté le reste de notre vie. Et une fois qu’on est en mode maladies chroniques, c’est handicap à vie.
      – Les plus pauvres attrapent plus le covid => le covid augmente énormément les maladies chroniques handicapantes => qui empêchent de travailler correctement ensuite => le covid rend plus pauvre => cercle vicieux.
      – Il FAUT donc se protéger au max, pour ne jamais le choper.
      – Faire chacun des gestes ne suffit pas : il faut militer pour une politique publique gouvernementale : FFP2 gratuits, travaux d’aération des lieux publics (à commencer par l’école, nid du virus depuis le début), etc.

      Les deux schémas les plus importants :

    • Autres arguments qui confortent la thèse que le Covid n’est pas une « grippette » mais que le virus #SARS-CoV2 attaque le système vasculaire, ce qui pourra générer des symptômes diversifiés ainsi que des séquelles durables et dévastatrices.

      31. Ce papier sur le Covid long décrit plus de 200 symptômes différents à travers tout le corps. Les plus courants dans l’étude étaient : fatigue, malaise post-effort, dysfonctionnements cognitifs.
      https://www.thelancet.com/journals/eclinm/article/PIIS2589-5370(21)00299-6/fulltext

      32. Le Covid est une maladie vasculaire : « on observe une atteinte des cellules qui tapissent l’intérieur de la paroi des vaisseaux sanguins. Cette fine couche de cellules qui forme le revêtement interne des vaisseaux porte le nom d’endothélium. »
      https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2020/04/29/covid-19-est-aussi-une-maladie-inflammatoire-vasculaire (article du 22/04/2020 ... Ah oui, déjà ?)

      32b. « Envisager la Covid-19 comme une maladie endothéliale permet en outre de rendre compte de la variété des symptômes observés dans cette pathologie multi-cibles, qui n’atteint pas seulement les poumons, mais également le cœur, les vaisseaux, les reins, le cerveau. »

      S’ensuit alors une recension de publications d’études statistiques (Royaume Uni et États-Unis) sur des cohortes de personnes Covid+, qui présentent toute une « palette » de symptômes qui ne disparaissent pas au bout de quelques semaines mais qui se prolongent durant des mois, voire bientôt deux ans. Ce qui, au final, ne paraît pas si incohérent puisque le système vasculaire irrigue le corps entier.

      Et on avait mis le doigt là-dessus depuis le début de la pandémie. Peut-on, sans trop passer pour de mauvais esprits, prétendre que les experts infectiologues et épidémiologistes autoproclamés ainsi que leur ministre Véran ont largement pédalé dans la semoule ? Voire nous ont pris carrément pour des buses ?
      je vous parle même pas de ceux qui ont prétendu que pour guérir du #Covid_long, il faut aller voir un psy.

  • #Omicron : une biologie et une dynamique virale différentes de celles observées chez les précédents variants – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/02/09/omicron-une-biologie-et-une-dynamique-virale-differentes-de-celles-observees

    Dans ce billet de blog, je vous invite, à travers les données issues d’articles publiés ces dernières semaines, à comprendre les moyens utilisés par la recherche pour explorer les propriétés biologiques et virologiques d’Omicron. Celles-ci révèlent en quoi ce nouveau variant du #SARS-CoV-2 est atypique.

    L’objectif des chercheurs est de comprendre comment les multiples mutations présentes dans sa protéine spike altèrent la structure de cet élément clé de la particule virale et modifient la biologie de ce variant en comparaison avec les autres. La connaissance de ces mécanismes moléculaires – qui sous-tendent à la fois sa transmissibilité, son attachement au récepteur cellulaire, sa capacité d’échappement immunitaire – est d’une importance capitale pour concevoir et développer des stratégies thérapeutiques et vaccinales contre ce variant et ceux qui continueront à émerger.

    Une origine hypothétique

    Depuis le début de la pandémie Covid-19, aucun variant préoccupant du SARS-CoV-2 n’avait accumulé autant de mutations et entraîné un tel échappement immunitaire qu’Omicron. Ce nouveau variant renferme 37 mutations sur sa protéine spike, en comparaison avec le variant Gamma qui en comporte 12 et qui représentait jusqu’à présent le variant le plus muté.

    Après avoir été identifié en novembre 2021 en Afrique australe, Omicron a rapidement diffusé à travers le monde, allant souvent jusqu’à prendre le pas sur Delta et infecter des personnes doublement vaccinées.

    À ce jour, on ignore comment le variant Omicron a pu émerger. Plusieurs hypothèses ont été proposées. Selon la première, ce variant est apparu chez une personne atteinte d’une infection chronique par le SARS-CoV-2. Cette situation s’observe chez des individus immunodéprimés, notamment ceux infectés par le virus du sida (VIH) ou ayant reçu une greffe nécessitant la prise d’un traitement immunosuppresseur. Deux équipes sud-africaines indépendantes ont notamment décrit le cas de deux femmes atteintes de sida, âgées d’une trentaine d’années et de 22 ans et dont la maladie à VIH n’était pas contrôlée par les antirétroviraux. Chez ces patientes immunodéprimées, l’infection prolongée par le SARS-CoV-2 a conduit à l’accumulation dans le génome du coronavirus d’une vingtaine et d’une trentaine de mutations.

    Autre hypothèse : Omicron serait la conséquence du passage du virus de l’homme à l’animal puis de l’animal à l’homme. (...)

    #covid-19 #variants

  • Hong Kong : transmission du SARS-CoV-2 de hamsters de compagnie à l’homme, suivie d’une diffusion interhumaine – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/01/30/hong-kong-transmission-du-sars-cov-2-de-hamsters-de-compagnie-a-lhomme-suivi

    Tout commence, à Hong Kong, le 11 janvier 2022. Une employée de 23 ans travaillant dans l’animalerie Little Boss, qui vend des hamsters, des lapins et des chinchillas, présente un mal de gorge et de la toux. Elle est doublement vaccinée contre la #Covid-19, la deuxième dose lui ayant été administrée le 16 septembre 2021. Elle est dépistée positive pour le SARS-CoV-2 le 15 janvier 2022. Un second test PCR, réalisé le lendemain, confirme le diagnostic. Le séquençage génomique révèle qu’il s’agit du variant Delta (lignage AY127).

    Le 8 janvier, soit trois jours avant que l’employée ne présente les premiers symptômes de la Covid-19, une mère et sa fille s’étaient rendues dans cette animalerie. Les deux femmes avaient alors parlé avec l’employée au sujet d’hamsters que la fille avait achetés quatre jours plus tôt.

    Et voilà que la mère développe des symptômes respiratoires quatre jours plus tard, le 12 janvier. Un test PCR est déclaré positif le 17 janvier, confirmé par un second test réalisé le lendemain. Puis c’est au tour du mari, de la fille et du fils, d’être dépistés positifs pour le SARS-CoV-2. Chacun des membres de la famille était vacciné. La mère avait reçu la deuxième dose en septembre 2021, le père en août 2021, le fils en juin 2021 et la fille en juillet 2021.

    Vaste enquête épidémiologique

    Les autorités sanitaires décident de mener une enquête épidémiologique. Le 17 janvier, on procède à 125 prélèvements nasopharyngés chez 69 hamsters, 42 lapins et 14 cobayes. Seuls sept écouvillonnages réalisés sur des hamsters sont positifs pour le SARS-CoV-2. L’entrepôt ayant fourni l’animalerie en animaux de compagnie est inspecté le lendemain, 18 janvier. Les techniciens réalisent 511 écouvillonnages chez 137 hamsters, 204 lapins, 116 chinchillas et 2 souris. Seul un écouvillonnage provenant d’un hamster syrien (plus communément appelé hamster doré) est trouvé positif pour le SARS-CoV-2 au test PCR.

    [...]
    Des animaux de compagnie importés des Pays-Bas

    [...]

    On rappelle que Hong Kong a adopté une stratégie « zéro Covid ». Dans ce territoire, aucun cas de Covid-19 acquis localement n’avait été recensé entre le 9 octobre 2021 et le 8 janvier 2022. Par ailleurs, le dernier cas d’infection au variant Delta (AY217) avait été détecté chez un passager placé en quarantaine le 13 décembre 2021.

    Selon les auteurs, il est probable que l’absence antérieure de circulation du variant Delta, associé à une approche One Health (qui considère que les santés humaine, animale et environnementale font partie d’un tout), ait facilité la détection de cette flambée épidémique et ait incité à mener une enquête épidémiologique. En revanche, il n’est pas impossible que des évènements similaires puissent survenir ailleurs dans le monde et passer totalement inaperçus.

    #transmission_animal_humain

  • Comment le #SARS-CoV-2 peut évoluer en #variant préoccupant chez un individu #immunodéprimé – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/01/19/comment-le-sars-cov-2-peut-evoluer-en-variant-preoccupant-chez-un-individu-i

    Sandile Cele et ses collègues sont parvenus à isoler le virus vivant dans plusieurs prélèvements successifs, notamment 190 jours après le diagnostic de Covid-19, montrant par la même que la patiente excrétait alors du virus infectieux.

    […]

    Les chercheurs ont testé la capacité d’anticorps de sujets convalescents infectés par la souche ancestrale à neutraliser les isolats viraux collectés à J6, J20 et J190. Il ressort qu’à J190 le pouvoir neutralisant des anticorps était considérablement réduit par rapport à J6, ce qui indique donc un accroissement progressif de l’échappement immunitaire.

  • Covid-19 : la vaccination a-t-elle un impact sur la durée du cycle menstruel ainsi que sur la durée et l’intensité des saignements ? – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/01/10/covid-19-la-vaccination-a-t-elle-un-impact-sur-la-duree-du-cycle-menstruel-a

    En résumé, bien que la durée du cycle menstruel soit légèrement augmentée après vaccination anti-Covid-19, celle-ci n’a cependant pas été associée à des modifications de la durée des règles, font remarquer les auteurs de l’étude publiée dans Obstetrics & Gynecology.

    On peut s’étonner d’un tel constat alors même que, selon une correspondance publiée le 15 septembre dans le British Medical Journal (BMJ), plus de 30 000 notifications de pharmacovigilance relatifs aux changements en matière de règles et de saignements survenant entre deux cycles ont été rapportées après vaccination anti-Covid-19 (par ARN messager ou vecteur adénoviral) au Royaume-Uni à la Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency.

    En France, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) signalait fin décembre 2021 l’existence de troubles du cycle menstruel pouvant affecter à la fois la fréquence et l’intensité des saignements. « Les règles peuvent être irrégulières, douloureuses (dysménorrhée), trop abondantes ou trop prolongées (ménorragie) ou absentes (aménorrhée). Il est également possible que des saignements surviennent entre deux cycles (métrorragie »), pouvait-on lire dans un point de situation sur la surveillance des vaccins contre la Covid-19.

    J’ai le mauvais esprit de penser que si on avait suspecté que la vaccination pourrait provoquer une douleur d’environ cinq minutes à un testicule, on n’aurait pas attendu six mois après le début de la vaccination pour avoir déjà toutes les études qui vont bien sur le sujet.

  • #Covid-19 : ce que l’on sait de la sévérité de l’infection à #Omicron – Marc Gozlan
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2022/01/03/covid-19-ce-que-lon-sait-de-la-severite-de-linfection-a-omicron

    Quel impact le variant Omicron a-t-il sur le taux des admissions et des hospitalisations ? Ce nouveau variant, initialement identifié au Botswana et en Afrique du Sud en novembre 2021, est-il aussi dangereux que le précédent variant Delta ? Plusieurs études, en provenance d’Afrique du Sud et du Royaume-Uni, ont été publiées. L’occasion de faire un point épidémiologique sur ce que l’on sait et sur ce qui reste à déterminer.

    en prenant pour indicateurs les hospitalisations, la réanimation, les décès plusieurs études donnent à penser qu’omicron pourrait être bien moins pathogène que les précédents, sous réserve des difficultés à évaluer cela en fonction du nombre de réinfection, des disparités de la couverture vaccinale, de pyramide des âges fort distinctes.

    #hospitalisations #réinfections #vaccins

  • #Covid-19 : le SARS-CoV-2 peut persister dans le corps pendant des mois et se disséminer précocement dans le cerveau – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2021/12/24/covid-19-le-sars-cov-2-peut-persister-dans-le-corps-pendant-des-mois-et-diss

    Selon les auteurs, ces résultats suggèrent que l’importante dissémination du virus dans l’organisme est la conséquence d’une virémie précoce (présence du virus dans le sang) et que le virus parvient au cerveau en franchissant la barrière hémato-méningée. Selon eux, la réplication virale peut donc survenir à un stade précoce de Covid-19, même en cas d’infection asymptomatique ou de forme légère de la maladie.

    On attribue généralement certains mécanismes sous-tendant la survenue de symptômes prolongés faisant suite à une infection par SARS-CoV-2 (baptisés Covid-longue ou #Covid_long) à une réaction inflammatoire généralisée ou locale. Or les auteurs de cette étude font remarquer que leurs résultats sont largement en faveur d’une persistance du virus et qu’ils n’ont pas observé d’inflammation significative en dehors de l’appareil pulmonaire, ceci même parmi les patients décédés plusieurs mois après le début des symptômes. Et de conclure que mieux comprendre la physiopathologie des symptômes prolongés faisant suite à une infection par SARS-CoV-2 pourrait déboucher sur une amélioration de la prise en charge de ces patients présentant des symptômes séquellaires.

    • Bien que cela serve d’argument pour laisser circuler le virus (avec défense des schémas pas de vaccin, ou primo-infection puis vaccin et maintenant surtout défense de l’infection post vaccinale comme dernier stade de l’immunisation : ce que l’analyse des hospitalisations actuelles peut partiellement étayer, au prix de biens des trous dans la raquette), les réinfections comme les infections post-vaccinales sont actuellement décrites comme bien moins dangereuses que les primo-infections.

      Un Covid long peut également survenir chez des personnes vaccinées atteintes de Covid-19
      https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2021/11/19/un-covid-long-peut-egalement-survenir-chez-des-personnes-vaccinees-atteintes

      Les chercheurs de la faculté de médecine Washington (Saint-Louis, Missouri) et du Veterans Affairs (VA) Saint Louis Health Care System ajoutent que leur analyse comparative a mis en évidence que le risque de décès ou de séquelles chez les personnes ayant présenté une maladie Covid-19 suite à une infection post-vaccinale était moindre que chez les individus non vaccinés qui ont développé une Covid-19 [4]. La différence n’était pas statistiquement significative pour les séquelles rénales, gastro-intestinales, neurologiques ou concernant la santé mentale.

      En particulier, par rapport aux personnes non vaccinées atteintes de Covid-19, le risque de présenter une séquelle cardiovasculaire, métabolique, pulmonaire, ou affectant la coagulation, ou de la fatigue, était moindre chez les personnes vaccinées ayant développé la maladie Covid-19.

      c’est du pré-print. à la lecture je me demandais si il y a des études qui analysent la disparité des taux de protection apportés par les vaccins, non pas en fonction des durée de vaccination mais en fonction des individus, selon les capacités de l’organisme à « répondre » au vaccin. cela pourrait bien conditionner le degré de gravité ou l’advenue d’un covid long.

  • Covid-19 en Europe : un premier cas du nouveau variant détecté en Belgique
    https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-un-premier-cas-du-nouveau-variant-detecte-en-belgique-premiere-ann

    La Belgique est le premier pays européen à annoncer avoir détecté un cas du nouveau variant de Covid-19, vendredi 26 novembre. « On a un cas qui est maintenant confirmé de ce variant. Il s’agit de quelqu’un qui venait de l’étranger. Qui a été testé positivement le 22 novembre. Qui n’était pas vacciné », a déclaré le ministre belge de la Santé, Franck Vandenbroucke, lors d’une conférence de presse. Selon le virologue Marc Van Ranst, ledit voyageur est arrivé d’Égypte le 11 novembre dernier.

  • États-Unis : diffusion massive du SARS-CoV-2 parmi les cerfs, potentiels réservoirs du coronavirus – Réalités Biomédicales
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2021/11/07/etats-unis-diffusion-massive-du-sars-cov-2-parmi-les-cerfs-potentiel-reservo

    Une étude américaine rapporte que plus de 80 % des cerfs, testés entre décembre 2020 et janvier 2021 dans plusieurs régions de l’État d’Iowa, sont positifs au SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19.

    • Dès le debut du covid je me suis demandé si il n’y aurait pas des formes de represailles contre les chauve-souris. Les mustélidés d’élevage norvegiens ont étés exterminés mais je sais pas si ceux qui sont sauvages ont été ciblés aussi. Vu que la mise à mort des animeaux sauvages n’est une info que lorsqu’il s’agit du dernier specimen j’ai pas vu passé d’infos là dessus.

    • Coronavirus : n’ayons pas peur des chauves-souris

      Une victime des peurs et des préjugés

      Un recul nécessaire, car pour l’instant, l’origine de la pandémie reste incertain. Pourtant, dans certains pays, dont la France, les réactions ne se sont pas faites attendre. A Chauve-Souris Auvergne, les appels ont augmenté. L’une des questions récurrentes : « J’ai des chauves-souris chez moi, que dois-je faire, comment m’en débarrasser ? » D’autant que le confinement est arrivé au printemps, avec la sortie d’hibernation de ces mammifères qui ont rejoint leurs gîtes d’été pour mettre au monde leurs petits. « Il a fallu rassurer, expliquer qu’il n’y avait rien à craindre. Mais certains propriétaires de granges où se réfugient des chauves-souris ont eu des lettres de menaces pour déplacer ou détruire ces colonies... Je crois d’ailleurs qu’une grange a été incendiée. Là, il ne s’agit plus de psychose, c’est du pénal. » En effet, en France, les chauves-souris mais aussi leurs habitats sont protégés par la loi : leur élimination, mais aussi l’altération ou la destruction de leurs gîtes sont illégales et peuvent être punis d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende.

      Dans le monde, d’autres actions choc ont eu lieu contre ces animaux nocturnes. En Chine, des habitants ont déplacé des colonies de chauves-souris en pleine hibernation, au risque de les tuer, pour les éloigner de leurs habitations. Au Pérou, des paysans ont décidé de brûler un certain nombre de colonies de chauves-souris avant d’en être empêchés par le gouvernement. Ces deux réactions de peur, relayées dans la presse, ont poussé Tanguy Stoecklé à réagir. Cinéaste animalier, réalisateur et passionné de chiroptères, il a décidé de mettre son film « Une vie de grand rhinolophe » en ligne gratuitement pendant le confinement, et au moins jusqu’à septembre, pour la Nuit Européenne des chauves-souris. Ce film, il lui a fallu 4 ans pour le tourner dans le cadre d’un programme de protection des chauves-souris. Il a porté son choix sur le grand-rhinolophe, une espèce que l’on trouve en Camargue, mais aussi en Auvergne, et nous fait partager sa vie à travers l’histoire d’une femelle et de sa fille. Au final, ce documentaire plusieurs fois primé saisit par la qualité de ses images, son côté pédagogique sur des créatures trop méconnues, mais aussi par la tendresse qui s’en dégage.

      https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/coronavirus-n-ayons-pas-peur-chauves-souris-1843840.htm

    • #Chasse

      Plus précisément, il ressort que 94 ganglions lymphatiques rétropharyngiens sur 283 (33,2 %) étaient positifs pour l’ARN du SARS-CoV-2 au test RT-PCR. Près de 92 % de ces échantillons de cerfs ont été prélevés entre septembre et décembre 2020, période qui coïncide avec la saison régulière de la chasse dans l’Iowa. Celle-ci avait débuté le 19 septembre 2020 et s’était terminée le 10 janvier 2021. En revanche, aucune trace de l’ARN du SARS-CoV-2 n’a été détectée dans les 17 ganglions lymphatiques rétropharyngiens prélevés chez des cerfs entre avril et août 2020. Le premier prélèvement positif pour le SARS-CoV-2 date du 28 septembre 2020.

      Le taux de positivité pour le SARS-CoV-2 chez les cerfs a été maximal en novembre 2020. Vingt-deux des 77 échantillons de ganglions lymphatiques rétropharyngiens (27,8 %) étaient alors positifs, moment qui coïncidait dans l’Iowa avec le pic des infections chez les humains. Durant sept semaines, entre fin novembre 2020 et la fin de la saison régulière de la chasse début janvier 2021, 80 des 97 échantillons de ganglions lymphatiques rétropharyngiens (82,5 %) prélevés à travers l’État d’Iowa étaient positifs au SARS-CoV-2. Par ailleurs, au cours de la deuxième semaine de janvier 2021, correspondant à la fin de la saison régulière de la chasse, les cinq échantillons de ganglions lymphatiques rétropharyngiens étaient tous positifs au SARS-CoV-2. Les chercheurs ont observé que de nombreux animaux étaient porteurs d’une charge virale très élevée.

      Les cerfs qui ont fait l’objet de cette étude vivaient soit en liberté dans des espaces publics ou en zones péri-urbaines, ou encore résidaient en pleine nature ou en captivité dans des enclos réservés à la chasse.