▻https://lecourrier.ch/2020/04/16/une-nounou-en-enfer
Pour nous les femmes de ménage, pas de travail ça veut dire pas d’argent. » Si une partie de ses employeurs a accepté de lui payer quelques heures du mois de mars, Beth compte sur l’aide des associations pour survivre ces prochaines semaines. « J’aurai tout juste de quoi payer ma nourriture ce mois-ci, avec l’aide des bons distribués par des organisations. Pour payer mon loyer et mes assurances, je n’ai rien. »