Ma Récréation - Blog de Lili Barbery sur la Beauté, le Voyage, la Cuisine et les Enfants...

A New York, la dictature de la beauté - M le magazine du Monde
▻http://www.lemonde.fr/m-actu/article/2014/11/07/a-new-york-la-dictature-de-la-beautea_4519267_4497186.html

http://s2.lemde.fr/image/2014/11/06/534x0/4519265_7_3d8a_alexandra-stathis-a-gauche-commence-sa_cb226239ab46acbdb457d6d02a30ae55.jpg

Dans ce contexte, il n’existe aucune excuse pour se laisser aller. Et quand les premières rides apparaissent, l’arsenal de solutions, qui existent aussi en France, semblent plus faciles d’accès à New York. « Les standards de ce qui semble toléré socialement évoluent avec la disponibilité des solutions, explique Valerie Steele, historienne de la mode et auteur de The Corset (Yale University Press). Jusqu’à l’invention du lave-linge, un certain degré de saleté était toléré sur les vêtements. Mais à partir du moment où l’acquisition de ces machines s’est démocratisée, on a trouvé épouvantable qu’une personne puisse venir avec une tenue pleine de taches au travail. Avec le vieillissement à New York, c’est la même chose. Il y a tellement d’options dont on entend parler à la télévision et dans la presse. »

Les rides, c’est SALE.

Voir aussi, sur son blog, les complexes que la réalisation de cet article a donnés à son auteure
▻http://www.ma-recreation.com/6-mood/article/today-is-my-day

#chirurgie_esthétique #femmes(_riches)

Blogueurs professionnels - M le magazine du Monde
►http://www.lemonde.fr/style/article/2012/12/14/blogueurs-professionnels_1805554_1575563.html

http://s1.lemde.fr/image/2012/12/13/534x0/1805548_7_4f0e_ni-journalistes-ni-graphistes-ils-ont-su_aacfb71a975531d3284e35779753332e.jpg

Il y a sept ans, on les comptait sur les doigts de la main. Issus du marketing ou du milieu de la mode, les premiers blogueurs de mode – apprentis photographes, illustrateurs, rédacteurs autodidactes – ne s’imaginaient pas un jour se retrouver à la tête d’une entreprise ni être traités comme des personnages incontournables. Hier ignorés par les marques, méprisés par la presse, malmenés par les videurs à l’entrée des défilés... Aujourd’hui considérés pour certains au même titre que les journalistes de prestigieux magazines. En décryptant leurs propres silhouettes, en photographiant celles d’anonymes dans la rue (le fameux « street styling »), en s’adressant directement aux internautes, tout en les laissant réagir, les blogueurs ont imposé un ton, un point de vue moins distant, plus concret, souvent plus drôle que celui de la presse féminine, contraignant ainsi les magazines traditionnels à revoir leurs automatismes.

Article de Lili Barbery-Coulon, elle-même auteure du blog
►http://www.ma-recreation.com

#mode #Internet