Usul. Violences policières : quand l’État ne tient plus ses flics

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  • Premier matin de novembre – Que partout, refleurissent les premiers matins de novembre
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    Contrairement à ce qu’on l’air de penser les « camarades » qui préfèrent encore la grille de lecture des misérables d’Hugo et ceux de Ladj Ly, écrire une fanfiction du Capital pour expliquer tout ceci ne suffira pas. Ces révoltes ont bel et bien un coût politique pour les gouvernants, la bourgeoisie, le capital ou peu importe le petit nom que vous leur donnez, c’est juste pas nous qui rafflons la mise. Elles les rendent à chaque fois un peu plus dépendant et tributaire d’une bande de terroristes qui ne s’interdit à peu près rien. Qu’ils se soient mis eux même dans cette position pour entretenir un certain ordre social et colonial en banlieue est une certitude, qu’ils maîtrisent encore cette situation, en revanche, le doute est largement permis. On peut penser au préfet de Paris et à son camp qui ne rendent plus de compte à personne et surtout pas au pouvoir politique. On peut penser aussi en voyant la brigade scientifique s’activer sur des encombrants jeté a des déchets à Villeneuve La Garenne, comment les miliciens ont obtenus la préservation de leur régime de retraite en un temps record au point de laisser lesdits policiers scientifiques sur le carreau.

    Le pouvoir policier est devenu incontrôlable donc. Pris dans ses pulsions de mort et baignant dans les plus sales représentations on ne l’arrête plus. De la même manière que le code noir n’a pas arrêté le maître qui battait ses esclaves, quand bien même cela ne correspondait en rien à ses intérêts capitalistes. En banlieue, les porcs ont monopolisé le pouvoir, ce n’est pas, ou pas que, la bourgeoise, le capital où l’Etat qui tient les rênes, c’est eux