Bettina Flitner [Christian_1]
▻http://www.bettinaflitner.de/christian_1.html
FREIER
Reportage et portraits de clients de la prostitution, par Bettina Flitner dans le bordel « Paradise » à Stuttgart, Allemagne
Belle galerie de porcs.
Bettina Flitner [Christian_1]
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FREIER
Reportage et portraits de clients de la prostitution, par Bettina Flitner dans le bordel « Paradise » à Stuttgart, Allemagne
Belle galerie de porcs.
Je retrouve plus cette image mais je vous la décris. Une vieille dame avec la peau du vente un peu flasque, photographiée comme ces messieurs, explique pourquoi elle va voir des prostitués et cite leurs bonnes raisons (pas envie de dépenser 100 euros pour une soirée romantique et risquer de pas niquer, les mecs parlent trop, ils sont compliqués, etc.). Une parodie assez drôle. Vraiment, quand on fait le truc symétrique, ça marche à tout les coups en devant ridicule et incompréhensible.
#prostitution #porcs
floraisons | Freier
▻https://floraisons.blog/freier
Freier [clients] est un reportage et une série de portraits de clients de la prostitution, réalisé par Bettina Flitner dans le bordel Paradise à Stuttgart en Allemagne. Le reportage de Bettina Flitner a été publié dans le magazine Stern en 2013. Nous publions ici quelques-unes des photographies et des extraits de témoignages. Vous pouvez retrouver l’intégralité sur le site de l’artiste.
@unagi les textes en dessous des photos valent leur pesant de cacahuètes
Pourquoi est-ce que je paie pour le sexe ? Les femmes me tapent souvent sur les nerfs.
Ma préférée : Comme ma fille
a 26 ans, je m’assure que les femmes aient au moins 27 ans
@supergeante Les portraits, surtout sans chaussettes, ne racontent rien. C’est du vide.
"D’une certaine façon c’est le pouvoir. On possède la femme. On peut faire ce qu’on veut avec elle. »"
Voire l’affirmation pour le viol, en définitive on ne parle pas de sexe.
"Penser et vivre comme des porcs".
Quand Floraisons a posté ça sur Twitter, ce témoignage de la crasse de ces mecs-là, tout de suite, « il/iel » poste : « Je croyais que vous étiez féministes, je vois que vous êtes abolos. »
Réponse d’une féministe : « Il y a une différence entre soutenir les travailleuses du sexe et critiquer la prostitution et ces clients. »
Il/iel : « Ah mais j’ai pas dit que je soutenais ces clients. » C’est que des mecs blancs cis hétéros d’ailleurs. « De là à dire que la prostitution est un problème. »
Voilà où on en est en ce moment dans le milieu féministe. Toute parole un peu radicale est suspectée d’être ostracisée comme venant du camp du mal (féminisme abolitionniste, transexclusif) et le débat fonctionne sur ce manichéisme sans intégrer la matière qui est pourtant étalée au grand jour, l’exploitation des femmes par les hommes sur tous les registres possibles. Ça me gonfle.