Global energy governance ‘needs urgent reform’ | Climate News Network
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Global energy governance ‘needs urgent reform’
January 24, 2013 in Energy
By Kieran Cooke
The world badly needs secure energy supplies and a stable climate. But the international mechanisms it has developed to regulate the way energy is exploited and shared belong to another era, analysts say.
LONDON, 24 January – Existing bodies overseeing the global energy sector are inadequate and have failed to adapt to widespread changes in energy supply and demand, says a new report. A shake-up of global energy institutions is urgently needed – and nothing short of a technology revolution is called for in order to tackle the twin challenges of rising energy demand and climate change mitigation.
The report, The Reform of Global Energy Governance, by Neil Hirst at the Grantham Institute for Climate Change at Imperial College, London and Antony Froggatt of the London-based think tank, Chatham House, outlines how the energy market has changed in recent years.
A mettre en relation avec la réflexion de Jonas Gahr Støre sur la gouvernance mondiale dans le monde diplomatique :
Trop de sommets tue les sommets, par Jonas Gahr Støre (Le Monde diplomatique)
►http://www.monde-diplomatique.fr/2012/09/STORE/48103
Une frénésie planétaire de rencontres
Trop de sommets tue les sommets
De nouvelles puissances sont apparues, ces dernières décennies, à côté des centres de pouvoir historiques, rendant plus difficile encore la gestion des dossiers internationaux : commerce, environnement, équilibres stratégiques, etc. Du G20 aux conférences sur le climat, les réunions multilatérales se multiplient. Mais elles ne donnent pas des résultats spectaculaires…
par Jonas Gahr Støre, septembre 2012
Aperçu
La politique internationale connaît un étrange paradoxe. Nous vivons une ère de coopération et d’échanges sans précédent : diplomates, experts et décideurs partagent idées et projets comme jamais auparavant. M. Robert Zoellick, le directeur sortant de la Banque mondiale, parle du nouvel ordre international comme d’un ensemble de « liens ténus reliant les Etats souverains au sein d’un système multilatéral ». On ne compte plus les nouvelles organisations, et on a l’impression qu’il se tient des sommets sur tout et n’importe quoi.