J’ai raté l’anniversaire de la poignante déclaration de Gilbert Achcar, interviewé par Christophe Ayad en février 2013 :
►http://www.lemonde.fr/culture/article/2013/02/21/il-faut-en-passer-par-l-experience-de-l-islamisme-au-pouvoir_1836577_3246.ht
Comme Locke, je préfère le chaos au despotisme, parce que dans le chaos j’ai le choix.
Les millions de déplacés et réfugiés syriens – dont on se préoccupe tant désormais – ont peut-être du mal à prendre conscience de la belle liberté de choix dont ils bénéficient désormais. Mais s’ils vivaient d’une activité dématérialisée, parlaient parfaitement 3 langues et obtenaient sans difficulté des passeports et des billets d’avions pour n’importe quel endroit de la planète, sans doute apprécieraient-ils un peu plus la référence à Locke.