Dans la vie active et en priode de crise, vitons les « pseudo-amis »

chic, une #étude_américaine :)

Le titre et la mise en perspective du Monde n’est pas très objective (le terme de « pseudo-amis » le montre bien). L’étude en elle-même ressemble plutôt à des méthodes d’économies comportementales qu’à une analyse sociologique quali ou quanti des formes d’aides dans des réseaux relationnels. Quant à la démonstration, de dire qu’il y a peut-être des différences socio-économiques dans les formes d’activation des liens forts/liens faibles, on peut par contre légitimement dire qu’il y a des chances que cela joue. Faudrait regarder du côté des derniers travaux de Manuel Castells sur l’Espagne, qui a regardé un peu ces questions, pour voir si cela confirme ou infirme. ▻http://www.bbc.co.uk/news/business-20027044

En France, les travaux de Michel Forsé
avaient déjà étudié l’impact différentiel de ces liens selon le milieu social (et c’est pas tout récent...)