Bahreïn, la dictature « excusée », par Marc Pellas (Le Monde diplomatique)
« A Bahreïn, la monarchie peut ignorer sereinement les cent soixante-seize recommandations en matière de droits humains qui lui ont été présentées en septembre 2012 par les Nations unies, à Genève, sans trop craindre que le Conseil de sécurité n’adopte jamais la moindre résolution contraignante à son encontre. »