Des affiches pour tester les nouvelles insertions d’images…
Suivi du reboute :
Des affiches pour tester les nouvelles insertions d’images…
Suivi du reboute :
@arno je viens d’up avec ta dernière modif, c’est bon pour les images :)
Génial, j’avais pas vu (je te causais dans le vide sur IRC :-))
Maintenant il faut aussi installer la correction du Autoembed, il manque un </div>.
@arno tu n’est plus connecté sur IRC :p Je viens d’up autoembed.
Bonjour à tous les deux et merci pour SeenThis ! Mais comment fait-on s’il vous plaît pour poster une image ?
@cjldx Il faut copier directement l’URL de l’image dans ton message à l’endroit où tu veux qu’elle apparaisse. Le système se chargera de fabriquer l’affichage qui va bien.
#merci ! ça a l’air super.
Apparemment, il y a quelques bugs d’affichage…
@simplicissimus pas de bug chez moi, essaye de vider le cache de ton navigateur, ou tente avec une fenêtre de navigation privée ;)
Sur smartphone, c’est pas aussi évident de vider le cache. (Sur iOS, aller dans les Réglages du système, trouver Safari dans la liste, et dans le panneau de droite, vers le bas, trouver « Effacer historique, données de site »).
Vivement qu’on passe sur #SPIP-3.1, on récupérera le timestamp automatique sur les CSS et les JS, ça nous simplifiera les mises à jour…
ah oui @b_b, les deux méthodes suggérées font disparaître la surimpression. Merci !
En revanche, il y a quand même des trucs bizarres…
Lorsque je rafraichis la page…
… après avoir posté le commentaire précédent
(reproductible l’un et l’autre, sans que j’aie fermé ou redimensionné la fenêtre)
Oui, quand on poste un message, le script qui effectue le calcul ne se redéclenche pas, et donc on a le rendu « standard » (l’image fait 1/3 de la largeur par défaut). C’est un aspect à affiner.
Super chouette, bravo !
Visiblement, les petites images sont agrandies de force à la largeur du texte, ce n’est pas forcément très heureux :
▻https://seenthis.net/messages/661811
On devrait donc pouvoir intégrer du Dailymotion :
▻https://www.dailymotion.com/video/x5umyjr
Et l’insertion asynchrone des images, aussi :
Cooooool, DailyMotion, merci !
(et tout le reste aussi, d’ailleurs)
Sinon, @b_b, je viens de faire une mise à jour d’Autoembed pour mieux gérer MixCloud.
Et donc l’intégration Mixcloud :
▻https://www.mixcloud.com/bluenote71/star-trek-musical-tribute-50th-anniversary
(Note : ça ne fonctionne pas avec l’URL mobile.)
@arno, à priori depuis ces modifications sur les images, les flux de seenthis (atom donc) font des trucs bizarres quand il y a des images, ai-je l’impression. Dès qu’il y a une image ça fait un gros blanc en dessous du texte, et en fait c’est parce qu’il y a un conteneur, le lien de l’image qui prendre plein de place, alors que l’image elle-même reste à une taille normale là où elle est insérée.
Et donc je viens de voir dans le code du flux, et il y a des styles insérés dans dur dans le HTML du genre :
<span class='image' style='padding-bottom:146.52014652015%'>
Du coup forcément…
Ah oui, du coup y’a pas de feuille de style externe dans les flux… Il faudrait peut-être insérer en dur dans le style le height:0
(éventuellement un display:block
).
Sinon, pour expliquer le principe : auparavant, pour placer une image dans une page, il fallait indiquer (en dur dans le HTML) ses dimensions (height
) et (width
), de façon à « réserver » son emplacement avant même le chargement de l’image. De cette façon, la page s’affiche sans attendre que les images soient chargées, et on n’a pas de décalage du texte une fois que les images sont chargées.
À partir du moment où la maquette est « responsive », on veut que les images s’affichent en proportion de la taille de la colonne de texte (qui varient, évidemment, selon la taille de l’écran). Du coup, si on a affiché « en dur » les dimensions hauteur et largeur de l’image, elle ne se redimensionnera pas. On a donc besoin de réserver l’emplacement de l’image, mais sans indiquer des dimensions « fixes ». Le principe, alors, c’est d’indiquer sa proportion : l’image verticale a une hauteur qui fait 146% de la largeur (en gros : une fois et demi plus haute que large). Si on affiche l’image sur une largeur de 300 pixels (smartphone), la hauteur « réservée » sera de 438 pixels ; si on affiche l’image sur une largeur de 550 pixels (écran d’ordinateur), la hauteur réservée sera de 803 pixels. Je dis « hauteur réservée », puisque le principe est d’indiquer l’emplacement qu’occupera l’image dès l’affiche initial de la page, c’est-à-dire avant même qu’elle soit téléchargée. Pour indiquer le proportion (hauteur divisée par largeur) d’un bloc, en HTML, il n’y a qu’une solution : donner un padding-bottom
(qui est la valeur exacte de cette proportion), en forçant la « hauteur » à 0.
Oui je fais ce genre de calculs aussi mais pas pour le même besoin (pas pour pré-réserver de l’espace avant chargement), pour avoir des blocs ayant tels proportions (16/9, 4/3, etc) même lorsque ce ne sont pas des images, n’importe quel bloc HTML. J’ai même une mixin pour ça :
/* Garde la proportion d'un bloc en permanence */
@mixin aspect-ratio($width, $height, $selector:'.inner') {
position: relative;
&:before {
display: block;
content: "";
width: 100%;
padding-top: ($height / $width) * 100%;
}
> #{$selector} {
position: absolute;
top: 0;
left: 0;
right: 0;
bottom: 0;
}
}
Mais du coup c’est pas en dur dans le HTML puisque ce n’est pas pour réserver une place avant chargement. Je ne sais pas si les flux doivent vraiment bénéficier de tout ça… C’est obligé que ce soit le même code ? Ou bien on peut nettoyer après coup en enlevant les attributs styles ?
Loic Le Ribault : Mandat D’Arrêt Contre un Chercheur par GayöAwWw - Dailymotion
▻https://www.dailymotion.com/video/x21s0i5
Valentina Terechkova, première femme dans l’espace
▻https://www.franceculture.fr/histoire/valentina-terechkova
#Valentina_Terechkova s’est envolée dans l’#espace en 1963, seulement deux ans après Youri Gagarine (1961), et avant Neil Armstrong et Buzz Aldrin (1969). L’histoire n’a pourtant pas retenu son nom. Portrait d’une pionnière de la #conquête_spatiale.
#femmes #historicisation
▻https://www.dailymotion.com/video/x6caop5
Tour Montparnasse. Une nouvelle jeunesse - France - LeTelegramme.fr
▻http://www.letelegramme.fr/france/tour-montparnasse-une-nouvelle-jeunesse-24-12-2017-11792944.php
Ce qui va changer pour la Tour new look, c’est d’abord ses accès. « Pour les clarifier, nous avons travaillé sur plusieurs scénarios », résume Cyrille Le Bihan. L’esplanade ouverte à tous les vents, face à la gare, sera donc aménagée pour que les habitants du quartier aient envie de s’y promener. Une partie des 40.000 mètres carrés en sous-sol seront reliés à des puits de lumière pour être utilisés (pour une crèche, des locaux à vélos, un centre de conférences, etc.). Une connexion avec la station de métro est également à l’étude. Quant au hall d’accueil, étrangement réduit pour un bâtiment de cette dimension, il sera démultiplié et occupera trois niveaux. « Nous voulons y attirer des gens qui n’ont pas forcément besoin d’y venir, recréer une centralité », annonce Pascale Dalix. Il y aura ainsi quatre entrées pour les bureaux mais aussi pour les clients de l’hôtel qui va y occuper quatre étages et pour les simples visiteurs.
Aux treize premiers étages vont être ajoutés des esplanades couvertes d’espaces verts entourant l’immeuble. Grâce aux progrès de la miniaturisation, les installations techniques qui occupent le 14 e étage vont libérer un espace qui sera ouvert au public. « Une bonne hauteur pour voir les toits de Paris et comprendre la ville », promet Franklin Azzi. Au final, la nouvelle Tour offrira 4.500 mètres carrés de jardins, 5.000 mètres carrés de balcons et 9.000 mètres carrés de jardins d’hiver et de loggias.
L’équipe de la Nouvelle AOM a également apporté une attention particulière aux ressources naturelles, contribuant à l’autonomie énergétique de la Tour (à 70 %), en imaginant d’ingénieux systèmes de façade éolienne et de récupération des eaux pluviales.
Laurent #Wauquiez élu à la tête des #Républicains dès le premier tour avec plus de 74% des voix : retrouvez « #Sous_la_parka », l’enquête des Jours avec les deux premiers épisodes en accès libre.
La majorité des photos de l’obsession est signée @albertocampiphoto et les articles par des membres de @wereport
#extrême-droite avec ce sentiment de l’émergence d’un deuxième parti d’extrême droite en France, à moins d’un réveil et d’une fronde dans les rangs de la droite « modérée » si tant est qu’elle existe encore.
Wauquiez, un puits sans fond - le billet de Sophia Aram
les députés n’ont pas de prime de Noel
Vidéo : ▻https://www.dailymotion.com/video/x6b13b2
« La prime de Noël ? », s’étonne le député des Côtes-d’Armor. « Oui, vous savez ce qu’est la prime de Noël ? », lui demande alors Jean-Jacques Bourdin. Après une légère hésitation, Hervé Berville tente une réponse, semblant visiblement croire qu’il s’agit d’une prime destinée aux élus : « Alors moi je n’ai pas de prime de Noël en tant que député. »
Le journaliste rappelle alors au député qu’il ne s’agit pas de lui mais des Français. « Peut-être que vous me donnez des informations... », bredouille Hervé Berville, qui semble désormais penser qu’il s’agit d’une nouvelle mesure dont il n’aurait pas pris connaissance. Jean-Jacques Bourdin lui explique alors que la prime de Noël est une aide exceptionnelle destinée aux familles les plus fragiles.
Hervé Berville, qui tente alors une ultime parade en assurant avoir mal compris la question qui lui était posée tout en martelant qu’il sait ce qu’est la prime de Noël, se trouve alors piégé lorsque Jean-Jacques Bourdin lui demande si celle-ci sera reconduite. « Beh... Qui c’est qui fournit la prime de Noël ? », demande le député, qui s’enlise alors face à la perplexité du journaliste.
#autisme #incompétence #LREM #hervé-berville #guerre-aux-pauvres #invisibilité #en-marche #député-des-riches
Le #Chiffre - #police
▻http://police.etc.over-blog.net/article-10083745.html
Chaque flic doit garder à l’esprit qu’il existe avant tout pour Le Chiffre. On ne lui demande pas d’avoir la foi en Le Chiffre, mais simplement de le pratiquer au quotidien. Sans se poser de questions. Et avec ferveur si possible.
Le Chiffre est très important, car grâce à lui on fabrique de la politique et de l’opinion. Le Chiffre ne fabrique pas de la sécurité, sinon ça se saurait.
Le Chiffre est gourmand mais il n’a pas d’exigence particulière sur la qualité de ce qui le fait grossir. Il n’est pas gourmet, il est goinfre. Qu’importe la délinquance qui lui est amenée en offrande, il est même capable de se nourrir de vent…
[…]
Mais être au service du Chiffre, ce n’est pas être au service du public. La sécurité n’est pas quantifiable. Elle n’est pas non plus un équilibre de Chiffres, et toutes les détresses n’ont pas d’unités de mesure.
Bon, c’est pas jeune (2003, à l’occasion de la nocturne de Pénombre sur la LOLF), un petit éclairage sur la statistique policière…
►https://www.dailymotion.com/video/x1ec9t
L’orgasme féminin et le fameux #point_G
▻https://www.franceculture.fr/conferences/ecole-normale-superieure/lorgasme-feminin-et-le-fameux-point-g
La gynécologue Odile Buisson explore un domaine longtemps rejeté par ses pairs : la médecine sexuelle féminine. Elle nous explicite les mystères de l’orgasme féminin et le fonctionnement de l’organe clitoridien. Sans clitoris, pas de point G, révèle-t-elle face à un auditoire coi...
Toujours aussi intéressante, mais un peu ethnocentriste (pour ne pas dire raciste) quand elle semble attribuer l’excision aux seuls orientaux, les occidentaux n’étant, selon elle, coupables que de désintérêt pour le clitoris. Si je reprend l’historique fait par Helen O’Connell en 2005 (celle qui a fait la plus sérieuse étude du clitoris en 1998, et dont j’avais cité des extraits là, mais apparemment l’auteur.e de ce poste l’a retiré : ►https://seenthis.net/messages/542035) :
« Anatomy of the clitoris », O’Connell HE, Sanjeevan KV, Hutson JM. J. Urol. 174:1189-1195, 2005
▻http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0022534701685720
C’était courant en France au 16ème siècle, et O’Connell de préciser « la Clitoridéctomie existe depuis des millénaires, et ça ne fait pas si longtemps qu’elle existait encore dans les pays occidentaux », et en particulier en Grande Bretagne au 19ème siècle
In the 16th century justification for clitoridectomy seems to
have been tied up in the confusion related to hermaphrodit-
ism and the imprecision created by the word nymphae rather
than clitoris. The major French surgical text of Dalechamps,
which was intended to “make broadly accessible the surgical
knowledge of medieval and, especially the ancient authori-
ties,” contained some noteworthy discussion about surgery on
the clitoris and the social implications of clitoral anatomy. 37
Following the chapter on hermaphrodites Dalechamps wrote
about nymphotomia. Nymphotomia was an operation to ex-
cise unusually large nymphae.
(...)
Clitoridectomy was an operation justified for millennia in
some parts of the world. Its practice has been reviewed in
recent years. 42 However, it is not long ago that it was used in
Western countries, not as a religious ritual, but rather as an
operation to treat a range of medical disorders, including
insanity, epilepsy, catalepsy and hysteria. 43 In a prizewin-
ning essay Sheehan reviewed the practice of clitoridectomy,
and the rise and fall of the prominent British obstetrician
who wrote the textbook advocating clitoridectomy for a myr-
iad of female maladies. 44 As Sheehan observed, “The 19th
Century medical profession wanted it both ways: the clitoris
was so unimportant to a normal woman as to not be missed
if removed, yet lurking in its tissue was the greatest threat to
female welfare ever known.” 44
At his trial Brown said, “I have come to the conclusion that
the operation of clitoridectomy was a justifiable operation—
not my operation, recollect, gentlemen but an operation . . .
that has been practiced from the time of Hippocrates and has
been mentioned by all writers since that period again and
again.” 44
Voir aussi :
►https://seenthis.net/messages/389255
La vidéo date de 2014 :
Odile Buisson : Le point G et l’orgasme féminin
Les ERNEST, Dailymotion, 2014
►https://www.dailymotion.com/video/x1ytz7h
Mais en fait la conférence date de mai 2010 : 4 ans pour la mettre en ligne ?!
▻http://www.les-ernest.fr/lorgasme-feminin-le-clitoris-et-le-point-g
Sur le post seenthis effacé (par Aude je pense), on avait posté sa conférence de 2011 à l’Université Paris Diderot, je la reposte donc ici :
Le clitoris cet inconnu
Odile Buisson, Université Paris Diderot, 16 Novembre 2011
►https://vimeo.com/32783601
C’est cette vidéo qui m’avait poussé à m’intéresser aux travaux de Helen O’Connell...
Helen E. O’Connell, John M. Hutson, Colin R. Anderson and Robert J. Plenter « Anatomical relationship between urethra and clitoris » The Journal of Urology 159:1892-1897 (1998)
►http://www.jurology.com/article/S0022-5347(01)63188-4/abstract
Et j’avais même mis ce clip : Titãs, Clitóris (1992)
►https://www.youtube.com/watch?v=K6bccDQ1xME
#merci beaucoup @dror pour toutes ces informations et liens précieuses.
Au milieu d’un long article sur un couple de médecins bizarre américains de la fin du XIXème siècle, on apprend qu’ils pratiquaient l’excision :
The 19th-Century Sham Medicine That Saw Oracles in Orifices
Phrenology (and surgery) below the belt.
Natasha Frost, Atlas Obscura, le 16 janvier 2018
▻https://www.atlasobscura.com/articles/sham-medicine-orificial-surgery-edwin-pratt-vagina-phrenology
Voir cet article à propos d’Odile Buisson :
►https://seenthis.net/messages/658670
Compilation d’article sur la #sexualité animale et humaine :
►https://seenthis.net/messages/686795
Les différentes versions de la « découverte » du clitoris par Helen O’Connell (1998-2005)
Alessandra Cencin, Genre, sexualité & société, Hors-série n°3 (2018)
►https://seenthis.net/messages/753758
L’économie des villes (3/4) : BRICKS : l’hybris de la brique
▻https://www.franceculture.fr/emissions/entendez-vous-leco/leconomie-des-villes-34-bricks-lhybris-de-la-brique
#Sur-production de #briques, #constructions d’#immeubles à tout va, flambée des prix et explosion de la #bulle_immobilière en #Espagne, le film Bricks, par le prisme des individus et l’#histoire de la brique, revient sur ces éléments qui ont marqué l’Espagne et continuent de laisser leurs empreintes.
▻https://www.dailymotion.com/video/x62vave
Le Maire et Macron, les deux papas Noël des riches Tanguy Pastureau maltraite l’info - France Inter - 19 octobre 2017
▻https://www.dailymotion.com/video/x65989d
La dette publique de la France est à 2209 millards d’euros. On a plus un radis en poche. Heureusement Macron et Le Maire ont un plan : rendre l’argent aux riches.
Les finances de la France ne sont pas au beau fixe. On est fauché, on a plus un radis. Moi quand je suis à l’étranger et que je dis que je suis français, les gens me répondent : oh pardon, et me refilent un ticket resto. Notre dette publique, celle de l’ensemble des administrations, est de 2209 millards d’euros. Nous, pour acheter une voiture, on demande au petit buisson de Cetelem. La France, elle, s’adresse directement au baobab. La croissance est molle. Le chômage baisse pas. Il y a plus un sou qui entre dans les caisses. L’autre jour, au feu rouge, j’ai vu Bruno Le Maire qui passait avec un gobelet en disant :
Pour le pays m’sieur dames, faut le sauver...
On a eu Molière, on a eu Victor Hugo, on a eu Sartre... OK là on a Maitre Gims, mais c’est pas une raison !
J’ai répondu : Yo soy espanol, et je me suis barré.
. . . . . . . La suite :
▻https://www.franceinter.fr/emissions/tanguy-pastureau-maltraite-l-info/tanguy-pastureau-maltraite-l-info-19-octobre-2017#xtor=EPR-5-%5BMeilleur
#humour #Audio #France_Inter #Tanguy_Pastureau #dette_publique
L’énigme des poteries acoustiques | CNRS Le journal
►https://lejournal.cnrs.fr/videos/lenigme-des-poteries-acoustiques
À l’extrémité du Finistère, l’abbaye des Anges, élevée au XVIe siècle face à la mer, renferme dans l’épaisseur de ses murs une exceptionnelle collection de pots acoustiques. À quoi servaient-ils ? Une équipe d’archéologues, d’acousticiens, d’historiens et de musicologues cherche à comprendre les fonctions techniques et symboliques de ce dispositif ingénieux jusqu’ici peu documenté.
ah oui, c’est vrai que @cnrs a un compte ici !
VIDEO - ONPC : Comment Angot et Moix ont violemment voulu réduire Sandrine Rousseau au silence
▻https://www.marianne.net/societe/video-onpc-comment-angot-et-moix-ont-violemment-voulu-reduire-sandrine-rou
▻https://www.dailymotion.com/video/x62q1im
Je suis tombé sur des articles parlant de la sortie du livre de Sandrine Rousseau et la manière dont elle a été recu chez Ruquier.
En plus du #male_gaze de Moix qui ne trouve pas violent d’écouter le récit de ce qu’a subit Sandrine Rousseau, la haine des victimes de Angot est incroyable. Cette émission est un concentré de la récéption de la parole des femmes. On reproche à Rousseau de ne pas dire les choses dignement cad comme le dirait un agresseur et non une victime ou, comme le dirait un écrivain et pas une écrivaine. En tout cas celui qui n’est pas poussé aux larmes et engueulé à la TV par Angot et Moix, c’est Baupin.
#viol #culture_du_viol #victime #victime_blaming #domination_masculine
Lu pas mal de commentaires aussi sur l’oiseau bleu
Je pense que c’est extrêmement juste. C’est un syndrome de caste germanopratin.
« Ce qui semble agacer nos deux chroniqueurs-inquisiteurs d’un soir, c’est qu’une personne n’appartenant pas à la caste des écrivains ose défendre cette cause via un livre. »
Je suis en train de lire cette défense du comportement d’Angot par un homme qui me file bien la haine :
Peut-on hiérarchiser les souffrances ? On peine à s’en défendre. L’inceste est un trou noir. La violence que Sandrine Rousseau décrit semblait jadis bénigne, un outrage qu’une gifle suffirait à résoudre. Ce ne fut pas seulement un point de vue d’homme. En 1969, Chantal Ackerman réalisait le film féministe le plus vif de l’époque, quand s’ébrouait le MLF. Il s’appellait La fiancée du pirate. Bernadette Lafont y jouait une scandaleuse des campagnes, orpheline superbe et un peu sorcière, qui vendait ses charmes et tourneboulait un village moisi, et (à 1 heure et 4 minutes de projection) se débarrassait d’un mâle aviné d’un coup de genou bien placé. Le film célébrait la liberté d’une femme, sur une chanson écrite par Moustaki, Moi j’m’en balance, que chantait Barbara. Barbara évidemment, qui avait su ce que souffrir signifiait, étrange soeur d’Angot, rescapée d’un inceste, et qui n’avait pas pleuré…
▻http://www.slate.fr/story/151976/il-ne-faut-pas-condamner-christine-angot-pour-les-larmes-de-sandrine-rousseau
Ce bitard joue à donner des médailles de bonne et mauvaise victime aux différentes femmes. Angot, Barbara sont des bonnes victimes et Rousseau est une mauvaise victime. Et ce Askolovitch c’est une bonne ordure.
Interview d’une violence hallucinante où Christine Angot (qui n’a pas lu le livre ou pas au delà de la page 56 comme elle le dit), écrivaine qui si j’ai bien compris a largement écrit sur les viols que son père lui a fait subir, reproche à Sandrine Rousseau d’avoir cherché à lire d’autre récits de femmes racontant leur vécu, leur expérience, après avoir parlé publiquement des viols ou d’agressions sexuels qu’elles ont subit.
Christine Angot : Est-ce que c’est pour autant que vous comprenez vous-même ce que c’est le viol. Ou ce que c’est que UN viol ! Car ça n’existe pas LE viol. [...] Et vous vous parlez DU viol et de la parole sur LE viol alors que ça n’existe pas.
Sandrine Rousseau : Mon livre ne parle absolument pas du viol. Et je ne parle absolument pas du viol dans le livre. Absolument pas, je n’évoque pas du tout ça. Le livre porte uniquement sur le parcours une fois qu’on a déposé plainte et les bouleversements que ça génère.
Laurent Ruquier (coupe la parole à Rousseau) : pardon je dois préciser qu’une agression sexuelle ne va pas forcément jusqu’au viol. Voilà c’est important de le préciser.
Sandrine Rousseau : Bah non c’est deux juridictions différentes.
Laurent Ruquier : Voilà, non mais c’est bien de le rappeler.
Sandrine Rousseau : Et moi je ne prétend pas voler la parole à d’autre, au contrainte. Ce que je dis c’est qu’à partir du moment où on a dénoncé ça, on ne sait pas ce qui s’ouvre à nous. Et moi j’ai eu l’impression quand-même d’un bouleversement et d’une révolution très dérangeante. J’ai cherché des livres pour m’expliquer si ce que je ressentais était normale ou pas, si c’était commun ou pas, s’il y avait d’autres femmes qui ressentaient ça ou pas. Et je n’en ai quasiment pas trouvé. Il y a assez peu d’écrit sur ce parcours.
Laurent Ruquier : Sur ce qu’on vit après en fait.
Sandrine Rousseau :Oui ce qu’on vit après et ce qu’on vit après dans la parole. Parce que ce qu’on vit avant la parole c’est encore différent. Et là je pense que ce livre il est vraiment fait pour tendre la main à celles qui le veulent, à celles qui en ont envie. Pour dire « préparez-vous quand même un peu à cela ». Mais ce n’est pas du tout une injonction.
Christine Angot : Mais pourquoi vous cherchez un exemple à coté ? Pourquoi vous cherchez dans un livre ? Pourquoi pour comprendre ce que vous ressentez vous cherchez un livre où quelqu’un aurait expliqué ce qu’il a ressenti ? Vous cherchez à l’extérieur de vous la réponse de ce qu’il y a à l’intérieur de vous ?
Sandrine Rousseau :Je ne m’attendais pas à la violence de ce qu’on a subit une fois qu’on parle. Ça vraiment pour moi ça a été une surprise et plus qu’une surprise... enfin je ne sais pas comment dire autrement qu’un bouleversement. Je ne m’attendais pas à être confronté à cette violence là après la prise de parole.
Tout dans ce passage montre que Ruquier et son équipe cherchent à délégitimer tout discours sur le viol, toute réflexion qui mettrait en relation les différents viols et les viols avec les agressions sexuelles.
Dans la première partie de l’émission (qui commence à 40min30s et finie à 56min) Christine Angot et Yann Moix sont au moins aussi agressifs que dans la seconde partie mise en avant par Ruquier sur Youtube.
#société_du_spectacle : tout part de là, indirectement, Debord avait déjà tout dit. Même si ce n’est pas tout à fait l sujet de sa thèse, il me semble que des émissions poubelles comme ONPC font parti d’un système essentiellement destiné à faire du fric. Il faudrait simplement refuser de participer à ce cirque, Sandrine Rousseau, son récit et les propositions qu’elle porte méritent beaucoup mieux comme plateforme de débat que ces deux crapules, et ces plateformes existent. Mais elle a peut-être été poussée par la maison d’édition via l’attaché·e de presse qui voit dans cette émission la possibilité de buzz et de promotion. Je trouve que c’est déprimant, et cette histoire comme les autres fout le bourdon.
Ces deux personnes sont minables. Et ce sont ces deux personnes qui ont eu droit à des égards par le montage réalisé. Cette émission est minable.
Christine Angot quitte le plateau d’ONPC après un « violent clash » avec Sandrine Rousseau
▻http://www.huffingtonpost.fr/2017/09/29/christine-angot-quitte-le-plateau-donpc-apres-un-violent-clash-avec-s
Angot / « On se débrouille » : le gouvernement saisit le CSA - Arrêt sur images
▻https://www.arretsurimages.net/breves/2017-10-02/Angot-On-se-debrouille-le-gouvernement-saisit-le-CSA-id20869
Ouverture d’une enquête au CSA. Après la séquence qui a opposé l’ancienne députée EELV Sandrine Rousseau à l’écrivaine et chroniqueuse Christine Angot dans l’émission On n’est pas couché samedi 30 septembre, la secrétaire d’État chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes Marlène Schiappa a adressé ce lundi 2 octobre un signalement auprès du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA). Dans la lettre, que s’est procurée France Inter, la secrétaire d’État dit trouver « éminemment regrettable qu’une victime ayant le courage de briser le silence autour des violences sexuelles soit ainsi publiquement humiliée et mise en accusation ».
Cet histoire en dit long sur la haine retourné contre soi et ses semblables qui détruit tant de femmes et de victimes.
Au passage on ne parle plus que d’Angot et Moix s’en tire à bon compte alors que son attitude était aussi gerbante.
Marlène Schiappa cite une phrase de Guy Debord dans sa lettre
« Le spectacle n’est pas un ensemble d’images, mais un rapport social entre des personnes médiatisé par des images »
Le rapport social a été coupé au montage, Sandrine Rousseau se souviendra longtemps de son passage à #ONPC. Le seul point positif de ce buzz, pour l’auteure, serait qu’il fasse grimper les ventes de son livre. Guy Debord écrivait qu’il importe peu, à l’ère du spectacle, que l’on croie le mensonge auquel on se trouve continuellement exposé, l’essentiel étant qu’il soit la seule chose à laquelle on ai droit.
▻http://www.gouvernement.fr/ministre/marlene-schiappa
Angot vs Rousseau : le débat qui n’a pas eu lieu
2 octobre 2017 par Clémentine Autain
►http://www.liberation.fr/debats/2017/10/02/angot-vs-rousseau-le-debat-qui-n-a-pas-eu-lieu_1600389
Ce qui me taraude, c’est que beaucoup de femmes pensent en ces termes exprimés par Angot : « Je ne suis pas une victime, je suis une personne. » Comme s’il fallait choisir. Une personne victime dans une situation donnée n’est pas une victime à vie, en toutes circonstances. Victime, ce n’est pas une identité en soi. Etre renvoyée au miroir de la victime, à des schémas sociaux, est difficile, douloureux, révoltant. Mais je crois que cette étape de la reconnaissance de l’asymétrie entre les hommes et les femmes, donc de l’inégalité et des violences spécifiques, est un passage collectif nécessaire pour qui rêve d’égalité et de liberté. Je sais que les féministes sont de ce fait parfois accusées de porter un « discours victimaire », comme si nous voulions enfermer les femmes dans le rôle de victimes, les amalgamer dans un tout homogène, une « brochette », en niant les réalités individuelles évidemment si diverses, les chemins que chacune s’invente pour survivre, vivre dans le monde tel qu’il est. Que des femmes arrivent à se débrouiller toutes seules, tant mieux. Mais nous avons le devoir de tendre la main à celles, si nombreuses, qui en ont besoin. Nous devons modifier l’ordre existant pour que reculent les violences faites aux femmes, pour que ce ne soit plus « comme ça », pour que le désir masculin sorte d’un modèle prédateur. Ce que nous voulons, c’est que la société mesure, comprenne et déjoue les mécanismes à l’œuvre. Si nous voulons combattre le viol, le harcèlement sexuel, nous ne pouvons échapper à une entreprise de changement des normes.
sur les victimes par C.Autain
Ce qui est pénible avec Angot c’est qu’elle refuse de voir le sexisme et la culture du viol comme un problème culturel et sociétal à combattre. Elle ne propose absolument rien pour faire reculer ce fléau, tout ce qu’elle répète c’est : « c’est comme ça, un point c’est tout. » Aucun argument ! Elle a trouvé refuge elle dans la littérature et ce faisant, elle voudrait faire de son cas une généralité. Mais tout le monde n’a pas les mêmes ressorts face à ces violences et de toute façon, ce combat doit être mené individuellement ET collectivement.
Angot à une posture ultra individualiste très viriliste et patriarcale. Elle est forte comme un homme avec des grosses couilles d’auteur-écrivain et elle s’en sort elle (le résultat est pas fabuleux pourtant) et si les autres victimes ne s’en sortent pas c’est leur faute à elles d’avoir subit une agression et Angot se fera une devoir de les agressée à son tour. Les agresseurs par contre pas de pbl, surtout si ils ont une belle plume comme Céline qui fait tellement bander les littérateurs.
@aude_v je suis désolé pour ce que tu as enduré, mais ca fait pas de Rousseau une bonne ou mauvaise victime. Une femme victime de misogynie n’a pas été solidaire 100% du temps avec 100% des femmes. C’est pas cool mais ca n’a pas sa place ici.
#procès_de_la_victime #sororité
Désolé @aude_v d’avoir été blessante et d’avoir minoré le harcelement et son déni que tu as enduré. Je te fait mes excuses. Je vais édité les parties qui donnent des infos par rapport à ton témoignage puisque tu l’as enlevé.
@aude_v : Les informations que tu donnes sur Rousseau sont intéressantes, si on souhaite juger Rousseau, mais en effet, je suis d’accord avec ce qu’exprime mad_meg, à savoir que les faits ONPC dépassent le cas particulier de Rousseau. Je doute que Moix et Angot se soient défoulés sur Rousseau parce qu’ils étaient au courant des faits que tu as subis ou de faits équivalents dont Rousseau serait coutumière (faits que personne ne remet en cause d’ailleurs, en tout cas pas moi).
Ils se sont défoulés sur cette femme parce que femme.
Après Angot : la télé publique, c’est vraiment « comme ça » ? - Arrêt sur images
▻https://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=10205
Le message délivré par la télévision publique, par la chroniqueuse de la télévision publique, aux victimes d’agressions sexuelles, notamment de la part des puissants, et sans aucune atténuation de l’animateur sur le plateau, restera donc : face aux agressions sexuelles, « on se débrouille, c’est comme ça ». Autrement dit, rien à faire. Personne à qui parler, Aucune instance à laquelle s’adresser. Aucun recours. Aucune aide, aucune solidarité à attendre, aucun espoir. Rien. La soumission à la loi du mâle est immémoriale, pourquoi ça changerait ? Si tu en es capable, tu fais un livre. Sinon tu te débrouilles. C’est comme ça.
je consulte rarement slate.fr sauf parfois quand il est indiqué ici sur @seenthis J’ai trouvé ce lien sur tumblr ici : ▻http://lechatfeministe.tumblr.com
ce résumé me semble tellement juste que je le repost intégrale (sans les liens interne qui ne manque pas d’intérêts aussi)
source : ▻http://m.slate.fr/story/152003/christine-angotsandrine-rousseau-pas-clash
Ne réduisons pas l’échange Christine Angot-Sandrine Rousseau à un vulgaire clash télé
Le piège était grossier. On a pourtant sauté dedans avec entrain.
Samedi soir, dans « On n’est pas couché », a eu lieu une « altercation » entre #Sandrine_Rousseau, qui accuse l’ex-député #Denis_Baupin d’agression sexuelle, et l’écrivain et chroniqueuse #Christine_Angot. Dès la veille, la « séquence », comme on dit désormais, était largement teasée dans la presse avec force ellipses…
Pendant deux jours, nous avons été abreuvés d’articles écrits non sans gourmandise annonçant qu’un « violent clash » –une « violente altercation »– avait eu lieu lors de l’enregistrement de l’émission entre Sandrine Rousseau et Christine Angot. Que cette dernière a quitté le plateau, et que la première a pleuré.
L’Express, avant même la diffusion de l’émission, concluait l’article ainsi :
« Sans jamais que le mot d’“inceste” soit prononcé, la réaction épidermique de Christine Angot, qui est d’ailleurs citée dans le livre de Sandrine Rousseau, tient sans doute à son histoire personnelle. Mais cela autorisait-il la chroniqueuse à prendre à partie une invitée, victime elle-aussi d’une agression ? »
« Je pensais presque qu’Angot avait pété les plombs et tapé sur Rousseau »
La production, elle, a bien pris soin de tirer une autre grosse ficelle, en prévenant que le moment où Angot quitte le plateau a été coupé au montage, pour faire « faire preuve d’élégance » à l’égard de sa chroniqueuse –pourquoi, d’ailleurs, avoir pris soin de le dire ici, quand tant d’autres émissions ont été également coupés sans que cela fasse l’objet d’un communiqué de la prod’ ? L’élégance, cela aurait été de ne pas chauffer le téléspectateur à blanc, de ne pas dire que le départ d’Angot n’apportait « rien sur le fond » et donc vider de son sens la réaction de l’écrivain. L’élégance aurait et de ne pas scénariser en amont un échange qui avait déjà tout de tragique pour le rabaisser au niveau d’un vulgaire clash comme la télé sait les organiser. Avec en plus, cette façon de sous-entendre qu’un désaccord entre deux femmes est au mieux une simple bataille de chiffonière. Les termes « harpies », « hystériques » et « folles » n’auront d’ailleurs pas tardé.
On s‘attendait donc à assister à une scène d’une violence inouïe. À une mise à mort. Un ami me confiait : « Je pensais presque qu’Angot avait pété les plombs et tapé sur Rousseau. » Mais en regardant l’échange –long, ample, fourni, et ne se résumant certainement pas à quelques phrases tirées de leur contexte qui ont permis à plusieurs sites web de continuer à faire leur beurre–, on réalise que ça n’est ni un clash, ni une altercation, et certainement pas un « bad buzz ». On a assisté à la rencontre de deux souffrances. Et constaté qu’une douleur + une douleur, ça ne s’annule pas.
Ici, Claude Askolovitch écrit pourquoi « il ne faut pas condamner Angot pour les larmes de Rousseau ». Que ce sont bien deux souffrances, mais aussi deux manières de les intellectualiser qui se trouvent confrontées, sans jamais se rejoindre.
Pas une grande communauté de victimes
Pour Rousseau, il faut « parler ». Pour Angot, il faut se « débrouiller ». Et il y a, je crois, eu un grand malentendu sur l’emploi de ce verbe : « se débrouiller ». Angot n’impose pas, elle constate. Que quand on a été victime d’une agression sexuelle, on est seul, on se démerde. C’est terrible oui, mais c’est comme ça. Elle n’intime pas à Rousseau l’ordre de se taire, elle lui dit de lui foutre la paix, et à elle, et à toutes les autres victimes (Angot a été victime d’inceste paternel). De ne pas appeler à former une grande communauté de victimes, car chacun(e) doit se débrouiller. En écrivant des livres, en militant, en ne faisant rien…
Tout cela est trop compliqué et trop peu commode : ça va beaucoup plus vite de décréter qu’il y a de bonnes et de mauvaises victimes. De décider que certaines sont audibles et légitimes, et d’autres trop dures
Elle essaie aussi de nous dire quelque chose, et on est passés à côté. « Parler » n’est pas nécessairement moins violent que « se débrouiller ». Il y a, sur ces questions des violences faites aux femmes, une injonction à dire. Il suffit de voir ce que les femmes victimes de viols et d’agressions entendent systématiquement : « Porte plainte ! il ne faut pas se taire ! Sinon, cela arrivera à d’autres et cela sera de ta faute. » Voilà comme on passe de victime à coresponsable, simplement parce qu’on a préféré se taire, pour les raisons que ne devraient appartenir qu’à nous.
Rousseau, elle, croit au collectif. Elle est optimiste, ou en tout cas, y met toutes ces forces. Elle veut que la parole se libère. Et dit comme ça, on ne peut qu’être d’accord. D’ailleurs, je suis d’accord avec les deux. Je comprends Angot et je comprends Rousseau. Même s’il est vrai, qu’après avoir vu l’échange, j’ai ressenti une peine immense pour Sandrine Rousseau, davantage que pour Angot, que je sens et sait plus costaude.
Choisir son camp, pourquoi ?
La question est de savoir qui nous a demandé nos avis. Pourquoi devrait-on choisir ? Pourquoi devrait-on élire notre victime préférée et disqualifier l’autre ? Peu importe que Sandrine Rousseau elle-même ait pris soin de préciser que ce n’est pas Angot qui l’a fait pleurer. Tout cela est trop compliqué et trop peu commode : ça va beaucoup plus vite de décréter qu’il y a de bonnes et de mauvaises victimes. De décider que certaines sont audibles et légitimes, et d’autres trop dures. Que leurs traits, leur rage, ne collent pas avec l’idée qu’on se fait d’une femme abusée. Nécessairement démolie mais vaillante.
On a le sentiment aussi que l’imaginaire collectif veut décréter la sororité obligatoire. Que la solidarité féminine doit aller de soi. Et qu’une femme qui s’en prend à une autre femme est une traitresse. Un homme admonestant une femme sera bien souvent moins accablé. Une femme qui crie sur une femme, et c’est une faute morale, un canif dans le contrat qui ferait des femmes des sœurs unies dans la douleur. Contrat qu’on a jamais signé. Il est sidérant aussi de constater que les auteurs –supposés ou non– des violences dont Angot et Rousseau parlent, ont été eux, extraordinairement épargnés par les commentateurs.
L’ironie de la chose, c’est que ceux qui se sont découverts une fibre féministe (coucou Rémi Gaillard) se sont pourtant acharnés sur Angot avec fiel et sexisme.
Torrents de haine
Il existe sur Facebook un événement « Cours de self contrôle avec Christine Angot ». Je m’y suis abonnée pour voir. Et c’est bien ce que je redoutais : blagues misogynes, remarques odieuses sur le physique, posts débiles sur Angot « qui a ses règles », des « Christine sera notre punching-ball ». Pour de nouveaux hérauts de la lutte contre les violences faites aux femmes, c’est assez cocasse.
Pour finir, ce moment n’a rien a voir avec « TPMP » ou « Salut les Terriens », monuments de dégueulasserie cathodique. Ce moment est un crève-cœur, parce qu’on est impuissant face à tant de souffrances. Il est aussi symptomatique de notre besoin de choisir un camp, de façon forcément binaire : il faut être #TeamQuelquechose. C’est finalement la façon dont les femmes doivent réagir à la violence qui a été commentée ; pas les auteurs de violences. Ce qui donne tristement raison à Angot : « C’est tellement compliqué de parler. »
Très bon article de Nadia Damm, la chroniqueuse de 28mn, que je partage. Merci @vanderling
▻https://www.franceculture.fr/emissions/la-chronique-de-jean-birnbaum/la-chronique-de-jean-birnbaum-jeudi-5-octobre-2017
Moi qui aime profondément Angot et ses textes, et qui supporte mal les attaques obscènes dont elle est la cible depuis si longtemps, je me suis souvenu d’un échange que nous avions eu, au cours duquel je lui avais demandé pourquoi elle n’avait jamais porté plainte contre son père qui avait abusé d’elle sexuellement. Elle m’avait révélé qu’en réalité elle avait porté plainte, juste avant ses 28 ans, avant la prescription. Elle avait été bien reçue par un commissaire qui lui avait expliqué que, vu l’ancienneté des faits, son père ne serait sans doute pas condamné. Angot avait donc renoncé et des années plus tard, me racontant cette scène, elle avait conclu, je la cite : « Je vous le dis, il n’y a qu’une seule chose de valable, c’est la littérature. La justice, la police, ce n’est rien. Il n’y a pas de vérité hors de la littérature ».
Sauver Angot ! Après l’essorage de Sandrine Rousseau par Christine Angot et Yann Moix chez Ruquier, après le cyber-lynchage consécutif d’Angot, ils sont deux à tenter de sauver l’écrivaine, sur le site Slate.
D’abord, Claude Askolovitch, de la revue de presse de France Inter. Puis Nadia Daam (notamment chroniqueuse sur Europe 1). Ils disent sensiblement la même chose. Oui, Sandrine Rousseau a souffert, mais Christine Angot aussi. Souffrance contre souffrance. Que n’ont-elles réussi à se parler ! D’ailleurs, le terrible "on se débrouille, c’est comme ça" d’Angot, n’est pas vraiment un "on se débrouille, c’est comme ça", tente d’expliquer Daam. On l’aura mal comprise. Alors reprenons.
Oui, Angot a souffert. Et elle en a fait un très grand livre, "L’inceste" (paru en 1999), suivi d’un autre, "Une semaine de vacances", paru en 2012. Oui, Angot est (à mon sens) un écrivain français majeur d’aujourd’hui. Mais parmi tous ceux qui auront vu l’agression insensée (et incompréhensible, après montage-charcutage) dont a été victime Sandrine Rousseau sur le plateau de Ruquier, qui l’auront vue en direct, en replay, dans les videos promotionnelles, qui en auront entendu parler dans les buzz préalables orchestrés par la prod de l’émission, combien SAVENT qui est Christine Angot ?
Combien l’ont lue ? Un sur dix ? Un sur cinq ? Ce serait déjà énorme. Pour eux, cette personne hystérique est une snipeuse de Ruquier comme avant elle Salamé, Polony ou Pulvar. C’est une voix de la télé publique, rien de plus, rien de moins. Le message délivré par la télévision publique, par la chroniqueuse de la télévision publique, aux victimes d’agressions sexuelles, notamment de la part des puissants, et sans aucune atténuation de l’animateur sur le plateau, restera donc : face aux agressions sexuelles, "on se débrouille, c’est comme ça".
Mission de la télé publique
Autrement dit, rien à faire. Personne à qui parler, Aucune instance à laquelle s’adresser. Aucun recours. Aucune aide, aucune solidarité à attendre, aucun espoir. Rien. La soumission à la loi du mâle est immémoriale, pourquoi ça changerait ? Si tu en es capable, tu fais un livre. Sinon tu te débrouilles. C’est comme ça. Ce message est d’abord profondément de droite. Le "c’est comme ça", c’est la plus pure définition de la droite (la définition de la gauche étant par exemple "et si ça pouvait être autrement ?").
Comme le dit très bien Clémentine Autain, si nous aspirons à être sujets de nos vies, c’est précisément pour que ce ne soit plus « comme ça ». Le point de vue politique est celui qui n’accepte pas la résignation et qui, loin de laisser chaque femme se débrouiller seule avec le violeur, entend fonder une réponse collective". Au moins, le "c’est comme ça" est-il cohérent avec la récente évolution vallso-macronienne d’Angot.
Mais le "c’est comme ça" est surtout profondément incivique. Le harcèlement sexuel est puni par la loi. Non, le crime organisé, c’est pas "comme ça". La haine raciale, c’est pas "comme ça". La torture, c’est pas "comme ça". La fraude fiscale, c’est pas "comme ça". Il y a des lois nationales, des lois de la guerre, du droit international. La mission de la télévision publique est-elle d’en proclamer l’inefficacité radicale et absolue ? Le CSA a été saisi par le gouvernement. A lui de dire si la télé, "c’est comme ça".
▻http://tempsreel.nouvelobs.com/rue89/rue89-nos-vies-connectees/20171003.OBS5457/le-on-se-debrouille-c-est-comme-ca-d-angot-profondement-inciviq
Pour celleux qu’auraient pas compris, je conseille de passer en mode essorage rapide sur RTL.
▻http://www.rtl.fr/emission/les-grosses-tetes
N°1 en France, RTL affiche une audience confortable de 12,2% avec une durée d’écoute élevée de 2H25 en moyenne, faisant mentir ceux qui prédisaient la chute de la maison de la Rue Bayard avec le vieillissement de son auditoire. Le meilleur exemple de sa recette gagnante est le rajeunissement des « Grosses Têtes » qui se sont appuyées sur l’arrivée de Laurent #Ruquier pour renouveler avec succès la formule de l’émission culte de Philippe Bouvard.
Pas de doute, on est bien en France !
Le Crous de Rennes annule une expérimentation de « lits connectés » dans une cité universitaire
►http://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/09/07/le-crous-de-rennes-annule-une-experimentation-de-lits-connectes-dans-une-cit
Des étudiants surveillés jusque dans leur lit. Un article du quotidien Ouest-France, publié sur son site Internet et qui faisait la « une » du journal jeudi 6 septembre, rapportait une étrange expérimentation dans la résidence universitaire Maine 1, à Rennes. Une dizaine de lits escamotables de cette résidence, récemment rénovée, ont été équipés de capteurs électroniques afin d’analyser l’usure des lits et de planifier les travaux de maintenance.
Conçu par une filiale de la PME vendéenne Espace Loggia, ce dispositif doit permettre d’effectuer des opérations de maintenance préventive et d’éviter les dégradations. Mais, comme le souligne Ouest-France, la présence de capteurs sur un lit suscite également de vives inquiétudes pour la vie privée des étudiants concernés, d’autant plus que, selon le quotidien, qui cite le patron de l’entreprise, les capteurs seraient capables de déterminer qu’un grand nombre de personnes est assis sur le lit, ou encore d’envoyer « en cas d’urgence » un SMS à un agent technique.
Des propos démentis le lendemain par Espace Loggia, qui affirme ne jamais avoir dit que son outil permettait de faire cela – et qui assure que ses capteurs ne constituent pas un outil de surveillance. « L’objectif, c’est de faire de la maintenance à long terme de lits escamotables ; nous ne sommes pas Google, nous ne cherchons pas à savoir ce que font les étudiants », explique l’entreprise au Monde, qui ajoute par ailleurs que le programme de collecte des données n’a pas démarré, et que ces dernières seraient « anonymisées ».
Il y a eu « pire » dans le passé même pas si lointain aux Usa grande démocratie devant l’Eternel, Canada, Israel, Uk : ▻https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201609281027963256-laboratoires-secrets-experiences-humains des orphelins au Canada servaient de cobayes aux laboratoires en toute impunité, ils étaient « prêté » par les responsables religieux de l’orphelinat : ▻https://fr.sputniknews.com/opinion/201512151020295660-orphelins-duplessis Israel juste après la seconde guerre des enfants de déportés enlevé à leurs parents et des enfants de juifs yéménites « jugés » "noirs" également victimes des laboratoires ou instituts privés :►https://www.letemps.ch/monde/2017/07/16/terribles-experimentations-jeune-israelien enfants sépharades considérés comme « inférieurs » disparus dans le même cadre : ►https://www.letemps.ch/monde/2016/06/23/enigme-enfants-juifs-sefarades-disparus Horrible quand on sait que les nazis faisaient des expérimentations ! Usa enfants cobayes pour la recherche sur le SIDA scandale : ▻https://www.dailymotion.com/video/xzfcu9
Ces #capteurs mesurent trois points : l’usure des câbles, l’état des fixations murales et la présence de parties déformées. [...]
À ceux qui se demandent pourquoi ce choix d’un lit qui flirte avec #1984, plutôt qu’une conception plus solide, Paul Malignac rétorque : « la confiance n’exclut pas le contrôle. On fait confiance aux ascenseurs ou aux avions, mais on est bien content que des vérifications soient faites ».
▻https://www.nextinpact.com/news/105122-big-brother-dans-lits-connectes-detudiants-la-reponse-concepteur-
#iot
Dormez tranquille braves étudiants.
▻http://affordance.typepad.com//mon_weblog/2017/09/dormez-crous-rennes.html
Le problème réside dans la rhétorique utilisée pour se dédouaner de toute utilisation abusive à des fins de surveillance, rhétorique qui est, hélas, parfaitement caractéristique des arguments des tenants d’une surveillance et d’un fichage généralisé.
Différents capteurs sont effectivement installés sur ces lits connectés, de fait des lits escamotables, bardés de plusieurs pièces techniques. « L’idée est de mieux anticiper d’éventuels dysfonctionnements avant même que la panne ne soit perceptible par l’utilisateur » veut tempérer le patron de cette PME (...)."
Bingo. Détecter des dysfonctionnements avant qu’ils ne se produisent, ou avant même que l’utilisateur ne les observe ou ne les ressente, c’est justement ça le principal danger et la première caractéristique d’une société de surveillance. Car précisément cela justifie rétroactivement une surveillance globale, permanente, et entérine le constat selon lequel on ne fait pas une omelette de surveillance efficace sans casser des centaines de milliers d’oeufs de faux-positifs très problématiques. Ou pour le dire autrement, si vous n’avez rien à vous reprocher, vous n’avez pas à avoir peur d’être surveillés. Ben si justement.
[...]
Ce que l’on tente de nous faire accroire, c’est que le contrôle est le préalable causal hors lequel aucune confiance ne peut être établie. […] C’est d’ailleurs pour cela que l’on "donne" ou que l’on "accorde" sa confiance. Mais on ne "donne" pas un contrôle. Par nature et par essence le contrôle s’établit sur la base d’un désaccord supposé ou postulé. L’inverse donc de la confiance. *Choisir de contrôler c’est choisir de ne pas faire confiance.*
▻https://www.dailymotion.com/video/x1lsrww_cecile-obligi-la-legende-noire-de-robespierre_school
Cécile Obligi, historienne et conservatrice à la BNF, s’attaque au cliché tenace d’un Robespierre despote et « bourreau de la Vendée ».
L’invité de la rédaction - Maurice Lemoine
▻https://www.dailymotion.com/video/x5ssjct
MORTS A 100%, Jean Lefaux et Agnès Guérin (1980 – 55 mn). #Vidéo
▻https://dechvideo.wordpress.com/2016/05/03/edition-dvd-morts-a-100-et-bonus-video-dechvideo-et-hors-sol-20
“Bilan d’une vie de travail et d’exploitation qui, comme tous dans le bassin, ont cru au mythe du mineur héroïque dans le travail et dans la lutte. Ce mythe auquel ont contribué largement les partis politiques de gauche et les syndicats s’effondre sans lutte dans la mort du bassin du Nord-Pas-de-Calais. Les mineurs s’interrogent et se demandent comment ils ont pu contribuer à leur propre exploitation et à leur propre mort, la silicose.” (résumé paru dans Images documentaires).
Ce documentaire fut produit par les Films du village, coopérative parisienne fondée en 1977 par Yves Billon et Jean-François Sciano. Les témoignages d’anciens mineurs et d’une épouse ainsi que l’apport critique des auteurs bousculent la mythologie du mineur.
▻https://www.dailymotion.com/video/x48fbfa
Les témoignages de Morts à 100 % portent une parole très critique d’anciens mineurs et d’une épouse, dont Jules GRARE. Mineur de 1938 à 1969, ce dernier est également auteur du livre autobiographique Ma vie à Liévin (1977). Ce bonus évoque ce mineur retraité dans la décennie 70, en compagnie de Jacques Lacaze qui l’a côtoyé durant cette période. Un révolté devenu une icône de la mine, à l’instar du Centre Culturel et Social de Liévin qui porte son nom. Mais est-ce bien le révolté de Morts à 100 % qui a fait mémoire ?La structure du documentaire Morts à 100 % et sa révélation de la mythologie du mineur dégagent des similitudes avec des œuvres culturelles réalisées à la même époque au Centre d’Animation Culturel (CAC) de Douai. Association créée en 1971 par Roland Poquet sous le nom de « Maison de la culture sans murs » et renommée Centre d’Action Culturelle en 1974, financé par l’État à travers le FIC (Fonds d’Intervention Culturel), le CAC fut particulièrement dynamique quant à l’univers de la mine. Au tout début des années 80, il développa un vaste programme culturel intitulé « Mythes et identités culturelles dans le bassin minier ». Un “QG” lui est même consacré dans une maison des Houillères à Flers-Escrebieux. Ancré dans une dynamique d’éducation populaire, ce programme également étiqueté « Animation bassin houiller » donne lieu à videos, pièces de théâtre (dont le montage de textes contradictoires Mine de riens), expositions et autres activités. La diffusion de ces œuvres est entreprise dans plusieurs communes du bassin minier, du Douaisis jusqu’au Bruaysis (MJC, arrières-salle de café, salles communales …). Néanmoins l’accueil fut parfois hostile …
Interpellé par cette dynamique culturelle extrêmement méconnue de nos jours et par son caractère dérangeant, Dechvideo est parti à la rencontre de personnes ayant participé à l’aventure du CAC de ce début des années 80 (dont son fondateur Roland Poquet). Elle révèle une approche culturelle originale du monde de la mine. En écho à Morts à 100 %, sa pertinence demeure-t-elle de nos jours ? Ne questionne-t-elle pas jusque dans notre présent où « LA » mémoire minière constitue l’un des leitmotiv et accompagnateur privilégiés des chantiers de « renouveau » du bassin minier (UNESCO, pôles culturels, Mineurs du monde, Louvre-Lens …) ? En prolongement de la thématique initiale du bonus, des propos d’autres intervenants sont glissés dans le reportage.
#mineurs #mines #charbon #Documentaire #Liévin #Flers-Escrebieux #houillères #louvre-Lens #Hors sol
Ne tirez pas sur les novices ! LGS - Théophraste R. (Nourrice) - 31 juillet 2017
▻https://www.legrandsoir.info/ne-tirez-pas-sur-les-novices.html
Sur BFMTV, Pierre-Yves Bournazel, député LR du XVIIIème arrondissement de Paris, a déclaré : « Il y a 90% de nouveaux députés LREM, inexpérimentés. Il faut que les députés de la France insoumise en tiennent compte et les laissent tranquilles ».
En vérité, ils le font avec une mansuétude qui n’atteint pas les gens de peu, les sans-dents, vachards, rigolards, se passant des vidéos, à mourir de rire, sur des députés LREM.
▻http://www.dailymotion.com/video/x5v6k5a
Pour Bournazel, qui louche vers Macron, il faut, en fait, que les députés de la FI, nouveaux à 100 % dans l’hémicycle (même si quelques-uns ont eu des mandats électifs ailleurs) arrêtent, par leurs interventions argumentées et courtoises, de faire honte aux novices de LREM dont on commence à voir (chez beaucoup trop), non seulement l’ignorance (temporaire, mais qui dure trop), mais aussi l’incompétence, le dilettantisme, l’apathie en séance et, last but not least, l’absentéisme qui frôle les 100% chez certains et le robotisme chez les autres qui applaudissent n’importent quand, votent comme on leur a dit, sauf quand, n’ayant pas compris, ils votent contre quand LREM est pour. Ha ! Ha !
Avec eux, le fameux « principe de Peter » est entré à l’Assemblée nationale. Il stipule : _ « Tout employé a tendance à s’élever jusqu’à son niveau d’incompétence. Il en résulte que les postes importants sont occupés par des individus incapables d’en assumer la responsabilité ». *
Théophraste R. (Nourrice).
Jeanne Moreau - Moi je préfère
▻https://www.youtube.com/watch?v=9CBstGGimf0
vidéos trouvées ici :
▻http://www.ina.fr/video/I00019038/jeanne-moreau-sur-ses-debuts-a-la-comedie-francaise-video.html
▻http://www.ina.fr/video/I00002467/jeanne-moreau-a-propos-de-l-avortement-video.html
▻https://www.dailymotion.com/video/xj3mz0
Le #fleuve #Adour raconte son histoire…
La carte de la France l’atteste, l’Adour traverse quatre départements du Sud-Ouest. Mais qui connaît l’histoire de ce fleuve domestiqué très tôt, notamment pour le #transport de marchandises (surtout les vins gascons), puis oublié et que l’on s’efforce depuis peu de reconquérir dans une problématique qui s’inscrit dans un triptyque eau, territoire et société.
Et au milieu coule l’Adour :
▻https://www.dailymotion.com/video/x58pa8d
L’inclusion professionnelle à l’heure digitale avec Simplon.co | Observatoire européen de l’Économie sociale
▻http://www.ess-europe.eu/fr/bonnepratique/linclusion-professionnelle-lheure-digitale-avec-simplonco
Ce lundi 5 mars, la chaîne Public Sénat diffusait un nouvel épisode de C’est vous la France, intitulé « Simplon : numérique et solidaire ». Interviews des fondateurs, impressions d’apprenants et témoignages d’anciens élèves nous en apprennent plus sur ce qu’est une formation express et inclusive au coding.
Simplon, nous vous en parlions précédemment. Start-up d’origine francilienne partie à la conquête du numérique, l’entreprise de l’économie sociale et solidaire propose des formations gratuites de 7 mois à la programmation. Avec une attention toute particulière portée au progrès social, l’entreprise-école forme des populations restées à l’écart du marché du travail et s’applique à respecter la parité hommes-femmes. Simplon, en somme, c’est la conviction que la nouvelle économie est l’opportunité à saisir d’une société plus inclusive.
Simplon, on y parle code, y mange code et y rêve code à la manière des bootcamps américains. La solidarité en plus.
Un documentaire à voir, vraiment !
Simplon : Numérique et solidaire | Public Senat
▻https://www.publicsenat.fr/emission/c-est-vous-la-france/simplon-numerique-et-solidaire-54668
Ce que j’ai trouvé vraiment intéressant dans ce doc, c’est la façon avec laquelle le responsable de la formation vend les profils de ses étudiants à un chasseur de têtes, en lui expliquant que leurs parcours atypiques (réfugiés, femmes) les rend plus intéressants pour une société (en terme de RH) que des étudiants jeunes mâles blancs issus d’écoles « classiques ».
Sur Toulouse, j’ai vu passer des discussions sur un Slack où l’école Simplon fait appel à des développeurs expérimentés, ou qui maitrisent une techno actuelle (node.js, react, des trucs comme ça) à venir faire des « talks », des sortes de conférences, pour présenter leur technos et méthodes aux étudiants.
Le côté bénévole en a fait tiquer certains, mais plusieurs dévs qui l’ont fait avaient des retours très positifs.
dans un esprit similaire (?)
▻https://wildcodeschool.fr
(Et quand on voit le nombre et le nom des entreprises partenaires de simplon, on peut se poser quelques questions.)