Femmes ( suite)
Regardant ce soir 5 mars 2013 le film sur Fukushima deux années après la catastrophe, je me souviens des interventions publiques d’Anne Lauvergeon couvrant alors d’hommages répétés la compagnie japonaise Tepco responsable avec le pouvoir politique de ce désastre laissé sans solution.
Cette française si ambitieuse qui depuis a obtenu -parmi d’autres prébendes- je ne sais quelle sinécure concernant le « développement durable » provoque chez moi un dégout irrésistible et un mépris sans limite. Pure horreur.