YouTube - Broadcast Yourself.

https://www.youtube.com

  • La journaliste Ariane Lavrilleux en garde à vue : les soutiens se multiplient
    https://www.youtube.com/watch?v=U8ThafV3jWc

    « Journaliste arrêtée : démocratie en danger » : une centaine de personnes se sont rassemblées mercredi à Paris en soutien à Ariane Lavrilleux, placée en garde à vue depuis mardi après avoir notamment révélé fin 2021 un possible détournement par l’Egypte d’une opération de renseignement française.

    « Ca fait 37 heures qu’elle est en garde à vue, 37 heures c’est énorme », a déclaré Magali Serre, présidente de Disclose, le média qui avait publié son article. « Il y a une volonté de découvrir sa source et de nuire à la liberté de la presse et la liberté d’informer », a-t-elle poursuivi lors du rassemblement convoqué place de la République par Reporters sans Frontières (RSF), les syndicats de la profession (SNJ, SNJ-CGT, CFDT-Journalistes) et Disclose.

    « C’est surtout un message limpide à l’égard de tous les journalistes français, de (la part de) l’Etat français, qui leur dit : si vous enquêtez sur des secrets d’Etat, vous risquez de terminer comme Ariane Lavrilleux, en garde à vue, à dormir en prison, à subir des pressions constantes des policiers de la DGSI. »

    Disclose avait affirmé dans un article publié en novembre 2021 que la mission de renseignement française « Sirli », entamée en février 2016 au profit de l’Egypte au nom de la lutte antiterroriste, avait été détournée par l’Etat égyptien qui se servait des informations collectées pour effectuer des frappes aériennes sur des véhicules de contrebandiers présumés, à la frontière égypto-libyenne. A la suite de cette publication, le ministère français des Armées avait porté plainte pour « violation du secret de la Défense nationale ».

    Disclose a précisé mercredi, sur X, que selon ses informations, « les enquêteurs de la DGSI reprochent à [la] journaliste d’avoir signé 5 articles sur les ventes d’armes françaises à l’étranger, publiés dans le média depuis 2019 ».

    A la fois média d’information et ONG, le site d’investigation Disclose (divulguer, en français) a été fondé en 2018 par deux journalistes d’investigation. Son financement repose exclusivement sur les dons de lecteurs ou de fondations philanthropiques garantissant son indépendance éditoriale, explique Disclose sur son site, où toutes ses enquêtes sont en libre accès.

  • We are coming, chronique d’une révolution féministe

    Un long-métrage documentaire de #Nina_Faure qui raconte de l’intérieur la montée en puissance du mouvement féministe.
    Un récit à la fois intime et collectif.

    💜 Soutien, prévente : https://www.wearecoming-lefilm.fr

    👀 Dispo 1 mois sur youtube : https://www.youtube.com/watch?v=PmM-vGUQ4j4

    Une nouvelle génération politise les enjeux autour du corps, de la sexualité et des rapports de genre. Pour deux amies, Nina et Yéléna, cela commence par une prise de conscience. Avec quelques autres, elles se demandent pourquoi, dans une société qui prétend que l’égalité des sexes est déjà là, l’accès au plaisir est si difficile. Elles organisent des groupes de parole, découvrent Notre corps, nous-mêmes, un manuel féministe historique qui leur ouvre de nouvelles portes d’analyse. Elles vont à la rencontre d’enseignantes, éducatrices, sociologues pour tracer pas à pas ce qui finira par être un vrai plan d’attaque. De plus en plus impliquées dans les luttes qui se soulèvent partout, au cœur de ce mouvement féministe qui déferle, elles découvrent un plaisir jusqu’ici insoupçonné, celui de poursuivre une émancipation collective. Le plaisir d’abolir le patriarcat, tout simplement.

    #feminisme #documentaire #revolution #emancipation

  • (1) 🔦 [Jacqueline Bloch] Dompter la lumière - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=xF0n4xO5EjY

    La lumière se propage dans le vide à la vitesse la plus grande permise par la physique et tel un animal sauvage, il peut sembler impossible de stopper sa course, de la contrôler. Et pourtant on peut la piéger dans des petites cavités, la faire passer d’une cavité à l’autre à volonté, et modifier complètement ses propriétés. Avec Jacqueline Bloch, directrice de recherche au CNRS et membre de l’Académie des Sciences.

  • MANU ROI


    Acte 49.3, Scene 2358573 Manu Roi à la messe ( Manu roi, une meute de chiens, le pape, un banc de maquereaux, une troupeau de bovins sont dans une église, à l’extérieur un petit groupe de fennec observe la scène )

    Les chiens de Manu hurlant : La liberté c’est l’esclavage. La guerre c’est la paix
    Manu : La laïcité, c’est l’Église catholique de France !
    Les chiens applaudissent Manu et grognent en direction des fennecs .
    Les bovins en cœur : La laïcité, c’est l’Église catholique de France !

    Manu ( à genoux, un chapelet à la main et la bouche pleine d’hosties consacrées ) : Je n’aurai moi-même pas de pratique religieuse lors de cette messe. ( fait le signe de croix )
    Le troupeau fait le signe de croix. Les chiens attaquent les fennecs pendant que Manu danse avec le Pape en faisant des clins d’œil soutenus aux veaux les plus jeunes.

    La Macronny c’est tout comme du Jarry
    cf - https://seenthis.net/messages/1017154
    –----

    Manu Roi - casting
    https://www.youtube.com/shorts/NTpsZw4J6Ek
    Manu Roi au pays des merveilles
    https://www.youtube.com/shorts/daNC4cOYEOg
    Merci Bernard !
    https://www.youtube.com/shorts/f4VqT4TpMT4

    #Manu_roi

  • Belinda Davids sera à Paris le 17 novembre 2023 à la Salle Pleyel pour un show exceptionnel hommage à la reine de la soul Whitney Houston.
    La diva sera réincarnée par la chanteuse Belinda Davids qui est l’une des seules chanteuses contemporaines à posséder une tessiture de quatre octaves nécessaire pour interpréter le répertoire et les plus grands titres de Whitney Houston tels I Will Always Love You.

    Réservations : https://www.sallepleyel.com/evenement/belinda-davids-the-greatest-love-of-all

    https://www.youtube.com/watch?v=3qi1jx6E54Y

  • Hello ! On n’a pas beaucoup entendu parler de l’ouverture de la chasse cette année. Une piqûre de rappel s’impose pour honorer le rôle crucial de nos amis #chasseurs-préleveurs dans le microcosme politique corrompu ; ces gens qui adorent « la nature » et les animaux mais aussi (et surtout) les armes !

    Friend of the Lobbies #3 - Hunting - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=FGR9VUcvgY8

    (source : https://piaille.fr/@Neoresistant@mamot.fr/111084686045194322)

  • 1969 : Herbie Mann, The Battle Hymn Of The Republic
    https://www.youtube.com/watch?v=DJT_acVUjV4

    as mentioned in Hunter S Thompson’s The Battle of Aspen

    His version of “Battle Hymn of the Republic” was American author Hunter S. Thompson’s campaign music in 1970 when he ran for sheriff of Pitkin County. It is also on the soundtrack to Wayne Ewing’s Breakfast With Hunter.

    Herbert Jay Solomon (April 16, 1930 July 1, 2003), better known as Herbie Mann, was a Jewish American jazz flautist and important early practitioner of world music. Early in his career, he also played saxophones and clarinets (including bass clarinet), but Mann was among the first jazz musicians to specialize on the flute and was perhaps jazz music’s preeminent flautist during the 1960s.

    Remembering the Turbulent Life of a ’Gonzo’ Writer
    https://www.npr.org/2007/11/18/16339490/remembering-the-turbulent-life-of-a-gonzo-writer
    des interviews audio

    November 18, 2007 - Seymour, a young staffer at Rolling Stone who idolized Thompson, was supposed to meet Thompson at his airline gate, but Seymour missed him. Instead, he found Thompson sitting by himself on the floor in baggage claim. When Seymour extended his hand in greeting, Thompson demanded Seymour help him off the ground.

    It was the beginning of a relationship that would last more than a decade. Seymour became Thompson’s assistant and was soon part of Thompson’s world — a world that included drugs, heavy drinking, rock stars, writers and artists. In a new book, Seymour and Jann Wenner, the founder, editor and publisher of Rolling Stone, recount the turbulent life of the journalism pioneer best known for Fear and Loathing in Las Vegas.

    Their work, Gonzo: The Life of Hunter S. Thompson, is an oral biography that features interviews with Thompson’s inner circle, including his ex-wife, his son, actors Johnny Depp and Jack Nicholson and old friends. Wenner and Seymour also trace how Thompson grew from a reactionary “Gonzo” journalist — using a style of writing where he injected himself into the story — to a writer who defined his generation.

    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Battle_Hymn_of_the_Republic

    The “Battle Hymn of the Republic”, also known as “Mine Eyes Have Seen the Glory” or “Glory, Glory Hallelujah” outside of the United States, is a popular American patriotic song written by the abolitionist writer Julia Ward Howe.

    #USA #politique #musique #journalisme #gonzo

    • Il y aurais des « bébés trans » et on devrait les repéré en prénatal... Et aider les prises d’hormones pour des mineurs et accéléré les interventions chirurgicales. Tu peu pas voter ni te faire tatoué mais te faire détruir le corps à coup d’hormones et sous le bistouri de chirugiens vereux tout est ok
      #terf #sexisme

    • Yop, je ne suis pas sûr qu’on ait compris la même chose, il me semble bien que quand elle dit ça, elle parle de gens qui se sont découverts et qui commencent leur parcours de trans : c’est ça qu’elle appelle les bébés trans !

      Pour le reste ya plusieurs choses qui me questionnent ou avec lequel je ne suis pas d’accord, mais peu importe, c’est parce que majoritairement l’argumentation tranche complètement avec d’autres et qu’elle critique l’identité intérieur comme concept politique, et qu’elle pense qu’il faut bien se baser sur comment la société, les autres gens, nous traitent et/ou nous maltraitent, càd bien binairement en tant qu’hommes ou femmes.

    • La formule est pas terrible, d’autant plus qu’elle l’utilise après avoir affirmé qu’elle aurais du etre écouté plus jeune, prendre des bloqueurs de puberté (donc avant ou pendant la puberté) et acceleré sa transition chirurgicale. Pour les nuances que tu fait effectivement c’est un peu plus construit que le discours transactiviste mais j’ai pas pu écouté en entier, son adresse aux « terfs » a eu raison de moi.

    • Le coup des TERF d’entrée de jeu, évidemment…

      – J’ai tendance à trouver cette histoire de « matérialisme trans » assez artificielle (ici, en l’introduisant comme une réponse aux critiques venues des TERFs, ça aurait même le don de la rendre encore plus artificielle). C’est pas inintéressant, parce que pourquoi pas, classe sociale des hommes et des femmes, donc la transition comme changement de classe sociale, mais je ne trouve pas ça concluant pour autant. Par analogie : personne racisée, on peut aussi considérer qu’il s’agit de classe sociale, et dans ce cas, Michael Jackson qui se blanchissait, certes c’est sa liberté, mais est-ce la façon de dépasser le racisme que la lutte contre la négrophobie a envie de promouvoir ? Et à l’inverse, je pourrais décider d’avoir l’apparence d’une personne noire, et revendiquer ainsi que j’ai changé de classe sociale, et prétendre qu’ainsi je lutte contre les stéréotypes racistes et ce cis-patriarcho-raço-capitalisme qui ne reconnaît qu’une seule façon d’être noir ou blanc. Ce que je veux dire par là c’est qu’en introduisant la question de la classe sociale, certes on se donne un vocabulaire différent, mais je n’ai pas vraiment l’impression qu’on réponde à grand chose non plus avec ça.

      – J’ai l’impression qu’on reste encore à la question de l’identité tout en prétendant la dépasser : il s’agit toujours d’expliquer pourquoi elle est « une femme comme les autres » (c-à-d. autant qu’une femme cis). Ici non pas parce qu’elle se ressentirait de l’identité femme, mais parce qu’elle appartiendrait désormais objectivement à la classe sociale des femmes. Encore une fois, ça semble toujours largement déterminé par le fait qu’elle veut répondre à une critique des TERFs, à savoir si elle est complètement une femme, donc au final une question d’identité.

      – Il y a deux passages où j’ai trouvé qu’elle allait particulièrement vite et de manière pas du coup convaincante, sur des questions qu’elle introduit elle-même et alors que je ne suis même pas certain qu’il était indispensable d’aller par là. (1) Elle pose la question de savoir pourquoi, si ce n’est pas une question d’identité personnelle, une personne deviendrait trans : c’est il me semble là qu’elle utilise l’expression « bébé trans », et de mémoire c’est expédié en deux phrases et je n’ai pas trouvé ça bien intéressant. (2) Et l’autre passage franchement flottant qu’elle expédie vite fait, c’est qu’elle serait physiquement femme après la transition, et il n’y aurait que les chromosomes qui ne seraient pas modifiables, mais que de toute façon les chromosomes ne sont si importants que ça ; là c’est super-super léger (euphémisme). Ne serait-ce que parce qu’elle dit elle-même qu’on choisit soi-même son niveau de transition, donc là elle n’est pas loin de décrire qu’une « vraie » trans serait une personne opérée, alors qu’elle soutenait le contraire juste avant (le méchant médecin qui ne veut pas « fabriquer des brésiliennes »). Et surtout parce que ça fait l’impasse sur les caractères sexuels primaires, c’est-à-dire liés à la reproduction, et justement c’est ce qui pour les féministes est largement considéré comme le fondement du patriarcat : les hommes contrôlent le système reproductif des femmes.

      – Et surtout puisqu’elle annonce qu’elle se positionne comme répondant aux TERFs, il me semble qu’elle évite totalement les critiques habituelles. La question de l’identité et la critique de la théorie du genre sont évidemment importantes (déjà discuté ici). Mais ce qu’on entend largement, ce sont des problèmes « pratiques », sur l’impact que les revendications trans posent. La question de l’identité sexuelle ou de troubles psys qui risquent d’être détournés en « solution » trans (filles qui refusent les stéréotypes de genre, adolescent·es homosexuel·es, prévalence de troubles autistiques, hypothèse de la contagion sociale…), alors que la dysphorie de genre était un phénomène ultra-minoritaire. Lié à cette question de « simplifier » en transidentité ce qui pourrait relever d’autre chose, la question des bloqueurs de puberté, voire des opérations chirurgicales, avant l’âge adulte. Ensuite les risques que la simple « autodéclaration » fait peser sur les espaces féminins (toilettes, vestiaires, prisons). Puis la question du sport féminin, et le problème de l’inégalité de force physique entre mâles et femelles humaines. Mais aussi les conséquences sur l’exploitation des femmes qu’impliquent la prostitution et la GPA (autres revendications habituelles).

      – C’est d’ailleurs un intérêt de son intervention : en évacuant la question de l’identité personnelle, elle évacue aussi le fait que les TERFs, en critiquant la théorie du genre, seraient en train de nier l’identité même des gens, et de ce fait ça ouvrirait la porte à se comporter de manière un peu moins insultante. Par contre, elle introduit l’idée de matérialisme, mais ce faisant, elle se limite à la question de son identité de classe, mais elle occulte en quoi « matériellement », justement, certaines revendications du transactivisme impactent la classe sociale des femmes (perturbation du suivi statistique des inégalités liées au sexe, espaces protégés des femmes, protection contre les prédateurs, survie du sport féminin de haut niveau, exploitation et violence de la prostitution, marchandisation par la GPA). Et évidemment on dénonce d’entrée de jeu les médecins réactionnaires, mais on évacue les risques de la médicalisation (hormonale voire chirurgicale) précoce des adolescents. Donc « maintenant j’appartiens à la classe sociale des femmes », mais j’évacue les risques que certaines de des revendications trans impliquent pour cette « classe sociale » des femmes, des lesbiennes et des adolescent·es. (Et bien sûr je commence mon discours en insultant des femmes féministes, sinon je ne serais pas féministe.)

    • Je suis globalement d’accord, j’ai noté les mêmes points de désaccord, mais pour moi ce qui est important reste d’évincer au max (même si pas entièrement) la question de l’identité intérieure (comme une sorte de spiritualité), et se rebaser sur comment les autres dans la rue nous perçoivent, càd la vie en société à tel instant donné.

      Si déjà uniquement ce point c’était un peu plus partagé, alors on pourrait avoir des débats moins insultants, voire des débats tout court, quand bien même on serait pas d’accord sur plein d’autres points. Ça serait la base de départ d’être d’accord là-dessus.

    • Merci pour ton résumé critique @arno
      @rastapopoulos le soucis c’est que le ressenti de la personne est opposé comme un absolu et après cela on ne peu pas discuté du ressenti puisque c’est interieur à chacune. A mon avis c’est du domaine des psy (ou des religieux mais bof), et c’est avec un psy qu’on peu chercher ce qui fait qu’on se ressent d’être d’un certain genre ou autre.

      Pour la perception que les autres ont de notre genre choisi, c’est simplement jouer sur les apparences : changer sa garde-robe, se maquiller, épilé, modifié hormonalement, chirugicalement et civilement. Tout cela concerne des domaines economiques très juteux et le marché capitaliste adore le ressenti trans. Car les trans consomment énormément de tous ces produits dont l’offre s’élargit et ils représente potentiellement un marché captif à vie, ils sont très prosélyte.

      Au passage à un moment la conférencière dit qu’il faut arrêter de faire des hystérectomie aux hommes trans. Elle dit cela comme si les hystérectomies étaient faites par sadisme transphobe de la part des medecins, mais la prise de testostérone sur une période prolongée de quelques années pour une femelle de l’espèce humaine provoque l’apparition de fibromes, atrophie des tissus, ovaires polykystiques et risques de tumeurs à l’utérus et aux ovaires (entre autre pbl). Si les hommes trans sont stérilisés ce n’est pas par transphobie, mais c’est pour des raisons de santé liée à la dangerosité des hormones de transition et aussi de confort car ces atrophies et polykystes sont douloureux même si ils ne sont pas tous cancérigènes.
      source : https://entousgenresblog.wordpress.com/2020/02/21/666

      ici un article qui alarme sur la forte prévalence des cancer du col de l’uterus des hommes trans par manque de suivi gynecologique
      https://www.gyneco-online.com/colposcopie/prevention-du-cancer-du-col-uterin-chez-les-transgenres-hommes

  • #Grenoble_Alpes_Métropole : A Third Place for migrant newcomers

    Grenoble Alpes Métropole plans to implement a long-term strategy of migrant involvement through the use of the MUST-A-Lab co-design methodology (Policy Lab) that we wish to irrigate in our current policies at all levels and with Grenoble Alpes Métropole’s local partners. Thanks to MUST-A-Lab, Grenoble – Alpes Métropole will work to ensure a better response to the needs of migrants (and more specifically to those benefiting from international or temporary protection) in Grenoble Alpes Métropole, starting with the co-design of a Home of Hospitality.
    The project will serve to involve stakeholders who implement and think local policies of integration together with new stakeholders who have not previously been involved in the development of the city’s integration strategy, refugees and other newly arrived migrants.

    https://www.youtube.com/watch?v=uqo3Bervn8s


    #Grenoble #accueil #migrations #réfugiés #laboratoire_de_politiques_publiques #tiers-lieu #métropoles #France #must-a-lab #villes #accueil_local #laboratoires_politiques #hospitalité #vidéo #laboratoire_de_l'hospitalité #maison_de_l'hospitalité

  • San Franciscos Niedergang : Warum ich ausgerechnet hier an einen Witz aus DDR-Zeiten denken musste
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/san-francisco-innovativ-schoen-arm-li.388253

    L’auteur de ce récit de voyage constate une dégradation des conditions de vie en Californie comparable à la situation en #URSS autour de 1990.

    16.09.2023 von Rumen Milkow - Unser Autor hat sich San Francisco einmal genauer angesehen und festgestellt: Die lange Wartezeit bei der Passbehörde ist hier das kleinere Übel.

    Der bekannte Song „Are you going to San Francisco“ von John Phillips von The Mamas & The Papas aus den Sechzigern, bekannt in der Version von Scott McKenzie, besagt, dass man unbedingt Blumen im Haar haben sollte, wenn man nach San Francisco kommt, wo man einige „sanfte Menschen“ treffen würde.

    Wir hatten keine Blumen im Haar und die einzigen, die wir zu den frühen Stunden in den Straßen Downtown San Francisco antrafen, waren gebrochene Menschen, Drogenabhängige und Obdachlose, und das in großer Stückzahl. Überall roch es nach Urin, Kot und Erbrochenem.

    Die Bürgersteige ganzer Straßenzüge waren mit Zelten vollgestellt. Im letzten Jahr soll es sogar eine richtige Zeltstadt vor dem Rathaus gegeben haben, wie ich später erfuhr.
    Menschen leben in Zelten

    Dass ich ausgerechnet in San Francisco an einen Witz aus DDR-Zeiten denken würde, der mir sogleich im Hals stecken blieb, hätte ich mir nie träumen lassen. In dem Witz kommt Erich Honecker zurück von einem Staatsbesuch in der Mongolei, von dem er die Erkenntnis mitbringt, dass man außerhalb der Hauptstadt auch in Zelten wohnen kann. Der Witz war auf das DDR-Wohnungsbauprogramm gemünzt, das ins Stocken geraten war.

    Mit den Zelten waren die in der Mongolei bis heute üblichen Jurten gemeint. Die Straßen von San Francisco im Jahr 2023 sind nicht von Großfamilien mit Jurten bevölkert, sondern von Obdachlosen in Zelten. Viele haben auch nur einen Schlafsack.

    Meine Frau kommt aus Kalifornien, weswegen ich im Sommer zwei Monate dort war. Die Hauptstadt Kaliforniens, Sacramento, ist eine Stunde von Grass Valley entfernt, dem Heimatort meiner Frau. Grass Valley ist eine Kleinstadt im Nordosten Kaliforniens am Fuße der Sierra Nevada mit 13.000 Einwohnern.

    Braucht man einen Pass, so wie meine Frau, kann man ihn nicht in Grass Valley beantragen und auch nicht in Sacramento, sondern muss ins drei Stunden entfernte San Francisco fahren. Diese Praxis ist durchaus üblich in den USA. Manche müssen sogar in einen anderen Bundesstaat fahren, um an einen Reisepass zu gelangen.

    Die Wartezeit für einen neuen Pass betrug in San Francisco bereits vor Corona 9 bis 13 Wochen. Jetzt dürfte sie eher 13 Wochen plus X betragen. Nicht nur in Berlin hapert es mit der Personalausstattung der Behörden.

    Da meine Frau im Ausland lebt und wir wenige Tage später nach Berlin zurückfliegen wollten, bestand berechtigte Hoffnung, dass man dies als ausreichende Gründe akzeptieren würde, um in den Genuss eines Express-Services zu kommen. Ob man ihr auch wirklich innerhalb eines Tages einen neuen Pass ausstellen würde, das konnte ihr zuvor niemand bei der Passbehörde sagen. So machten wir uns auf den Weg nach San Francisco, um es herauszufinden.

    Diebstähle und Einbrüche an der Tagesordnung

    Zu früher Morgenstunde fanden wir zunächst ausschließlich Menschen, die in gewisser Weise „sanft“ waren, wie in dem bekannten Song beschrieben, allerdings eher im Sinne von abgestumpft und betäubt. Ein Grund dafür ist die Droge Fenthanyl, die nicht nur in San Francisco ein großes Problem ist, auch weil mit ihrer Beschaffung Diebstähle und Einbrüche verbunden sind.

    Viele Geschäfte in San Francisco stehen deswegen heute leer, oft sind die Eingänge und Scheiben mit Holzplatten verbarrikadiert. Schilder an Fensterscheiben von Autos weisen darauf hin, dass sich ein Einbruch nicht lohne, weil sich keine Wertsachen im Wageninneren befänden.

    Auch in den selbstfahrenden Autos, die immer mehr Menschen alleine, also ohne Fahrer, durch eine dystopische Kulisse befördern, dürfte kaum etwas zu holen sein, sieht man von den unzähligen Kameras auf dem Fahrzeugdach ab. Ich musste an Filme wie „Soylent Green“ und „Idiocracy“ denken. In beiden Filmen werden Straßen einer amerikanischen Großstadt von verwahrlosten Menschen bevölkert.

    Die Nähe zum Silicon Valley mit Hightech-Unternehmen wie Apple, Google und Facebook hat die Preise für Mietwohnungen und Häuser in der Stadt in den vergangenen Jahren explodieren lassen. Rund 35.000 Menschen gelten in San Francisco und der Bay-Area aktuell als obdachlos.

    Öffentliche Plätze fallen durch das Fehlen von Bänken auf, was Obdachlosen einen dauerhaften Aufenthalt erschweren soll. In nicht wenigen Haltestellen öffentlicher Verkehrsmittel, denen in aller Regel die Glasscheiben fehlen, haben sie sich mit ihren Schlafsäcken niedergelassen.

    Die Wohnungskrise ist außer Kontrolle geraten, Familien mit einem Einkommen von 120.000 Dollar gelten offiziell als arm. Diese Ziffer hat das amerikanische Ministerium für Wohnungsbau festgelegt, sie ist die höchste im ganzen Land. Politiker und Hilfsvereine fordern deswegen nun sogar Bürger auf, Obdachlose bei sich aufzunehmen.

    Wirtschaftlich stärkster Bundesstaat

    Ein Problem, das auch in Berlin nicht ganz unbekannt ist, wenngleich nicht in diesem Ausmaß. Auch in der deutschen Hauptstadt gibt es hin und wieder Zelte von Obdachlosen. In aller Regel werden die Leute, die darin leben, von Ordnungsamt und Polizei rasch zum Abbau ihrer Unterkunft bewegt. Auch Berlin zieht viele Obdachlose aus dem Rest des Landes und aus dem Ausland an.

    Ähnliches gilt auch für San Francisco, wobei hier das milde kalifornische Klima hinzukommt. Ein weiterer Unterschied ist, dass San Francisco eine nicht unbedeutende Stadt im wirtschaftlich stärksten Bundesstaat der USA ist, der immerhin 14 Prozent zum Gesamtbruttoinlandsprodukt der Vereinigten Staaten beiträgt und darüber hinaus, wäre er ein Nationalstaat, die fünftgrößte Volkswirtschaft der Welt darstellt, vor Großbritannien, Frankreich und Indien.

    Es war ein sonniger Tag Ende Juli, an dem wir kurz nach sieben Uhr morgens in San Francisco ankamen. Eine knappe Stunde später tauchten die ersten Menschen, die aller Wahrscheinlichkeit nach noch eine Wohnung hatten, auf den Straßen von Downtown San Francisco auf, die zuvor praktisch ausschließlich von Obdachlosen und Suchtkranken bevölkert waren.

    Es waren vor allem Mitarbeiter der Stadt, unter anderem der Passbehörde, zu der wir wollten, die sich auf dem Weg zur Arbeit einen Kaffee holten. In Downtown San Francisco gibt es heute nur noch wenige Cafés, und an ihren Eingängen patrouillieren in aller Regel Mitarbeiter der Firma „Urban Alchemy“, die darauf achten, dass keine Obdachlosen in das Café gelangen.

    Meine Frage, ob sie von der Stadt oder von einer Privatfirma bezahlt werden, konnten die Mitarbeiter nicht recht beantworten. Unklar ist auch, ob die Mitarbeiter von „Urban Alchemy“ wirklich für Ruhe und Ordnung sorgen, nicht nur in San Francisco, sondern auch in Los Angeles und Sausalito in Kalifornien und Austin in Texas. Denn es gibt Kritik an der „gemeinnützigen Organisation“, die sich vor allem aus ehemaligen Häftlingen rekrutiert und „non profit“ sein soll.

    Obwohl offiziell kein Sicherheitsdienst, zeigt eine Suche auf LinkedIn Mitarbeiter von „Urban Alchemy“, die sich selbst als solche bezeichnen. Es war kurz nach 9.30 Uhr, als meine Frau ihren Antrag auf einen neuen Pass bei der Behörde, bei der es einen regen Andrang gab, abgeben konnte. Um 15 Uhr am Nachmittag sollten wir wiederkommen.

    Auch in Berlin muss man auf seinen Pass warten, wenngleich nicht so lange wie in San Francisco. Dort sind es nur sechs bis acht Wochen. Und man braucht ebenfalls zwei Termine, die oft nicht ganz einfach zu ergattern sind. Einen Termin, um den Pass zu beantragen. Den anderen, um ihn abzuholen.

    Ob der Pass meiner Frau wirklich am Nachmittag fertig sein würde, konnte uns immer noch niemand garantieren. Dass man ihren Antrag entgegengenommen hatte, nahmen wir als gutes Omen. Da wir jetzt frei und nichts weiteres geplant hatten, gingen wir runter zur Market Street, der bekanntesten Straße in Downtown San Francisco, in der sich unter anderem die Twitter-Zentrale befindet.

    Das Technologie-Unternehmen Uber hat die Market Street bereits verlassen. Twitter könnte dem Vorbild bald folgen. Mit Ausnahme eines lichtdurchfluteten Großraumbüros von „Urban Alchemy“ stehen die Räumlichkeiten nahezu aller großen Geschäfte, Hotels, Banken und Fast-Food-Ketten heute leer und Nachmieter sind nur schwer zu finden.

    Eine Tourismus-Region

    Trotzdem treibt es weiterhin Touristen hierher, vor allem wegen der Endstation der historischen Cable Cars. Auch wenn gegen Mittag einige Besucher der Stadt auf der Market Street unterwegs sind, dominieren auch jetzt Obdachlose und Suchtkranke das Straßenbild. Bei ihrem Anblick stelle ich mir die Frage, was Touristen antreibt, sich durch von obdachlosen und suchtkranken Menschen bevölkerte Straßen kutschieren zu lassen? Eine Antwort will mir nicht einfallen.

    Meine Frau, die in den Neunzigern selbst einige Jahre in San Francisco gelebt hatte, verglich ihren aktuellen Eindruck mit dem Gefühl, das sie Anfang der Neunziger als 17-Jährige bei ihrer Reise in die Sowjetunion Gorbatschows hatte: ein gebrochenes Reich, das bald darauf unterging. Vielleicht so gebrochen wie viele Menschen in San Francisco heute?

    Auch ich war schon mehrfach hier gewesen. Das San Francisco von heute hat mit der Stadt, wie ich sie kenne, nichts mehr zu tun. Ob sie auch untergehen wird? Wer weiß.

    Pünktlich um 15 Uhr waren wir zurück in der Passbehörde. 16.30 Uhr, die Behörde schließt offiziell um 16 Uhr, hielt meine Frau ihren neuen Pass freudestrahlend in den Händen.

    Um der Rush Hour aus dem Weg zu gehen, fuhren wir nicht sogleich aus der Stadt, was um diese Uhrzeit viele tun, sondern „nur“ zur Golden Gate Bridge. Hier gab es ausschließlich Touristen, dazu einen fantastischen Blick auf die imposante Hängebrücke, dem vielleicht bekanntesten Wahrzeichen San Franciscos, die ehemalige Gefängnisinsel Alcatraz und rüber zur Stadt.

    Obdachlose und Drogenabhängige waren dort nicht auszumachen. Fast war es so wie in dem Song von John Phillips: „If you come to San Francisco – Summertime will be a love-in there“.

    #USA #impérialisme #sans_abris #San_Francisco #pauvreté

  • « c’est ma place » | Macron / Le Figaro / AFP | 15.09.23

    https://www.lefigaro.fr/politique/c-est-ma-place-emmanuel-macron-justifie-sa-presence-a-la-messe-du-pape-a-ma

    « Je considère que c’est ma place d’y aller. Je n’irai pas en tant que catholique, j’irai comme président de la République qui est en effet laïque », a-t-il dit lors d’un déplacement à Semur-en-Auxois, en Côte-d’Or. « Je n’aurai moi-même pas de pratique religieuse lors de cette messe », a-t-il ajouté.

    Prouve le ... 😋

  • Les oubliés du droit d’asile

    Plus de 500 personnes ont participé à l’enquête réalisée sur 5 structures d’accueil parisiennes. L’enquête a permis la production d’un rapport final à partir de l’analyse des données quantitatives et qualitatives recueillies.


    Le rapport « Les oubliés du droit d’asile » dresse un constat alarmant sur les conditions d’existence des #hommes_isolés fréquentant les structures sur lesquelles l’enquête a été menée. Ces résultats amènent les associations à formuler des recommandations qui supposent une adaptation réglementaire et législative, l’augmentation des moyens ou l’ajustement des pratiques. Les associations en sont convaincues, les réponses aux difficultés rencontrées par les hommes isolés visés par l’enquête ne pourront se construire qu’en concertation et collaboration entre les associations, les services et agences de l’Etat et les collectivités.

    https://www.youtube.com/watch?v=ScjteUjbWAA

    https://www.actioncontrelafaim.org/publication/les-oublies-du-droit-dasile
    #rapport #France #Paris #asile #migrations #réfugiés #accueil #recommandations #SDF #sans-abris #sans-abrisme #hébergement #conditions_d'accueil #île_de_France #conditions_matérielles_d'accueil #enquête #dispositif_d'accueil #précarisation #allocation_pour_demandeurs_d'asile (#ADA) #accès_aux_droits #faim #santé_mentale

    ping @karine4

    • 95 entretiens poussés , un peu de sérieux , 85 bénévoles combien ça coute ? transmission des résultats aux services publiques , canal habituel ? l’honorable correspondant ? etc ...

  • La Frontière - des outils qui rendent libres | La Frontière - outils manuels agricoles pour l’autonomie
    https://www.la-frontiere.fr
    Et la boutique
    https://stock.la-frontiere.fr

    Des haches, des houes, des faulx, des faucilles ! Tout ça fabriqué en Europe, essentiellement forgé en Italie, et préparé et aiguisé (si demandé) en Dordogne.

    J’ai pris une houe-pioche polyalente car j’ai un horrible sol argileux et pierreux, et une faucille simple pour « tondre » à la main une petite surface.

    Trouvé chez @tranbert :)

    https://www.youtube.com/watch?v=kr1fAjfKfZI

    #autonomie #agriculture #forge #outils

  • L’Amérique latine dans le nouveau monde multipolaire - Romain Migus

    Le 1ᵉʳ juillet 2023 avait lieu à Paris une soirée festive autour de l’Amérique latine, organisée pour le 3ᵉ anniversaire du site Les2Rives.info. 170 personnes et plusieurs associations latinos de Paris s’étaient donné rendez vous pour venir écouter les journalistes Ignacio RAMONET, Maurice LEMOINE, Romain MIGUS et l’analyste politique Sergio AVALOS. Nous vous invitons à regarder la vidéo de la conférence « L’Amérique latine dans un nouveau monde multipolaire ».
    Depuis de nombreuses années, les pays d’Amérique latine s’émancipent de la tutelle coloniale étasunienne et participent à la construction de coopérations sud-sud. Les récents bouleversements géopolitiques et le renforcement des BRICS tendent à renforcer la construction d’un monde multipolaire depuis l’Amérique latine.

    https://www.youtube.com/watch?v=85hp_4cyFa4&t=2s