MISE AU POINT : Nous... | Facebook

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    • Pas de plainte, circonstances « pas claires » pour le YNet, mais suffisamment de temps pour que faire des déclarations aux médias :

      Since horowitz refused to file a complaint with local police, the circumstances surrounding the attack remain unclear.

      […]

      Horowitz refused medical care and did not file a complaint with local police. “I didn’t want to spend all night at the (police) station. I don’t know if the attack was racially motivated , but wither way it’s annoying: In Israel I was criticized by the right and in France the Arabs beat me up.”

      Je vois à l’instant qu’Electronic Ali se pose des questions : Did Israeli filmmaker Yariv Horowitz fabricate story of brutal attack by “Arab youths” in France ?
      http://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/did-israeli-filmmaker-yariv-horowitz-fabricate-story-brutal-atta

      I spoke with Karine Paravisini, the police commissioner of Aubagne by telephone today.

      Paravisini confirmed that police and emergency medical services (pompiers) had been called to attend the scene of an incident. She did not know who had called them.

      Paravisini said that when police arrived on the scene Mr. Horowitz appeared to be fine and refused medical assistance. “He was not unconscious, and if he had been he would have been taken to the hospital. We would not leave a person who was seriously injured in the street just like that.”

      Paravisini said that Horowitz refused to make a police report and police had no reports from any third parties or witnesses regarding an attack and no suspects since no complaint had been made.

    • Festival International du Film d’Aubagne
      il y a 4 heures
      http://www.facebook.com/permalink.php?story_fbid=10151516338493360&id=139115833359

      Mais il convient de rétablir certaines vérités :
      1 - Ce ne sont pas des hommes qui ont commis l’agression mais un jeune mineur qui était avec d’autres jeunes de son âge.
      2 - Celui-ci n’était pas arabe.
      3 - Les événements qui ont déclenché le coup (un seul coup) n’ont rien à voir avec une agression raciste.
      4 - Après avoir été aidé par les organisateurs du festival, Yariv Horowitz a été vu par les pompiers qui n’ont relevés qu’une blessure mineure. Ils lui ont proposé d’aller voir la police. Le réalisateur a refusé. Sa blessure étant minime il n’a pas souhaité non plus aller à l’hôpital.
      5 - Loin du lynchage, Yariv Horowitz a repris le cours du festival dès le lendemain et a participé aux différents événements jusqu’à la fin du festival.
      6 - Il est monté sur scène le soir de la remise des récompenses avec le sourire pour recevoir son prix : mention spéciale du jury pour la qualité de sa mise en scène.

    • L’agression du cinéaste israélien fait débat | La Provence
      http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2287599/lagression-du-cineaste-israelien-fait-debat-sur-le-web.html

      Yariv Horowitz, cinéaste israélien a été agressé le 21 mars à Aubagne lors de la présentation de son long-métrage Rock The Casbah au festival du film d’Aubagne, rapporte le site "JewPop". Depuis informations et désinformations circulent sur internet, notamment sur des sites communautaires. « Jewpop » constate « le silence des médias français sur l’agression ». Desinfos.com pousse plus loin en affirmant que le cinéaste a été « gravement lynché après la projection de son film ». D’autre part, de nombreuses rumeurs circulent sur les éventuels agresseurs. 

      Gaëlle Rodeville, déléguée générale du Festival international du film d’Aubagne, souhaite faire une mise au point face à l’ampleur que prend la désinformation autour de l’agression du cinéaste israélien, Yariv Horowitz, présent sur le festival avec son film « Rock the Casbah » en compétition internationale. 

      "Nous étions sur place lors de l’agression du réalisateur Yariv Horowitz le jeudi 21 mars à 22h30. Il ne nous appartient pas de juger à qui revient la faute et aucune agression n’est excusable. Mais il convient de rétablir certaines vérités : ce ne sont pas des hommes qui ont commis l’agression mais un jeune mineur qui était avec d’autres jeunes de son âge ; pour nous, celui-ci n’était pas arabe. 3 - Les événements qui ont déclenché le coup (un seul coup) n’ont rien à voir avec une agression raciste, ni un lynchage...

      Désinformation à Aubagne : le CRIF pris la main dans le sac
      http://www.europalestine.com/spip.php?article8201

      Email adressé par l’attaché de presse du Festival à Electronic Intifada :

      « Aubagne, le 30 mars 2013

      "...."

      "Nos déclarations sont étayées par des témoins et par des vidéos. Nous demandons au réalisateur Yariv Horowitz de retirer les déclarations qu’il a faites au journal israélien Haaretz, et de faire preuve de retenue à propos d’allégations dont le seul effet est de renforcer le communautarisme. Nous appelons à la raison, et demandons aux journalistes d’exercer leur métier de manière professionnelle, sans alimenter la haine avec des informations partiales et non vérifiées ».

    • His lies about brutal “Arab” attack in France exposed, Israeli director Yariv Horowitz concocts new ones- http://electronicintifada.net/blogs/ali-abunimah/his-lies-about-brutal-arab-attack-france-exposed-israeli-directo

      Instead of taking responsibility for blaming “Arab” youths as he did unambiguously and repeatedly, Horowitz now blames an “Arab” man who allegedly approached him the next day for attributing the attack to Arab youths! For Horowitz, who apparently doesn’t check his earlier claims before issuing new contradictory ones, it seems Arabs are responsible for everything!

    • De la plume même de Richard Abitbol, président de la « Ligue de défense juive »
      AGRESSION de Yariv Horowitz : EXAGERATION ou MENSONGE VOLONTAIRE ? | Ligue de Defense Juive
      http://www.liguedefensejuive.com/agression-de-yariv-horowitz-exageration-ou-mensonge-volontaire

      Afin de faire du buzz on fait croire à une agression antiisraélienne ou antisemite.

      Depuis quelque temps, nous assistons à une recrudescence de dénonciations de faux actes antisémites : cela est indécent et coupable.
      Indécent, car au vu de la recrudescence et de la montée en puissance des actes antisémites avérés, nul besoin est d’en rajouter ; indécent, vis-à-vis des véritables victimes de l’antisémitisme ; indécent, car cela décrédibilise notre action auprès de la presse et des autorités ; enfin, indécent vis-à-vis de l’image de notre communauté.
      Coupable car la volonté de « tirer le premier » de certaines institutions ne tient absolument pas compte de l’intérêt communautaire mais de celui de « paraître » ; coupable, car ces réactions sont motivées par une volonté de communication interne, bien plus que de celle de défendre notre communauté ; coupable, car ces fausses déclarations sont immédiatement décortiquées par nos ennemis pour jeter le doute sur la multitude d’actes antisémites qui eux sont réels !!!
      Nous nous souvenons tous de la triste affaire du R.E.R D, cette fausse alerte sur un acte antisémite qui n’en était pas un, et qui a causé un tort profond à la lutte contre l’antisémitisme en France. Déjà alors, le B.N.V.C.A avait mis en garde sur une hyper-réactivité sans avoir contrôlé les faits.
      Puis nous avons eu « l’agression présumée » d’un garçon de 12 ans dans le métro parisien alors qu’il attendait le bus qui devait l’emmener à l’école. Or, après enquête, le B.N.V.C.A a pu affirmer que cette agression n’avait jamais eu lieu.
      Ensuite, il y eut l’annonce d’une agression qui aurait eu lieu vendredi 2 novembre à Nice. Il s’agissait d’un différend de voisinage qui aurait dérapé.
      Nous avons eu également la dénonciation « d’une agression antisémite » qui aurait été commise à Sarcelles contre un membre de la communauté juive, et rapportée dans Le Parisien du 2/11/12, il s’agissait en fait d’un bizutage lié à Haloween.
      De cette communication incontrôlée, nous venons, à nouveau, d’en faire les frais cette semaine avec « l’agression présumée » d’un cinéaste israélien à Aubagne.

      Après enquête du B.N.V.C.A, il semble que cette histoire n’ait rien à voir avec un quelconque acte antisémite ou antisioniste. D’ailleurs, le film de Yariv Horowitz est plutôt pro-palestinien.
      Après enquête, il apparaît que la police et les services médicaux ont bien été appelés sur les lieux de « l’incident », sans authentification de l’appel, mais que lorsque ceux-ci sont arrivés sur les lieux Monsieur Horowitz était en forme et a refusé toute assistance médicale.
      Selon le Commissariat, « Il n’était pas inconscient, et s’il l’avait été, il aurait été emmené à l’hôpital. Nous n’aurions jamais laissé une personne qui aurait été grièvement blessée dans la rue comme ça. ».
      La Police confirme que Monsieur Horowitz a refusé de déposer plainte ou d’établir un rapport de police, et qu’aucun témoin n’est venu au commissariat pour rapporter un tel incident.
      Il semble que le déroulé de l’histoire soit le suivant : Jeudi dernier ( et non le 28) Yariv Horowitz présente son film (pro-palestinien) qui est accueilli très chaleureusement par le public du festival (il a d’ailleurs eu le prix spécial du jury).
      Il a eu une altercation avec des jeunes d’Aubagne (jeunes environs 15-17 ans) au sujet d’un mauvais geste, qui n’a rien à voir avec le fait qu’il soit réalisateur, ni même israélien ! L’incident s’est produit sans aucun rapport avec la projection contrairement à ce qui a été rapporté ; et que ces incidents n’ont eu aucun caractère de gravité (comme décrits plus haut). Et d’ailleurs, le lendemain, le jeune cinéaste faisait la fête avec l’équipe du festival avant de prendre l’avion et de rentrer tranquillement chez lui en Israël.
      Au vu de tout ceci, la dénonciation, par certaines institutions communautaires, d’un « lynchage antisémite » sur ce jeune cinéaste et dire qu’il aurait été « agressé et battu par un groupe d’individus qui l’ont projeté à terre et lui ont donné des coups de pieds, ce vendredi 29 Mars 2013, juste après la projection de son film… Et qu’après avoir perdu connaissance, il a été soigné sur les lieux. » sans avoir pris la peine de vérifier les faits relève de l’inconscience coupable !
      Il est clair que cette information a été « repiquée » d’un media internet et reprise sans aucun contrôle alors que l’incongruité de la date aurait du suffire pour insuffler le doute ( le Festival s’étant terminé le 23 Mars !) ; d’autant plus que la date mentionnée est différente suivant les différents medias qui ont relaté le présumé incident !!!

      La Confédération des Juifs de France et Amis d’Israël rappelle solennellement que l’information concernant les agressions antisémites est trop sensible pour être dévoyée.
      Nous appelons ceux qui sont en charge de cette veille à plus de professionnalisme, pour notre part nous ne pouvons qu’être satisfaits de la qualité des informations communiquées par le B.N.V.C.A qui se sont toujours avérées exactes comme dans les affaires ci-dessus citées.
      Dans ce contexte, il est important que les responsables communautaires ne se précipitent pas à diffuser des informations erronnées qui inquiéteraient inutilement une communauté déjà durement éprouvée.
      La situation est suffisamment grave pour ne pas être dévoyée par de fausses alertes .
      Pour notre part, nous prenons toutes les mesures nécessaires afin que toutes les informations qui nous parviennent soient minutieusement vérifiées, il y va de la crédibilité de notre lutte contre l’antisémitisme.
      Nous espérons vivement que ces dérapages ne se reproduiront plus à l’avenir, il y va de la crédibilité de notre communauté !

      Richard C. ABITBOL
      Président