Rien que faire le bilan des prophylaxies agricoles obligatoires en France, notamment pour les fruits, aurait de quoi faire fuir le consommateur des étals.
Quoi d’étonnant à ce que des pesticides interdits soient employés dans des pays comme l’Espagne où aucune administration n’existe pour emmerder les producteurs (dont les débouchés restent essentiellement à l’export). A remettre dans le contexte des deux projets de TGVs avec l’Espagne, dont l’objectif n’est guère que de permettre encore davantage la pénétration des productions espagnoles en Europe.