Au détour de l’article, on apprend que les grues de Sibérie (devenues des cigognes) se sont arrêtées en chemin et n’ont pas terminé leur migration. Si le leader perd son leadership, où va-t-on ?
Eloquent plaidoyer de l’opposant Alexeï Navalny lors de son procès
▻http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/04/25/eloquent-plaidoyer-de-l-opposant-alexei-navalny-lors-de-son-proces_3165947_3
En revanche, il n’est pas indifférent au sort des cigognes captives qu’il avait escortées vers la liberté depuis un deltaplane à l’automne 2012. Aux dernières nouvelles, la migration n’a pas fonctionné, la plupart des volatiles s’étant arrêtés à mi-chemin. A l’époque, les images du président volant avaient fait le tour du pays. La métaphore était claire : les cigognes représentaient le peuple russe guidé dans son envol par cet « oiseau de premier plan » qu’est Vladimir Poutine, selon l’expression du quotidien Rossiiskaïa Gazeta du 6 septembre 2012.
▻http://www.20minutes.fr/monde/russie/998125-vladimir-poutine-vole-grues-siberie
▻http://www.dailymotion.com/video/xtchwj_vladimir-poutine-apprend-a-voler-a-des-grues_fun