On sait désormais quel sera le prix que paieront les français pour conserver l’HADOPI, l’ENA, la dissuasion nucléaire, ITER, et les colossales retraites des cadres de la fonction publique :
Ou plutôt, les technocrates de Bruxelles le savent, le peuple souverain se contente de s’en douter :
Sans plus de précisions, M. Rehn a indiqué qu’il attendait du mouvement dans trois grandes directions : la réforme des retraites, le marché du travail et une plus grande libéralisation des services et des biens.
De manière générale, on salue à Bruxelles les premières décisions de Paris, sur la base du rapport Gallois sur la compétitivité, ou de l’accord sur la sécurisation de l’emploi négocié par les partenaires sociaux. Mais on considère que le « programme national de réforme » – un document de plus de 80 pages envoyé le 30 avril par le gouvernement français – manque de précisions.
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