affordance.info : De quoi la page web est-elle le nom ? Ou l’enluminure du code.
▻http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/03/de-quoi-page-web-est-le-nom.html
affordance.info : De quoi la page web est-elle le nom ? Ou l’enluminure du code.
▻http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/03/de-quoi-page-web-est-le-nom.html
affordance.info : Extension du domaine de la statusphère
►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/12/extension-du-domaine-de-la-statusphere.html
C’est une nouvelle presque anodine. #Facebook vient d’autoriser la publication de statuts comprenant jusqu’à plus de 63 000 caractères. Soit l’équivalent d’une vingtaine de pages d’un traitement de texte classique. Largement de quoi exprimer bien plus qu’un simple « WTF » ou autre « VDM ».
@seenthis fait des émules
L’important - plus qu’entre 140 signes ou 20 pages -, est l’outil qui publie ailleurs. Twitter publie sur Facebook, Paper.li, voire, Pearltrees ; FB n’offre pas cela. Ce qui veut dire que tweeter c’est atteindre ses lecteurs sur Twitter, FB, etc. Il faudra que Google+, SeenThis regardent aussi ce point.
Qu’y aura-t-il demain sous nos moteurs ? (affordance.info)
►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/10/demain-sous-nos-moteurs-.html
Qu’y aura-t-il demain sous nos moteurs ? Moteurs de recherche et réseaux sociaux occupent une place chaque jour plus prépondérante dans nos accès à l’information et à la connaissance. Ils suscitent également de vives interrogations, notamment dans leur capacité à rendre indexable des informations relevant indistinctement des sphères publiques, privées et intimes des contenus disponibles en ligne. Enfin, inaugurés par le « like » de Facebook, les systèmes de recommandation se multiplient, venant concurrencer ou remplacer l’établissement de liens hypertextes et suscitant de nouveaux usages, de nouvelles métriques. Par ailleurs, la famille documentaire s’est agrandie : les encyclopédies sont devenus collaboratives, d’immenses silos documentaires sont apparus (Youtube, Flickr, etc.), les profils humains sont devenus des objets de « collection ». (...) Source : affordance.info
L’indexation est-elle soluble dans le(s) bouton(s) ? (affordance.info)
►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/09/lindexation-est-elle-soluble-dans-les-boutons-.html
Puis vinrent les boutons. « Like » par ici, « +1 » par là, « Retweet » à gauche, « Recommend » et autres « Share on ... » à droite, l’essentiel de nos interactions documentaires en ligne se résume à une activité de pousse-bouton (et vous savez tout le mal que je pense du web pousse-bouton). Nous ne qualifions plus des contenus, nous les partageons. Une accélération qui est une altération du temps de transmission (mais aussi de persistance) des documents et qui peut parfois jouer un rôle déterminant (y compris dans le domaine politique et/ou social, cf le récent printemps arabe), mais qui ôte aussi la promesse dont étaient porteuses les folksonomies : celle de faire de chacun d’entre nous un archiviste d’une mémoire collective en construction et en réagencement permanent. (...) Source : affordance.info
Moi j’ai Ghostery. En plus de bloquer beaucoup pub, il bloque également :
Certains traqueurs de déplacements des internautes.
Les systèmes de mesure d’audience (Google Analytics, SiteMeter, stats.wordpress.com... )
Les widgets des sites sociaux (facebook, Digg, Twitter, AddThis, ShareThis...).
Il vous informe à chaque fois que vous visitez une page, par une petite popup discrète ce que Ghostery vient de bloquer.
Et bonus : Ghostery est disponible pour Firefox, Opera, Chrome, Safari et IE.
C’est ici que ça se passe pour les personnes intéressées :
►http://www.ghostery.com
Vous voulez savoir ce qu’il circule sur internet en 60 secondes ? Une infographie nous le dévoile
Bonjour Netlib,
Pour info, un article intéressant sur le vertige des métriques : ►http://www.internetactu.net/2011/07/28/le-vertige-des-metriques et aussi ►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/06/imaginaire-numeraire-numerique.html
A+
Salut @assr38 merci pour le rajout de liens, sympa :)
vertigineux, l’individu est noyé dans la masse aussi, un truc qui me fait flipper sur le oueb , le nombre de followers, d’amis imaginaires... Ça n’a guère de sens en effet , je suis nulle en math mais c’est vrai que c’est fascinant quand même de tenter de quantifier, j’aimerais voir de l’humanité derrière ces chiffres quand même.
Chaque action humaine sur le web est analysée et répertoriée ,terrifiant !
L’#article du futur sera une #API | Olivier Ertzscheid
►http://owni.fr/2011/07/06/larticle-du-futur-sera-une-api
Pour trouver l’article du futur, les annonces sont presque plus nombreuses que les tentatives. Mais la piste la plus intéressante reste l’API, y compris pour les publications scientifiques.
un peu verbeux mais intéressant sur le fond
le texte d’origine est là ►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/06/larticle-du-futur-sera-une-api.html
L’imaginaire numéraire du numérique (affordance.info)
►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/06/imaginaire-numeraire-numerique.html
Le vertige des grands nombres est constitutif de la statistique du web, formidable écosystème facilitateur et multiplicateur de la moindre interaction, de la moindre navigation, de la moindre publication, de la moindre attention portée. Les chiffres de Facebook sont donc pareillement vertigineux, comme sont vertigineux ceux de Google, de Youtube et de l’ensemble de ces mégalopoles virtuelles dans lesquelles se croisent, chaque jour, deux milliards d’internautes. (...)
60 Seconds - Things That Happen On Internet Every Sixty Seconds [Infographic]
►http://www.go-gulf.com/blog/60-seconds
Le #web et le vertige du grand #nombre
►http://culturevisuelle.org/icones/1816
Cette inquiétante invisibilité du chiffre illustre mieux qu’aucun discours le trait que je souhaitais voir interroger : la naturalisation produite par l’outil statistique. Par une heureuse coïncidence, Olivier Ertzscheid vient de publier sur son blog la forme achevée de la réflexion que j’appelais de mes vœux : « Le vertige des grands nombres, explique-t-il, est constitutif de la statistique du web, formidable écosystème facilitateur et multiplicateur de la moindre interaction, de la moindre navigation, de la moindre publication, de la moindre attention portée. (…) La mythologie de l’internet – au sens des Mythologies de Barthes – est construite sur ces chiffres renvoyant à une nouvelle Babel statistique. Une Babel à l’achèvement d’autant plus incertain qu’à l’exception notable des études du Pew Internet et de quelques autres, l’essentiel des infographies circulant sur le net et renvoyant à cet imaginaire numéraire, sont soit produites sur la base de données erronées, incomplètes ou non-vérifiables, soit produites par les sociétés propriétaires des sites ainsi “décomptés”.
L’imaginaire numéraire du numérique
►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/06/imaginaire-numeraire-numerique.html
Article qui évoque l’infographie ci-dessus, d’ailleurs.
« Il n’y a rien que l’homme soit capable de vraiment dominer : tout est tout de suite trop grand ou trop petit pour lui, trop mélangé ou composé de couches successives qui dissimulent au regard ce qu’il voudrait observer. Si ! Pourtant, une chose et une seule se domine du regard : c’est une feuille de papier étalée sur une table ou punaisée sur un mur. L’histoire des sciences et des techniques est pour une large part celle des ruses permettant d’amener le monde sur cette surface de papier. Alors, oui, l’esprit le domine et le voit. Rien ne peut se cacher, s’obscurcir, se dissimuler. » Bruno Latour, Culture technique, 14, 1985 (cit par Christian Jacob dans L’Empire des cartes, Albin Michel, 1992).
Statistiques mondiales en #temps_réel
►http://www.worldometers.info/fr
Le monde réel ne nous a pas habitués à de telles métriques. Peut-on comparer pourtant 300 000 exemplaires vendus d’un journal à son million de visiteurs quotidien ? Peut-on comparer 4 milliards d’exemplaires papiers vendus et 4 milliards de visites comme nous l’explique l’OJD (.pdf) ? Peut-on comparer les téléchargements d’un livre numérique à des ventes papiers quand leur prix est différent ? Peut-on comparer des ventes et des visites ? Des enregistrements et des acheteurs ? Des internautes et des gens qui ont une action sur le monde réel ? Cela ne veut pas dire que les internautes n’en ont pas, au contraire. Mais qu’on achoppe à comparer sans cesse des serviettes avec des torchons.
Le vertige des métriques
►http://www.internetactu.net/2011/07/28/le-vertige-des-metriques
Google Books : une fin en forme de nouveau commencement (affordance.info)
►http://affordance.typepad.com/mon_weblog/2011/03/google-books-fin-ou-recommencement.html
Au commencement était le tweet. L’alerte fut donnée au soir du 22 mars par le statut Twitter n°50275389104340992 appartenant à un certain Calimaq, indiquant que : « Bon sang ça y est, le règlement Google semble avoir été rejeté par le juge Chin. »
Rappel des faits :
2004 : Google lance son opération de numérisation tous azimuts 2005 : class action des auteurs et éditeurs (américains) contre Google (...)