• A Rome, des milliers de manifestants contre l’austérité

    http://abonnes.lemonde.fr/economie/article/2013/05/18/a-rome-la-rue-manifeste-contre-l-austerite_3324719_3234.html

    Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté à Rome contre la politique d’austérité et le taux de chômage élevé, samedi 18 mai, à l’appel du syndicat italien des métallos Fiom. Réunis sous le mot d’ordre « le droit au travail, à l’instruction et à la santé », les manifestants ont enjoint au gouvernement de coalition d’Enrico Letta de se concentrer sur la création d’emplois pour sortir la deuxième économie de la zone euro de la récession.

    « Nous espérons que ce gouvernement finira pas nous entendre, parce que notre patience est à bout », a déclaré un manifestant, au milieu d’une foule brandissant des drapeaux rouges et réclamant plus de droits pour les travailleurs et de meilleures conditions de travail.

    50 000 participants étaient attendus à la manifestation mais ils étaient au moins le double selon les organisateurs. Le cortège a défilé de la place de la République en plein centre jusqu’à la place San Giovanni, lieu traditionnel de rassemblement."On ne peut plus attendre" et « Il nous faut de l’argent pour vivre », pouvait-on lire sur les banderoles et calicots brandis par les manifestants.

  • A Rome, des milliers de manifestants contre l’austérité

    http://abonnes.lemonde.fr/economie/article/2013/05/18/a-rome-la-rue-manifeste-contre-l-austerite_3324719_3234.html

    Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté à Rome contre la politique d’austérité et le taux de chômage élevé, samedi 18 mai, à l’appel du syndicat italien des métallos Fiom. Réunis sous le mot d’ordre « le droit au travail, à l’instruction et à la santé », les manifestants ont enjoint au gouvernement de coalition d’Enrico Letta de se concentrer sur la création d’emplois pour sortir la deuxième économie de la zone euro de la récession.

    « Nous espérons que ce gouvernement finira pas nous entendre, parce que notre patience est à bout », a déclaré un manifestant, au milieu d’une foule brandissant des drapeaux rouges et réclamant plus de droits pour les travailleurs et de meilleures conditions de travail.

    50 000 participants étaient attendus à la manifestation mais ils étaient au moins le double selon les organisateurs. Le cortège a défilé de la place de la République en plein centre jusqu’à la place San Giovanni, lieu traditionnel de rassemblement."On ne peut plus attendre" et « Il nous faut de l’argent pour vivre », pouvait-on lire sur les banderoles et calicots brandis par les manifestants.

  • Le plan très secret de LVMH pour entrer chez Hermès

    http://abonnes.lemonde.fr/economie/article/2013/05/18/comment-lvmh-a-planifie-son-entree-chez-hermes_3301911_3234.html

    « Nous n’avions pas prévu d’être actionnaires d’Hermès. Nous avons fait un placement financier et il s’est dénoué d’une façon que nous n’avions pas prévue. » A écouter Bernard Arnault, ce 18 avril, lors de l’Assemblée générale de son groupe, on pourrait croire que LVMH est arrivé par hasard au capital d’Hermès.
    La réalité est toute autre. Pendant près de dix ans, le numéro un mondial du luxe a minutieusement, patiemment et secrètement organisé sa montée au sein du fabricant du sac Kelly. Grands noms de la finance, cabinets d’avocats réputés, paradis fiscaux, montages complexes... LVMH n’a pas lésiné sur les moyens pour arriver à ses fins.
    C’est ce qu’il ressort de l’enquête menée, deux ans et demi durant, par l’Autorité des marchés boursiers (AMF) sur les opérations réalisées par LVMH sur le titre Hermès. Et du rapport attenant de