On peut toujours faire confiance à Toru #Hashimoto pour secouer la classe #politique nippone. Adepte de la surenchère et du parler fort, le populiste maire d’#Osaka provoque à longueur de plateaux télés ou de tweets. Sa dernière sortie risque de lui coûter cher avant les #élections sénatoriales de juillet. Car depuis la semaine dernière, le jeune trublion nippon (43 ans) est sous le feu croisé des autorités chinoises, sud-coréennes, américaines, des associations féministes, des victimes de guerre et d’une majorité de citoyens. A la télévision, Hashimoto avait déclaré que les « #femmes de réconfort » étaient une nécessité.
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Hashimoto s’est excusé, avant de se dire mal compris, a promis des explications à la presse et une rencontre avec d’anciennes femmes de réconfort. Mais le malaise est bien là. Un parti qui avait entrepris un rapprochement avec Hashimoto en vue des sénatoriales a mis un terme aux discussions. Deux sondages réalisés par les quotidiens Mainichi et Asahi indiquent que près des trois quarts des Japonais condamnent les déclarations de Hashimoto.
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