« Pour le cinéma, je ne fais pas partie des jolies filles »

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  • Y a pas à dire, le cinéma, summum de la lecture du monde par l’image, est un puissant révélateur de l’influence de l’apparence physique dans la vie de chacun.
    Puisque c’est avant tout l’apparence qui va aiguiller un acteur sur tel ou tel rôle, tout comme tel ou tel rôle sera dessiné en fonction d’une apparence.
    Josiane Balasko et sa fille doivent en savoir quelque chose. Et rationalisent comme elles peuvent..

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    Amincie, elle admet que sa nouvelle silhouette lui permet de jouer de nouveaux rôles, comme celui de Joséphine, dans le film du même nom bientôt en salles : « Je n’aurais pas pu jouer ce rôle avec 30 kilos de plus ! Ce n’était simplement pas le rôle. Pour le cinéma, je ne fais pas partie des jolies filles, mais je sais que je suis jolie dans ma vie à moi. Je ne suis ni Monica Bellucci ni Laetitia Casta, je sais que je n’aurai jamais un contrat de pub avec Chanel, mais ça ne me dérange pas. À un moment donné, on doit voir la réalité en face. Il faut savoir qui on est, connaître l’image que l’on a et ensuite l’emmener le plus loin possible », lâche-t-elle. Plus loin, elle développe : « Il m’est arrivé de tourner avec de belles actrices et pour rien au mon de je n’aurais aimé être à leur place. C’est très chiant ». Quoi ? Comment ?
    Oui, car selon elle, être sexy empêche d’avoir des relations équilibrées avec le sexe opposé : « Je suis beaucoup plus à l’aise avec les hommes depuis l’adolescence. Comme je n’étais pas le genre de nanas sur lesquelles ils fantasmaient, ça me permettait d’avoir avec eux des relations très exclusives. Ce rapport dénué de désir sexuel était très valorisant ».

    #beaute_fatale #seduction #sexisme