Ragemag réac — La mort de Clément Méric, un fait divers « inutilement clivant » pour Ragemag
▻http://ragemagreac.tumblr.com/post/52632571810/la-mort-de-clement-meric-un-fait-divers-inutilement
Le travail de Ragemag consistant à limer les différences entre les thèses d’extrême droite et celles d’extrême gauche, on s’attendait à ce que ces salopards nous sortent un papier dégueulasse concernant ce drame. Malheureusement, on n’a pas été déçus.
Les auteurs de ce papier lamentable : Baptiste Peyron et Pierre Maugein, deux fans de #jeux_vidéo.
On notera que, pour l’instant, tous les commentaires en-dessous de l’article engueulent les deux auteurs.
Tu as noté aussi que le confusionnisme politique alimenté par les médias qui servent le vomi aux fafs, et d’autres médias comme celui-ci qui dans leur suffisance imaginent faire taire le mort une 2em fois, jouent un rôle politique macabre, car les forums partout ailleurs sont assaillis par les bruns.
Arthur S. Ragemag @arthurragemag
Le papier Jeux-vidéo de samedi était pour le moins maladroit, écrit par des gens non-politisés.
…
#révélation #insulte #misère #2013 le rédac chef adjoint d’un journal politique non politisé !
L’article a finalement été retiré après excuses publiques de la rédaction. Mmmh.
Ce texte publié le samedi 8 au matin est complétement délirant, on peut encore le lire dans le cache de google :
▻http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:t4ECBydIvI8J:ragemag.fr/mort-de-clement-meric-un-jeu-video-pour-apaiser-et-comprendre-31565/+&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr
ou ici :
▻http://sebsauvage.net/paste/?cc134ba03a3f4c64#8AZ2wMWgARGK45amiqFeoYgn1pxrGahDuvQbVq6fZdo=
L’ironie de l’histoire est que les auteurs l’on probablement écrit pour dire que les jeux vidéos n’y sont pour rien, et ça il n’y a pas de doute, par contre on peut se demander dans quelle mesure certains jeux vidéos ont participé à développer chez les auteurs de cet article une vision individualiste, nationaliste, patriotique et se voulant (comble de la contradiction) apolitique.
Afin de bien souligner leur contresens morbide qui fait le lit de l’extrême droite, les auteurs ont eu à coeur d’accompagner leur publication d’une chanson de Brassens :
