• Arbitrage : Tapie était-il présent à une réunion cruciale à l’Elysée ? - Libération
    http://www.liberation.fr/politiques/2013/06/13/arbitrage-tapie-etait-il-present-a-une-reunion-cruciale-a-l-elysee_910633

    Stéphane Richard a affirmé aux enquêteurs que Bernard Tapie était présent en 2007 à une réunion à l’Elysée destinée à mettre en place la procédure d’arbitrage dans l’affaire Crédit lyonnais/Adidas, a indiqué jeudi à l’AFP une source proche de l’enquête. Interrogé par l’AFP, Bernard Tapie a déclaré ne « pas se souvenir d’une réunion à cette date », qui ne pouvait selon lui « être une réunion de validation mais d’information ».
    (…)
    Tapie a précisé jeudi à l’AFP « ne pas se souvenir de cette réunion à cette date, six mois avant l’arbitrage ».

    Cependant « une réunion pour expliquer (sa) position » lui « paraît un processus logique, après que les liquidateurs de (son) groupe eurent suggéré l’arbitrage suite à l’échec de la médiation », entre le Crédit lyonnais et le groupe Tapie sur la vente d’Adidas.

    Une réunion, d’accord. Mais à l’Élysée ?… (Argh ! c’est vrai que c’est la période où le prés’ pensait qu’il pouvait tout se permettre)
    Finalement, il y a peut-être d’autres participants dans la bande organisée.

  • « J’ai les sous », aurait crié Tapie au soir de l’élection de Nicolas Sarkozy
    http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20130613trib000770054/j-ai-les-sous-aurait-crie-tapie-au-soir-de-l-election-de-nicolas-sarkozy.h

    La Tribune se lâche…

    "Ca y est, j’ai les sous", se serait exclamé Bernard Tapie au soir de l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007 selon un ancien proche de l’homme d’affaires. L’intéressé dément.

    Les langues se délient dans l’affaire Tapie-Adidas, et les accusations fusent. Dernière sortie en date, un ancien proche de Bernard Tapie, Benoît Bartherotte, a affirmé au journal Sud-Ouest qu’au soir de l’élection de Nicolas Sarkozy en mai 2007 l’homme d’affaires se serait exclamé : « ça y est, j’ai les sous ! ».

    Tapie dément
    Ce soir-là, Bernard Tapie « semblait sûr de lui, l’avenir a prouvé qu’il avait raison, mais à court terme », poursuit Benoît Bartherotte, connu en Gironde pour son combat contre l’érosion de la Pointe du Cap Ferret, où se trouve sa propriété et anciennement à la tête de la maison de couture Jacques Esterel. Bernard Tapie s’est dit scandalisé par ces propos, affirmant à l’AFP : « Ce type dit n’importe quoi sur moi ». « Le soir de l’élection de Sarkozy, j’étais chez moi, avec mes parents, mes enfants, et sauf si ce monsieur était caché dans un placard à balais, je ne vois pas comment il a pu entendre ce que je disais ce soir-là », a-t-il affirmé. "Que les médias reprennent cette info-là pour en faire une info majeure, ça prouve qu’on est en train de changer de monde", a encore regretté l’homme d’affaires.