• Série Ethnicity 01 (2) : Sensoram, géographie d’un enfermement et espaces de la domination – SciencesDessinées
    https://labojrsd.hypotheses.org/802

    La série sur Ethnicity 01 propose d’interroger ce manga au prisme de la géographie, en questionnant les liens entre ville, bande dessinée et imaginaire. La ville imaginaire de Sensoram, cité fortifiée produite dans et par un contexte post-catastrophique, nous donne à voir une géographie de l’enfermement et une géographie de la domination. Face aux multiples conséquences d’une catastrophe climatique d’ampleur mondiale (qui a produit des guerres et des famines, dans une lutte effrénée pour la conquête des ressources), l’oekoumène (l’espace habitable) s’est fortement restreint, et se constitue, dans ce monde imaginaire futuriste, de cités fortifiées. Le réseau urbain ne semble plus exister, les discontinuités territoriales étant particulièrement fortes : chaque cité fortifiée constitue un oekoumène autonome, totalement déconnecté des autres espaces habités. On peut noter que seule la présentation de l’éditeur en quatrième de couverture du tome 1 fait allusion à ce monde de cités, le manga lui montrant le total enfermement à l’intérieur de l’une d’entre elle : Sensoram.
    L’espace urbain est ici produit par une politique de régulation démographique : le contrôle absolu des habitants de Sensoram (comme des autres cités fortifiées) est donc au coeur même de cette société post-catastrophe. Cela va jusqu’au contrôle des destinées par les gènes : chaque être humain n’est pas seulement “formaté” socialement (notamment en étant dénué de famille, remplacée par son e-pet), mais aussi génétiquement. Les êtres humains naissent dans des matrices qui leur affectent des gènes spécifiques, qui contribueront à . Niko, encore élève à l’école d’entraînement à la sociabilisation, connaît déjà son futur métier et son rôle dans la société.

  • #Tintin et la #mer : représenter l’#espace_maritime dans la bande dessinée

    Les hors-séries concernant l’œuvre majeure d’Hergé, les aventures de Tintin, sont très nombreux : parmi les derniers en date, “Tintin et la mer” (Historia et Ouest F rance, HS n°1, septembre 2014, 130 p.*) explore les mers et océans, un espace très prégnant dans l’univers de Tintin et du capitaine Haddock. En 2007, un coffret de DVD était déjà consacré à l’espace maritime comme espace-scène majeur dans la série des Tintin (Tintin et la mer, 3 DVD + 1 Livret collector de 60 p. + 1 DVD Bonus, Thalassa spécial, 2007). Plusieurs expositions autour de ce même thème ont déjà eu lieu, (comme par exemple en 2004 à Greenwich). Enfin, une collection de mini-formats comprenant des extraits de certains albums dans les années 1980 met en avant le fort lien de Tintin et de la mer par des titres comme Tintin en Méditerranée ou Tintin en Mer Rouge).


    http://labojrsd.hypotheses.org/2588
    #représentation #bande-dessinée #BD

  • Histoire(s) de l’immigration dans la bande dessinée
    http://labojrsd.hypotheses.org/2504

    Durant la dernière décennie, les migrants sont devenus de nouveaux héros de bande dessinée. […] Ces récits dessinés apparaissent comme le reflet de sociétés intégrées à la mondialisation. Ils interrogent tant sur les flux migratoires dont elles sont les points d’arrivée ou de départ que sur la présence et l’intégration de toutes les générations d’immigrants. Deux remarques s’imposent : si la question des migrants est de plus en plus abordée dans la BD dès les années 1980, elle l’est déjà avec parcimonie, directement ou indirectement, dès le début du XXe siècle. Car la BD se développe avec les grands mouvements de population, particulièrement ceux de l’Europe vers l’Amérique, dont les Etats-Unis. Elle entretient dès lors des rapports graphiques et narratifs avec les migrations, les secondes pouvant nourrir la première par l’histoire personnelle de certains auteurs. Depuis les années 2000, les dessinateurs et scénaristes africains se sont emparés de ce thème dans un souci de réflexion sur la portée des migrations sur les sociétés d’origine. Ainsi, sur des supports variés (journaux, magazines, albums, planches, web, BD), et à partir d’histoires individuelles, fictions ou témoignages, il faut analyser, sous l’angle d’une histoire « connectée », les circulations des hommes et des idées, celles des interactions, des communications et des réseaux, à différentes échelles.

    #Histoire #Histoire_et_BD #Histoire_et_Bande_Dessinée #BD #Comics #Manga #Bande_Dessinée #Neuvième_Art #9ème_Art #Représenter_l_Espace #Migrations #Représenter_les_Migrations #Migrations_et_BD #Migrations_et_Bande_Dessinée #Immigration #Histoire_des_Migrations #Histoire_de_l_Immigration

  • #Géographie, #ville et #bande_dessinée : quelques pistes bibliographiques

    Suite au Café géographique sur “Représenter l’#espace_urbain dans la bande dessinée”, voici quelques références et pistes bibliographiques qui ont appuyé la préparation de ce Café géo. A l’exception de la thèse de doctorat en géographie de Julien Champigny, L’espace dans la bande dessinée (2010, Université Paris 7), la question de l’espace dans la BD est assez dispersée dans la littérature géographique. Pourtant, en “creusant” la bibliographie, s’il n’y a pas encore d’ouvrage ou de numéro de revue spécifique à l’approche spatiale pour appréhender la bande dessinée (y compris dans des revues spécialisées, telles que l’incontournable Comicalités), les géographes sont tout de même nombreux à s’être intéressés à l’#espace dans/de la bande dessinée. Voici donc quelques références autour des liens Géographie/Bande dessinée/Ville (cette biblio/sitographie ne prétendant nullement à l’exhaustivité).


    http://labojrsd.hypotheses.org/1220
    #base_de_données #urban_matters #bibliographie

  • La #toponymie dans la #bande_dessinée : quelques pistes de réflexion

    Des « paysages sans toponymie » dans Polka sur autoroute de Dup (Jessie Bi, 2014, « Polka sur autoroute de DUP », du9, l’autre bande dessinée, mai 2014) aux toponymes fortement chargés de sens dans les villes imaginaires de Tapiocapolis chez Hergé (Tintin et les Picaros) et de Brüsel et Pâhry dans les Cités obscures de François Schuiten et Benoît Peeters, l’utilisation (ou la non-utilisation) de la toponymie dans la bande dessinée n’est jamais neutre. L’IGN (Institut géographique national) définit ainsi le toponyme comme le « nom propre attribué à une entité géographique, qu’il s’agisse d’un détail naturel ou construit par l’homme » (IGN, « Toponymie : la science des noms géographiques », Fiche thématique, rubrique Espace éducatif). L’auteur de bande dessinée choisit de fixer ou non des toponymes, de les ancrer dans le réel (ou a minima le réalisme) ou dans l’imaginaire, de leur donner un sens chargé de significations identitaires ou politiques...


    http://labojrsd.hypotheses.org/2142
    #BD

  • La toponymie dans la bande dessinée : quelques pistes de réflexion | SciencesDessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/2142

    Des « paysages sans toponymie » dans Polka sur autoroute de Dup (Jessie Bi, 2014, « Polka sur autoroute de DUP », du9, l’autre bande dessinée, mai 2014) aux toponymes fortement chargés de sens dans les villes imaginaires de Tapiocapolis chez Hergé (Tintin et les Picaros) et de Brüsel et Pâhry dans les Cités obscures de François Schuiten et Benoît Peeters, l’utilisation (ou la non-utilisation) de la toponymie dans la bande dessinée n’est jamais neutre. L’IGN (Institut géographique national) définit ainsi le toponyme comme le « nom propre attribué à une entité géographique, qu’il s’agisse d’un détail naturel ou construit par l’homme »

    #BD #toponymie

  • Série Ethnicity 01 (2) : Sensoram, géographie d’un enfermement et espaces de la domination.
    http://labojrsd.hypotheses.org/802

    "La série sur Ethnicity 01 propose d’interroger ce manga au prisme de la géographie, en questionnant les liens entre ville, bande dessinée et imaginaire. La ville imaginaire de Sensoram, cité fortifiée produite dans et par un contexte post-catastrophique, nous donne à voir une géographie de l’enfermement et une géographie de la domination. Face aux multiples conséquences d’une catastrophe climatique d’ampleur mondiale (qui a produit des guerres et des famines, dans une lutte effrénée pour la conquête des ressources), l’oekoumène (l’espace habitable) s’est fortement restreint, et se constitue, dans ce monde imaginaire futuriste, de cités fortifiées. Le réseau urbain ne semble plus exister, les discontinuités territoriales étant particulièrement fortes : chaque cité fortifiée constitue un oekoumène autonome, totalement déconnecté des autres espaces habités. On peut noter que seule la présentation de l’éditeur en quatrième de couverture du tome 1 fait allusion à ce monde de cités, le manga lui montrant le total enfermement à l’intérieur de l’une d’entre elle : Sensoram.

    Dans ce billet, on se propose de focaliser le regard sur la cité fortifiée de Sensoram. Cette ville post-catastrophe est une enclave, notion entendue dans sa dimension spatiale. En géographie, on définit l’enclave comme “une situation spatiale type où la distance (entre les sociétés) est infinie, caractéristique de l’isolat parfait” (Jean Débrié, 2001, De la continentalité à l’Etat enclavé. Circulation et ouvertures littorales des territoires intérieurs de l’ouest africain, thèse de doctorat en géographie, Université du Havre, p. 35). La notion d’enclave a souvent connu des acceptions plus étendues (pour définir, par exemple, des situations de territoires mal desservis par les axes de communication), mais nous l’entendrons ici dans son sens le plus extrême, à savoir celui de l’isolat le plus abouti. L’enclavement traduit bien l’inscription spatiale de la discontinuité dans les réseaux urbains et dans l’oekoumène qui nous est donné à voir par le prisme de Sensoram et des pratiques spatiales de Niko."

  • Nature et bande dessinée – Quand les cases se mettent au vert | aggiornamento hist-geo
    http://aggiornamento.hypotheses.org/2007

    Rédactrice : Véronique Servat

    Intervention du jeudi 17 avril 2014 organisée par le laboratoire Juniors sciences dessinées : http://labojrsd.hypotheses.org/1954

    Les contenus en géographie scolaire et universitaire ont été beaucoup renouvelés ces dernières années ; c’est pourquoi pour les enseignants du secondaire qui ont majoritairement reçu une formation d’historiens, ils peuvent parfois être difficiles à appréhender. Ils ont en tout état de cause nécessité une remise à niveau scientifique importante ces dernières années.

    #BD

  • La représentation de la nature dans les mangas (3) : La végétation et l’arbre dans la ville japonaise dessinée : La nature dans la ville (II) | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1801

    Ce billet fait suite au précédent : « A la rencontre de la nature dans la ville dessinée japonaise : pistes introductives (I) », dans la série des billets « La nature dans les mangas ». Cette série est proposée comme introduction à notre journée d’études du 17 avril 2014 : « Quand les cases se mettent au vert. Nature et bande dessinée » avec Etienne Davodeau.

    #mangas #végétation #villes #Japon

  • Série “Café géo Ville et BD” (10) : La ville dans les comics, entre urbaphilie et urbaphobie | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1734

    Ce texte est un extrait du compte-rendu du Café géographique de Paris du 28 janvier 2014 où Aymeric Landot et Bénédicte Tratnjek étaient invités à intervenir sur le sujet “Représenter l’espace urbain dans la bande dessinée” suite à la journée d’études du Laboratoire junior Sciences Dessinées du 18 septembre 2013 : Ville et bande dessinée, avec Benoît Peeters comme invité du grand entretien. L’intégralité du compte-rendu est à paraître sur le site des Cafés géographiques que nous remercions de cette invitation.

    Voir également les billets “La ville dans le manga, entre urbaphilie et urbaphobie“ et “La ville et la guerre dans la bande dessinée“. Voir tous les billets de la série “Café géo Ville et BD”. Ce billet poursuit “De Métropolis à Gotham, quand la ville génère la bande dessinée“.

    #BD #comics #villes

  • Série “Café géo Ville et BD” (9) : Villes et architectures des cases | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1727

    Ce texte est un extrait du compte-rendu du Café géographique de Paris du 28 janvier 2014 où Aymeric Landot et Bénédicte Tratnjek étaient invités à intervenir sur le sujet “Représenter l’espace urbain dans la bande dessinée” suite à la journée d’études du Laboratoire junior Sciences Dessinées du 18 septembre 2013 : Ville et bande dessinée, avec Benoît Peeters comme invité du grand entretien. L’intégralité du compte-rendu est à paraître sur le site des Cafés géographiques que nous remercions de cette invitation.

    Il fait suite au billet “Les Cités obscures : ville-personnage et espace de narration“ et précède le billet ”La ville dans le manga, entre urbaphilie et urbaphobie“. Voir tous les billets de la série “Café géo Ville et BD”.

    #BD #villes

  • Série “Café géo Ville et BD” (8) : Les Cités obscures : ville-personnage et espace de narration | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1716

    Ce texte est un extrait du compte-rendu du Café géographique de Paris du 28 janvier 2014 où Aymeric Landot et Bénédicte Tratnjek étaient invités à intervenir sur le sujet “Représenter l’espace urbain dans la bande dessinée” suite à la journée d’études du Laboratoire junior Sciences Dessinées du 18 septembre 2013 : Ville et bande dessinée, avec Benoît Peeters comme invité du grand entretien. L’intégralité du compte-rendu est à paraître sur le site des Cafés géographiques que nous remercions de cette invitation.

    Il fait suite au billet “La ville d’Eisner, une géographie sensible : banalité, absurdité et drames solitaires“. Voir tous les billets de la série “Café géo Ville et BD”.

    #BD #villes

  • Série “Café géo Ville et BD” (7) : La ville d’Eisner, une géographie sensible : banalité, absurdité et drames solitaires | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1700

    Ce texte est un extrait du compte-rendu du Café géographique de Paris du 28 janvier 2014 où Aymeric Landot et Bénédicte Tratnjek étaient invités à intervenir sur le sujet “Représenter l’espace urbain dans la bande dessinée” suite à la journée d’études du Laboratoire junior Sciences Dessinées du 18 septembre 2013 : Ville et bande dessinée, avec Benoît Peeters comme invité du grand entretien. L’intégralité du compte-rendu est à paraître sur le site des Cafés géographiques que nous remercions de cette invitation.

    Il fait suite au billet “La ville, la géographie et la bande dessinée“. Voir tous les billets de la série “Café géo Ville et BD”.

    #BD #ville #géographie

  • Qui a peur de la bande dessinée ? “Mauvais genre” et enseignement | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1628

    Ces dernières semaines, la lettre-circulaire du 11 février 2014 d’une inspectrice de l’académie de Limoges, Marie-France Nys (IA-IPR vie scolaire), a fait réagir un collectif d’universitaires, de chercheurs et d’auteurs de bande dessinée, qui dénoncent un acte de censure. La circulaire vise à la fois un ouvrage, L’Art de la bande dessinée (Pascal Ory, Laurent Martin et Jean-Pierre Mercier (dir.), Citadelles & Mazenod, 2012, 592 p.), et l’ensemble des bandes dessinées et mangas, de plus en plus présents dans les CDI (bibliothèques des établissements scolaires dans le secondaire). Si de nombreuses ressources pédagogiques sont proposées par des enseignants ou par des institutions dépendant de l’Education nationale sont accessibles en ligne et permettent d’utiliser la bande dessinée en classe et si la réflexion sur la bande dessinée en classe est ancienne et prolifique, il semble que, dans de nombreux esprits, la bande dessinée ait gardé son statut de “mauvais genre”.

    #BD

  • Série “Café géo Ville et BD” (6) : Enki Bilal : Sarajevo, une ville en guerre ? La ville en guerre, une Sarajevo ? | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1559

    Ce texte est un extrait du compte-rendu du Café géographique de Paris du 28 janvier 2014 où Aymeric Landot et Bénédicte Tratnjek étaient invités à intervenir sur le sujet “Représenter l’espace urbain dans la bande dessinée” suite à la journée d’études du Laboratoire junior Sciences Dessinées du 18 septembre 2013 : Ville et bande dessinée, avec Benoît Peeters comme invité du grand entretien. L’intégralité du compte-rendu est à paraître sur le site des Cafés géographiques que nous remercions de cette invitation.

    Il fait suite au billet “La ville et la guerre dans la bande dessinée“. Voir également le billet “La ville dans le manga, entre urbaphilie et urbaphobie“. Voir tous les billets de la série “Café géo Ville et BD”.

    #BD #géographie #ville #Sarajevo #Bilal

  • Série “Café géo Ville et BD” (5) : La ville et la guerre dans la bande dessinée | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1548

    Ce texte est un extrait du compte-rendu du Café géographique de Paris du 28 janvier 2014 où Aymeric Landot et Bénédicte Tratnjek étaient invités à intervenir sur le sujet “Représenter l’espace urbain dans la bande dessinée” suite à la journée d’études du Laboratoire junior Sciences Dessinées du 18 septembre 2013 : Ville et bande dessinée, avec Benoît Peeters comme invité du grand entretien. L’intégralité du compte-rendu est à paraître sur le site des Cafés géographiques que nous remercions de cette invitation.

    Voir également le billet “La ville dans le manga, entre urbaphilie et urbaphobie“. Voir tous les billets de la série “Café géo Ville et BD”.

    #BD #ville #guerre

  • Série “Café géo Ville et BD” (3) : La ville dans les mangas (suite) : une forte représentation de l’espace urbain comme laboratoire de la coprésence | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1490

    Ce billet fait directement suite au billet “Série “Café géo Ville et BD” (2) : La ville dans le manga, entre urbaphilie et urbaphobie”. Voir tous les billets de la série “Café géo Ville et BD”.

    #BD #manga #ville

  • Série “Café géo Ville et BD” (2) : La ville dans le manga, entre urbaphilie et urbaphobie | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1310

    Ce texte est un extrait du compte-rendu du Café géographique de Paris du 28 janvier 2014 où Aymeric Landot et Bénédicte Tratnjek étaient invités à intervenir sur le sujet “Représenter l’espace urbain dans la bande dessinée” suite à la journée d’études du Laboratoire junior Sciences Dessinées du 18 septembre 2013 : Ville et bande dessinée, avec Benoît Peeters comme invité du grand entretien.

    #BD #manga #ville

  • Série “Café géo Ville et BD” (1) : La ville, la géographie et la bande dessinée | Sciences Dessinées
    http://labojrsd.hypotheses.org/1298

    Ce texte est un extrait du compte-rendu du Café géographique de Paris du 28 janvier 2014 où Aymeric Landot et Bénédicte Tratnjek étaient invités à intervenir sur le sujet “Représenter l’espace urbain dans la bande dessinée” suite à la journée d’études du Laboratoire junior Sciences Dessinées du 18 septembre 2013 : Ville et bande dessinée, avec Benoît Peeters comme invité du grand entretien. L’intégralité du compte-rendu est à paraître sur le site des Cafés géographiques que nous remercions de cette invitation.

    #BD #ville #géographie