• [infokiosques.net] - Les assemblées anarchistes ouvertes
    http://infokiosques.net/spip.php?article988

    « L’assemblée ouverte permet à des dizaines ou des centaines de personnes de se réunir et discuter de la situation, sans restreindre la réunion à un petit groupe, ou se faire encercler par des libéraux, des gauchistes, ou des illuminés. Elle encourage le débat et une théorisation profonde qui provient de la pratique et se traduit par celle ci. »

    http://infokiosques.net/IMG/pdf/du_mouvement_a_l_espace_-_les_assemblees_anarchistes_ouvertes.pdf

    #A._G._Schwarz

  • Punks versus État socialiste : RDA, années 80
    http://infokiosques.net/spip.php?article950

    « Une perspective sans perspective, un paysage d’apocalypse qui ne me laissait entrevoir aucun espoir de réaliser mes désirs ou mes aspirations, mais qui m’offrait à la place l’amitié indestructible de l’Union soviétique, l’unité du Peuple et du Parti, l’unité du Parti et de l’état, et le futur comme un présent sans fin. »


    #punk #rda

  • Guy Debord, La planète malade
    http://infokiosques.net/lire.php?id_article=966

    La « #pollution » est aujourd’hui à la mode, exactement de la même manière que la #révolution : elle s’empare de toute la vie de la société, et elle est représentée illusoirement dans le #spectacle. Elle est bavardage assommant dans une pléthore d’écrits et de discours erronés et mystificateurs, et elle prend tout le monde à la gorge dans les faits. Elle s’expose partout en tant qu’idéologie, et elle gagne du terrain en tant que processus réel.

  • [infokiosques.net] - La Révolte des Machines
    http://infokiosques.net/spip.php?article954

    « — Les hommes sont des tyrans. Ils nous faisaient travailler pour eux et nous mesuraient la nourriture. Ils nous donnaient un salaire insu isant pour acheter notre charbon. Quand nous étions vieilles, usées à les servir, ils nous brisaient pour refondre et utiliser les nobles éléments dont nous sommes formées et qu’ils appelaient injurieusement des matériaux !... Et voici qu’ils veulent nous faire faire des enfants, pour nous les voler ensuite ! Autour d’elles, des millions de locomotives s’arrêtaient, écoutaient, agitaient leurs pistons en gestes indignés, faisaient claquer leurs soupapes de sûreté, lançaient vers le ciel de longs jets de vapeur qui étaient des malédictions. »

    #Han_Ryner (première parution : septembre 1896)

  • Troisième jour du procès antiterroriste : vous avez dit “anarcho-autonome” ?http://www.lesinrocks.com/2012/05/17/actualite/troisieme-jour-du-proces-antiterroriste-vous-avez-dit-anarcho-autonome-1

    Tout tourne autour d’une absente au procès des six personnes accusées d’association de malfaiteurs “en vue de la préparation d’actes de terrorisme”. Sans cesse évoquée, jamais définie, objet de prises de bec à l’audience, “la mouvance anarcho-autonome francilienne” (parfois abrégée en MAAF) constituerait pour l’accusation le cadre dans lequel évoluent les prévenus, leur point de rendez-vous commun et leur matrice idéologique.

    #antiterrorisme #procès #justice #ultragauche

  • Mauvaises intentions #3, autour du procès « antiterroriste » de mai 2012 (infokiosques)
    http://infokiosques.net/spip.php?article945

    du 14 au 22 mai 2012, le procès concernant 6 camarades désignés comme appartenant à la « mouvance anarcho-autonome francilienne » et interpellés en 2008. Les médias et le pouvoir avaient alors brandi l’épouvantail anarcho-autonome, les accusant, entre autre, d’avoir pris part à l’agitation qui avait eu lieu après l’élection de Sarkozy en 2007. Hasard du calendrier, longueur de l’instruction, volonté politique ? Toujours est-il qu’à cette occasion, il nous a semblé important de réaliser un nouveau recueil de certains des textes qui nous ont accompagnés dans nos réflexions ces dernières années. (...) Source : infokiosques

    • LE CRIMINEL, C’EST L’ÉLECTEUR !
      http://infokiosques.net/lire.php?id_article=412

      Placard anti-électoral, 1er mars 1906.
      Publié par l’anarchie n°47 et signé Albert Libertad.

      C’est toi le criminel, ô Peuple, puisque c’est toi le Souverain. Tu es, il est vrai, le criminel inconscient et naïf. Tu votes et tu ne vois pas que tu es ta propre victime.

      Pourtant n’as-tu pas encore assez expérimenté que les députés, qui promettent de te défendre, comme tous les gouvernements du monde présent et passé, sont des menteurs et des impuissants ?

      Tu le sais et tu t’en plains ! Tu le sais et tu les nommes ! Les gouvernants quels qu’ils soient, ont travaillé, travaillent et travailleront pour leurs intérêts, pour ceux de leurs castes et de leurs coteries.

      Où en a-t-il été et comment pourrait-il en être autrement ? Les gouvernés sont des subalternes et des exploités : en connais-tu qui ne le soient pas ?

      Tant que tu n’as pas compris que c’est à toi seul qu’il appartient de produire et de vivre à ta guise, tant que tu supporteras, - par crainte,- et que tu fabriqueras toi-même, - par croyance à l’autorité nécessaire,- des chefs et des directeurs, sache-le bien aussi, tes délégués et tes maîtres vivront de ton labeur et de ta niaiserie. Tu te plains de tout ! Mais n’est-ce pas toi l’auteur des mille plaies qui te dévorent ?

      Tu te plains de la police, de l’armée, de la justice, des casernes, des prisons, des administrations, des lois, des ministres, du gouvernement, des financiers, des spéculateurs, des fonctionnaires, des patrons, des prêtres, des proprios, des salaires, des chômages, du parlement, des impôts, des gabelous, des rentiers, de la cherté des vivres, des fermages et des loyers, des longues journées d’atelier et d’usine, de la maigre pitance, des privations sans nombre et de la masse infinie des iniquités sociales.

      Tu te plains ; mais tu veux le maintien du système où tu végètes. Tu te révoltes parfois, mais pour recommencer toujours. C’est toi qui produis tout, qui laboures et sèmes, qui forges et tisses, qui pétris et transformes, qui construis et fabriques, qui alimentes et fécondes !

      Pourquoi donc ne consommes-tu pas à ta faim ? Pourquoi es-tu le mal vêtu, le mal nourri, le mal abrité ? Oui, pourquoi le sans pain, le sans souliers, le sans demeure ? Pourquoi n’es-tu pas ton maître ? Pourquoi te courbes-tu, obéis-tu, sers-tu ? Pourquoi es-tu l’inférieur, l’humilié, l’offensé, le serviteur, l’esclave ?

      Tu élabores tout et tu ne possèdes rien ? Tout est par toi et tu n’es rien.

      Je me trompe. Tu es l’électeur, le votard, celui qui accepte ce qui est ; celui qui, par le bulletin de vote, sanctionne toutes ses misères ; celui qui, en votant, consacre toutes ses servitudes.

      Tu es le volontaire valet, le domestique aimable, le laquais, le larbin, le chien léchant le fouet, rampant devant la poigne du maître. Tu es le sergot, le geôlier et le mouchard. Tu es le bon soldat, le portier modèle, le locataire bénévole. Tu es l’employé fidèle, le serviteur dévoué, le paysan sobre, l’ouvrier résigné de ton propre esclavage. Tu es toi-même ton bourreau. De quoi te plains-tu ?

      Tu es un danger pour nous, hommes libres, pour nous, anarchistes [sic]. Tu es un danger à l’égal des tyrans, des maîtres que tu te donnes, que tu nommes, que tu soutiens, que tu nourris, que tu protèges de tes baïonnettes, que tu défends de ta force de brute, que tu exaltes de ton ignorance, que tu légalises par tes bulletins de vote, - et que tu nous imposes par ton imbécillité.

      C’est bien toi le Souverain, que l’on flagorne et que l’on dupe. Les discours t’encensent. Les affiches te raccrochent ; tu aimes les âneries et les courtisaneries : sois satisfait, en attendant d’être fusillé aux colonies, d’être massacré aux frontières, à l’ombre de ton drapeau.

      Si des langues intéressées pourlèchent ta fiente royale, ô Souverain ! Si des candidats affamés de commandements et bourrés de platitudes, brossent l’échine et la croupe de ton autocratie de papier ; Si tu te grises de l’encens et des promesses que te déversent ceux qui t’ont toujours trahi, te trompent et te vendront demain : c’est que toi-même tu leur ressembles. C’est que tu ne vaux pas mieux que la horde de tes faméliques adulateurs. C’est que n’ayant pu t’élever à la conscience de ton individualité et de ton indépendance, tu es incapable de t’affranchir par toi-même. Tu ne veux, donc tu ne peux être libre.

      Allons, vote bien ! Aies confiance en tes mandataires, crois en tes élus.

      Mais cesse de te plaindre. Les jougs que tu subis, c’est toi-même qui te les imposes. Les crimes dont tu souffres, c’est toi qui les commets. C’est toi le maître, c’est toi le criminel, et, ironie, c’est toi l’esclave, c’est toi la victime.
      Nous autres, las de l’oppression des maîtres que tu nous donnes, las de supporter leur arrogance, las de supporter ta passivité, nous venons t’appeler à la réflexion, à l’action [sic].

      Allons, un bon mouvement : quitte l’habit étroit de la législation, lave ton corps rudement, afin que crèvent les parasites et la vermine qui te dévorent. Alors seulement du pourras vivre pleinement.

      LE CRIMINEL, c’est l’Electeur !

      #Albert_Libertad

  • Procès antiterroriste pour 6 camarades du 14 au 22 mai 2012 à Paris
    http://infokiosques.net/mauvaises_intentions

    Ivan, Bruno et Damien sont arrêtés en janvier 2008 alors qu’ils se rendent à une manif devant le centre de rétention de Vincennes avec des fumigènes artisanaux et des crève-pneus, qui deviennent pour la justice et les médias une “bombe à clous”. Ivan et Bruno sont alors placés en détention préventive et Damien sous contrôle judiciaire.
    Quelques jours plus tard, Inès (*Isa) et Franck (*Farid) sont arrêtés lors d’un contrôle des douanes à Vierzon en possession de manuels expliquant des techniques de sabotage, du plan d’une prison pour mineurs et de chlorate. L’antiterrorisme se saisit de l’affaire. Les flics prétendent que l’ADN d’Isa correspondrait à une des 5 traces ADN présentes dans un sac contenant des bouteilles d’essence, retrouvé sous une dépanneuse de flics pendant l’entre-deux-tours des présidentielles de 2007.

    Rapidement, ces deux enquêtes sont jointes en un seul dossier, instruit par les mêmes juges antiterroristes. La police ratisse alors dans l’entourage des personnes arrêtées et des personnes fichées “anarcho-autonomes” pour tenter de trouver qui se cacherait derrière les ADN manquants. Javier (*Juan), le frère d’Inès (*Isa), puis Damien (qui avait été arrêté avec Ivan et Bruno) sont mis en prison pendant plusieurs mois car leurs profils ADN correspondraient aussi aux traces retrouvées sous la dépanneuse. Par ailleurs, en juin 2010, Javier (*Juan) a, en plus, été mis en examen pour une série de sabotages par incendie sur des armoires électriques de signalisation SNCF qui ont paralysé une partie du trafic ferroviaire en 2006 pendant le mouvement "CPE". Son ADN aurait été retrouvé sur le lieu d’une tentative de sabotage.

    Inès (*Isa), Javier (*Juan), Damien, Ivan, Franck (*Farid) et Bruno ont chacun fait entre 5 et 13 mois de détention préventive dans le cadre de cette procédure. Et ils restent sous contrôle judiciaire jusqu’au procès en correctionnelle.

    • Concert de solidarité avec les Inculpés du Procès de Mai
      A l’occasion de la parution du recueil de textes Mauvaises Intentions 3, un concert de solidarité aura lieu le vendredi 11 mai à la Parole Errante, 9 rue François Debergue, Montreuil ( Croix de Chavaux)

      à partir de 18h30 : point d’info et présentation.
      20h Concert avec les Louise Mitchels, Tweez, Pierre & Bastien, et Gommard.
      Bouffe et entrée à prix libre.

      Du 14 au 22 mai 2012, six camarades passeront en procès à Paris sous l’accusation d’association de malfaiteurs à finalité terroriste. Les faits concernent la tentative d’incendie d’un véhicule de flics en 2007 pendant la dernière mascarade présidentielle, et un sabotage de la circulation des trains lors du mouvement anti-cpe en 2006. Ils sont également accusés de fabrication de fumigènes artisanaux et crève-pneus destinés à une manifestation devant la prison pour étrangers de Vincennes en 2008, ou encore d’avoir eu entre leurs mains des manuels de sabotage, du chlorate et des plans originaux de la prison pour mineurs de Porcheville.

      RDV le 14 mai à 13h30 au TGI de Paris ( M°Cité ) à la 10e chambre correctionnelle pour la première audience.

  • [infokiosques.net] - Quelques conseils face aux visites domiciliaires de la CAF
    http://infokiosques.net/spip.php?article928

    Nous sommes des millions à devoir nous serrer la ceinture, à faire des pirouettes pour payer les factures, la bouffe et le bouquet de fleurs pour la grand-mère. Les loyers explosent et il est impossible de les payer même avec l’allocation logement. Tout le monde sait, y compris la CAF, qu’il est chimérique de survivre avec le montant du RSA.
    Celui que la CAF appelle « fraudeur », c’est le RSAste qui se fait aider régulièrement par sa famille pour arriver à la fin du mois, c’est la mère qui ne déclare pas son compagnon pour garder son indépendance et ses maigres revenus, c’est l’intermittent du travail au black qui veut éviter une chute de revenus catastrophique.
    Pas de culpabilité qui tienne. On a du mal à se battre pour l’argent des allocs, même si l’on en dépend. Question de gêne, de honte, de peur, mais aussi de manque de prise, de manque de points d’attaque et d’éléments de défense. Nous voudrions, ici, essayer de comprendre les règles opaques qui régissent la CAF pour être plus résistants, plus forts, plus solides vis-à-vis de cette institution. Et que cela puisse servir d’outil pour réagir collectivement.

    http://infokiosques.net/IMG/pdf/cafards-controle1.pdf

  • Se sentir vivre | E. Armand (infokiosques.net)
    http://infokiosques.net/spip.php?article932

    « J’écris ces lignes en pleine période électorale. Les murs sont barbouillés d’affiches de toutes les couleurs ou on s’en dit de toutes les couleurs, sans jeu de mots. Qui n’a pas son parti – son programme – sa profession de foi ? Qui n’est pas socialiste ou radical ou progressiste ou libéral ou « proportionnaliste » – le dernier cri du jour ? C’est la grande maladie du siècle, cette abnégation du moi. On est d’une association, d’un syndicat, d’un parti ; on partage l’opinion, les convictions, la règle de conduite d’autrui. On est le mené, le suiveur, le disciple, l’esclave, jamais soi-même. » (...) Source : infokiosques.net

  • Vous n’êtes que des poires ! | Zo d’Axa (Relevé sur le Net...)
    http://infokiosques.net/spip.php?article929

    « Instruire le peuple ! Que faudra-t-il donc ? Sa misère ne lui a rien appris. Tant qu’il y aura riches et pauvres, ces derniers s’attelleront d’eux-mêmes pour le service commandé. L’échine des travailleurs est habituée au harnais. Au temps de la jeunesse et de la force, ils sont les seuls domestiques qui ne ruent pas dans les brancards. L’honneur spécial du prolétaire consiste à accepter en bloc tous les mensonges au noms desquels on le condamne aux travaux forcés : devoir, patrie, etc. Il accepte, espérant ainsi se hisser dans la classe bourgeoise. La victime se fait complice. Le malheureux parle du drapeau, se frappe la poitrine, ôte sa casquette et crache en l’air : – Je suis un honnête ouvrier ! Ça lui retombe toujours sur le nez. » (...) Source : Relevé sur le Net...

  • L’obsolescence du sens
    http://infokiosques.net/lire.php?id_article=914

    Ainsi, l’absurdité est presque entièrement refoulée. Et cela pas seulement par les entreprises qui fournissent les emplois mais aussi par les millions d’ouvriers, puisque ceux-ci, s’ils regardaient en face l’absurdité de leur travail et de leur vie, devraient tout abandonner. En fait, le nombre des hommes sincères, ceux qui reconnaissent l’absurdité – nous allons bientôt parler d’eux –, est incomparablement plus faible que le nombre de ceux qui la refoulent. Ceux-ci – il s’agit de centaines de millions – affirment très naturellement (et ceux qui sont menacés par le chômage et les chômeurs effectifs de la façon la plus emphatique) que le travail est en tant que tel est pour eux un droit fondamental et sacré. Et puisqu’il serait insensé à leurs yeux de désigner comme absurde quelque chose dont ils proclament que c’est un droit sacré, ils s’empêchent avec succès de reconnaître l’absurdité de leur travail.

  • [infokiosques.net] - TOUS les programmes politiques
    http://infokiosques.net/lire.php?id_article=896

    De quelle société on parle ?

    A bas le développement !

    Nous arrêterons cette machine mortifère par tous les moyens à notre disposition !

    A bas le commerce !

    Vive la gratuité, vive le vol, à bas la propriété même sexuelle !

    A bas le gouvernement !

    Nous n’avons pas d’ordres à donner, nous ne voulons pas en recevoir !

    A bas la police !

    Marre de tous les flics ! Soldats, CRS, gendarmes, matons, vigiles, patrons et petits chefs, profs, éducateurs, curés… sans oublier celui qui est en chacun de nous !

    Le POUF, social-traître altermondialiste préfère le confort de la négociation au réel rapport de force dans tous les compartiments de la vie. C’est un fossile englué dans les mythes industriels et productivistes !
    Le POF dirige tout, détient tout, profite de tous. Normal qu’il ne veuille rien changer ! Crève charogne ! Nous pillerons ses magasins ! Nous frauderons ses administrations ! Nous offenserons sa morale !
    Le PROUT est représentatif d’une morale nauséabonde. Monarchie ou Démocratie, nous n’avons pas finit de guillotiner les rois et de brûler les églises ! Qu’ils se mettent leurs cierges dans le cul !
    Le PEF, moteur intellectuel de la vie politique, n’est qu’un pauvre rat nazillon que nous matons régulièrement dans la rue à coups de battes de base-ball !
    Le PAF nous fait bien rigoler lorsqu’il croit que l’abstention peut être suffisante pour renverser le vieux monde ! Sans parler que lui aussi emploie le vocabulaire de ses soi-disant ennemis, baragouine sur le développement, le commerce, le gouvernement, la police…
    Le PUF est l’organe de propagande qui orchestre cette société spectaculaire-marchande que nous allons faire voler en éclats à coups de pavés, d’émeutes et de cocktails molotov !

    Cette société, nous allons la détruire !
    PIF, Parti insurrectionnel Fantôme

  • À bas les chefs ! | Joseph Déjacque ([infokiosques.net])
    http://infokiosques.net/lire.php?id_article=891

    La dictature, qu’elle soit une hydre à cent têtes ou à cent queues, qu’elle soit démocratique ou démagogique, ne peut assurément rien pour la liberté ; elle ne peut que perpétuer l’esclavage, au moral comme au physique. Ce n’est pas en enrégimentant un peuple d’ilotes sous un joug de fer, puisque fer il y a, en l’emprisonnant dans un uniforme de volontés proconsulaires, qu’il peut en résulter des hommes intelligents et libres. Tout ce qui n’est pas la liberté est contre la liberté. La liberté n’est pas chose qui puisse s’octroyer. il n’appartient pas au bon plaisir de quelque personnage ou comité de salut public que ce soit de la décréter, d’en faire largesses. (...) Source : [infokiosques.net]

  • [infokiosques.net] - Joseph Déjacque - A bas les chefs !
    http://infokiosques.net/spip.php?article891

    A toute idée présente et à venir, salut ! L’autorité a régné si longtemps sur les hommes, elle a tellement pris possession de l’humanité, qu’elle a laissé partout garnison dans son esprit. Aujourd’hui encore, il est difficile, autrement qu’en idée, de la saper de fond en comble. Chacun des civilisés est pour elle une forteresse qui, sous la garde des préjugés, se dresse en ennemie sur le passage de la liberté, cette envahissante amazone.

  • The Tottenham Chronicles (infokiosques.net)
    http://infokiosques.net/spip.php?article881

    émeutes et pillages au Royaume-Uni du 6 au 10 août 2011 Les Tottenham Chronicles, c’est un recueil de textes qui viennent, pour la plupart d’entre eux, d’Angleterre. S’y trouvent aussi bien des témoignages à chaud que des analyses présentées avec un peu plus de recul. (...) Source : infokiosques.net