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  • Trump tells Abbas of plans to move embassy as world leaders warn of consequences
    Dec. 5, 2017 7:42 P.M. (Updated: Dec. 5, 2017 7:42 P.M.)
    http://www.maannews.com/Content.aspx?ID=779571

    BETHLEHEM (Ma’an) — After days of speculation over whether the US would be moving its Israeli embassy from Tel Aviv to Jerusalem, American President Donald Trump called Palestinian President Mahmoud Abbas on Tuesday and confirmed his intentions to move the embassy.

    Abbas’ spokesperson Nabil Abu Rudeineh released a statement saying that Abbas "warned [Trump] of the dangerous repercussions of such step” for the peace-process between Israel and Palestine, and for general security and stability in the region and world.

    Abbas reportedly reiterated the Palestinian leadership’s unwavering position that without what is no occupied East Jerusalem as its capital, there is not future of Palestinian state as stipulated in international resolutions.

    Abu Rudeineh stressed that Abbas “will continue to contact world leaders in order to prevent this unacceptable.”

    Israeli news daily Haaretz quoted Nabil Shaath, a senior Palestinian official, as saying that “the mother of all the [peace] deals dies here on the rocks in Jerusalem if he says tomorrow that he recognizes a united Jerusalem as the capital of Israel.”

    Meanwhile, international media outlets reported that Trump also phoned Jordanian King Abdullah II, who, according to Haaretz, told Trump over the phone that he pledged to “thwart any American initiative to renew the peace process and would encourage rage and resistance among Muslims and Christians alike,” if the embassy was moved.

    • « Avec Jérusalem, Donald Trump joue l’avenir du processus de paix »
      MondeDans les prochaines heures, le président américain pourrait reconnaître la ville sainte comme capitale d’Israël. Explosif !
      Sabrina Myre | 5 décembre 2017, 20h00

      (...) Offrir Jérusalem aux Israéliens torpillerait le processus de paix et signerait la mort définitive de la solution à deux États. « Ça ne sert plus à rien de négocier si les États-Unis décident du statut de Jérusalem, qui devait être scellé dans un accord de paix », tranche Fouad Hallak, l’un des conseillers pour les négociations à l’Organisation de libération de la Palestine. Les Palestiniens aspirent à faire de Jérusalem-Est, dont la Vieille-Ville, qui abrite les lieux saints, la capitale d’un futur pays. « Sans la mosquée Al-Aqsa pour les musulmans et le Saint-Sépulcre pour les chrétiens, aucun État palestinien n’est envisageable », soutient l’expert. Pas plus acceptable qu’Abu Dis, petite ville en périphérie de Jérusalem, proposée comme future capitale par le supposé plan de paix des Saoudiens, révélé lundi par le New York Times. Il n’en fallait pas plus pour faire grimper la tension.

      Le Hamas menace

      En plein marathon diplomatique pour faire dérailler l’annonce, Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne, est sur la sellette. « Ce serait un échec qui lui ferait perdre le peu de légitimité qui lui reste », lâche Hamada Jaber, analyste au Centre palestinien pour la recherche politique et les études d’opinion. « Vingt-cinq ans après les Accords d’Oslo, il ne reste plus rien. Aussi bien dissoudre l’Autorité, née dans la foulée de ces pourparlers », propose le chercheur. Une reconnaissance hypothétique de Jérusalem comme capitale d’Israël provoque déjà la colère des Palestiniens. Le mouvement islamiste Hamas a menacé de « raviver l’Intifada ». « Cette crise plongera les Palestiniens dans l’incertitude mais pourrait forcer l’émergence d’un nouveau leadership et la fin du statu quo », analyse Hamada Jaber.(...)

  • Hariri est arrivé à Paris. Il serait accompagné de sa femme et de son fils aîné (Houssam, né en 1999). Le détail qui va passionner les Libanais (mais pas les autres) : ses deux autres enfants (mineurs) seraient restés en Arabie séoudite (Loulwa née en 2001 et Abdel Aziz né en 2005).

    Selon le Akhbar, c’était une des conditions pour que Saad Hariri soit autorisé à quitter le royaume :
    http://www.al-akhbar.com/node/286673

    بقاء ابنَي الحريري في الرياض بدا أشبه بالشروط التي تُفرَض على الموقوف بعد صدور قرار بإطلاق سراحه. وهذا الأمر (عدم مغادرة جميع أفراد عائلة الحريري معه)، أبلغه «الوسيط» الفرنسي إلى الرئيس ميشال عون أمس، ما سبّب انزعاجه. فعون، الذي سبق أن أعلن أن الحريري موقوف ومحتجز في السعودية، كان قد طالب بخروجه مع عائلته من الرياض، وعودتهم إلى لبنان، لضمان حرية قرار رئيس الحكومة بعد كل ما تعرّض له في الأسبوعين الماضيين. ورئيس الجمهورية بات يملك تصوراً تفصيلياً لكل ما جرى للحريري، منذ صباح يوم 4 تشرين الأول، تاريخ إجباره على إعلان استقالته.

    (Note : j’écris au conditionnel au sujet des 2 enfants, je manque de sources à cette heure.)

  • Le gouvernement israélien s’apprête à refouler sept élus français
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/11
    par Cyrille Louis, Correspondant à Jérusalem | Mis à jour le 13/11/2017 à 18:37 /13/01003-20171113ARTFIG00250-le-gouvernement-israelien-s-apprete-a-refouler-sept-elus-francais.php

    Pierre Laurent, Clémentine Autain, Patrick Le Hyaric ou encore Pascal Durand viennent d’être déclarés persona non grata. Ils devaient entamer ce week-end une visite en Israël et dans les Territoires palestiniens.

    Le ministère israélien de la Sécurité intérieure a annoncé lundi vouloir interdire l’entrée de son territoire à sept élus français, dont le secrétaire national du PCF, qui prévoient d’atterrir ce week-end à Tel Aviv pour une visite de cinq jours en Israël et dans les Territoires palestiniens. Ils font partie d’une délégation de vingt parlementaires et élus locaux qui avait indiqué un peu plus tôt dans la journée vouloir, à l’occasion de ce déplacement, « alerter sur la situation des près de 6000 prisonniers politiques palestiniens ».

    Certains membres de ce groupe d’élus issus du Parti communiste et de la France insoumise avaient annoncé leur intention de rencontrer Marwan Barghouti, haut cadre du Fatah incarcéré en Israël depuis une quinzaine d’années. Condamné à plusieurs peines de prison à perpétuité pour son implication dans la deuxième intifada, ce prisonnier de 58 ans est souvent présenté comme le plus populaire des dirigeants palestiniens.

    Selon une source au ministère israélien de la Sécurité intérieure, « la décision de refouler ces sept élus a été prise après une enquête rapide du bureau des Affaires stratégiques ». Cette structure est notamment chargée de surveiller les activités de la campagne internationale Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS). Les autorités israéliennes ne semblaient toutefois pas en mesure de préciser, lundi après-midi, sur quels critères précis cette « liste noire » a été dressée. « Il s’agit des éléments les plus provocateurs », se bornait à préciser le ministère de la Sécurité intérieure, qui assurait vouloir « éviter une déconvenue aux intéressés en les informant à l’avance du sort qui les attend. »
    Interdits de rencontrer Salah Hamouri

    La liste dressée par le gouvernement israélien sous l’ordre des ministres Gilan Erdan et Arye Déry, telle que communiquée au Figaro, comprend le secrétaire national du PCF Pierre Laurent, la députée (LFI) Clémentine Autain, les députés européens Pascal Durand (Verts/Alliance libre européenne) et Patrick Le Hyaric (PCF), ainsi que les maires (PCF) de Stains Azzedine Taibi, de Limay Éric Roulot et de Gennevilliers Patrice Leclerc.

    D’après le ministère de la Sécurité intérieure, les treize autres élus qui prévoyaient de participer au voyage seront pour leur part admis sur le territoire israélien. Mais ils auront interdiction de rencontrer Marwan Barghouti ainsi que le détenu franco-palestinien Salah Hamouri, placé en détention administrative le 23 août, sans que ses défenseurs puissent avoir accès aux éléments réunis à son encontre. Le Quai d’Orsay s’est récemment dit « préoccupé » par sa situation, indiquant « espérer » sa remise en liberté.

    • Des élus français interdits d’entrée en Israël
      Lundi, 13 Novembre, 2017
      Humanite.fr
      https://www.humanite.fr/des-elus-francais-interdits-dentree-en-israel-645473

      Une délégation de plus d’une centaine d’élus français doit se rendre, ce week-end, en Palestine avec la volonté de rencontrer Marwan Barghouti et Salah Hamouri. Les autorités israéliennes ont annoncé qu’elles interdiraient à plusieurs d’entre eux, du PCF, de la FI et d’EELV d’entrer sur leur territoire.

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      Réaction aux déclarations des autorités israéliennes
      13 novembre 2017
      https://lafranceinsoumise.fr/2017/11/13/reaction-aux-declarations-autorites-israeliennes
      Communiqué du groupe « La France insoumise » à l’Assemblée nationale

      Les autorités israéliennes viennent de recommander à la délégation d’une centaine d’éluEs français qui s’apprêtent à partir à Jérusalem et dans les territoires palestiniens de « ne pas prendre l’avion ». Ainsi, l’Etat d’Israël veut interdire la venue de représentants de la République française, députés et sénateurs compris, sur leur territoire. Ce déni de démocratie et de liberté est aussi consternant qu’inacceptable.

      Quatre députés de la France Insoumise, Clémentine Autain, Michel Larive, Danièle Obono et Muriel Ressiguier, participent à ce voyage organisé par l’Association pour les jumelages entre les camps de réfugiés palestiniens et les villes françaises (AJPF).

      Le prétexte avancé est l’intention de rencontrer Marwan Barghouti, l’un des leaders palestiniens et aujourd’hui prisonnier politique. « Nous n’autorisons pas l’accès au territoire à ceux qui appellent activement à s’en prendre à Israël », a déclaré le ministre israélien de la Sécurité publique dans un communiqué. Ces propos sont stupéfiants. Agir pour l’application des résolutions de l’ONU et contre la colonisation constituerait-il désormais un engagement si insupportable qu’il légitimerait, aux yeux des autorités israéliennes, l’interdiction de venir sur leur territoire, y compris pour des élus français ? Comment un Àtat qui se dit démocratique peut-il proférer de telles menaces ?

      Comment ne pourrions-nous pas rendre visite à notre compatriote Salah Hamouri, privé de liberté pour son engagement politique ?

      Ces déclarations constituent une escalade dangereuse que la France ne peut accepter.

      Nous appelons le Président de la République, le gouvernement et le président de l’Assemblée nationale à intervenir pour que cette menace d’interdiction ne soit pas rendue possible. Il en va de la démocratie et de la paix.

    • Des élus français interdits de se rendre en Israël pour délit d’opinion
      14 novembre 2017 Par Thomas Cantaloube
      https://www.mediapart.fr/journal/international/141117/des-elus-francais-interdits-de-se-rendre-en-israel-pour-delit-dopinion

      (...) Selon le quotidien israélien Haaretz, qui s’est procuré un document émanant du ministère des affaires stratégiques, voici les justifications retenues pour l’interdiction de visa : « La question des visites aux prisonniers n’est pas de la responsabilité du ministère des affaires stratégiques, mais la question des prisonniers palestiniens et des efforts de délégitimation d’Israël sont imbriquées. (…) Une visite avec Marwan Barghouti est susceptible de lui donner de l’importance. » Barghouti est devenu une « cause célèbre » en Palestine et à l’étranger depuis qu’il a été arrêté en 2001, puis condamné à la prison à vie pour son rôle dans l’organisation d’attentats pendant la seconde intifada, alors qu’il clame son innocence.

      Quant à Salah Hamouri, il s’agit d’un avocat et activiste franco-palestinien placé en détention administrative en Israël depuis le 23 août, qui n’est pour l’instant pas inculpé. Selon le ministère des affaires stratégiques, « il est devenu en France le symbole du combat des prisonniers palestiniens. (…) Lui rendre visite reviendrait à célébrer un activiste extrémiste qui cherche à délégitimer Israël ».(...)

    • Israël refuse l’entrée à des responsables européens pour cause de ‘Soutien au boycott d’Israël’
      14 novembre | Ilan Lior , Jonathan Lis et Josh Breiner pour Haaretz |Traduction J.Ch. pour l’AURDIP |Actualités
      en English
      http://www.aurdip.fr/israel-refuse-l-entree-a-des.html

      Le but de la visite était de rencontrer en prison le leader palestinien condamné Marwan Barghouti, disent deux ministres.

      Israël a annoncé lundi qu’il interdirait l’entrée de sept membres d’une délégation de responsables européens en utilisant la législation récemment approuvée selon laquelle les militants du boycott anti-Israël sont interdits de visite.

      La délégation de 20 membres, dont l’arrivée en Israël était prévue pour la semaine prochaine, devait comprendre des députés européens et des maires français. La direction de la Population, de l’Immigration et des Frontières du ministère de l’Intérieur a dit que sept des 20 membres de la délégation seraient interdits d’entrée en Israël, ajoutant qu’elle avait été informée qu’ils avaient appelé au boycott d’Israël.

  • Un séisme fait au moins 335 morts en Irak et en Iran
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/11/13/01003-20171113ARTFIG00022-un-seisme-fait-au-moins-213-morts-en-irak-et-en-i

    Au moins 335 personnes ont été tuées et plus de 2800 autres ont été blessées

    Quand ils font ces décomptes, on sent qu’ils se font violence pour ne pas mettre de décimales dans leurs nombres.

    J’ose : Au moins 335,8 tués et 2800,3 blessés.

    • Séisme : plus de 400 morts en Iran, deuxième nuit dehors pour les rescapés
      https://tempsreel.nouvelobs.com/topnews/20171113.AFP2949/seisme-plus-de-400-morts-en-iran-deuxieme-nuit-dehors-pour-les-

      Téhéran (AFP) - Les secours iraniens s’activaient lundi en fin d’après-midi pour trouver d’éventuels survivants du tremblement de terre qui a frappé dimanche soir l’ouest de l’Iran et plusieurs régions irakiennes, faisant au moins 415 morts et plusieurs milliers de blessés.

      A l’approche du crépuscule, les autorités faisaient face au défi d’abriter et de nourrir des dizaines de milliers de personnes contraintes à coucher dehors, dans la fraîcheur, pour une deuxième nuit d’affilée.

      L’essentiel des victimes de la catastrophe était dénombré en Iran, où le bilan - toujours provisoire - s’élevait vers 17H45 (14H15 GMT) à 407 morts et près de 6.700 blessés, tous recensés dans la province de Kermanshah, limitrophe de l’Irak.

      On reste à l’unité, pas forcément la même d’un paragraphe à l’autre, alors que le titre est à la centaine près.

  • Tractations franco-saoudiennes autour du sort de Saad Hariri
    Par Georges Malbrunot Publié le 10/11/2017
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/11/10/01003-20171110ARTFIG00177-tractations-franco-saoudiennes-autour-du-sort-de-

    Riyad souhaiterait remplacer le premier ministre libanais par un de ses frères. Le conseiller Moyen-Orient d’Emmanuel Macron a été dépêché à Beyrouth.

    L’avenir du premier ministre libanais démissionnaire, Saad Hariri, est au centre de toutes les tractations. « À notre connaissance, il est libre de ses mouvements », a réagi vendredi matin sur Europe 1 Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères, quelques heures après la visite surprise d’Emmanuel Macron à Riyad, où il a rencontré le nouvel homme fort de l’Arabie, le prince héritier Mohammed Ben Salman (MBS).

    De Riyad, le conseiller Moyen-Orient du chef de l’État, Aurélien Le Chevalier, a été dépêché à Beyrouth pour évoquer l’avenir du camp Hariri. Sollicité, l’Élysée a confirmé l’information, soulignant que cette visite était prévue de longue date.

    Quelques heures avant l’arrivée du chef de l’État à Riyad, l’ambassadeur de France en Arabie, François Gouyette, avait rencontré Saad Hariri. Selon une source française, « le leader libanais était entouré d’officiels saoudiens pour cet entretien qui n’aurait pas duré très longtemps ». La rencontre n’a pas eu lieu à l’Hôtel Ritz Carlton, où sont retenus de nombreux princes et dignitaires saoudiens accusés de corruption par MBS.
    (...)
    Après Saad, Baha Hariri

    Désormais, Riyad chercherait à remplacer Saad Hariri par un de ses frères. « Une proposition a été faite à la famille Hariri de désigner Baha, un frère de Saad, pour reprendre le flambeau politique », confie une source française à Beyrouth. Nazek, la veuve de Rafic Hariri, l’ancien premier ministre assassiné en 2005, Bahyia Hariri, la sœur de ce dernier, et Ahmad, un fils de Bahyia qui dirige le Parti libanais Al-Moustaqbal, auraient été conviés à Riyad pour avaliser cette redistribution des cartes. Mais le clan l’aurait refusée.

    Visiblement agacé, Nouad Mashnouk, ministre de l’Intérieur et proche de l’ancien premier ministre Rafic Hariri, a déclaré que le Liban n’était pas « une monnaie d’échange, ni un terrain à vendre ».(...)

    #ArabieSaoudite #Liban

    • Point de presse du 10 novembre 2017
      http://basedoc.diplomatie.gouv.fr/vues/Kiosque/FranceDiplomatie/kiosque.php?type=ppfr#Chapitre7

      7. Arabie Saoudite

      Q - Avez-vous eu des assurances des autorités saoudiennes pour les investisseurs français qui ont des liens commerciaux avec les personnalités arrêtées cette semaine au royaume et est-ce qu’il y a eu une demande de l’Arabie Saoudite de geler les avoirs en France de personnalités saoudiennes ?

      R - La visite du président de la République à Riyad le 9 novembre a confirmé l’intensité des échanges bilatéraux entre nos pays.

      Les entreprises et les investisseurs français exerçant leur activité dans ce pays le font dans ce cadre et dans le respect de la loi saoudienne.

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      8. Liban

      Q - Le ministre déclare ce matin qu’« il importe que lui-même (Saad al-Hariri) fasse ses choix » Avez-vous des indications que Hariri n’est pas en capacité de faire ses propres choix ?

      Q - Avez-vous pu rendre visite à M. Saad Hariri et avez-vous constaté la liberté de mouvement dont Jean-Yves Le Drian a parlé ce matin ?

      R - Notre ambassadeur en Arabie Saoudite a rendu visite à M. Saad Hariri, à son domicile, au retour du voyage qu’il a effectué aux Emirats Arabes Unis, auquel le Ministre a fait référence ce matin.

      Comme le ministre l’a dit, nous souhaitons que M. Saad Hariri dispose de toute sa liberté de mouvement et soit pleinement en mesure de jouer le rôle essentiel qui est le sien au Liban.

  • Pérou : le mur de la honte

    Environ deux tiers de la population vit à #Pamplona_Alta, à la périphérie de la capitale péruvienne.

    Ici, ni gaz, ni électricité, ni eau courante, mais des cabanes en bois et en tôle accrochées à flanc de montagne. De ce côté du mur, une maison coûte moins de trois cents dollars. De l’autre côté, à #Las_Casuarinas et la #Molina, des rues goudronnées ourlées d’espaces verts accueillent des villas cossues avec jardins et piscine.

    C’est pour se protéger des naufragés du système, considérés comme des délinquants par la haute société péruvienne, que les habitants de Las Casuarinas ont, avec l’appui des autorités, bâti ce mur. Une séparation qui contribue à créer une ségrégation sociale, territoriale mais aussi raciale, agrandissant un peu plus le fossé qui sépare ceux qui ont tout de ceux qui n’ont rien.

    https://info.arte.tv/fr/le-mur-de-lima
    #Lima #murs #barrières #frontières #urban_matter #Pérou #inégalités #ségrégation #pueblo_jueven #exode_rural #bidonville #urban_matter #urbanisme #sécurité #gated_communities #discriminations #propriété_privée #géographie_urbaine #ressources_pédagogiques #murs_intra-urbains

  • Bombardement israélien sur un tunnel près de Gaza : Le bilan s’alourdit à 7 morts
    AA/Al-Quds /Moamen Ghorab | 30.10.2017
    http://aa.com.tr/fr/titres-de-la-journ%C3%A9e/bombardement-isra%C3%A9lien-sur-un-tunnel-pr%C3%A8s-de-gaza-le-bilan-s-alourdit-%C3%A0-7-morts-/951927

    Le ministère de la Santé dans la Bande de Gaza a annoncé, lundi, que 7 palestiniens ont été tués et 11 autres blessés à la suite du bombardement israélien ayant ciblé un tunnel près de la frontière.

    Le porte-parole du ministère, Dr. Ashraf al-Qodra, a déclaré, brièvement à Anadolu, que « les équipes de secours ont récupéré les corps de six jeunes palestiniens du tunnel qui se trouve à l’est de contre l’est de (la ville) de Deir Balah ».

    Les Martyrs identifiés sont : Ahmed Khalil abu Ormana (25 ans) et Omar Nassar al-Falit (27 ans), Misbah Shobeir (30 ans), Mohamed Marwan al-Agha (22 ans), Arafat abu Morshid, Hasan abu Hassanin et Jihad Abdullah al-Samiri.

    Al-Qassam a annoncé que Misbah Fayeq Shobeir fait partie de ses membres.

    Il a indiqué dans un communiqué : « Le Chef Misbah Fayeq Shobeir de Khan Younès est tombé en Martyr à la suite de l’opération effectuée par les Moujahids d’al-Qassam au profit de leurs frères de brigades d’al-Quds (l’aile armée Jihad islamique palestinien (JIP), qui étaient détenus dans le tunnel ciblé à l’est de Khan Younes ».

    Malgré l’annonce antérieure des Brigades d’al-Qassam, les Brigades d’al-Quds n’ont rien annoncé concernant le tunnel détruit par l’armée israélienne, et par rapport au lien avec les morts et les blessés.

    Le porte-parole du JIP, Daoud Chihab, a déclaré à Anadolu « la vérification de l’appartenance des martyrs et des blessés au mouvement est en cours ».

    #Palestine_assassinée

    http://anadoluagency.com/fr/titres-de-la-journ%C3%A9e/bombardement-isra%C3%A9lien-sur-un-tunnel-pr%C3%A8s-de-gaza-8-morts-et-12-bless%C3%A9s/951976
    30 octobre 2017, 23h21

    • Publish Date: 2017/10/30
      At least seven Palestinians killed in Israeli strike at tunnel in Gaza
      http://english.wafa.ps/page.aspx?id=f1GPg4a92301005940af1GPg4

      GAZA, October 30, 2017 (WAFA) – Initial count of casualties from an Israeli strike at a tunnel in Khan Younis, south of the Gaza Strip, on Monday showed that at least seven Palestinians were killed and 14 injured, many in critical condition, according to the Ministry of Health.

      It said the number could rise significantly due to the large number of people still missing in the tunnel that was turned into rubble.

      Reports said Israel fired five missiles at the tunnel that was being dug east of Khan Younis and which Israel claims was leading to its territory,

      Medical reports in Gaza said most of those killed died after Israel fired missiles at the tunnel as rescuers were attempting to dig out those trapped inside. Some apparently died from inhaling poisonous gas reportedly fired by the Israeli air force at the tunnel.

      The attack came as Hamas, which controls Gaza since 2007, was getting ready to turn over power of the coastal enclave to the Palestinian government under Prime Minister Rami Hamdallah.

      M.K.

    • 7 Palestinians killed, 12 wounded in Israeli bombing of Gaza tunnel
      Oct. 31, 2017 7:34 A.M. (Updated : Oct. 31, 2017 7:34 A.M.)
      http://www.maannews.com/Content.aspx?id=779414

      GAZA (Ma’an) — At least seven Palestinians were killed, and 12 others were wounded after Israeli forces blew up an underground tunnel between the southern Gaza Strip and Israel on Monday, according to Palestinian and Israeli sources.

      The Palestinian Ministry of Health officially declared the death of seven Palestinians, all fighters in the armed wings of the Hamas and Islamic Jihad movements in Gaza.

      The killed fighters were identified as Hussam Abdullah al-Sumairi, 32, Muhammad Marwan Al-Agha, 22, Ahmad Khalil Abu Armaneh, 25, Omar Nassar al-Falit, 27, Hassan Aaba Hassanein, Mesbah Fayek Shbeir, and Arafat Abu Morshed.

      The Palestinian Civil Defense forces told Ma’an that rescue teams had saved a number of fighters who were trapped in the tunnel after the explosion, while the ministry of health said at the time that the number of wounded was around 12.

      Following the explosion, Israeli media reported that the Israeli army staged a “controlled detonation” in the area around the Gaza Strip, saying the activity was pre-planned.

      Despite killing seven and wounding more than a dozen others, the Israeli army spokesperson reportedly said that the army had “no intention of escalating matters," and that the tunnel had yet to become operational when forces blew it up, according to Ynet news.

      Israeli Defense Minister Avigdor Lieberman stated that the tunnel “was a blatant violation of (Israeli) sovereignty and all acceptable rules between societies, countries and organizations that respect themselves.” He added that the recently built tunnel “proves that despite the Palestinian reconciliation, the Gaza Strip remains a kingdom of terrorism. As far as we’re concerned, the responsibility (for the tunnel) is without a doubt that of Hamas, which rules Gaza.”

      Meanwhile, the Izz al-Din al-Qassam Brigades, the armed wing of the Hamas movement, released a statement following the attack, saying that “the blood of the martyrs would not be wasted, and that the Israeli occupation bears responsibility for the consequences of this aggressive escalation.”

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      traduction en français de l’article ci-dessus
      Gaza : Israël veut déclencher un nouveau massacre
      31 octobre 2017 – Ma’an News – Traduction : Chronique de Palestine
      http://chroniquepalestine.com/gaza-israel-veut-declencher-nouveau-massacre

    • Gaza : trois Palestiniens tués dans le bombardement israélien d’un tunnel
      Publié le : Lundi 30 Octobre 2017 - 16:44
      Mise à jour : Lundi 30 Octobre 2017 - 22:00
      [ une mise à jour dans l’article, mais pas pour le titre ]
      http://www.francesoir.fr/actualites-monde/gaza-trois-palestiniens-tues-dans-le-bombardement-israelien-dun-tunnel

      Sept Palestiniens ont été tués et 12 blessés lundi dans la destruction à l’explosif par Israël d’un tunnel reliant la bande de Gaza à son territoire, a indiqué un porte-parole du ministère de la Santé du Hamas, qui contrôle l’enclave.

    • Sept Palestiniens tués dans l’explosion d’un tunnel à la lisière de Gaza
      Par Cyrille Louis Publié le 30/10/2017 à 22:39
      http://www.lefigaro.fr/international/2017/10/30/01003-20171030ARTFIG00336-sept-palestiniens-tues-dans-l-explosion-d-un-tunn
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      Au total, l’explosion provoquée par Israël a fait neuf morts. Trois Palestiniens restent portés disparus

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      06:50 - 31 oct. 2017
      https://twitter.com/cyrille_louis/status/925298984046006274

    • Gaza : des combattants de la résistance palestinienne tués dans la destruction d’un tunnel par Israël
      http://chroniquepalestine.com/gaza-combattants-resistance-palestinienne-tues-destruction-tunne
      Par Maureen Clare Murphy rédactrice à The Electronic Intifada | 30 octobre 2017 – The Electronic Intifada – Traduction : Chronique de Palestine

      (...) Martyrs de la résistance

      Arafat Abu Murshid , le commandant du Jihad islamique tué lors de la frappe de lundi, est le frère de Muhammad Abu Murshid, également commandant du groupe, qui a été assassiné par Israël en 2007.

      Une photo d’Abu Murshid a circulé sur les médias sociaux après sa mort lundi.

      Hasan Abu Hassanein , un commandant adjoint du Jihad islamique, avait survécu à plusieurs tentatives d’assassinat israéliennes avant sa mort lundi, et il aurait tiré la première roquette sur Tel Aviv durant les combats de l’été 2014.

      Une photo d’Abu Hassanein a circulé sur les médias sociaux après sa mort lundi.

      Le combattant du Jihad islamique, Ahmad Abu Aramana , âgé de 25 ans, aurait été tué deux heures avant que son épouse ne mette au monde son enfant dans le même hôpital où le corps d’Aramana a été déposé lundi. Le garçon nouveau-né a été nommé du même nom que son père.

      Misbah Shubeir, un commando naval dans la branche armée du Hamas, les Brigades al-Qassam, qui est décédé lundi, devait se marier le mois prochain.

      Un second commando naval des Brigades al-Qassam, Muhammad Marwan al-Agha , a également été tué.

      Ainsi que Omar Nassar al-Faleet , qui était un combattant dans la branche armée du Jihad islamique.

      Husam Jihad al-Samiri , un combattant du Jihad islamique, est également mort.

      Israël a-t-il gazé les combattants de la résistance ?

      Le ministère de la Santé à Gaza a déclaré que ceux qui avaient été tués et blessés dans l’explosion du tunnel avaient inhalé du gaz toxique et il appelé les autorités concernées à révéler les armes utilisées dans l’explosion.

      Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien, a déclaré qu’une « technologie révolutionnaire » avait contribué à la découverte du tunnel.

      Israël a construit un mur souterrain le long de sa frontière avec Gaza, au coût de 1,1 milliard de dollars. Les États-Unis ont financé les projets d’Israël pour développer des technologies de détection des tunnels, utilisant Gaza comme laboratoire, dans l’espoir que ces technologies puissent être exploitées plus tard le long de la frontière américano-mexicaine.

      D’autres parties de Gaza sont menacées

      Entre-temps, Israël a menacé des habitants de Beit Lahiya, une ville du nord de Gaza, affirmant avoir découvert deux tunnels et des infrastructures connexes sous une mosquée et un immeuble d’appartements.

      L’armée a fait un post sur Facebook en disant que la vie des civils vivant dans et autour de la zone étaient en danger à cause d’une frappe israélienne potentielle.

      Eyal Zamir, un commandant militaire de l’armée d’occupation, a averti que l’immeuble pouvait être considéré comme une cible légitime.

      Selon les groupes de défense des droits palestiniens Adalah et Al-Mezan, « Vingt et une personnes vivent dans le bâtiment, dont quatre femmes et douze enfants ».

      Les groupes de défense des droits humains ont déclaré : « Les affirmations israéliennes sur les tunnels ne justifient pas les menaces d’attaquer des civils et de détruire leurs maisons. »

      Adalah et Al-Mezan ont déclaré que certains des résidents du bâtiment menacé ont fui mais que d’autres sont restés parce qu’ils n’ont pas les moyens de se procurer un autre logement.

      Les groupes de défense ont déclaré que les menaces israéliennes contre les familles et leurs foyers, comme les attaques contre les civils en général « constituent des violations flagrantes du droit international ».

      Par ailleurs, l’UNRWA, l’agence des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine, a rapporté samedi avoir découvert un tunnel sous l’une de ses écoles de Gaza le 15 octobre.

      L’agence a fermé le tunnel et les activités scolaires ont repris 10 jours plus tard, a déclaré l’UNRWA.

      « La présence d’un tunnel sous une installation de l’UNRWA, qui jouit de l’inviolabilité en vertu du droit international, est inacceptable », a déclaré l’agence.

      « Cela met en danger les enfants et le personnel des agences. »

    • Bodies of 5 Palestinian fighters found in Gaza tunnel, bringing death toll to 12
      Nov. 3, 2017 2:37 P.M. (Updated: Nov. 3, 2017 2:37 P.M.)
      http://www.maannews.com/Content.aspx?id=779433

      GAZA CITY (Ma’an) — The al-Quds Brigades, the military wing of the Islamic Jihad movement, released a statement on Friday declaring that five missing fighters belonging to the group in Gaza were dead.

      The five fighters had gone missing inside tunnels between southern Gaza and Israeli territory, after Israeli forces conducted explosions on the tunnels.

      After the first explosion, which buried the five Islamic Jihad fighters, several other fighters from the Islamic Jihad and Hamas movements entered the tunnels on a rescue mission. A second explosion then killed seven of the rescue fighters, and injured at least twelve more.

      In the statement on Friday, the Islamic Jihad movement said they had recovered the bodies, and identified the five slain fighters who had been missing since the first explosion as Badr Kamal Musbeh, Ahmad Hasan al-Sabakhi, Shadi Sami al-Hemri, Muhammad Kheir al-Din al-Buheisi and Alaa Sami Abu Ghrab.

  • Le parcours chaotique des #Rohingyas à travers l’histoire.

    INFOGRAPHIES - Au sud-ouest de la #Birmanie, la crise des Rohingyas dure depuis des décennies. Cette #minorité musulmane a été transférée de pays en pays au fil de l’histoire et des changements de frontières. Avec une série de cartes, Le Figaro raconte leur histoire.
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/09/19/01003-20170919ARTFIG00152-d-o-viennent-les-rohingyas.php

  • Crise du Golfe : Bertrand Besancenot nommé émissaire du Quai d’Orsay
    Par Georges Malbrunot Mis à jour le 04/09/2017
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/09/04/01003-20170904ARTFIG00081-crise-du-golfe-bertrand-besancenot-nomme-emissair

    INFO LE FIGARO - L’ancien ambassadeur de France au Qatar et en Arabie saoudite sera chargé de débloquer la crise persistante entre Doha et ses voisins.

    L’ambassadeur Bertrand Besancenot devrait être prochainement nommé émissaire dans le conflit qui oppose le Qatar à ses voisins du Golfe, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, a-t-on appris de plusieurs sources.

    Âgé de 65 ans, B. Besancenot a été ambassadeur en Arabie saoudite et au Qatar. C’est un fin connaisseur des dirigeants qatariens et saoudiens, ainsi que des problématiques régionales.

    Le Quai d’Orsay devrait annoncer prochainement le « périmètre » de sa mission, alors que le président de la République, Emmanuel Macron, est également en pointe sur ce dossier.

    Trois mois après son déclenchement, la crise entre le Qatar et ses voisins ne connaît pas de répit. Accusé par Riyad et Abou Dhabi de financer le terrorisme, Doha campe sur ses positions et refuse de céder aux demandes de ses voisins.

    Après avoir été en poste une première fois à Doha dans les années 1980, Bertrand Besancenot y est retourné en 1996 comme ambassadeur. Il réussit à nouer des liens personnels avec l’émir de l’époque Cheikh Hamad auquel il continuait de rendre visite, même après avoir été nommé ambassadeur de France en Arabie en 2007. Il nomma une de ses filles Marie Doha. (...)

  • Donald Trump prévient : « L’option militaire contre Pyongyang est en place »
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/08/10/01003-20170810ARTFIG00253-nouvelles-menaces-de-la-coree-du-nord.php

    Surenchérissant, Donald Trump a affirmé vendredi que les solutions militaires qui pourraient être employées par les États-Unis contre la Corée du Nord étaient « totalement en place » et prêtes à être utilisées si le régime nord-coréen agit de manière « imprudente ». « Les solutions militaires sont totalement en place, verrouillées et chargées, si le Nord agit de manière imprudente. Espérons que Kim Jong-un choisira une autre voie », écrit le président américain sur son compte Twitter.

    Si toi aussi tu regrettais de ne pas avoir vu de bombe nucléaire réduire en poussière des civils, alors sache que c’est sur le point d’arriver à nouveau !

  • #UE : les coûteux #déplacements de Jean-Claude Juncker et Federica Mogherini
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/08/10/01003-20170810ARTFIG00151-ue-les-couteux-deplacements-de-jean-claude-juncke

    Pour la première fois, l’exécutif européen a accepté, un peu contraint, de rendre public l’ensemble des frais de déplacement de ses 28 commissaires. L’année dernière, pour les seuls mois de janvier et février, la facture s’est ainsi élevée à près de 500.000 euros, d’après un décompte obtenu par l’ONG espagnole Access Info Europeque publie mercredi l’hebdomadaire flamand Knack. Sur cette période, les 28 commissaires européens ont réalisé 261 déplacements dans 49 pays et passé 467 nuitées à l’étranger. Selon les calculs du magazine belge, chacun d’entre eux passe en moyenne huit nuits par mois à l’étranger et dépense environ 8790 euros mensuels en frais de déplacement.

    Seulement, ces voyages s’avèrent parfois plus onéreux. En cause : le recours occasionnel à des avions spécialement affrétés par une compagnie privée. Ainsi, le déplacement de la chef de la diplomatie de l’UE, Federica Mogherini, en Azerbaïdjan et en Arménie entre le 29 février et le 2 mars 2016 a coûté près 75.000 euros aux contribuables européens. De même, en février, une mission de deux jours à Rome du président de la Commission, Jean-Claude Juncker, a coûté 27.000 euros. « Il s’agit du montant de la mission pour neuf personnes. Le taxi aérien a dû être commandé car il n’y avait pas d’avion de ligne correpondant à l’agenda du président. Si vous comparez le montant au prix qu’aurait payé chaque personne sur un vol commercial (soit près de 3000 euros par personne, NDLR), le montant aurait été plus important », a justifié mercredi la porte-parole Mina Andreeva lors du point presse quotidien de la Commission. Un billet aller-retour Bruxelles-Rome, en classe affaire, coûtait début août 2017 aux environs de 1000 euros avec un départ prévu le jour-même.

  • Brésil : Michel Temer échappe à un procès pour corruption
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/08/03/01003-20170803ARTFIG00035-bresil-michel-temer-echappe-a-un-proces-pour-corr

    « La chambre des députés, qui représente le peuple brésilien, s’est prononcée de façon claire et incontestable. Ce n’est en aucun cas une victoire personnelle, c’est une victoire de l’État de droit démocratique », s’est félicité Michel Temer à la télévision dès l’annonce du résultat.

    C’est quoi le tag déjà ? #sans_vergogne !

    C’est aussi, d’une certaine façon, la preuve que Dilma Roussef était coupable... elle n’a pas été capable de réunir assez de députés autour d’elle pour voter son innocence.

  • Londres : les habitants invités à porter plainte dans les cafés et les supermarchés
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/07/20/01003-20170720ARTFIG00366-londres-les-habitants-invites-a-porter-plainte-da

    Le maire a lancé un document de consultation sur l’accès au service du dépôt de plainte pour le public plus tôt en juillet. Selon le document, les déclarations de crimes dans des postes de police a diminué depuis 2013, lorsque le nombre de commissariats avait déjà été réduit une première fois, passant de 136 à 73.

    Ces changements, d’après les calculs de la police londonnienne, pourraient faire économiser à la ville plus de 15 millions de livres par an en coûts de fonctionnement.

    Et cette initiative pourrait donner des idées à la police française, déjà visée par une réorganisation en Ile-de-France : en effet, depuis plusieurs mois, des regroupements de commissariats sont à l’étude à Paris et en banlieue.

  • #Infographie : tout ce qu’il faut savoir sur les migrants intra-africains

    Alors que l’Europe s’alarme face à l’afflux de migrants – 2017 pourrait être l’une des années les plus meurtrières en Méditerranée pour les candidats à l’exil –, le phénomène touche aussi l’Afrique, où le nombre de personnes vivant hors de leur pays, qu’elles soient expatriées ou réfugiées, est l’un des plus importants au monde.

    –-> j’espère que les données sont un peu plus fiables que l’intro qui mélange « afflux » de migrants (arrgghh !) en Europe et taux de mortalité en Méditerranée...


    http://www.jeuneafrique.com/mag/455503/politique/infographie-quil-faut-savoir-migrants-intra-africains
    #visualisation #migrations #Afrique #migrations_intra-africaines
    cc @reka

    • Les #migrations_internes vont-elles recomposer l’Afrique ?

      En 2018, quelque 19 millions de personnes ont bougé à l’intérieur du continent, des mouvements aux grandes conséquences.

      Les Africains sont nettement plus nombreux à migrer, une tendance qui ne cesse de s’accélérer depuis le début des années 1990. Cette hausse est néanmoins plus liée à la forte croissance démographique, à la jeunesse de la population, qu’à une réelle augmentation. Une étude de l’International Migration Institut de l’université d’Oxford a même démontré que les mouvements avaient fortement baissé entre 1960 et 2000. Ils ont toutefois repris au cours des deux dernières décennies. Pour autant, ces migrations sont pour l’essentiel des mouvements internes au continent, et non à destination de l’Europe ou des États-Unis. Si les images des migrants clandestins traversant la Méditerranée marquent les esprits, ces dangereux voyages sont en réalité des exceptions. Selon une étude de Forum économique mondial, en 2017, 19 millions de personnes ont quitté leur pays pour un autre pays d’Afrique (contre seulement 16 millions en 2015) et 17 millions sont partis vers un autre continent, dans leur immense majorité de manière légale. Ils ont rejoint l’Europe pour 60 %, puis l’Asie, l’Amérique du Nord et enfin l’Océanie. Cependant, ces données sont contestées par l’Union africaine (UA), pour qui les mouvements intra-africains, bien plus difficiles à comptabiliser, seraient plus nombreux. Pour l’organisation, environ 20 % des migrants africains seulement quitteraient le continent. « S’il existe une crise de la migration, c’est une crise africaine » , souligne Peter Mudungwe, le conseiller sur les mouvements de population à l’UA. Les raisons de cette hausse des migrations sont nombreuses. Les études démontrent que ce sont avant tout des motivations économiques qui poussent les peuples sur les routes. Et les guerres. La moitié des dix plus grands camps de réfugiés au monde se trouvent ainsi en Afrique, notamment Dadaab au Kenya et ses 240 000 personnes. Le Cameroun accueille, par exemple, 280 000 réfugiés de Centrafrique, d’après le HCR, et plus de 100 000 venus du Nigeria.

      Où vont les migrants internes ?

      Au plus près de chez eux, de manière assez logique. Les migrants demeurent le plus souvent dans leur sous-région. Ainsi, les Ouest-Africains restent de préférence en Afrique de l’Ouest ; ceux de la Corne, dans la Corne ; l’Afrique australe en Afrique australe, etc. Ces trois régions représentent d’ailleurs les zones les plus en mouvement. La seule exception est l’Afrique du Nord. Les habitants des pays du Maghreb, tournés vers une culture méditerranéenne, partent en grande majorité hors du continent. Une tendance qui s’est accentuée depuis la plongée dans la guerre civile de la Libye, qui fut le pôle d’attraction régionale. Chaque région dispose en effet d’un tel pôle. En Afrique de l’Ouest, la Côte d’Ivoire, économie la plus dynamique de la région, attire massivement les migrants. Désormais, le pays compte au moins 10 % d’étrangers, soit plus de 2 millions de personnes. Les raisons pour lesquelles les migrations sont dans cette région clairement plus importantes qu’ailleurs tiennent à plusieurs facteurs. Une tradition de migrations, notamment au Mali ou au Burkina Faso, un passé colonial commun sous domination française, des liens ethniques qui passent par-delà les frontières et, surtout, la quasi libre circulation des personnes au sein de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao). À l’autre bout du continent, c’est l’Afrique du Sud, première économie d’Afrique, qui sert de réceptacle pour les habitants de la région (Mozambique, Zimbabwe), mais aussi de l’Afrique centrale. Elle compterait 7 % d’étrangers, un chiffre sans doute très sous-estimé, car de nombreux clandestins y vivent. À l’est, le Kenya et l’Éthiopie accueillent des personnes de la région et, dans une moindre mesure, Djibouti.

      Qui sont ces migrants, pourquoi partent-ils ?

      Que ce soit en Afrique ou hors d’Afrique, le profil des migrants est le même. Et comme souvent sur les questions de migrations, les idées reçues sont fausses. En dehors des cas de guerre, la pauvreté et la misère, que l’on imagine souvent comme des causes majeures, ne sont en réalité que secondaires. Les pauvres sont précisément trop pauvres pour tenter l’aventure. Il s’agit d’abord des jeunes issus des petites classes moyennes urbaines. Des hommes essentiellement, pour les migrations intra-africaines. Une étude du Sahel Research Group de l’université de Floride montre que ces mouvements sont assez contraints, même si on note de fortes disparités. Ainsi, au Niger, l’un des pays les plus pauvres du monde et très rural, 89 % des habitants disent souhaiter rester chez eux, tandis qu’au Nigeria, pays doté de perspectives économiques plus sereines, 50 % avouent rêver de départ, une proportion qui monte à 82 % dans la capitale économique, Lagos. Les raisons invoquées pour partir sont néanmoins et sans surprises économiques. La recherche d’un travail mieux payé est avancée par près de 50 % des migrants, tandis qu’un tiers assurent vouloir avant tout aider leur famille.

      Ces mouvements ont-ils des conséquences politiques ?

      Si ce sujet est rarement abordé, l’impact des migrations dans certains pays est tout de même évident. Comme en Europe, l’arrivée de travailleurs étrangers est parfois vue par les populations locales comme une menace, et cette peur est politiquement utilisée. Les deux pays à plus forte population étrangère, l’Afrique du Sud et la Côte d’Ivoire, illustrent ce phénomène. Ainsi, le week-end dernier, la province de Gauteng, qui comprend Johannesburg et la capitale Pretoria, a été le théâtre d’émeutes xénophobes, visant plus spécifiquement les Zimbabwéens et surtout les Nigérians, victimes régulières de clichés péjoratifs. En deux jours de troubles, des centaines de commerces ont été pillés et au moins dix personnes ont trouvé la mort. Ce cycle de violence n’est pas surprenant. Les tensions avec les étrangers, excitées par des disparités économiques immenses et un taux de chômage à 29 %, sont régulières. Cependant, pour la première fois, ce cycle de violences a entraîné des protestations officielles de la part du Nigeria. En Côte d’Ivoire, le clivage entre « autochtones » et « halogènes » , pour reprendre la terminologie locale, est ancien. Dans les années 1990, le président Henri Konan Bédié prône le concept d’ « ivoirité » pour contrer l’influence de son rival Alassane Ouattara, accusé à tort d’être Burkinabé. Ce nationalisme va perdurer sous la présidence de Laurent Gbagbo et conduire à huit années de guerre civile. Aujourd’hui, les rivalités sont contenues, mais toujours bien présentes, au point de menacer la stabilité du pays. Des frictions traversent aussi le Kenya à l’encontre de la grande communauté somalienne. Parfois, la présence d’ « étrangers » , même en petit nombre, peut nourrir de sérieuses haines. En Centrafrique, la crise à Bangui est en partie née du ressentiment des habitants vis-à-vis des commerçants, accusés d’être « tchadiens » .

      Les frontières coloniales seront-elles remises en question ?

      La question des frontières est régulièrement évoquée, mais jamais de manière très sérieuse. Leur tracé, imposé en grande partie par les puissances coloniales lors de la conférence de Berlin en 1885, est certes critiquable. Mais, à peine les indépendances acquises, les nouveaux États décidaient de graver dans le marbre ces limites irrationnelles lors d’une autre conférence, cette fois au Caire, en 1964. Cette décision a globalement tenu, à l’exception des sécessions de l’Érythrée en 1993 et du Soudan du Sud en 2012. Mais cette intangibilité a également conduit à des tensions entre États et surtout à éparpiller des peuples ou des ethnies entre plusieurs pays. Ils seraient 177 dans ce cas. Ces groupes transfrontaliers entraînent des migrations de masse et de dangereuses jalousies. Pour les apaiser, les pays africains ont le plus souvent choisi d’abaisser les contrôles aux frontières. En Afrique de l’Ouest, ils existent peu. Le Kenya et l’Ouganda ont eux aussi assoupli leur politique migratoire avec leur voisin. L’Union africaine encourage de son côté la libre circulation, qu’elle rêve totale, pour bloquer les frictions nées des mouvements de populations. Reste à savoir si cela suffira alors que tous les analystes prévoient que les migrations africaines, et donc avant tout celles qui se passeront au sein de l’Afrique, vont considérablement croître dans les années à venir.

      http://www.lefigaro.fr/international/les-migrations-internes-vont-elles-recomposer-l-afrique-20190908
      Article illustré par cette #carte, déjà sur seenthis :

      NB : le Figaro n’alimente pas dans cet article le préjugé de l’invasion... Une fois n’est pas coutume, mais c’est bien de le souligner...

  • Royaume-Uni : Theresa May a perdu son pari électoral à haut risque
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/06/09/01003-20170609ARTFIG00001-la-sanction-des-urnes-pour-theresa-may.php

    À l’inverse, après son succès au référendum sur le Brexit, le parti europhobe Ukip (United Kingdom Independence Party) s’effondrerait, sans aucun député.

    L’extrême droite, montrée comme la faiseuse du Brexit, ne confirme pas lors des élections suivantes... et « on » continue de faire comme si le Brexit était une réussite de l’extrême droite... Quand il ne s’agit en fait que de faire croire que le Brexit est un truc repoussant...

  • Le recours aux #drones_armés recommandé par un rapport du Sénat

    Selon les parlementaires, qui appellent à un débat, l’utilisation d’avions sans pilotes équipés de missiles ou de bombes renforceraient l’efficacité des forces militaires, tout en respectant le droit international.


    http://www.lefigaro.fr/international/2017/05/28/01003-20170528ARTFIG00115-le-recours-aux-drones-armes-recommande-par-un-rap

    #drones #France #armes #armement