/actualite-france

  • Retour de l’uniforme à l’école publique : « Un enjeu de galité », pour Jean-Michel Blanquer - LCI
    https://www.lci.fr/societe/retour-de-l-uniforme-a-l-ecole-un-enjeu-d-egalite-pour-jean-michel-blanquer-2089

    GALITÉ - À Provins, une consultation de parents d’élèves devrait aboutir au retour de l’uniforme scolaire dans les six établissements élémentaires publics de la ville. Pour le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer, c’est avant tout « un enjeu de galité ».
    03 juin 13:25 - La rédaction LCI

    Vers un retour de l’uniforme à l’école ? C’est en tout cas ce que souhaite une majorité de parents d’élèves des écoles élémentaires de Provins, en Seine-et-Marne. Ils se sont prononcés à 62% en faveur du port, non obligatoire, de l’uniforme lors d’une consultation organisée par la mairie LR de la ville et donc les résultats ont été rendus publics samedi.

    Dans cinq mois, au retour des vacances de la Toussaint, les élèves des six écoles élémentaires de la ville porteront un uniforme avec un polo bleu portant la devise républicaine. Au total, 759 élèves du CP au CM2 sont concernés par cette mesure qui ne revêt aucun caractère obligatoire. La mairie va lancer un appel d’offres pour la fabrication du trousseau de 10 pièces qui coûtera « au maximum » 145 euros. Le coût sera divisé par deux à partir du deuxième enfant et la Caisse centrale d’activités sociales (CCAS) pourra subvenir aux familles qui en ont besoin, a précisé l’édile.
    Voir aussi
    Provins : les parents d’élèves en faveur de l’uniforme dans les écoles publiques
    Les marques de vêtements comptent beaucoup trop aujourd’hui et l’uniforme peut être une réponseJean-Michel Blanquer, ministre de l’Education nationale

    Interrogé à ce sujet sur BFMTV, le ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer a assuré ne pas être surpris par ce résultat. « Mon expérience m’a montré que lorsque le débat est posé, il y a en général une forte majorité qui se dégage en faveur de cette mesure car beaucoup de vertus y sont vues ».

    La première vertu selon lui : « Développer une certaine fierté autour de l’école ». La deuxième : « C’est un enjeu d’égalité » entre les enfants. « Les marques de vêtements comptent beaucoup trop aujourd’hui. L’uniforme peut être une réponse. »

    Pour autant, il ne souhaite pas en faire un sujet national. "Ce serait la meilleur façon de ne pas réussir à accomplir ça, assure-t-il. « Depuis toujours il est possible pour ceux qui le veulent de décider d’avoir un uniforme. Dans certains car ça peut être utile, mais ça ne peut marcher que s’il y a un certain consensus local. Ce qui est important c’est de faire le bien des enfants. »

    –-----
    On ne sais pas si les garçons porterons des jupes et les filles des pantalons mais on sait que les filles aurons sur leur coeurs la devise de leur exclusion citoyenne.

    #fraternité #uniformes #école #sens_commun #blanquer

    • il ne souhaite pas en faire un sujet national. "Ce serait la meilleur façon de ne pas réussir à accomplir ça, assure-t-il.

      (Il = Blanquer)
      –---
      A Provins les seul·es qui votent là bas le font à droite et à extrême droite : https://www.20minutes.fr/elections/resultats/seine-et-marne/provins-77160 Il doit y avoir un paquet d’homophobes misogynes de la manif pour tous dans ce village.
      –-----


      Une ambiance à la « Harry Potter » dans la cité médiévale ? La ville de Provins, en Seine-et-Marne, pourrait bientôt voir gambader dans ses rues quelque 759 écoliers tous vêtus d’un polo frappé de l’écusson de la ville, d’un pantalon ou d’une jupe noire, d’un pull bleu ciel col V ou encore d’une veste sweat-shirt bleu marine. Les parents d’élèves des six écoles publiques élémentaires viennent en effet de voter à plus de 62 % pour le port, non obligatoire, de l’uniforme. Soit 376 votants sur 609 familles concernées. La mesure pourrait prendre effet après les prochaines vacances de la Toussaint. Mais pour l’instant, rien n’est encore joué. Cette décision dépend en effet du conseil de chaque établissement, qui décidera ou non de l’inscrire dans son règlement intérieur.

      Vu ce que dit le fogaro les uniformes ne serons pas obligatoires. Ils servirons juste à savoirs quels gosses ont des parents à la manif pour tous.
      http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/06/03/01016-20180603ARTFIG00161--provins-les-parents-d-eleves-votent-le-retour-de

      Soit 376 votants sur 609 familles concernées.

      C’est à peu près les mêmes qui votent, comme aux législatives. Uniqement les familles de droite et uniquement les hommes puisqu’il n’y a que des votants.

      Les gosses sont donc déguisé·e en intégristes catholiques homophobes de la manif pour tous...

  • À l’Élysée, ces diners confidentiels où l’on parle des tiques
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/06/04/01016-20180604ARTFIG00240-ce-diner-tres-discret-organise-a-l-elysee-sur-la-

    Au cours d’un dîner de travail, le président de la République a réuni une vingtaine de personnalités d’horizons variés. Elles ont défendu leur point de vue avant la révision de la loi sur la bioéthique.

    Un dîner discret, qui ne figurait pas dans l’agenda du président, a été organisé le 23 mai à l’Élysée sur le thème de la procréation médicalement assistée (PMA) et de la génomique. Cette soirée, dont la tenue a été révélée par le journal La Croix, s’inscrit dans une série de trois dîners de travail sur la bioéthique en présence d’Emmanuel Macron avant la révision de la loi.

    Autour de la table, une vingtaine de suceurs de sang ...

    Impossible de savoir combien de curés pédophiles Macron a invité en secret pour décidé du corps des femmes.

    • A l’Elysée, on discute PMA... entre hommes

      La PMA au menu d’un dîner quasiment non mixte : nos confrères de « la Croix » nous apprennent qu’un long repas s’est tenu à l’Elysée le 23 mai, et qu’on y a discuté procréation médicalement assistée. Rien de bien surprenant, avant la remise ce 5 juin d’un rapport très attendu sur les états généraux de la bioéthique, si ce n’est que les convives étaient... majoritairement masculins, déplore la journaliste et militante LGBT Alice Coffin.

      Excepté la ministre de la Santé, Agnès Buzyn ou bien la membre (non nommée) d’une association de femmes seules ayant eu recours à la PMA, la table se composait de Tugdual Derville d’Alliance Vita, du prêtre catholique Brice de Malherbe, du grand rabbin de France Haïm Korsia, du président de l’association des familles homoparentales Alexandre Urwicz, des médecins François Olivennes et Israël Nisand, ou encore du président du Comité d’éthique Jean-François Delfraissy.

      C’est le défilé des misogynes, avec le dr Nisand, cet ordure pro-viol.
      https://seenthis.net/messages/606906
      L’Alliance Vita c’est des militants anti-IVG-pro-féminicide

  • Laïcité : des enseignants victimes de la traitrise et de la lâcheté ? (Jean-Michel Zakhartchouk, Enseigner au XXI siècle)
    http://blog.educpros.fr/Jean-Michel-Zakhartchouk/2018/05/15/laicite-des-enseignants-victimes-de-la-traitrise-et-de-la-lachete

    L’auteur du blog, très ‘modéré’ habituellement dans son positionnement politique, critique le hors-série de #CharlieHebdo intitulé “Profs, les sacrifiés de la laïcité” (https://abo.charliehebdo.fr/boutique/horsseries/#modal-product687805) :

    Je ne nie pas certains phénomènes relatés dans ce numéro. Les dispenses abusives de piscine, ça existe, mais faire croire que les enseignants n’essaient pas de lutter contre ces phénomènes est vraiment à mille lieues de la réalité majoritaire (voir page 14 par exemple, un des nombreux témoignages qui mettent en cause les « collègues »). Ce que je conteste, c’est l’unilatéralisme, les effets d’accumulation et le refus de prendre en compte d’autres réalités.
    […]
    Car le professeur qui proteste contre cette idée, que défend-il ? Qu’il faudrait dire aux élèves que la science est supérieure à la religion ? C’est transformer dès lors la laicité en une machine de guerre anti-religieuse. Personne ne peut détruire l’idée qu’il y a un « dessein intelligent », mais personne ne peut établir de preuves divines dans la complexité de l’univers. Le tout est de bien séparer croyances (qui touchent au « pourquoi » métaphysique) et faits et explications scientifiques (où on est dans le comment). C’est bien le sens de la phrase : « éviter la confrontation ou la comparaison du discours religieux et du savoir scientifique » Quelques lignes plus haut, il est bien dit par ailleurs que « tout texte, toute œuvre peut être soumis(e) à l’examen et au débat », qu’il ne faut en aucun cas accepter intolérance et violence de la part des élèves ; tout cela dans l’esprit de la charte de la Laicité que le dossier semble considérée comme un texte hypocrite et dérisoire.
    […]
    Ce qui semble valorisé quand même dans ce dossier, c’est l’intransigeance qui seule serait payante : pas de mères voilées dans les sorties, pas de compromis concernant les absences lors des fêtes religieuses, pas de prise en compte de la part de provocation adolescente dans certains propos, et même pour l’un des témoins, approbation de la suppression des menus de substitution, tant pis si on est d’accord avec le FN. Il y a les « bons », victimes innocentes parce que défenseurs de la laïcité et en face les « méchants » qui tolèrent, qui justifient tout au nom des « arrangements », qui pactisent avec l’ennemi. Comme si les choses n’étaient pas plus compliquées, comme si un des objectifs que l’on doit rechercher, c’est que la laïcité, cette si précieuse laïcité (dont personne n’a le monopole), apparaisse comme libératrice et pas du tout comme une ennemie des religions.
    Jamais dans le dossier ne nous sont présentées des manifestations de rejet de la religion musulmane, le racisme semble absent, les discriminations inexistantes. Comme si cela ne nourrissait pas la propagande islamiste qui a tout intérêt à présenter la laïcité comme une machine de guerre antireligieuse. […]

    À noter que pour critiquer Charlie-Hebdo, il semble qu’il faut en passer par un gros paragraphe de précautions diverses et de justifications préliminaires. La phrase « journal, qu’on a parfaitement le droit de critiquer, lui qui, à juste titre, a toujours combattu les sacralisations et doit donc l’appliquer à son propre cas » est particulièrement révélatrice du caractère sacré de cet hebdomadaire aujourd’hui…

    À noter aussi, un nouveau guide de la laïcité à l’école paraît aujourd’hui écrit par le nouveau “Conseil des sages de la laïcité” instauré par l’actuel ministre :
    – Un nouveau guide offensif de la laïcité pour les établissements scolaires
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/05/30/01016-20180530ARTFIG00045-un-nouveau-guide-offensif-de-la-laicite-pour-les-

    #éducation #laïcité #islamophobie

  • Comme dans les journaux de Monsieur Serge Dassault : Chanson
    Le lien direct vers le mp3 fonctionne.
    http://sons-audioblogs.arte.tv/audioblogs/sons/3047789/3088251_Serge_Dassault.mp3

    La famille Dassault et les animateurs de C’est l’heure de l’mettre ont la douleur de faire part du décès de Monsieur Serge Dassault, ce 28 mai 2018 dans l’après-midi, à son bureau du Rond-Point des Champs-Élysées Marcel-Dassault, par suite d’une défaillance cardiaque, à l’âge de 93 ans. Hommage et pensées émues pour Monsieur Serge Dassault !
    Souvenir de l’époque sarkozy.

    Source : Arte Radio http://audioblog.arteradio.com/blog/3047789/l_heure_de_l_mettre

    Sur le site du Figaro :
    La mort de Serge Dassault, un homme de convictions
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/05/28/01016-20180528ARTFIG00246-l-industriel-serge-dassault-est-decede.php

    Serge Dassault, l’épopée industrielle d’un héritier bâtisseur
    http://www.lefigaro.fr/societes/2018/05/28/20005-20180528ARTFIG00341-serge-dassault-l-epopee-industrielle-d-un-heritie

    Serge Dassault, un chef de famille très attentif
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/05/28/01016-20180528ARTFIG00335-serge-dassault-un-chef-de-famille-tres-attentif.p

    Éditorial : « Serge Dassault, un homme libre »
    http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/05/28/31001-20180528ARTFIG00337-editorial-serge-dassault-un-homme-libre.php

     #chanson #audio #france #dassault #serge_dassault #rafale #médias #presse #groupe_dassault #fraude_fiscale #en_vedette #journalisme #politique #influence #défense_et_sécurité #corbeil-essonnes #achats_de_votes #immobilier #spéculation #guerre_aux_pauvres

  • NDDL : la facture sécuritaire dépasse déjà les 5 millions d’euros
    Par Jean-Marc Leclerc Mis à jour le 25/04/2018
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/04/25/01016-20180425ARTFIG00366-nddl-la-facture-securitaire-depasse-les-5millions

    Plus de cinq millions d’euros ! Ce sera la facture de l’expulsion des zadistes de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) à la fin de la semaine. Le seul coût sécuritaire, calculé a minima. Le Figaro a en effet retenu les fourchettes basses et l’affaire de la ZAD n’est pas terminée.

    Depuis le 9 avril, 20 à 25 escadrons de gendarmes mobiles (65 hommes par escadron) sont entrés en scène. Il faut y ajouter les renforts dans la région de 2 à 6 compagnies de CRS (75 hommes par unité). Le plus important dispositif déployé sur plusieurs semaines depuis les émeutes de 2005.

    #NDDL

  • Refuser de donner son code de téléphone en garde à vue est passible de poursuites
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/04/18/01016-20180418ARTFIG00290-refuser-de-donner-son-code-de-telephone-en-garde-

    Le Conseil constitutionnel a tranché : refuser de donner son code confidentiel de téléphone en garde à vue est passible de poursuites. Dans une décision rendue le 30 mars, les Sages, qui répondaient à une question prioritaire de constitutionnalité (QPC), ont estimé que punir un suspect qui refusait de déverrouiller son téléphone était constitutionnel et que cela ne portait pas atteinte au droit au respect de la vie privée.

    À l’origine de cette initiative : Malek B., poursuivi pour avoir refusé de donner les codes de ses téléphones portables lors de sa garde à vue. Âgé d’une vingtaine d’années, il avait été arrêté en mars 2017 avec 97 grammes de produits stupéfiants. Poursuivi par le parquet de Créteil, Malek B. avait décidé de déposer une QPC en octobre 2017. Elle portait spécifiquement sur l’article 434-15-2 du code pénal qui punit de trois ans d’emprisonnement et de 270.000 euros d’amende le fait de ne pas fournir « la convention secrète de déchiffrement d’un moyen de cryptologie susceptible d’avoir été utilisé pour préparer, faciliter ou commettre un crime ou un délit ». Selon lui, cette obligation était inconstitutionnelle.
    « Un détournement de l’esprit de la loi »

    Devant les Sages, le 29 mars dernier, son avocat Me Karim Morand-Lahouazi avait fait valoir que cette infraction portait atteinte « au droit du silence » et « au droit de ne pas contribuer à sa propre incrimination », c’est-à-dire de ne pas s’accuser. Il avait même été plus loin en expliquant que le texte était utilisé à mauvais escient. Pour lui, l’article 434-15-2 ne concerne pas les codes de déverrouillage d’un téléphone : « Ce texte s’applique à ceux qui mettent en place des moyens de cryptologie tel que les applications WhatsApp ou Telegram », avance-t-il, pointant un problème de définition. « Ce texte vise les clés qui permettent de chiffrer les échanges, les messages », poursuit-il. En clair, selon lui, on ne devrait pas pouvoir demander ce code de déverrouillage à un suspect sur la base de ce texte. « Autrement, c’est un détournement de l’esprit de la loi », insiste-t-il.

    Son confrère, Me Yves Levano, qui défendait un autre justiciable, n’a pas dit autre chose durant l’audience : « Lorsque des services enquêteurs trouvent un coffre-fort lors d’une perquisition et qu’ils veulent rentrer dedans, on ne punit pas d’une peine d’emprisonnement celui qui refuserait de donner sa clé. On appelle un serrurier. » De même, la Quadrature du Net, association française spécialisée dans la défense des droits des internautes qui s’est jointe à la procédure, avait aussi jugé que cette obligation était une atteinte au droit au respect de la vie privée, au secret des correspondances et la liberté d’expression. Même le gouvernement, représenté par Philippe Blanc, avait reconnu qu’il y avait un problème, rapporte Le Monde qui a repéré cette décision.

    Pour autant, l’ensemble de ces arguments n’ont pas convaincu les huit membres du Conseil qui siégeaient ce jour-là. L’audience enregistrée en vidéo est visible ici. Dans leur décision, les Sages ont estimé que cette obligation pesait sur « toute personne », y compris le suspect et pas uniquement les opérateurs et créateurs d’applications mobile. En revanche, ont-ils précisé, les enquêteurs ou les juges d’instruction devront, pour réclamer le code, prouver que le téléphone contient des données chiffrées potentiellement liées à l’affaire. « J’ai été très surpris par la décision rendue », réagit aujourd’hui Me Morand-Lahouazi. « D’autant qu’elle était peu développée et argumentée ». Dans un communiqué, la Quadrature du Net a, quant à elle, jugé « décevante » cette décision, « qui risque d’affaiblir durablement le droit au chiffrement ».

    Cet article du Code pénal, qui peut s’appliquer dans le cadre d’une garde à vue ou d’une instruction, est loin d’être nouveau. Apparu dans la loi antiterroriste de novembre 2001 après les attentats du 11-Septembre, le texte a été modifié en juin 2016, avec la dernière loi antiterroriste. Ce qui aurait donné un coup de projecteur sur ce texte qui était jusqu’ici ignoré, selon Me Morand-Lahouazi. « C’est à partir de ce moment-là que le parquet de Créteil s’est mis à poursuivre les suspects qui refusaient de donner leur code de déverrouillage. Puis Nanterre a suivi », se souvient-il.
    Une décision « décevante »

    Plusieurs dizaines de ses clients - la plupart poursuivis pour détention ou trafic de stupéfiant - auraient ainsi été condamnées pour ce motif et un seul, arrêté pour défaut de permis, aurait été relaxé. Son confrère, Me Yves Levano, estime à plusieurs centaines le nombre de justiciables qui ont été contraints de donner leur code d’accès. Malek B., lui, devra attendre le mois de mai pour connaître son sort. Même si les Sages ont jugé le texte constitutionnel, Me Morand-Lahouazi reste persuadé que ce texte est mal appliqué. Il plaidera donc la relaxe. Parallèlement, il compte bien épuiser d’autres voies de recours et aller jusqu’à la Cour européenne des droits de l’homme pour faire changer l’application de ce texte.

    Les autorités ont tout intérêt à demander le code de déverrouillage au propriétaire du téléphone, tant le déchiffrement par les services de police et de gendarmerie est long et fastidieux. De plus, elles peuvent difficilement compter sur les fabricants de téléphone : la marque Apple avait par exemple expliqué qu’elle ne pouvait pas débloquer un iPhone car elle ne possédait pas la clé de déchiffrement, stocké dans le téléphone. Dès 2015, le procureur François Molins, avec d’autres responsables internationaux, avait mis en cause l’entreprise américaine et demandé aux géants du web de changer leur politique de chiffrement. Outre-Atlantique, la NSA avait elle aussi fait savoir que le chiffrement compliquait les enquêtes et qu’il avait empêché de déjouer des attentats. En vain.

    Pour autant, le chiffrement s’avère très utile aux yeux de certains acteurs. Notamment dans le milieu politique. Le gouvernement a d’ailleurs annoncé en début de semaine qu’il allait lancer une messagerie chiffrée pour ses ministres cet été.

  • Procès « de Tarnac » : les témoins de la défense entendus
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/03/27/01016-20180327LIVWWW00056-en-direct-proces-de-tarnac-les-temoins-de-la-defe

    Il a fallu attendre l’arrivée de David Dufresne, ancien journaliste qui a écrit un livre d’enquête sur l’affaire, pour réveiller la journée. L’enquête menée par la police a été mise à mal pendant son passage à la barre. Il a estimé qu’il existait une énorme pression politique, à l’époque, sur les enquêteurs pour qu’ils apportent des résultats suite aux sabotages. Il a rappelé les nombreux doutes qui pèsent sur la procédure. La défense a pris en main l’audience et a pu longuement exposer ses thèses tout en portant de nombreux coups à l’accusation.

    #Tarnac

  • Un automobiliste fait un doigt d’honneur à un radar, il risque la prison ferme
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/03/21/01016-20180321ARTFIG00160-un-automobiliste-fait-un-doigt-d-honneur-a-un-rad

    Le délit d’outrage à une machine n’existe pas dans le droit français. Le parquet a toutefois considéré que l’homme avait outragé par extension les fonctionnaires qui étaient chargés de visualiser les images, au centre d’identification de Rennes. Et c’est à ce motif qu’il est poursuivi et risque de la prison ferme.

    #it_has_begun

  • Gérard Collomb : « Contre les #passeurs, nous allons renforcer les coopérations avec l’Afrique »

    À l’occasion de son déplacement au #Niger, le ministre de l’Intérieur détaille au Figaro les solutions étudiées pour démanteler les réseaux de passeurs.

    LE FI­GA­RO.- Qu’at­ten­dez-vous de votre dé­pla­ce­ment au Ni­ger ? Gé­rard COL­LOMB.- Pour maî­tri­ser les flux mi­gra­toires et ga­ran­tir en France le droit d’asile, nous de­vons lut­ter contre les ré­seaux de pas­seurs par une ac­tion en amont, au plus près des pays d’ori­gine et de tran­sit des mi­grants. Cette ren­contre de Nia­mey, as­so­ciant les mi­nistres de l’In­té­rieur et des Af­faires étran­gères des prin­ci­pales par­ties concer­nées, en Eu­rope comme en Afrique, pour­suit cet ob­jec­tif. Elle réuni­ra des re­pré­sen­tants du Ni­ger, du Tchad, du Ma­li, du Bur­ki­naFa­so, de Mau­ri­ta­nie, de Côte d’Ivoire, de Gui­née, du Sé­né­gal, de Li­bye, d’Al­le­magne, d’Ita­lie, d’Espagne et de la France, sans ou­blier ceux de la Com­mis­sion eu­ro­péenne et de l’ONU. Il se­ra ques­tion de l’ap­pui que nous pou­vons ap­por­ter aux pays d’Afrique pour les ai­der à mieux se co­or­don­ner pour dé­man­te­ler les ré­seaux de tra­fi­quants d’êtres hu­mains. C’était l’en­ga­ge­ment ex­pri­mé par le pré­sident de la Ré­pu­blique au som­met Union eu­ro­péenne Afrique à Abid­jan, avec l’ob­jec­tif de mettre en échec les ré­seaux cri­mi­nels et mettre fin aux vio­lences dont les mi­grants font l’ob­jet.

    LE FI­GA­RO.- Qu’at­ten­dez-vous de votre dé­pla­ce­ment au Ni­ger ? Gé­rard COL­LOMB.- Pour maî­tri­ser les flux mi­gra­toires et ga­ran­tir en France le droit d’asile, nous de­vons lut­ter contre les ré­seaux de pas­seurs par une ac­tion en amont, au plus près des pays d’ori­gine et de tran­sit des mi­grants. Cette ren­contre de Nia­mey, as­so­ciant les mi­nistres de l’In­té­rieur et des Af­faires étran­gères des prin­ci­pales par­ties concer­nées, en Eu­rope comme en Afrique, pour­suit cet ob­jec­tif. Elle réuni­ra des re­pré­sen­tants du Ni­ger, du Tchad, du Ma­li, du Bur­ki­naFa­so, de Mau­ri­ta­nie, de Côte d’Ivoire, de Gui­née, du Sé­né­gal, de Li­bye, d’Al­le­magne, d’Ita­lie, d’Espagne et de la France, sans ou­blier ceux de la Com­mis­sion eu­ro­péenne et de l’ONU. Il se­ra ques­tion de l’ap­pui que nous pou­vons ap­por­ter aux pays d’Afrique pour les ai­der à mieux se co­or­don­ner pour dé­man­te­ler les ré­seaux de tra­fi­quants d’êtres hu­mains. C’était l’en­ga­ge­ment ex­pri­mé par le pré­sident de la Ré­pu­blique au som­met Union eu­ro­péenne Afrique à Abid­jan, avec l’ob­jec­tif de mettre en échec les ré­seaux cri­mi­nels et mettre fin aux vio­lences dont les mi­grants font l’ob­jet.

    LE FI­GA­RO.- Qu’at­ten­dez-vous de votre dé­pla­ce­ment au Ni­ger ? Gé­rard COL­LOMB.- Pour maî­tri­ser les flux mi­gra­toires et ga­ran­tir en France le droit d’asile, nous de­vons lut­ter contre les ré­seaux de pas­seurs par une ac­tion en amont, au plus près des pays d’ori­gine et de tran­sit des mi­grants. Cette ren­contre de Nia­mey, as­so­ciant les mi­nistres de l’In­té­rieur et des Af­faires étran­gères des prin­ci­pales par­ties concer­nées, en Eu­rope comme en Afrique, pour­suit cet ob­jec­tif. Elle réuni­ra des re­pré­sen­tants du Ni­ger, du Tchad, du Ma­li, du Bur­ki­naFa­so, de Mau­ri­ta­nie, de Côte d’Ivoire, de Gui­née, du Sé­né­gal, de Li­bye, d’Al­le­magne, d’Ita­lie, d’Espagne et de la France, sans ou­blier ceux de la Com­mis­sion eu­ro­péenne et de l’ONU. Il se­ra ques­tion de l’ap­pui que nous pou­vons ap­por­ter aux pays d’Afrique pour les ai­der à mieux se co­or­don­ner pour dé­man­te­ler les ré­seaux de tra­fi­quants d’êtres hu­mains. C’était l’en­ga­ge­ment ex­pri­mé par le pré­sident de la Ré­pu­blique au som­met Union eu­ro­péenne Afrique à Abid­jan, avec l’ob­jec­tif de mettre en échec les ré­seaux cri­mi­nels et mettre fin aux vio­lences dont les mi­grants font l’ob­jet.

    LE FI­GA­RO.- Qu’at­ten­dez-vous de votre dé­pla­ce­ment au Ni­ger ? Gé­rard COL­LOMB.- Pour maî­tri­ser les flux mi­gra­toires et ga­ran­tir en France le droit d’asile, nous de­vons lut­ter contre les ré­seaux de pas­seurs par une ac­tion en amont, au plus près des pays d’ori­gine et de tran­sit des mi­grants. Cette ren­contre de Nia­mey, as­so­ciant les mi­nistres de l’In­té­rieur et des Af­faires étran­gères des prin­ci­pales par­ties concer­nées, en Eu­rope comme en Afrique, pour­suit cet ob­jec­tif. Elle réuni­ra des re­pré­sen­tants du Ni­ger, du Tchad, du Ma­li, du Bur­ki­naFa­so, de Mau­ri­ta­nie, de Côte d’Ivoire, de Gui­née, du Sé­né­gal, de Li­bye, d’Al­le­magne, d’Ita­lie, d’Espagne et de la France, sans ou­blier ceux de la Com­mis­sion eu­ro­péenne et de l’ONU. Il se­ra ques­tion de l’ap­pui que nous pou­vons ap­por­ter aux pays d’Afrique pour les ai­der à mieux se co­or­don­ner pour dé­man­te­ler les ré­seaux de tra­fi­quants d’êtres hu­mains. C’était l’en­ga­ge­ment ex­pri­mé par le pré­sident de la Ré­pu­blique au som­met Union eu­ro­péenne Afrique à Abid­jan, avec l’ob­jec­tif de mettre en échec les ré­seaux cri­mi­nels et mettre fin aux vio­lences dont les mi­grants font l’ob­jet.

    LE FI­GA­RO.- Qu’at­ten­dez-vous de votre dé­pla­ce­ment au Ni­ger ? Gé­rard COL­LOMB.- Pour maî­tri­ser les flux mi­gra­toires et ga­ran­tir en France le droit d’asile, nous de­vons lut­ter contre les ré­seaux de pas­seurs par une ac­tion en amont, au plus près des pays d’ori­gine et de tran­sit des mi­grants. Cette ren­contre de Nia­mey, as­so­ciant les mi­nistres de l’In­té­rieur et des Af­faires étran­gères des prin­ci­pales par­ties concer­nées, en Eu­rope comme en Afrique, pour­suit cet ob­jec­tif. Elle réuni­ra des re­pré­sen­tants du Ni­ger, du Tchad, du Ma­li, du Bur­ki­naFa­so, de Mau­ri­ta­nie, de Côte d’Ivoire, de Gui­née, du Sé­né­gal, de Li­bye, d’Al­le­magne, d’Ita­lie, d’Espagne et de la France, sans ou­blier ceux de la Com­mis­sion eu­ro­péenne et de l’ONU. Il se­ra ques­tion de l’ap­pui que nous pou­vons ap­por­ter aux pays d’Afrique pour les ai­der à mieux se co­or­don­ner pour dé­man­te­ler les ré­seaux de tra­fi­quants d’êtres hu­mains. C’était l’en­ga­ge­ment ex­pri­mé par le pré­sident de la Ré­pu­blique au som­met Union eu­ro­péenne Afrique à Abid­jan, avec l’ob­jec­tif de mettre en échec les ré­seaux cri­mi­nels et mettre fin aux vio­lences dont les mi­grants font l’ob­jet.

    Mais que doit-il se dé­ci­der concrè­te­ment ? Nous al­lons ren­for­cer les co­opé­ra­tions avec l’Afrique. Elles ont dé­jà com­men­cé à pro­duire des ré­sul­tats tan­gibles. Le Ni­ger, par exemple, est en train de bar­rer la route du Nord, qui tra­ver­sait le Sa­ha­ra pour al­ler en Li­bye. Il a par ailleurs mis en place des dis­po­si­tifs d’in­ves­ti­ga­tion concrets pour per­mettre l’ar­res­ta­tion des pas­seurs et le dé­man­tè­le­ment des ré­seaux. Le Ni­ger ac­cueille dé­sor­mais un cer­tain nombre de mi­grants éco­no­miques is­sus des pays afri­cains, dont nous or­ga­ni­sons le re­tour avec l’Or­ga­ni­sa­tion in­ter­na­tio­nale pour les mi­gra­tions (OIM). En 2016, Aga­dez était une plaque tour­nante de l’im­mi­gra­tion au nord du Ni­ger. On a pu comp­ter cette an­née-là jus­qu’à 330 000 tra­ver­sées de mi­grants. Ils n’étaient plus que 70 000 à pas­ser en 2017. Les sorties ont donc chu­té dras­ti­que­ment. Quant aux flux d’en­trée au Ni­ger de­puis l’Afrique oc­ci­den­tale, ils ont été sta­bi­li­sés, avec 100 000 clan­des­tins re­cen­sés contre 110 000 l’an­née pré­cé­dente. Ce­la montre qu’il n’y a pas de fa­ta­li­té. Quand on s’at­taque vrai­ment aux pro­blèmes, il est pos­sible de les ré­soudre.

    Mais que doit-il se dé­ci­der concrè­te­ment ? Nous al­lons ren­for­cer les co­opé­ra­tions avec l’Afrique. Elles ont dé­jà com­men­cé à pro­duire des ré­sul­tats tan­gibles. Le Ni­ger, par exemple, est en train de bar­rer la route du Nord, qui tra­ver­sait le Sa­ha­ra pour al­ler en Li­bye. Il a par ailleurs mis en place des dis­po­si­tifs d’in­ves­ti­ga­tion concrets pour per­mettre l’ar­res­ta­tion des pas­seurs et le dé­man­tè­le­ment des ré­seaux. Le Ni­ger ac­cueille dé­sor­mais un cer­tain nombre de mi­grants éco­no­miques is­sus des pays afri­cains, dont nous or­ga­ni­sons le re­tour avec l’Or­ga­ni­sa­tion in­ter­na­tio­nale pour les mi­gra­tions (OIM). En 2016, Aga­dez était une plaque tour­nante de l’im­mi­gra­tion au nord du Ni­ger. On a pu comp­ter cette an­née-là jus­qu’à 330 000 tra­ver­sées de mi­grants. Ils n’étaient plus que 70 000 à pas­ser en 2017. Les sorties ont donc chu­té dras­ti­que­ment. Quant aux flux d’en­trée au Ni­ger de­puis l’Afrique oc­ci­den­tale, ils ont été sta­bi­li­sés, avec 100 000 clan­des­tins re­cen­sés contre 110 000 l’an­née pré­cé­dente. Ce­la montre qu’il n’y a pas de fa­ta­li­té. Quand on s’at­taque vrai­ment aux pro­blèmes, il est pos­sible de les ré­soudre.

    Mais que doit-il se dé­ci­der concrè­te­ment ? Nous al­lons ren­for­cer les co­opé­ra­tions avec l’Afrique. Elles ont dé­jà com­men­cé à pro­duire des ré­sul­tats tan­gibles. Le Ni­ger, par exemple, est en train de bar­rer la route du Nord, qui tra­ver­sait le Sa­ha­ra pour al­ler en Li­bye. Il a par ailleurs mis en place des dis­po­si­tifs d’in­ves­ti­ga­tion concrets pour per­mettre l’ar­res­ta­tion des pas­seurs et le dé­man­tè­le­ment des ré­seaux. Le Ni­ger ac­cueille dé­sor­mais un cer­tain nombre de mi­grants éco­no­miques is­sus des pays afri­cains, dont nous or­ga­ni­sons le re­tour avec l’Or­ga­ni­sa­tion in­ter­na­tio­nale pour les mi­gra­tions (OIM). En 2016, Aga­dez était une plaque tour­nante de l’im­mi­gra­tion au nord du Ni­ger. On a pu comp­ter cette an­née-là jus­qu’à 330 000 tra­ver­sées de mi­grants. Ils n’étaient plus que 70 000 à pas­ser en 2017. Les sorties ont donc chu­té dras­ti­que­ment. Quant aux flux d’en­trée au Ni­ger de­puis l’Afrique oc­ci­den­tale, ils ont été sta­bi­li­sés, avec 100 000 clan­des­tins re­cen­sés contre 110 000 l’an­née pré­cé­dente. Ce­la montre qu’il n’y a pas de fa­ta­li­té. Quand on s’at­taque vrai­ment aux pro­blèmes, il est pos­sible de les ré­soudre.

    Mais que doit-il se dé­ci­der concrè­te­ment ? Nous al­lons ren­for­cer les co­opé­ra­tions avec l’Afrique. Elles ont dé­jà com­men­cé à pro­duire des ré­sul­tats tan­gibles. Le Ni­ger, par exemple, est en train de bar­rer la route du Nord, qui tra­ver­sait le Sa­ha­ra pour al­ler en Li­bye. Il a par ailleurs mis en place des dis­po­si­tifs d’in­ves­ti­ga­tion concrets pour per­mettre l’ar­res­ta­tion des pas­seurs et le dé­man­tè­le­ment des ré­seaux. Le Ni­ger ac­cueille dé­sor­mais un cer­tain nombre de mi­grants éco­no­miques is­sus des pays afri­cains, dont nous or­ga­ni­sons le re­tour avec l’Or­ga­ni­sa­tion in­ter­na­tio­nale pour les mi­gra­tions (OIM). En 2016, Aga­dez était une plaque tour­nante de l’im­mi­gra­tion au nord du Ni­ger. On a pu comp­ter cette an­née-là jus­qu’à 330 000 tra­ver­sées de mi­grants. Ils n’étaient plus que 70 000 à pas­ser en 2017. Les sorties ont donc chu­té dras­ti­que­ment. Quant aux flux d’en­trée au Ni­ger de­puis l’Afrique oc­ci­den­tale, ils ont été sta­bi­li­sés, avec 100 000 clan­des­tins re­cen­sés contre 110 000 l’an­née pré­cé­dente. Ce­la montre qu’il n’y a pas de fa­ta­li­té. Quand on s’at­taque vrai­ment aux pro­blèmes, il est pos­sible de les ré­soudre.

    Quelles formes de co­opé­ra­tion faut-il pri­vi­lé­gier ? À l’is­sue du som­met de l’Élysée du 28 août 2017, sui­vi du som­met Union afri­caine-Union eu­ro­péenne du 29 no­vembre der­nier à Abid­jan, plu­sieurs so­lu­tions ont émer­gé. Nous avons col­lec­ti­ve­ment op­té pour des me­sures de dé­ve­lop­pe­ment, d’aide au contrôle des fron­tières, de créa­tion de fi­chiers d’iden­ti­té, de ren­for­ce­ment des ca­pa­ci­tés po­li­cières et ju­di­ciaires. Des ac­tions de formation des po­lices et gen­dar­me­ries lo­cales sont éga­le­ment en­tre­prises. Nous al­lons faire cette se­maine avec les pays par­te­naires un pre­mier bi­lan des dis­po­si­tifs qui fonc­tionnent et des marges de pro­gres­sion exis­tant en­core. Mais les ré­ad­mis­sions des illé­gaux par leur pays d’ori­gine dans ces ré­gions de­meurent rares, pour ne pas dire qua­si in­exis­tantes… Pour cer­tains pays d’ori­gine oui, pour d’autres on ob­serve un réel ef­fort qui té­moigne qu’il existe des réelles marges de ma­noeuvre. En­suite, pour que ces pays puissent ré­ad­mettre leurs res­sor­tis­sants, en­core faut-il que ceux-ci dis­posent d’une iden­ti­té éta­blie. La consti­tu­tion d’un vé­ri­table état civil dans les pays afri­cains qui en sont dé­pour­vus doit nous ai­der à avan­cer sur ce point. Il re­pré­sen­te­ra d’abord un atout pour ces États dont les ci­toyens cir­cu­le­ront plus fa­ci­le­ment dans le monde. Ce­la fa­ci­li­te­ra éga­le­ment la re­mise des lais­sez-pas­ser consu­laires par les pays de dé­part des mi­grants éco­no­miques, sans les­quels au­cune ré­ad­mis­sion n’est pos­sible si les per­sonnes sont sans pa­piers.

    Quelles formes de co­opé­ra­tion faut-il pri­vi­lé­gier ? À l’is­sue du som­met de l’Élysée du 28 août 2017, sui­vi du som­met Union afri­caine-Union eu­ro­péenne du 29 no­vembre der­nier à Abid­jan, plu­sieurs so­lu­tions ont émer­gé. Nous avons col­lec­ti­ve­ment op­té pour des me­sures de dé­ve­lop­pe­ment, d’aide au contrôle des fron­tières, de créa­tion de fi­chiers d’iden­ti­té, de ren­for­ce­ment des ca­pa­ci­tés po­li­cières et ju­di­ciaires. Des ac­tions de formation des po­lices et gen­dar­me­ries lo­cales sont éga­le­ment en­tre­prises. Nous al­lons faire cette se­maine avec les pays par­te­naires un pre­mier bi­lan des dis­po­si­tifs qui fonc­tionnent et des marges de pro­gres­sion exis­tant en­core. Mais les ré­ad­mis­sions des illé­gaux par leur pays d’ori­gine dans ces ré­gions de­meurent rares, pour ne pas dire qua­si in­exis­tantes… Pour cer­tains pays d’ori­gine oui, pour d’autres on ob­serve un réel ef­fort qui té­moigne qu’il existe des réelles marges de ma­noeuvre. En­suite, pour que ces pays puissent ré­ad­mettre leurs res­sor­tis­sants, en­core faut-il que ceux-ci dis­posent d’une iden­ti­té éta­blie. La consti­tu­tion d’un vé­ri­table état civil dans les pays afri­cains qui en sont dé­pour­vus doit nous ai­der à avan­cer sur ce point. Il re­pré­sen­te­ra d’abord un atout pour ces États dont les ci­toyens cir­cu­le­ront plus fa­ci­le­ment dans le monde. Ce­la fa­ci­li­te­ra éga­le­ment la re­mise des lais­sez-pas­ser consu­laires par les pays de dé­part des mi­grants éco­no­miques, sans les­quels au­cune ré­ad­mis­sion n’est pos­sible si les per­sonnes sont sans pa­piers.

    Quelles formes de co­opé­ra­tion faut-il pri­vi­lé­gier ? À l’is­sue du som­met de l’Élysée du 28 août 2017, sui­vi du som­met Union afri­caine-Union eu­ro­péenne du 29 no­vembre der­nier à Abid­jan, plu­sieurs so­lu­tions ont émer­gé. Nous avons col­lec­ti­ve­ment op­té pour des me­sures de dé­ve­lop­pe­ment, d’aide au contrôle des fron­tières, de créa­tion de fi­chiers d’iden­ti­té, de ren­for­ce­ment des ca­pa­ci­tés po­li­cières et ju­di­ciaires. Des ac­tions de formation des po­lices et gen­dar­me­ries lo­cales sont éga­le­ment en­tre­prises. Nous al­lons faire cette se­maine avec les pays par­te­naires un pre­mier bi­lan des dis­po­si­tifs qui fonc­tionnent et des marges de pro­gres­sion exis­tant en­core. Mais les ré­ad­mis­sions des illé­gaux par leur pays d’ori­gine dans ces ré­gions de­meurent rares, pour ne pas dire qua­si in­exis­tantes… Pour cer­tains pays d’ori­gine oui, pour d’autres on ob­serve un réel ef­fort qui té­moigne qu’il existe des réelles marges de ma­noeuvre. En­suite, pour que ces pays puissent ré­ad­mettre leurs res­sor­tis­sants, en­core faut-il que ceux-ci dis­posent d’une iden­ti­té éta­blie. La consti­tu­tion d’un vé­ri­table état civil dans les pays afri­cains qui en sont dé­pour­vus doit nous ai­der à avan­cer sur ce point. Il re­pré­sen­te­ra d’abord un atout pour ces États dont les ci­toyens cir­cu­le­ront plus fa­ci­le­ment dans le monde. Ce­la fa­ci­li­te­ra éga­le­ment la re­mise des lais­sez-pas­ser consu­laires par les pays de dé­part des mi­grants éco­no­miques, sans les­quels au­cune ré­ad­mis­sion n’est pos­sible si les per­sonnes sont sans pa­piers.

    Comment ce­la s’ar­ti­cule-t-il avec votre pro­jet de loi sur l’asile et l’im­mi­gra­tion bien­tôt en dis­cus­sion au Par­le­ment ? Le texte que nous pré­sen­tons est es­sen­tiel car il vise à faire conver­ger notre lé­gis­la­tion avec celle des pays voi­sins. C’est le cas sur plu­sieurs su­jets comme l’aug­men­ta­tion de la du­rée de ré­ten­tion, la ré­duc­tion du dé­lai de re­cours de­vant la Cour na­tio­nale du droit d’asile ou le ren­for­ce­ment de l’at­trac­ti­vi­té de la France pour les ta­lents étran­gers, où nous nous rap­pro­chons du droit ou des pra­tiques en vi­gueur dans des pays comme l’Al­le­magne ou les Pays-Bas. L’aug­men­ta­tion de la du­rée de ré­ten­tion per­met­tra par exemple d’ob­te­nir plus fa­ci­le­ment des lais­sez-pas­ser consu­laires de la part des pays d’ori­gine.

    Comment ce­la s’ar­ti­cule-t-il avec votre pro­jet de loi sur l’asile et l’im­mi­gra­tion bien­tôt en dis­cus­sion au Par­le­ment ? Le texte que nous pré­sen­tons est es­sen­tiel car il vise à faire conver­ger notre lé­gis­la­tion avec celle des pays voi­sins. C’est le cas sur plu­sieurs su­jets comme l’aug­men­ta­tion de la du­rée de ré­ten­tion, la ré­duc­tion du dé­lai de re­cours de­vant la Cour na­tio­nale du droit d’asile ou le ren­for­ce­ment de l’at­trac­ti­vi­té de la France pour les ta­lents étran­gers, où nous nous rap­pro­chons du droit ou des pra­tiques en vi­gueur dans des pays comme l’Al­le­magne ou les Pays-Bas. L’aug­men­ta­tion de la du­rée de ré­ten­tion per­met­tra par exemple d’ob­te­nir plus fa­ci­le­ment des lais­sez-pas­ser consu­laires de la part des pays d’ori­gine.

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/03/15/01016-20180315ARTFIG00363-gerard-collomb-contre-les-passeursnous-allons-ren

    A lire ici :
    https://www.pressreader.com/france/le-figaro/20180316/281569471253668

    #externalisation #France #asile #migrations #réfugiés
    signalé par @daphne sur twitter #merci

    Article accompagné de cette magnifique #carte


    Une carte qui bourrée de flèches, et de flèches qui ne montrent que les entrées vers la France…
    Il serait intéressant déjà, en un premier temps, de montrer le nombre de « migrants clandestins » qui quittent la France, de manière (plus ou moins) volontaire, ou forcée (notamment renvois Dublin).
    #cartographie #visualisation #frontières #France #préjugés #flèches #invasion #afflux
    cc @reka @isskein

  • Procès du « groupe de Tarnac » : le tribunal décortique la nuit des sabotages
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/03/16/01016-20180316LIVWWW00141-en-direct-proces-tarnac-coupat-jour-4.php

    Ce qu’il faut retenir de la première partie de l’audience :

    Elle a été intégralement consacrée au PV D104, pièce importante puisqu’elle relate la surveillance de Julien Coupat et sa compagne de l’époque, Yildune Lévy, le soir des sabotages de lignes TGV. Ce PV est contesté par la défense, qui estime qu’il comporte de nombreuses incohérences.

    Yildune Lévy et Julien Coupat ont répété ce qu’ils avaient déjà pu dire aux enquêteurs, à savoir qu’ils tentaient d’échapper un peu à la surveillance policière dont ils étaient l’objet à Paris en passant un weekend à la campagne. Qu’ils ont constaté qu’ils étaient toujours suivis et ont donc fini par renoncer à leur weekend.

    Le procureur, de son côté, estiment qu’ils ont effectué, avant la soirée, des repérages préalables aux sabotages.

    Sur les incohérences, chaque camp reste campé sur ses positions.

  • Revivez la deuxième journée du procès du « groupe de Tarnac » via @julienlicourt
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/03/14/01016-20180314LIVWWW00115-proces-direct-groupe-tarnac-sabotage-coupat-jour-

    Voici les points importants qui ont été abordés en cette deuxième journée de procès.

    L’après-midi a commencé par l’acquisition de la ferme du Goutailloux, à #Tarnac. La présidente cherchant à savoir les motivations de cet achat, les prévenus ont globalement refusé de répondre, expliquant simplement vouloir vivre ensemble, et rejetant toute qualification de « base arrière ».

    C’est ensuite le voyage au Canada et aux États-Unis de Yildune Levy et Julien Coupat qui a été évoqué. Les enquêteurs affirment qu’ils s’y sont rendus pour assister à une réunion internationale d’anarchistes. Eux évoquent un « voyage en amoureux ». L’instruction mentionne également une liste retrouvée, par les douaniers canadiens, dans les affaires du couple. Les enquêteurs y voient un document préparatoire de sabotage. Julien Coupat a tourné l’argument en dérision.

    La surveillance de Julien Coupat a été détaillée. Ce dernier a affirmé avoir repéré les nombreux policiers qui le suivaient. Le procureur a assuré qu’il n’en était rien.

    La présidente est ensuite longuement revenue sur la manifestation qui s’est déroulée à Vichy, en novembre 2008, afin de protester contre un sommet européen sur l’immigration et au cours de laquelle des affrontements avec la police ont eu lieu. C’est une manifestation importante pour l’accusation car elle permet de poursuivre plusieurs prévenus pour association de malfaiteurs. Les prévenus concernés ont expliqué ne pas comprendre en quoi la préparation d’une manifestation pouvait être considérée comme un délit et ont minimisé les violences qui ont pu avoir lieu.

    Merci à tous de nous avoir suivis et à demain. Le tribunal doit commencer à examiner jeudi les sabotages de lignes SNCF.

  • Revivez la première journée du procès du « groupe de Tarnac » via @julienlicourt -
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/03/13/01016-20180313LIVWWW00106-proces-en-direct-groupe-de-tarnac-tgv-sabotages-c

    Initialement mises en examen pour des faits de terrorisme, huit personnes présentées en 2008 comme de dangereux terroristes d’ultragauche comparaissent depuis ce mardi, soit dix ans plus tard, pour la dégradation d’une ligne ferroviaire. Elles réfutent ces accusations, dénonçant un procès politique.

    #Tarnac

  • Tarnac : 10 ans d’une affaire hors-norme
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/03/11/01016-20180311ARTFIG00058-tarnac-10-ans-d-une-affaire-hors-norme.php

    L’affaire dite « de #Tarnac » a éclaté en novembre 2008 avec les sabotages de lignes TGV. Les pouvoirs publics y voient la résurgence du terrorisme d’extrême gauche et procèdent à l’arrestation d’une dizaine de personnes qui ont toujours nié leur implication. L’affaire provoque un emballement médiatique où chaque jour vient offrir son lot de révélations. Retour sur 10 ans d’une affaire sans précédent alors que s’ouvre mardi 13 mars son procès.

  • Tarnac : une affaire avec de nombreuses zones d’ombre
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/03/10/01016-20180310ARTFIG00042-tarnac-une-affaire-avec-de-nombreuses-zones-d-omb

    L’affaire de #Tarnac survient à un moment charnière pour les services de renseignement, alors en pleine réorganisation. RG (Renseignement généraux) et DST (Direction de la surveillance du territoire) fusionnent au début de l’été 2008 pour former la DCRI, un « FBI à la française ».

    Dans les mois qui précèdent cette redistribution des cartes, les RG, qui craignent d’être lésés au cours du mariage, font valoir auprès de la ministre de l’Intérieur de l’époque, Michèle Alliot-Marie, l’existence de groupes d’extrême gauche potentiellement violents et dont la surveillance est le cœur de leur métier. De là à en exagérer l’importance ? C’est l’une des questions que ne manqueront pas de poser les avocats de la défense au cours du procès.

  • Les #grandes_écoles françaises à la conquête de l’#Afrique
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2018/02/26/01016-20180226ARTFIG00251-l-afrique-nouvel-eldorado-des-grandes-ecoles-fran

    Au cours des douze dernières années, le nombre d’étudiants africains au sein des grandes écoles en France a progressé de 130 %, selon la CGE. Mais depuis quelques années, les grandes écoles ne se contentent plus d’aller chercher leurs étudiants en Afrique, beaucoup s’y implantent. Il ne se passe pas une semaine sans que l’une d’elles annonce la création d’un nouveau programme, l’ouverture d’un campus ou d’un bureau de représentation dans ce nouvel eldorado de l’#enseignement supérieur mondial.

    Destination préférée des établissements français : le #Maroc. Depuis quelques années, le royaume a ouvert ses portes aux grandes écoles françaises dans le but de devenir un point de connexion entre l’Europe et l’Afrique. Plusieurs écoles de commerce prestigieuses ou d’ingénieurs, comme Toulouse Business School (TBS), l’Essec, l’EM Lyon, ...

    #France #paywall

    • Drôme 2015,
      https://seenthis.net/messages/413504

      mais article du 31/05/2016 dans Le Figaro qui va même jusqu’à imaginer des RSAstes heureux…

      Dans la Drôme, le bénévolat pour sortir du RSA
      http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/05/31/01016-20160531ARTFIG00340-dans-la-drome-le-benevolat-pour-sortir-du-rsa.php

      Depuis septembre 2015, le département teste un dispositif unique en France : tous les bénéficiaires du revenu de solidarité active (RSA) sont invités à s’investir dans une association de leur choix. Une initiative qui ravit la poignée de bénévoles qui ont franchi le pas. Après des années d’inactivité, ils voient là une chance de retour à l’emploi.

      La délicate odeur de lavande qui s’échappe du bidon de savon. Les pigments subtils qui vibrent au soleil, sur le mur fraîchement repeint. « Terre de Sienne », « Ombre naturelle », « Noir de vigne »… les jolis noms sur les bocaux. C’est « pour tout cela » que Dalila, sans emploi depuis 2010, aime venir à la bricothèque des Érables le mardi après-midi. Et aussi parce qu’on y apprend à poser une tringle, tapisser sa chambre et qu’« on y rencontre plein de gens »… Au RSA depuis une grave maladie, la quadragénaire divorcée est bénévole régulière dans cette association de Romans-sur-Isère. « Ça lui fait énormément de bien, constate Bénédicte Morin, l’animatrice technique. Et nous, nous sommes ravis de tant de bonne volonté. » Ce « gagnant-gagnant social », le président (LR) du conseil départemental de la Drôme Patrick Labaune souhaite l’étendre à tout le département. En septembre 2015, il a lancé un dispositif unique en France : tous les bénéficiaires du RSA sont désormais invités à s’investir dans une association de leur choix. Même si l’expérience démarre doucement, elle a déjà contribué à changer des vies.

      Des associations qui manquent de bénévoles, des chômeurs de longue durée qui sombrent dans la déprime… Pourquoi ceux qui bénéficient de la solidarité départementale ne pourraient-ils pas œuvrer eux aussi pour la collectivité ? « Pour [l’association], votre présence active sera une aide précieuse, a donc écrit Patrick Labaune à tous les allocataires du RSA drômois. Vous, vous pourrez acquérir ou développer ...

      … et boum ! le #paywall vient interrompre cette belle histoire.

  • Piscine et transport de déchets nucléaires : ça risque gros
    https://www.crashdebug.fr/actualites-france/14523-piscine-et-transport-de-dechets-nucleaires-ca-risque-gros

    Cet article est le troisième d’une série de quatre que Reporterre consacre au stockage des déchets radioactifs en « piscine ». Mardi 13 février, nous avons révélé la volonté d’EDF de construire un stockage géant de déchets nucléaires à Belleville-sur-Loire (Cher), mercredi nous avons expliqué pourquoi les piscines de La Hague allaient déborder

    .

    Le stockage des déchets radioactifs en « piscines » est excessivement dangereux : risque de brèche, d’attaque, dangerosité des transports, etc. La France est un des rares pays à n’avoir pas opté pour l’entreposage à sec, bien plus sûr.

    Les piscines d’entreposage de combustible usé de La Hague sont proches de la saturation ? Construisons-en une nouvelle à Belleville-sur-Loire ! Ce raisonnement des nucléaristes semble frappé au coin du bon sens ; mais il est ultra risqué. « Si (...)

    http://www.global-chance.org/IMG/pdf/JCZ-PiscinesLaHague-081211.pdf
    http://www.wise-paris.org/francais/nosbriefings_pdf/010926BriefNRA-fr.pdf
    http://www.sa.areva.com/FR/actualites-5379/le-point-sur-la-surete-de-l-usine-de-la-hague-face-au-risque-de-chute-d-av
    http://www.owni.fr/2012/05/02/greenpeace-survole-la-hague-nucleaire-atomique/index.html
    https://www.greenpeace.fr/survols-de-centrales-nucleaires-saga-continue
    https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/l-interview-politique/centrales-nucleaires-cazeneuve-veut-neutraliser-les-drones_1768109.html
    https://www.lesechos.fr/amp/67/2121667.php
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/moselle/thionville/proces-intrusion-greenpeace-cattenom-est-reporte-au-27-
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/02/04/01016-20150204ARTFIG00297-l-intrusion-dans-une-centrale-nucleaire-sera-plus
    http://www.greenpeace.fr/resume-rapport-securite-reacteurs-nucleaires-2017
    https://www.greenpeace.fr/espace-presse/action-greenpeace-france-etincelles-a-cattenom-denoncer-vulnerabilite
    https://www.edf.fr/sites/default/files/contrib/groupe-edf/producteur-industriel/nucleaire/Notes%20d%27information/NOTE%20TRANS%20COMB%2015.pdf
    http://www.irsn.fr/FR/connaissances/Installations_nucleaires/transport/transport-matiere-radioactive/Documents/irsn_livret_transport_matieres_radioactives.pdf
    https://www.greenpeace.fr/france-sillonnee-convois-nucleaires
    http://www-pub.iaea.org/MTCD/publications/PDF/Pub1225F_web.pdf
    https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000020796240
    http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/trains_italiens/risques_transport.html
    https://www.youtube.com/watch?v=Y9dtpRL5L9M


    https://www.defense.gouv.fr/gendarmerie/actualites/creation-du-commandement-specialise-pour-la-securite-nucleaire-cossen
    https://www.legifrance.gouv.fr/eli/decret/2017/4/20/INTJ1702733D/jo/texte
    https://www.interieur.gouv.fr/content/download/94398/737095/file/plan-action-contre-radicalisation.pdf
    https://www.enviscope.com/energie/nucleaire/etats-unis-areva-remporte-un-contrat-pour-lentreposage-a-sec-de-dechets-nucleaires/36296
    https://www.boursier.com/actions/actualites/news/areva-contrats-pour-la-fourniture-de-solutions-d-entreposage-de-combustibl