Glo Is there any way to get rid of the kobo account during the first startup

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  • Notes sur le Kobo Glo, pour mémoire.

    Vu que mon sony reader pocket a mystérieusement disparu (volé, perdu, égaré ?) j’ai opté à reculons pour un Kobo Glo, au lieu d’un autre sony reader, à cause de l’option retro-éclairage. Et comme prévu, le Kobo n’arrive pas à la cheville des lecteurs sony, (j’ai pas d’actions de la firme japonaise). Sauf qu’avec les reader sony, impossible de lire dans le noir et d’assurer la paix des ménages.

    Résultat, une heure et des brouettes pour que le Kobo fasse à peu près ce que je veux. Inscription obligatoire à Kobotruc pour pouvoir activer le lecteur, super reloud moi qui ait fuit le kindle, argh. Donc modification des fichiers de config pour 1/ virer le logo affreux qui sert d’écran de veille 2/ gérer les bouquins via Calibre 3/ne pas avoir à être connecté à leur plateforme pète-couille. Pff...

    Virer le logo beurk
    Afficher les fichiers cachés. Aller dans le répertoire .kobo et ouvrir le fichier affilate.conf. Retirer la mention affiliate=xxx. Et hop, plus de logo mais la couverture du livre en cours de lecture.
    Gérer les bouquins avec Calibre Merci au tutoriel de ebooksgratuits.com
    http://www.ebooksgratuits.com/divers/test_kobo_glo.html
    utiliser le lecteur « sans compte » (un chouille plus touchy)
    http://www.mobileread.com/forums/showthread.php?s=729b1d44e0df6a958411893e7f65ea6f&p=2383345#post2383345

    Les dernières générations de lecteurs intègrent le wifi, les réseaux sociaux etc... ce qui ne me sert absolument à rien. Rendez-moi mon Pocket reader !

    #reader #ebooks

    • J’ai un #kobo mini dont je suis très contente, même s’il m’a fallu aussi faire toutes ces opérations pour pouvoir m’en servir tranquillement. Le wifi est pratique pour pouvoir initialiser le bousin sans passer par Windows. Sinon, comme toi, j’utilise Calibre. Mon soucis, c’est plutôt la prolifération des DRM qui m’empêche d’acheter une grande partie de la production actuelle et non parlons pas de la misère des catalogues sur les ouvrages un peu pointus (en gros, tout ce qui n’est pas roman grand public).
      Après, j’avais essayé un Sony en magasin et j’avais beaucoup aimé la sensibilité de son écran, là où le Kobo est un chouia plus poussif.
      Après, pour avoir de tas de livres dans la poche, c’est vachement bien.

      Je me demandais si les .mobi d’Amazon étaient facilement convertissables en .epub par Calibre et s’ils ne sont pas moins plombés par les DRM que les .epub natifs.

    • Question : pas trop galéré pour changer l’email de connexion ?

      Sinon, ce qui manque au Kobo ainsi kitté : des boutons !

      Pour les .mobi d’amazon, oui, cela fonctionne. J’ai du à mon corps défendant en acheter un ou deux (textes théoriques en anglais) et j’ai pu les adapter du temps de mon reader pocket chéri.

      On ne reviendra effectivement pas sur la pauvreté des catalogues en français, le prix de certains éditeurs et surtout la mauvaise qualité des fichiers epub ! Certains utilisateurs vont jusqu’à les refaire pour pouvoir lire convenablement.

      Pour les achats, j’essaye me cantonner aux éditeurs sans #drm ou qui se bidouillent.

    • Les éditeurs de livres ont la même politique que les éditeurs de musique et de films avant eux : ils veulent que rien ne bouge, qu’on surflique les consommateurs en ne développant surtout pas une offre légale digne de ce nom. Résultat : leurs ventes s’effondrent et ils disent que c’est la faute aux pirates.
      Personnellement, je ne vais pas acheter un livre que je n’ai pas la possibilité de lire. Je tente de mettre la pression sur les auteurs, pour qu’ils fassent chier leurs éditeurs, mais là aussi, on est dans un modèle timoré et dépassé.

      De toute manière, sorti de quelques maisons dignes et indépendantes (genre l’Atalante qui a un super catalogue et s’est publiquement prononcé contre les DRM), tout le reste de la profession est un gang de requins indignes. Je bosse sur un truc. Si j’arrive au bout, je vais m’auto-éditer chez Lulu.com, parce que là, je reste totalement maîtresse de mon œuvre et de son devenir, de sa distribution. Si je décide de faire le ebook sans #DRM, personne ne va me péter les couilles en en mettant quand même.

    • Le problème de l’auto-édition, c’est le travail du texte, la distribution et tous les aspects commerciaux. Je crois que se regrouper pour faire des petites maisons d’édition et mutualiser les forces (editing, corrections, distribution, financement etc...) me semble quand même plus judicieux. J’ai des contacts qui ont édité sur lulu, avec déjà un public et des gens qui attendaient les livres. Ils ont quand même du se taper des tournées de libraires, faire des dépôts, avancer des fonds à perte. Et c’était des livres, c’est à dire des ouvrages lisibles, avec du travail sur le texte, sur les données etc... L’édition numérique et le print-on-demand ont de l’avenir mais je crois qu’il faut quand même derrière une mutualisation de forces de travail pour que le résultat soit lisible. Combien de trucs meurent chez l’Harmattan parce qu’ils publient des thèses telles quelles, c’est à dire des textes pas faits pour être lus :D. Financer des publications, c’est pas le problème, même l’impression est devenue accessible.

    • Avec Lulu, tu te tapes tout le boulot et, effectivement, il vaut mieux construire de petites équipes de soutient, ce serait-ce que pour la relecture. Cela dit, je préfère avoir du boulot en plus que de laisser l’essentiel de la rémunération à un éditeur que je soupçonne de plus en plus de ne plus vraiment faire correctement son boulot, le tout, en cédant les droits, avec un bandeau sur les yeux.

      Pour mon premier bouquin, je n’ai même pas cherché un éditeur. Ça me pétait les couilles veugra de devoir gratter à la porte de gens qui préféreront toujours publier un monument de conneries et de banalités gratté au kilomètre par un nègre précaire pour le compte d’une célébrité de la la télé dont la renommée n’a d’égale que la vacuité intellectuelle. J’aurais eu l’impression de négocier avec Al Capone, quelque part.
      Tandis que là, j’ai été maître du projet de bout en bout, j’ai obtenu de l’aide pour la couverture, la relecture et j’ai pu faire mes propres choix pour la mise en page.
      Ensuite, j’ai pu tirer les leçons de ce premier essai et je pense que je ferai plus court et moins cher.