DH.be - C’est du direct !

http://www.dhnet.be

  • Invité à retrouver un job après... son décès
    http://www.lessentiel.lu/fr/news/grande_region/story/invite-a-retrouver-un-job-apres-son-deces-25007827

    LIBRAMONT - Déjà touchée par le décès de leur fils de 19 ans, une famille originaire de la province de Luxembourg a souffert du manque d’humanité d’une administration.

    Les faits ont eu lieu à une vingtaine de kilomètres de la frontière luxembourgeoise, dans le petit village de Tillet, situé dans la commune belge de Sainte-Ode, en province de Luxembourg. Selon la DH http://www.dhnet.be/regions/luxembourg/des-parents-sous-le-choc-apres-une-bourde-du-forem-un-courrier-envoye-a-notre- qui rapporte cette histoire dans son édition de ce jeudi, des parents qui venaient de perdre leurs fils, victime d’un cancer, ont reçu une lettre officielle de l’Office wallon de la formation professionnelle et de l’emploi (Forem), invitant leur garçon de 19 ans à rechercher un emploi.


    Dans ce courrier daté du 30 octobre 2018, il est bel et bien stipulé que le jeune homme a été radié de son inscription de demandeur d’emploi en raison de son décès... Deux lignes plus bas, le Forem l’invite toutefois à se réinscrire dès qu’il est à nouveau disponible, pour entrer dans un parcours de recherche d’emploi. « Cette administration a manqué d’humanité et personne ne s’est excusé au téléphone quand on les a contactés », regrette le père, qui a rendu publique cette affaire pour qu’une telle situation ne se reproduise plus.

    #ultra_violence #violence #chômage #intelligence_artificielle #guerre_aux_pauvres

  • Schaerbeek : 14 nouveaux sites équipés de caméras
    http://www.dhnet.be/regions/bruxelles/schaerbeek-14-nouveaux-sites-equipes-de-cameras-5b36070b55324d3f130fb75c

    540.000 euros ont été octroyé à la zone de police pour investir dans 17 nouvelles caméras et mieux équiper le territoire. La commune de Schaerbeek a décidé d’accorder 540.000 euros à la zone de police afin de mieux équiper son territoire en caméras. Au total, 17 nouvelles caméras permettront de surveiller 14 sites supplémentaires. Pour rappel, fin 2017, la cité des Ânes avait décidé d’engager un budget de 360.000 afin d’étendre la couverture du réseau de caméras sur l’espace public. Le conseil communal du (...)

    #CCTV #jeunesse #surveillance #vidéo-surveillance

  • Violences à Gaza : Israël convoque l’ambassadeur de Belgique après le vote de l’ONU
    La DH - belga Publié le lundi 21 mai 2018 à 18h07
    http://www.dhnet.be/actu/monde/violences-a-gaza-israel-convoque-l-ambassadeur-de-belgique-apres-le-vote-de-l-

    Israël a convoqué lundi les ambassadeurs d’Espagne, de Slovénie et de Belgique en réaction au vote de ces pays au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU pour l’envoi d’une mission d’enquête internationale sur les événements sanglants à Gaza.

    Selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères israélien, la directrice adjointe chargée de l’Europe occidentale a rencontré lundi les ambassadeurs d’Espagne et de Slovénie tandis que l’ambassadeur de Belgique sera reçu mardi.

    • Le Conseil des droits de l’homme décide la création d’une commission d’enquête sur les attaques militaires israéliennes contre les manifestations civiles palestiniennes
      GENEVA (18 mai 2018)
      http://www.ohchr.org/FR/HRBodies/HRC/Pages/NewsDetail.aspx?NewsID=23107&LangID=F

      (...) Les États suivants ont voté en faveur de la résolution (29) : Afghanistan, Afrique du Sud, Angola, Arabie Saoudite, Belgique, Brésil, Burundi, Chili, Chine, Côte d’Ivoire, Cuba, Égypte, Émirats Arabes Unis, Équateur, Espagne, Irak, Kirghizistan, Mexique, Népal, Nigeria, Pakistan, Pérou, Philippines, Qatar, République Démocratique du Congo, Sénégal, Slovénie, Tunisie et Venezuela.

      Les États suivants ont voté contre (2) : Australie et États-Unis.

      Les États suivants se sont abstenus (14) : Allemagne, Croatie, Éthiopie, Géorgie, Hongrie, Japon, Kenya, Panama, République de Corée, Royaume-Uni, Rwanda, Slovaquie, Suisse et Togo.

      Déclarations concernant le projet de résolution
      (...)
      La Belgique, s’exprimant également au nom de l’Espagne et de la Slovénie, a dit soutenir le projet de résolution et la création d’une commission d’enquête, car à leurs yeux, l’usage de la force contre ces manifestants n’était pas justifié. Les trois délégations saluent la coopération de l’État de Palestine pour parvenir à un texte équilibré, même s’ils regrettent que le texte ne fasse pas mention du droit légitime d’Israël à protéger ses frontières. Les délégations, tout en appuyant le texte, appellent le Hamas et les organisateurs de ces manifestations à faire preuve de plus responsabilité.(...)

  • « Avoir la main leste »

    Être enclin à frapper très rapidement.

    Locution signifiant qu’une personne est généralement très rapide pour infliger des gifles, des coups en guise de réprimandes . Se dit d’une mère qui gifle rapidement ses enfants, par exemple.

    via http://www.linternaute.com/expression/langue-francaise/14420/avoir-la-main-leste

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    http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/frepillon-le-coiffeur-avait-la-main-leste-sur-sa-compagne-19-04-2018-7673
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    http://www.dhnet.be/actu/faits/tribunal-charleroi-apres-54-ans-de-mariage-je-ne-l-aurais-jamais-frappee-5ab4d

    DH.be - 23/03/18 (soumis par Toxic Princess) :

    On ne sait pas où commencer tellement il y aurait de choses à dire sur cet article : le titre, qui ne prend en compte que la version de l’accusée, les euphémismes (” la main leste ”), les expression tire-larmes ( “une décision qui ne changera sans doute pas grand chose à la solitude du septuagénaire”) ou le ridicule de l’argumentaire repris tel quel par le journaliste ( “ vu la maladie de son épouse, s’est retrouvé avec toutes les tâches ménagères sur le dos “)

    via https://lesmotstuent.tumblr.com

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    Évreux. Ivre, elle frappe son concubin car elle ne trouve plus sa montre
    Dans la nuit de samedi 5 juillet 2017, vers 1h15 du matin à Evreux (Eure), les policiers sont intervenus car une femme a levé la main sur son compagnon.
    Publié le 8 Août 17 à 19:04
    .

    Samedi 5 juillet 2017, vers 1h15 du matin, les policiers ont été requis, rue du commandant Letellier, non loin du centre-ville d’Évreux (Eure).

    Sur place, les fonctionnaires ont trouvé deux concubins en train de se quereller. Mais en l’occasion, c’est la femme – une Pont-Audemérienne de 46 ans – qui a levé la main sur l’homme, un Ébroïcien âgé de 49 ans.
    Elle ne trouve plus sa montre

    Le prétexte ? La quadragénaire, à la main leste , ne retrouvait plus sa montre. Mais avec un taux d’alcoolémie de 1,08 gr./l., difficile d’avoir les idées claires.

    Conduite au commissariat d’Évreux, la femme a été entendue, puis remise en liberté, son « ami » refusant de porter plainte. Selon les policiers, elle serait coutumière du fait…

    https://actu.fr/normandie/evreux_27229/evreux-ivre-frappe-concubin-elle-ne-trouve-plus-montre_11476105.html
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    Manifestement ca peu servir aussi pour décrir des agressions sexuelles

    « Le beauf a eu la main leste »

    Publié le 09/03/2013 à 05:25 (ca date un peu mais comme c’est Mis à jour le 01/06/2017 à 18:47 c’est finallement toujours Ok pour lanouvellerépublique.fr

    https://www.lanouvellerepublique.fr/actu/le-beauf-a-eu-la-main-leste

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    Ca sert aussi pour les pyromanne ...

    Il avait mis le feu à la minuterie jouxtant l’appartement d’une voisine. Ceci pour un différend qui les opposait. Il a été écroué vendredi et placé sous mandat de dépôt samedi.
    Le jeune homme de 22 ans à la main leste a reconnu cinq départs de feu dans des immeubles du grand Lyon et l’incendie d’une grange en Ardèche. D’après le Procureur, « la question qui se pose est le maintien en liberté ou pas ». Une analyse psychiatrique sera très certainement demandée.

    https://www.lyoncapitale.fr/actualite/faits-divers-du-jour-un-pyromane-devant-le-parquet

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    Et en cherchent « lever la main sur » je suis tombé sur ce bon graçon, trop gentil comme dit lanouvellerépublique.fr

    La nouvelle république je sais pas ce qu’est ce canard mais c’est vraiment grave la manière dont sont relaté les violences faites aux femmes.

    Le coup de folie d’un garçon ordinaire

    Un gars ben ordinaire, comme dans la chanson de Robert Charlebois : Gilles Guillou, 34 ans, est décrit par son entourage comme un garçon gentil, serviable, quoiqu’un peu réservé et introverti.
    Bref, le bon copain sympa qui ne vous fait pas d’ombre. Avec Amélie, il a formé, pendant trois ans, un couple ordinaire, aux rêves ordinaires : une petite maison et des enfants. Une histoire d’amour qui n’aurait sûrement pas trouvé sa place dans la rubrique judiciaire si…
    Si Gilles n’avait pas été, depuis l’adolescence, d’une jalousie amoureuse maladive. Jalousie qui s’exacerbait dès qu’il buvait. Et il s’alcoolisait depuis l’adolescence. « Quand il avait bu, ce n’était plus le même », a confié une ancienne petite amie.

    Plus le même, mais pas au point de lever la main sur Amélie : « C’était de la violence verbale. »Jusqu’au soir du 28 décembre 2012. Amélie avait signifié la rupture à Gilles quelques jours auparavant. Motif : il n’avait rien fait pour soigner son alcoolisme et sa jalousie.
    Ce soir-là, Gilles faisait ses cartons, opération douloureuse. Alors, il a bu : deux tiers d’une bouteille de whisky. Et, sous un prétexte futile, il a commencé à « dérouiller » celle qu’il aimait : coups de poings, coups de pieds ; puis il est parti dans la cuisine pour s’emparer d’un couteau et le placer sous la gorge d’Amélie. Dans la rixe, il a porté un coup au cou d’une profondeur de 1,5 cm.

    Ces faits, Gilles les a décrits dans le détail lors de sa garde à vue. Mais, hier, malgré les questions insistantes de la présidente Isabelle Rimbault, sa mémoire est lacunaire. Il préfère exprimer son repentir : « J’ai honte de ce que j’ai fait, ça ne me ressemble pas, j’ai d’immenses regrets envers Amélie et sa famille. »
    En prison, il a commencé des thérapies contre son alcoolisme et sur lui-même. Il n’empêche que le garçon ordinaire encourt la réclusion à perpétuité. Car, si, au début, on enquêtait en flagrance sur un délit de violence avec arme (sans intention de donner la mort), l’instruction a été ouverte pour un crime de tentative d’homicide.
    Parce que la victime dit avoir vu sa dernière heure arriver, parce que le coup de couteau aurait pu toucher une fonction vitale. Mais Gilles soutient depuis le début qu’il ne s’agissait que d’effrayer Amélie.
    On est là sur le fil du rasoir, ou plutôt du couteau que Gilles est allé chercher : pour faire peur ou pour tuer ?

  • Comment et où dépenser vos écochèques ?
    https://www.crashdebug.fr/international/13912-comment-et-ou-depenser-vos-ecocheques

    BELGIQUE :...veut généraliser les tickets-repas/éco-chèques = fin du cash, contrôle total

    https://www.rtbf.be/info/economie/detail_comment-et-ou-depenser-vos-ecocheques?id=9673540

    http://www.dhnet.be/conso/consommation/utiliser-les-eco-cheques-ce-n-est-pas-si-difficile-599da76fcd70d65d258ddbf8

    = copie USA...Grèce ticket contre salaire...fin du cash...tout numérique.

    1...On copie les coupons alimentaires US et la Grèce où les salariés sont payés en tickets-repas/tickets-achat car les sociétés n’ont pas d’argent (piece-billet) ou sont en quasi-faillite, ce qui évite aussi le paiement des cotisations sociales, le problème est que les salariés ne peuvent pas payer leur loyer avec ça

    http://www.francetvinfo.fr/monde/grece/grece-les-salaries-payes-avec-des-coupons_2014994.html GRECE (...)

  • La révolution du bikini : de la grandeur à la misère du féminisme en Algérie (Al-Akhbar.com) - Le-Blog-Sam-La-Touch.over-blog.com
    http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/2017/07/la-revolution-du-bikini-de-la-grandeur-a-la-misere-d

    La confrontation sur les réseaux sociaux entre un courant « conservateur » et un groupe de militantes prônant la défense des libertés individuelles au sujet du port du bikini à la plage, ne s’est pas éteinte. Les instigatrices anonymes de la campagne de mobilisation des femmes en bikini ont redoublé de zèle depuis le 5 juillet dernier, date de la commémoration de l’indépendance, en organisant plusieurs sorties dans des stations balnéaires à Annaba et Oran. Le groupe Facebook où sont discutés et organisés les rendez-vous de ces « baignades politiques » compterait à présent plus de 3000 participantes. Mais en dehors d’une couverture médiatique dans la presse étrangère et les débats houleux sur internet, le discours contre-productif de ces « féministes » est loin de recevoir un écho positif en Algérie.

    Dans un article publié par le magazine féminin français Grazia, l’une des instigatrices de la campagne, « Sarah, 27 ans », explique que pour avoir un impact sur la société algérienne, il faut habituer « des milliers de voyeurs à ce qu’ils considèrent encore comme étant interdit » tout en précisant : « Nous ne voulons pas changer leur vision des choses, mais simplement leur inculquer la tolérance et l’acceptation de l’autre ». Cette dernière phrase illustre à elle seule le non-sens politique d’une démarche présentée comme telle.

    • Le harcèlement sexuel des femmes dans l’espace publique est un grave probleme en Algérie. il y a regulierment des appels de femmes algeriennes pour qu’on leur fiche la paix. Et c’est pas que des femens.

      Il y a des femmes de droite aussi en Algérie, des femmes qui ont du temps et de l’énergie pour faire obstacle à celles qui ont envie de bronzé sur la plage. Ca n’enlève rien aux femmes pudiques que d’autres ne le soient pas. La cause de ces femmes c’est de pourrir la vie à celles qui ne se soumettent pas. Qu’est ce qui empêche ces religieuses de mettre leur voile de bain ? Qu’est ce que Ca peu leur faire que des Femens, des algeriennes occidentalisées, des touristes ou que sais-je se baigné en bikini ? Ca les privent de rien mais elles ce qu’elles demandent Ca prive toutes les femmes de libertés.

      En fait ce que reproche cette femme aux feministes c’est d’être contreproductive, car elle qui n’est pas feministe préférait qu’on s’occupe du droit d’accès des femmes à l’espace publique apres le grand soir, une fois que son calandrier politique à elle sera achevé. C’est pas une femme de droite, c’est une gauchiste antifeministe qui prefere qu’on soit tolérante avec la cohercission des femmes du moment que les oppresseurs appartienne à sa classe.

      Les femmes avant de porter un bikini appartiennent d’abord à des classes sociales qui déterminent leurs intérêts. Réduire le féminisme à des questions de forme, « tenue vestimentaire », ou de sémantique, fait naître un sentiment d’appartenance sexuée qui dépasserait l’appartenance de classe, seul véritable danger pour l’oligarchie ultra-libérale.

    • Je ne pense pas que l’on puisse parler d’algériennes occidentalisée en ce qui concerne le bikini. Aussi bien en Algérie qu’au Maroc ou en Tunisie le maillot deux ou une pièce se porte depuis des années et des années. Aucune occidentalisation. Pour etre allé au Maroc début années 80 les femmes en voile étaient plus qu’ultra minoritaires.

      Un groupe de sœurs, venues de Constantine, sont en bikini. Une révolution ? Un acte de résistance ? Elles ne sont pas de cet avis. Elles se disent étonnées de l’ampleur qu’a eu cette polémique du bikini dans la presse internationale. Pour l’aînée, « le cadre est agréable ici. On est d’ailleurs très satisfaites et certainement pas gênées de porter le bikini. On n’a jamais été embêtée, ça fait parti de nos habitudes depuis longtemps ». La plus jeune renchérit : « Ce n’est pas une révolution. Cette polémique ne devrait même pas exister. Pour nous, ça fait des années et ça n’a jamais posé de problèmes et ça ne changera pas ».

      Un peu plus loin, un jeune homme est attablé sous un parasol avec deux jeunes filles. « Je ne suis pas de Skikda, je viens d’Annaba. J’avais envie avec mes amies de changer de paysage. Pour votre question, je pense que ça a toujours existé. Des femmes en deux pièces, c’est une fausse polémique. Le nombre de femme en bikini à Annaba est plus important. C’est vrai que l’on sent comme une sorte de révolte, mais pour moi c’est un retour à la normale. Par contre ce qui n’est pas normal, c’est de nager avec un tas de vêtement, une agression contre la nature », explique-t-il.

    • Le tremblement de terre qui a secoué vendredi Alger et ses environs a provoqué une véritable angoisse collective. Le macabre bilan de 6 personnes décédées a suffi pour que les fanatiques religieux algériens lancent une véritable offensive contre « les mœurs libérées » de certains de leurs compatriotes.

      Sur les réseaux sociaux, des esprits tordus se présentant comme des experts de l’interprétation du Saint Coran n’ont pas hésité à établir le lien entre « le bikini, les femmes qui se dénudent sur nos plages » et le « tremblement de terre ». Juste après la forte secousse qui a effrayé la population d’Alger, des pages Facebook ont été consacrées à ce tremblement de terre qui intervient juste après l’Aïd El-Fitr. Certains commentateurs s’en prennent directement aux « mœurs légères » de ces Algériens et Algériennes qui veulent vivre à l’Occidentale. Au lendemain du tremblement qui ne s’est pas soldé par des dégâts matériels considérables, le quotidien arabophone et très conservateur, Echorouk publie un véritable pamphlet contre le bikini sur les plages algériennes.

      http://www.algerie-focus.com/2014/08/du-bikini-au-tremblement-de-terre-le-nimporte-quoi-des-religieux-fana
      Mon impression est qu’on transforme une réaction aux discours d’une secte religieuse à un combat contre la société algérienne.

    • Je ne pense pas que l’on puisse parler d’algériennes occidentalisée en ce qui concerne le bikini. Aussi bien en Algérie qu’au Maroc ou en Tunisie le maillot deux ou une pièce se porte depuis des années et des années. Aucune occidentalisation. Pour être allé au Maroc début années 80 les femmes en voile étaient plus qu’ultra minoritaires.

      C’est Lina Kennouche dans le texte que tu à indiqué en haut qui dit que les 3000 femmes qui revendiquent le droit de se baigner en paix en bikini sont occidentalisées elle les traite aussi de femmes superficielles et féministes contreproductives. Et elle se sert de cette prétendu occidentalisation comme argument pour décrédibilisé ces femmes en bikini.

      Je ne sais pas si les femmes en bikini Algerienne ou Marocaines sont occidentalisées ou pas ce que je veux dire c’est que même si elles l’étaient, ca ne change pas qu’on doit leur ficher la paix contrairement à ce que fait cette Lina Kennouche qui dépense son energie à faire obstacle à la liberté d’autres femmes.

      Par rapport à ca

      Mon impression est qu’on transforme une réaction aux discours d’une secte religieuse à un combat contre la société algérienne.

      J’avoue ne pas comprendre ce que tu veux dire. De quelle secte parle tu ? L’islam ?
      Par rapport à la société algerienne elle est tout de même particulièrement misogyne, dans ses lois et dans ses moeurs et se sert de l’islam pour justifier les nombreuses discriminations qui sont faites aux femmes.

      Et pout ta demande de parallèle avec les femmes à Istanbul je ne sais pas exactement à quoi tu fait référence.

    • @mad_meg au delà d’un certain seuil j’appelle une religion une secte ca vaut aussi pour les cathos traditionalistes.
      c’est une posture je le reconnais.
      Istanbul http://www.dhnet.be/dernieres-depeches/belga/turquie-manifestation-de-femmes-a-istanbul-defendant-leur-choix-vestimentaire-
      La société francaise aussi, voire les dizaines de posts sur le harcèlement de rue, la disparition des subventions, etc, etc.

      @aude_v non j’ai fait très attention quand au choix du sexe de l’auteur_e.

    • @mad_meg au delà d’un certain seuil j’appelle une religion une secte ca vaut aussi pour les cathos traditionalistes.
      c’est une posture je le reconnais.

      Ok je pratique aussi parfois et j’avais fini par comprendre ce que tu voulais dire.
      Je me joint à @aude_v pour trouvé bien que tu privilégie les points de vues de femmes. Le point de vue masculin était justement indésirable sur ces questions vu que c’est l’expression de ce point de vue qui entrave les libertés des femmes.

  • Près de 300 caméras sur la zone Bruxelles-Ouest d’ici fin 2017
    http://www.dhnet.be/regions/bruxelles/pres-de-300-cameras-sur-la-zone-bruxelles-ouest-d-ici-fin-2017-58a4c0e3cd702bc

    À l’instar de Berchem, les cinq communes de la zone de police multiplient les projets de caméras de surveillance. "On a décidé d’investir dans un système de caméras. Les modèles actuels ont été ou seront rénovés, et d’autres seront installés. Cela se fait en collaboration avec la zone de police Bruxelles-Ouest, les autres communes de la zone (NDLR : Molenbeek, Koekelberg, Jette et Ganshoren), et le CIRB (NDLR : Centre d’Informatique pour la Région bruxelloise). On avait sept caméras sur le territoire de (...)

    #CCTV #vidéo-surveillance #surveillance #voisinage

  • L’échange en ligne d’images de surveillance « pas évident sur le plan légal »
    http://www.dhnet.be/dernieres-depeches/belga/l-echange-en-ligne-d-images-de-surveillance-pas-evident-sur-le-plan-legal-5840

    Deux entrepreneurs belges ont développé un site internet permettant aux magasins d’échanger les images de leurs caméras de surveillance, l’objectif étant de mieux traquer les voleurs. Mais pour le ministre de l’Intérieur Jan Jambon (N-VA), une telle initiative n’est pas évidente au regard de la loi sur les caméras de surveillance et de la loi sur la sécurité privée.Le secrétaire d’Etat à la Protection de la vie privée Philippe De Backer est du même avis. Comme Jan Jambon, il rappelle que la loi sur les (...)

    #CCTV #vidéo-surveillance

  • Beaucoup ont cru à une #Belgique rebelle.
    Que nenni, c’était juste pour faire monter les enchères des oubliés de la petite enveloppe.
    Voilà pourquoi, dans un #gouvernement, il ne faut pas avoir des #politicards de métier.
    Tout ou tard, ils en voudront plus et se vendront (et nous par la même occasion).
    Pour les #Lobbys, moins la cible ne bouge et plus ils peuvent échafauder une stratégie d’approche

    #corruption #ceta #tafta

    http://www.dhnet.be/actu/belgique/les-etats-membres-approuvent-le-ceta-le-sommet-ue-canada-de-signature-aura-lie

  • Bruxelles : Explosion du nombre de caméras de surveillance
    http://www.dhnet.be/regions/bruxelles/bruxelles-explosion-du-nombre-de-cameras-de-surveillance-57fb2c41cd7004c05d085

    Les espaces publics bruxellois sont surveillés par 1.365 caméras, concentrées essentiellement dans le centre-ville. Introduite dans la capitale en 1990, la vidéosurveillance est devenue monnaie courante. Les caméras, installées par les zones de police, les communes mais aussi par le centre de gestion de la mobilité, Mobiris, ont pris une place de plus en plus importante ces cinq dernières années. C’est ce qui ressort d’une étude publiée par la revue Brussels Studies sur la répartition géographique de (...)

    #CCTV #vidéo-surveillance

  • Mouscron : de 50 à 88 caméras de vidéosurveillance
    http://www.dhnet.be/regions/tournai-ath-mouscron/mouscron-de-50-a-88-cameras-de-videosurveillance-5728cb8835708ea2d5238618

    D’ici le 1er septembre, les nouvelles caméras devraient être opérationnelles. Cela fait de très nombreux mois qu’un dossier est ouvert sur le bureau du chef de zone de la police de Mouscron, Jean-Michel Joseph, ainsi que sur celui du bourgmestre mouscronnois. Ce dossier concerne la sécurité des terres mouscronnoises et plus particulièrement l’augmentation du nombre de caméras de surveillance dans la cité des Hurlus. Il a tout d’abord fallu passer des marchés, cibler les besoins de la police, les (...)

    #CCTV #surveillance

  • Antiterrorisme : la destruction du renseignement

    "La DGSI, et même le renseignement extérieur, semblent sourds et aveugles à ce qui se trame au Moyen-Orient en général – et en Syrie en particulier. Et même impuissants à exploiter les informations transmises par d’autres centrales. Les services français avaient pourtant bénéficié, avant les attentats du vendredi 13 décembre 2015, d’« informations que plusieurs services de renseignement arabes ont transmises à leurs homologues occidentaux », et selon lesquelles « six capitales ont été ciblées en priorité par l’État islamique : Paris, Londres, Moscou, Le Caire, Riyad et Beyrouth ». Selon ces renseignements, plusieurs « émirs » étaient chargés de superviser des opérations dans chaque zone visée et disposaient d’une large autonomie opérationnelle. Ils ne répondaient qu’à Abou Ali al-Anbari, le chef du Conseil de sécurité et de renseignement de l’État islamique.

    Selon les mêmes informateurs, Abdelhamid Abaaoud était chargé d’organiser des attentats terroristes en France, en Espagne et en Italie. Un autre « émir » terroriste, d’origine pakistanaise, serait chargé de la Grande-Bretagne. Cette stratégie de la terreur aurait été décidée lors d’une réunion tenue autour d’Abou Bakr al-Baghdadi, fin juin 2015, à Mossoul. Dès lors, les opérations terroristes en Europe devaient être menées par des djihadistes aguerris en Irak ou en Syrie, placés directement sous les ordres de cadres du Conseil de sécurité et de renseignement de l’État islamique et non plus par des groupes spontanés ou autres « loups solitaires », comme jusqu’en janvier 2015.

    De même, le lundi 16 novembre 2015, un responsable gouvernemental turc affirmait, on l’a dit, que la police de son pays avait alerté la police française par deux fois, en décembre 2014 et en juin 2015, à propos d’Ismaël Mostefaï, l’un des terroristes kamikazes du Bataclan, mais qu’elle n’avait reçu aucun retour. Pourtant, son cas était particulièrement inquiétant : « Les services secrets savaient dès 2009 qu’Ismaël Mostefaï, l’un des kamikazes du Bataclan, s’était radicalisé à Chartres, dans un groupe dirigé par un vétéran du djihad, cerveau d’un attentat au Maroc en 1994. Au printemps 2014, la DGSI a perdu la trace de Mostefaï après l’avoir repéré à Chartres, quelques mois après son probable retour de Syrie. Il avait franchi la frontière turque le même jour qu’un autre kamikaze du Bataclan, Samy Amimour. »

    Les services français auraient également reçu des signalements du Département du renseignement et de la sécurité (DRS), le service algérien, à propos d’Ismaël Mostefaï. Le DRS aurait repéré le futur tueur du Bataclan et l’aurait surveillé fin 2014. Le service algérien avait en effet découvert qu’il était membre d’une cellule de recrutement de djihadistes pour la Syrie, au nom de laquelle il aurait été chargé de transporter des messages, de l’argent et des faux documents. Par ailleurs, le site d’information Mondafrique évoquait, en novembre 2015, un signalement du DRS à la DGSE, en octobre. Mais, une fois encore, ces informations n’auraient pas été sérieusement exploitées.

    Enfin, la communication entre les différents services français de renseignement et de police semble avoir été catastrophique jusqu’au bout. À l’automne 2015, plusieurs responsables de la lutte antiterroriste se plaignaient ainsi de la rétention d’informations pratiquée par la DGSI, laquelle avait visiblement le plus grand mal à partager ses fiches « S » (atteinte à la sûreté de l’État). La DRPP, la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire, mais aussi la DNRED et Tracfin s’en plaignaient clairement, surtout depuis les attentats de janvier 2015. Même la DGSE semblait souffrir de cette rétention d’informations, alors qu’une cellule de liaison entre ce service de renseignement extérieur et le renseignement intérieur était logée au siège de la DGSI, à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine).

    Et pourtant…

    « J’ai acquis la conviction que les hommes de Daech ont l’ambition et les moyens de nous atteindre beaucoup plus durement en organisant des actions d’ampleur, incomparables à celles menées jusqu’ici. Je le dis en tant que technicien : les jours les plus sombres sont devant nous », prévenait le juge d’instruction Marc Trévidic, le 30 septembre 2015, dans Paris Match, alors qu’il quittait le pôle judiciaire antiterroriste, après dix ans d’enquêtes. Le vendredi 13 novembre 2015, son avertissement devint prédiction.

    Et pourtant, surtout depuis les tueries de Mohamed Merah, en mars 2012, les gouvernements ont multiplié les réformes du dispositif judiciaire antiterroriste. Pas moins de quatre lois ont été votées en quatre ans, et les décrets d’application de la plus récente, la loi sur le renseignement promulguée le 24 juillet 2015, ont été publiés à peine plus d’un mois avant les attentats de novembre 2015. En réponse à la tentative de fusillade du 21 août 2015 dans le Thalys Amsterdam-Paris, l’Assemblée nationale devait même commencer, mardi 17 novembre 2015, l’examen d’un nouveau projet de loi élargissant les pouvoirs de fouille des agents SNCF, RATP et des policiers dans les transports. Vendredi 13 novembre, Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, présentait un plan de lutte contre les filières d’armement du banditisme et du terrorisme, à la préfecture des Hauts-de-Seine.

    Et pourtant, encore, la loi relative au renseignement promulguée le 24 juillet 2015 avait considérablement étendu les pouvoirs des services de renseignement, en légalisant des techniques de surveillance très intrusives, comme la sonorisation de locaux et de domiciles, les IMSI-catchers, ces valises qui imitent le fonctionnement d’une antenne-relais sur laquelle se connectent donc les téléphones mobiles proches et qui permettent l’interception de conversations…

    Les moyens financiers et en effectifs des services du renseignement avaient également été renforcés. Transformée en DGSI, en juin 2014, et placée directement sous la tutelle du ministre de l’Intérieur, la DCRI s’était vu promettre 432 postes supplémentaires ainsi qu’un budget supplémentaire de fonctionnement de 12 millions d’euros par an. Le plan antiterroriste annoncé par le Premier ministre Manuel Valls, en janvier 2015, y ajoutait un renfort de 1 400 policiers et gendarmes supplémentaires sur trois ans, dont 1 100 pour le renseignement intérieur…

    Et pourtant, enfin, en juillet, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve avait créé et placé sous son contrôle direct un état-major opérationnel de prévention du terrorisme (EMOPT) censé coordonner les différents services et éviter que de nouveaux djihadistes ne passent entre les mailles du filet du renseignement. L’EMOPT « est chargé de piloter la totalité du dispositif de détection et de suivi des individus radicalisés susceptibles de commettre un acte terroriste », soulignait Bernard Cazeneuve, le 29 octobre 2015, à l’Assemblée nationale.

    « Sponsors » de l’État islamique

    Dans son entretien avec Frédéric Helbert, le juge d’instruction antiterroriste Marc Trévidic insistait : « La menace est à un niveau maximal, jamais atteint jusqu’alors. D’abord, nous sommes devenus pour l’État islamique l’ennemi numéro un. La France est la cible principale d’une armée de terroristes aux moyens illimités. » Or, la question des « moyens illimités » du terrorisme islamiste est le tabou par excellence de la communication politique. Un tabou que les vrais experts du renseignement n’ont parfois plus le cœur de respecter.

    Alain Chouet a été le chef du service de renseignement de sécurité de la DGSE, de 2000 à 2002, après avoir été en poste à Beyrouth, Damas, Rabat, etc. Au lendemain des attentats du 13 novembre 2015, il affirmait ne pas avoir été surpris par ceux-ci : « Cela fait au moins un an que les spécialistes du renseignement agitent le drapeau pour prévenir du risque imminent d’attentat. Il faut bien comprendre que l’État islamique ayant une vraie stratégie pour se développer sur le terrain en tant qu’État, et commençant à perdre pied quand ses ressources se tarissent, opère une transition vers le terrorisme international, comme Al-Qaïda à son époque. Il s’agit pour l’État islamique de garder sa crédibilité, ses sponsors et ses soutiens. »

    À propos de ces « sponsors » et « soutiens » du terrorisme projeté par l’État islamique, Alain Chouet ne mâchait pas ses mots : « Oui, il y a les sponsors idéologiques et financiers du terrorisme. Les pétromonarchies du Golfe, qui essayent par tous les moyens – et en particulier par la diffusion de l’idéologie salafiste – d’empêcher la constitution d’un axe chiite du Liban jusqu’à l’Iran, qui ont un problème de légitimité musulmane, et qui veulent empêcher toute dérive démocratique. L’Arabie saoudite, par exemple, s’emploie depuis trente ans à distiller le message salafiste et wahhabite en Europe, à travers des écoles et des fondations, et le résultat est là aujourd’hui. » Le propos est on ne peut plus clair et net. J’y reviendrai précisément un peu plus loin.

    Comme pratiquement toutes mes autres sources au sein du renseignement, l’ex-chef du service de renseignement de sécurité de la DGSE dénonçait aussi vigoureusement la bureaucratisation du métier : « À la DGSE, aujourd’hui, il doit y avoir 4 500 à 5 000 personnes, dont 1 000 qui font de l’administratif. Le problème n’est pas tant les effectifs que la qualité et l’utilisation des effectifs, comme à la DGSI. J’ajoute qu’à la gendarmerie, il y a 80 000 personnes qui, à une époque, quadrillaient le territoire et parlaient à tout le monde. On les a reconvertis en percepteurs d’impôts et pères fouettards sur le bord des routes, au lieu de créer un corps spécifique, une police des routes. Du coup, le maillage territorial du renseignement et la défense opérationnelle du territoire ont été affaiblis. »

    Destruction du renseignement financier

    Mais ce qui a sans doute été le plus affaibli, pour ne pas dire tout simplement brisé, c’est le renseignement financier. Le jeudi 26 novembre 2015, Aleph me le dit, une nouvelle fois, crûment : « Lorsque les RG travaillaient sur le financement du terrorisme, ses enquêteurs tombaient aussi souvent sur d’autres malversations : évasion fiscale, financement politique illégal, corruption… Je suis convaincu que le démembrement et l’absorption des RG par la DST, lors de la création de la DCRI, en 2008, ont été voulus par Nicolas Sarkozy et ses généreux amis qui avaient beaucoup à craindre du renseignement financier. » Résultat : les arcanes du financement d’un terrorisme toujours très coûteux sont plus obscurs et impénétrables que jamais pour le renseignement français.

    Aleph confirme ainsi les analyses contenues dans un document confidentiel d’une rare sévérité, rédigé par un collectif d’officiers de la DCRI, ce « FBI à la française ». Rédigé sur 14 pages, en style parfois télégraphique, ce véritable audit du service de renseignement, mais aussi de nombreuses autres directions de la police nationale compétentes en matière de délinquance financière, a été remis le 16 février 2013 aux parlementaires du groupe de travail sur les exilés fiscaux, constitué un mois et demi plus tôt. « Avant la réforme de 2008, les renseignements généraux disposaient d’un réseau territorial de remontées d’informations économiques et financières. Ses services centraux disposaient d’un accès aux déclarations Tracfin et apportaient des éléments de travail à Tracfin. Les RG avaient mis en place un maillage au sein des employés des établissements bancaires pour faire remonter de l’information financière en amont de Tracfin et recueillir des informations non filtrées. Lors de la réforme des services de renseignement survenue en 2008, la recherche du renseignement financier a été centralisée au sein de la sous-direction en charge de la protection du patrimoine économique et financier de la DCRI… » Et dès lors, les informations recueillies sont tombées dans les oubliettes du « secret défense ».

    Aussi, la note très précise des officiers de police encourageait les élus à interroger, si possible dans le cadre d’une commission d’enquête parlementaire, les anciens et actuels patrons ou responsables de la DCRI (dont Bernard Squarcini, Gilles Gray, Éric Bellemin-Comte…), notamment celles et ceux qui étaient et sont encore chargés du renseignement économique et financier. Les auteurs du document suggéraient même aux parlementaires des questions lourdes de sens, révélant, d’une part, la surveillance étroite opérée par la DCRI sur l’organisation de la fraude fiscale internationale et dénonçant, d’autre part, la non-transmission à la justice des informations considérables recueillies lors de cette surveillance.

    Bernard Squarcini, Gilles Gray, Éric Bellemin-Comte… Dans le cadre d’une esquisse d’enquête sur la destruction du renseignement français, quelques questions sur leurs itinéraires professionnels se posent tout naturellement."

    https://blogs.mediapart.fr/antoine-peillon/blog/230316/antiterrorisme-la-destruction-du-renseignement

  • Uccle : Un squat légal pour lutter contre les logements vides - DH.be
    http://www.dhnet.be/regions/bruxelles/uccle-un-squat-legal-pour-lutter-contre-les-logements-vides-56d757793570ebb7a8

    Le nombre de logements vides en Région bruxelloise est dur à quantifier, faute d’inventaire fiable, mais on estime qu’entre 15.000 et 30.000 logements sont inoccupés. Depuis 2013, l’ASBL Communa fait partie des associations qui luttent contre cette problématique.(Permalink)

    #logement #bruxelles

  • Menace terroriste : 1.000 caméras de surveillance en plus dans les gares belges
    http://www.dhnet.be/actu/faits/menace-terroriste-1-000-cameras-de-surveillance-en-plus-dans-les-gares-belges-

    La ministre fédérale de la Mobilité Jacqueline Galant va se voir attribuer un budget de 17 millions d’euros pour procéder à la sécurisation des gares belges, au lieu des 58,5 millions d’euros qu’elle avait initialement demandés, révèle L’Echo jeudi. Ce montant servira notamment à équiper les stations ferroviaires d’un millier de caméras de surveillance. #CCTV #vidéo-surveillance #surveillance

  • [Oleksander Onyshchenko] a payé 2,5 millions d’euros à l’Etat belge - DH.be
    http://www.dhnet.be/regions/liege/l-ex-de-martina-hingis-a-paye-2-5-millions-d-euros-a-l-etat-belge-561a862e3570

    Plus de 2,5 millions d’euros. C’est le montant de la transaction payée à la justice belge, il y a quelques jours, par Oleksander Onyshchenko, l’ancien président de la Fédération ukrainienne d’équitation.

    Un dossier vieux de 8 ans qui aura vu le milliardaire être interpellé à Liège et sa girl friend de l’époque, Martina Hingis, être entendue au palais de justice de la Cité ardente. L’ancienne numéro 1 mondiale a dû s’y expliquer des relations qu’elle entretenait avec cet homme marié et le train de vie très élevé qu’il lui permettait de suivre.

    Pour les médias, tout commence en 2007 à l’aéroport de Bierset. Oleksander Onyshchenko, un richissime Ukrainien ayant fait fortune dans le gaz, est interpellé avec 200.000 € en liquide dans ses valises…

    Fou de chevaux, l’Ukrainien est propriétaire d’un splendide haras à Faimes, près de Waremme. Mais très vite, après cette acquisition, le milliardaire attire l’attention de la section financière de la police judiciaire fédérale de Liège.

    Elle découvrira que son activité équestre est aussi une couverture pour faire du blanchiment d’argent. Le haras de Les Waleffes est d’ailleurs considéré comme l’un des maillons d’un vaste réseau de blanchiment.

    https://de.wikipedia.org/wiki/Oleksandr_Onischtschenko

  • Daniel Schneidermann maintenant :

    Une mésaventure nocturne
    Daniel Schneidermann, Arret Sur Images, le 17 juin 2015
    http://www.arretsurimages.net/breves/2015-06-17/Une-mesaventure-nocturne-id18994

    J’en profite pour noter que Ulcan (ou l’un de ses amis) a donc menacé de mort Stéphane Richard, PDG d’Orange...

    #Ulcan #Orange #Daniel_Schneidermann

    Rappel :
    http://seenthis.net/messages/380425

    Le rappeur Kamelancien, solidaire avec la Palestine :
    La LDJ « tente » d’intimider le rappeur Kamelancien
    Islam et Info, le 28 juillet 2014
    http://www.islametinfo.fr/2014/07/28/exclu-la-ldj-tente-dintimider-le-rappeur-kamelancien-video

    Benoît Le Corre et Pierre Haski, journalistes à Rue89, à cause de leurs sujets sur le hacker Ulcan :
    La vengeance d’un pseudo-hacker contre Rue89 vire au tragique
    Pierre Haski , Rue89, le 14 août 2014
    http://rue89.nouvelobs.com/2014/08/14/vengeance-dun-pseudo-hacker-contre-rue89-vire-tragique-254205

    Laurent Louis, homme politique belge :
    La police débarque chez Laurent Louis à la suite d’un canular
    Belga, le 17 août 2014
    http://www.dhnet.be/actu/belgique/la-police-debarque-chez-laurent-louis-a-la-suite-d-un-canular-53f0862f3570667a

    Le joueur vidéo Bibix :
    Le joueur Bibix victime de swatting : le phénomène américain fait ses premières victimes en France
    Lauren Provost, Le HuffPost, le 11 février 2015
    http://www.huffingtonpost.fr/2015/02/11/bibix-swatting-video-stream-twitch-france-etats-unis_n_6662102.html

    Jean-Guy Greilsamer, activiste solidaire avec la Palestine :
    L’antisémitisme sioniste a encore voulu frapper ! Récit d’un après-midi très particulier.
    Jean-Guy Greilsamer, UJFP, le 5 mars 2015
    http://www.ujfp.org/spip.php?article3966

    Pessi Borell, activiste solidaire avec la Palestine :
    Témoignage de Pessi Borell de l’UJFP : une nuit très agitée
    UJFP, le 8 mars 2015
    http://www.ujfp.org/spip.php?article3979

    Bénédicte Bauret, conseillère municipale (probablement à cause de sa solidarité avec la Palestine) :
    Mantes-la-Ville : une élue d’opposition victime d’un « swatting »
    Le Parisien, le 12 Mars 2015
    http://www.leparisien.fr/yvelines-78/mantes-la-ville-une-elue-d-opposition-victime-d-un-swatting-12-03-2015-45

    Bertrand Chameroy et Enora Malagré, animateurs de télévision :
    Deux chroniqueurs de "Touche pas à mon poste" visés par des canulars
    Francetv info, le 12 mars 2015
    http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/deux-chroniqueurs-de-touche-pas-a-mon-poste-vises-par-des-canulars_8470

    Pierre Stambul, activiste solidaire avec la Palestine :
    Pierre Stambul : « Une police entre incompétence et collusion »
    Denis Sieffert, Politis, le 12 juin 2015
    http://www.politis.fr/Pierre-Stambul-Une-police-entre,31543.html

    Jean-Claude Lefort, activiste solidaire avec la Palestine :
    Intervention policière au domicile d’un ex-député pro-palestinien
    Denis Sieffert, Politis, le 10 juin 2015
    http://www.politis.fr/Intervention-policiere-au-domicile,31469.html

    #recension

  • L’écrivain espagnol #Juan_Goytisolo remporte le prix Cervantes - DH.be
    http://www.dhnet.be/medias/livresbd/l-ecrivain-espagnol-juan-goytisolo-remporte-le-prix-cervantes-5473515835707d02

    Les jurés ont récompensé l’écrivain en notant « sa capacité d’enquêter sur le langage, ses propositions complexes du point de vue du style », « développées dans divers genres littéraires », mais aussi « sa volonté d’intégrer les deux rives » de l’Atlantique et son « pari permanent en faveur du dialogue interculturel ».