• La liberté d’expression aux États-Unis | IIP Digital
    http://iipdigital.usembassy.gov/st/french/pamphlet/2013/04/20130424146340.html#axzz2qySq8mm1

    « n groupe ethnique spécifique appelle une foule en colère à attaquer physiquement et expressément un individu d’un groupe ethnique différent, pour prouver la supériorité de son groupe, et une personne de cette foule s’attaque immédiatement physiquement à une personne de ce groupe ethnique différen » Tags : liberté

    #liberté

  • Le président Obama à l’Assemblée générale des Nations Unies | IIP Digital
    http://iipdigital.usembassy.gov/st/french/texttrans/2013/09/20130925283465.html#axzz2gH4I8Wv8

    Ces nouvelles circonstances ont amené les États-Unis à ne plus se placer sur un pied de guerre perpétuelle. Non seulement nous avons rapatrié nos soldats, mais nous avons aussi limité le recours aux drones pour qu’ils ne ciblent que ceux qui présentent une menace continue et imminente pour les États-Unis, là où il n’est pas possible de capturer ces individus et où le risque de victimes parmi les civils est quasi-nul. Nous transférons des détenus dans d’autres pays et poursuivons des terroristes en justice tout en cherchant diligemment à fermer la prison de Guantanamo. Et tout comme nous avons réexaminé le déploiement de nos capacités militaires extraordinaires à travers le prisme de nos idéaux, nous avons commencé à revoir la manière par laquelle nous procédons à la collecte du renseignement afin de concilier adéquatement les préoccupations légitimes de nos citoyens et de nos alliés en matière de sécurité et les préoccupations de tous en matière de protection de la vie privée.

    Combien de mensonges dans ce paragraphe ? et il y a de nombreux paragraphes.

  • Déclaration liminaire de John Kerry au sénat sur la crise en Syrie | IIP Digital
    http://iipdigital.usembassy.gov/st/french/texttrans/2013/09/20130904282196.html#ixzz2e1ENuFWE

    (...) Assurément, d’aucuns poseront la question, à juste titre il me semble, des conséquences involontaires de l’action. D’aucuns craignent des représailles de nature à déboucher sur un conflit plus étendu. Je ne vais pas mâcher mes mots : si Bachar al-Assad est assez arrogant, je dirais même assez stupide, pour user de représailles contre les conséquences de son comportement criminel, les États-Unis et leurs alliés ont d’amples moyens pour lui faire regretter cette décision sans avoir à partir en guerre. Même les partisans de Bachar al-Assad, la Russie et l’Iran, disent publiquement que le recours aux armes chimiques est inacceptable. Par ailleurs, certaines personnes vont soulever la question de l’étendue de notre responsabilité. À celles-ci, je dis que, quand quelqu’un tue des centaines d’enfants avec une arme dont le monde a prohibé l’emploi, nous sommes tous responsables. C’est vrai en raison des traités comme la Convention de Genève ou la Convention sur les armes chimiques et, pour nous aux États-Unis, la loi sur les responsabilités de la Syrie. Mais c’est vrai aussi parce que nous avons une humanité commune et partageons la décence la plus élémentaire.

    Ce n’est pas le moment d’être isolationnistes dans un fauteuil. Ce n’est pas le moment d’être spectateurs d’un massacre. Ni notre pays ni notre conscience ne peuvent se permettre le coût du silence. Nous avons dénoncé des horreurs indicibles bien des fois dans le passé. Nous devons maintenant passer à l’action et nous devons protéger notre sécurité, protéger nos valeurs, et guider le monde, forts de la conviction que nous comprenons parfaitement notre responsabilité. Merci.

    Membre du public – Monsieur le secrétaire d’État Kerry, le peuple américain dit non à la guerre.

    Le sénateur Menendez, président de la commission – Silence dans la salle. Silence dans la salle.

    Membre du public – Le peuple a dit non à la guerre. (Inaudible) une autre guerre. Nous ne voulons pas une autre (inaudible).

    Le sénateur Menendez – Je demande au – veuillez rétablir le calme.

    Membre du public – (Inaudible) personne ne veut cette guerre. Les missiles de croisière – lancer des missiles de croisière, ça veut dire une autre guerre. Le peuple américain ne veut pas de ça. M. Kerry (inaudible).

    Le sénateur Menendez – Monsieur le secrétaire Hagel.

    Le secrétaire d’État John Kerry – Puis-je me permettre – la première fois que j’ai fait une déposition devant cette commission, quand j’avais 27 ans, mes sentiments étaient très similaires à ceux de la personne qui proteste. Et c’est exactement pour cela qu’il est si important que nous débattions de cette question, que nous parlions de ces sujets au vu et au su du pays, et le Congrès va agir en sa qualité de représentant du peuple américain. Je crois que nous pouvons tous respecter ceux qui ont un point de vue différent, et nous respectons ce principe.

  • DÉCLARATION DU PRÉSIDENT SUR LA SYRIE | IIP Digital
    http://iipdigital.usembassy.gov/st/french/texttrans/2013/09/20130901282090.html#axzz2da4fiAz2

    31 août 2013

    LA MAISON-BLANCHE
    Bureau du Secrétaire de presse
    Le 31 août 2013

    (...) Dans un monde qui connaît de nombreux dangers, il est impératif de faire face à cette menace.

    C’est la raison pour laquelle, après mûre réflexion, j’ai décidé que les États-Unis devaient agir militairement contre des cibles du régime syrien. Il ne s’agirait pas d’une intervention d’une durée indéterminée. Nous n’enverrions pas de troupes au sol. Au contraire, notre action serait, par essence, d’une ampleur et d’une durée déterminés. Cependant, je suis convaincu que nous pouvons rendre le régime d’Assad responsable de l’usage qu’il fait des armes chimiques, dissuader ce type de comportement et réduire sa capacité à y avoir recours.

    Notre armée a mis en place des moyens dans la région. Le chef d’état-major interarmées m’a indiqué que nous sommes prêts à frapper dès que nous le souhaiterons, et par ailleurs, que notre capacité à exécuter cette mission n’est pas tributaire du temps. Elle pourra donc être lancée demain, la semaine prochaine, ou dans un mois. Et je suis prêt à en donner l’ordre.

    J’ai pris ma décision en tant que commandant en chef, convaincu qu’il en va des intérêts de notre sécurité nationale ; cependant, je n’oublie pas que je suis le président de la plus ancienne démocratie constitutionnelle du monde. Je crois de longue date que notre puissance est ancrée non seulement dans notre force militaire, mais également dans l’exemple que nous donnons d’un État du peuple, par le peuple, pour le peuple. Et c’est la raison pour laquelle j’ai pris une seconde décision, celle de solliciter l’autorisation d’avoir recours à la force auprès des représentants du peuple américain au Congrès.(...)

    #BHO #SYRIE