NEPAL : Peace Brings More Violence Against Women IPS Inter Press Service News Agency – Journalism and Communication for Global Change

/2011

  • En direct : L’ONU accuse la Russie de la prendre « en otage » - Libération
    http://www.liberation.fr/monde/2013/09/05/fabius-veut-une-reunion-des-grands-acteurs-sur-la-syrie_929581

    22 HEURES. L’ambassadrice américaine à l’ONU Samantha Power affirme qu’il n’y a pas de possibilité d’obtenir l’aval du Conseil de sécurité de l’ONU pour agir en Syrie et a blâmé Moscou pour avoir pris le Conseil « en otage ». « Notre opinion (...) est qu’il n’y a pas de possibilité de progrès dans ce Conseil de sécurité », a affirmé à la presse Mme Power. Se référant à la dernière initiative occidentale, un projet de résolution britannique justifiant une intervention militaire en Syrie, elle a affirmé que ce texte n’avait d’emblée « aucune chance d’être adopté par la Russie notamment ».

    Quand Libé écrit (et fait son titre avec) n’importe quoi…

    • Et pas que la Palestine,
      http://www.ipsnews.net/2011/10/west-leads-in-wielding-veto-powers-at-security-council

      There have been 23 double vetoes by the U.S. and UK and 13 triple vetoes by the U.S., UK and France, [Stephen Zunes] said.

      Most of them, he pointed out, were in regard to sanctions and related matters involving South Africa, Namibia or Rhodesia in the 1970s and 1980s.

      The last triple veto was in 1989, in a resolution deploring the U.S. invasion of Panama. (UK and France also had two double vetoes during the 1956 Suez crisis.)

      “I think it is worth pointing out that the United States holds the U.N. record in terms of vetoing resolutions threatening or imposing sanctions against governments engaged in human rights abuses as well as of resolutions simply deploring or condemning such governments,” Zunes said.

  • [South America] The Most Dangerous City in the World Is Not Where You Think It Is - Robert Muggah and Steven Dudley - The Atlantic
    http://www.theatlantic.com/international/archive/2013/08/the-most-dangerous-city-in-the-world-is-not-where-you-think-it-is/278963

    Recruitment into the ranks of armed groups is common, mostly for youth who face dim employment prospects as they bounce from city to city. Professionals are also not immune. Criminal gangs in Mexico are kidnapping engineers and computer scientists to help them build their sophisticated communications systems that sometimes surpass the government’s.

    By virtually every metric, a humanitarian catastrophe is spreading across Mexico and Central America. The implications of this violence epidemic are frequently ignored by governments across the region. Aid agencies have also been slow to respond, with just a handful of groups like the International Committee of the Red Cross (ICRC) and Médecins Sans Frontières (MSF) sounding alarm bells.

    #mafia #violence

    • Ultimately, the protection of civilians requires addressing structural challenges in Central America, including reforms in the judicial and security sectors. Donors have tended to shy away from the most sensitive topics, which are unfortunately the same ones at the root of the problem. Afraid of damaging diplomatic ties, they often fail to push hard enough for the requisite banking, judicial and campaign reforms that could shut down serious gangs for good. Until this happens, the region’s wars will continue unabated.

      Fascinant...

      Rien de rien sur le rôle délétère de la NRA donc du Congrès étasunien,

      The truth about the Fast and Furious scandal
      June 27, 2012

      http://features.blogs.fortune.cnn.com/2012/06/27/fast-and-furious-truth

      Le gouvernement mexicain a estimé que 2.000 armes sont introduites clandestinement tous les jours des US vers le Mexique. L’ATF [Bureau of Alcohol, Tobacco, Firearms and Explosives] est entravé dans ses efforts pour arrêter ce flux. Aucune loi fédérale n’interdit le trafic des armes à feu, ce qui fait que les agents doivent monter des dossiers en utilisant un ensemble disparate de lois souvent éviscérées.

      Depuis six ans, en raison de la politique « Beltway », le bureau est sans leadership permanent, castré dans sa lutte par manque de financement et d’autorité. La National Rifle Association s’est si efficacement opposée à une base de données électroniques complète sur les ventes d’armes à feu que le Congrès a explicitement interdit d’en créer une.

      Comme pour le rôle délétère de "la guerre contre le terrorisme", rien sur celui de "la guerre contre la drogue" du gouvernement étasunien,

      Mexique : De multiples violations des droits humains ont été commises dans le cadre de la « guerre anti-drogue »
      http://www.hrw.org/fr/news/2011/11/09/mexique-de-multiples-violations-des-droits-humains-ont-t-commises-dans-le-cadre

      « Au lieu de réduire le niveau de la violence au Mexique, la ‘guerre contre le trafic de drogue’ menée par le gouvernement a conduit à une hausse dramatique du nombre de meurtres, d’actes de torture et d’autres sévices graves commis par les forces de sécurité », a déclaré José Miguel Vivanco, directeur de la division Amériques à Human Rights Watch. « Ceci n’a fait qu’aggraver le climat d’anarchie et d’angoisse dans plusieurs régions du pays. »

      COLOMBIA : Perils and Lessons of U.S. Aid
      http://www.ipsnews.net/2011/11/colombia-perils-and-lessons-of-us-aid

      ... après avoir diminué pendant deux décennies, les violations et les abus commis au Mexique par les militaires et le taux global d’homicides ont augmenté de 2007 à 2010, une période qui chevauche les années de l’aide américaine, selon un nouveau rapport publié par Human Rights Watch.

      Le taux d’homicides a augmenté de plus de 260 pour cent : « le gouvernement comptabilisait près de 35 000 décès liés au crime organisé de Décembre 2006 à la fin de 2010, le nombre de meurtres augmentant considérablement d’année en année », indique le rapport.

      Rien sur l’odieuse hypocrisie des gouvernements occidentaux, au premier rang desquels les Etats-Unis,

      Western banks ’reaping billions from Colombian cocaine trade’
      http://www.theguardian.com/world/2012/jun/02/western-banks-colombian-cocaine-trade?newsfeed=true

      ... a staggering 97.4% of profits are reaped by criminal syndicates, and laundered by banks, in first-world consuming countries.

      “The whole system operated by authorities in the consuming nations is based around going after the small guy, the weakest link in the chain, and never the big business or financial systems where the big money is.”

      “We know that authorities in the US and UK know far more than they act upon. The authorities realise things about certain people they think are moving money for the drug trade – but the DEA [US Drugs Enforcement Administration] only acts on a fraction of what it knows.”

      “It’s taboo to go after the big banks,” added Mejía. “It’s political suicide in this economic climate, because the amounts of money recycled are so high.”

      Colombie : le trafic de drogues profite aux banques occidentales
      http://www.slate.fr/lien/57387/colombie-trafic-drogues-banques-occidentales

    • Pour le membre de la Commission Politique du FNRP (le Front national de Résistance Populaire), Carlos H. Reyes, le coup d’État a non seulement permis de poursuivre un objectif de développement du modèle néolibéral et de remettre le contrôle de l’État aux mains des groupes oligarchiques, mais il a essayé de freiner les réformes mises en places avec l’appui des forces sociales du pays.

      “Tout cela a généré un grand recul qui s’est accentué avec l’approbation de lois qui sont venues piétiner les droits des ouvriers, des paysans et des secteurs populaires en général. Ils ont profité de la conjoncture pour continuer à mettre en concessions nos ressources naturelles, pour étendre les bénéfices des grandes entreprise multinationales et pour privatiser les services publics”, déclare Reyes dans un entretien à Opera Mundi.

      Pour Eugenio Sosa, annaliste politique hondurien, “face à la population les institutions sont érodées et délégitimisées par leur incapacité à faire face aux grandes problématiques qui touchent le pays. Les résultats sont dramatiques et la majorité des gens vivent dans un sentiment croissant d’insécurité et de désespoir”.

      En 2011, le Honduras a enregistré un taux annuel d’homicides de 86,5 pour 100 000 habitants, quatre fois plus que le taux d’homicides latino-américain et dix fois plus que le taux d’homicides mondial établi par l’OMS (l’Organisation Mondiale de la Santé).

      http://www.primitivi.org/spip.php?article558

      http://fr.wikipedia.org/wiki/Classement_des_pays_par_taux_d'homicide_volontaire#cite_ref-11