Putting words down on paper : How we write affects what we write

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  • Aux Etats-Unis, plusieurs états décident de ne plus rendre l’apprentissage de l’#écriture cursive obligatoire. Mais l’on n’écrit pas de la même façon avec un #crayon sur du #papier et avec un clavier sur un ordinateur...

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    http://o.canada.com/2013/06/24/putting-words-down-on-paper-how-we-write-affects-what-we-write

    I learned to type when I was nine. I’ve been writing on a computer for more than 30 years. But I can tell you I would feel something vital had been lost if I could not express my thoughts longhand. Often when I am stuck at the keyboard, unable to find my way out of whatever mental cul-de-sac I have put myself in, I will pick up a pen and start writing — and the words start to come again.

    This is not by accident. You’re using different parts of the brain. Typing is file retrieval, remembering where a letter is. With handwriting, you create the letters anew each time, using much more complex motor skills. Whether it’s the flowing motion of the arm, or the feel of the page under your hand, or the aesthetic satisfaction of a well-turned “f”, it seems to engage the more intuitive, right-brain aspects of cognition.

    • Ceux qui profitent (honteusement) des tickets alimentaires ne sont pas concernés de toute façon. Ils n’ont même plus besoin de savoir écrire... Savent-ils seulement lire ? Et pour quoi faire ? Pour être irrespectueux des valeurs et des lois ? Ils n’ont que ce qu’ils méritent... Et les gens biens aussi. (ainsi soit-il) (amen)

    • Ce n’est pas un débat. Cette décision n’abolit d’ailleurs pas l’apprentissage de l’écriture tout court, juste l’écriture cursive, ce qui est déjà un détail. Ce qui m’intéressait dans cet article, c’est plutôt la différence qui est faite entre écrire avec un crayon, et écrire avec un ordinateur.
      Ce n’est pas un débat en France non plus, puisque écrire est toujours au programme, et que si nous l’enlevons... on n’aura pas la cursive en remplacement.

    • Pardon, erreur de mot : il fallait lire « nous n’aurons pas la scripte en remplacement ».
      J’ai trouvé l’article en français sur Courrier International, article qui met davantage l’accent sur l’aspect psychomoteur que sur l’aspect socio-culturel...
      Cela dit, les pauvres n’ont pas non plus le droit d’apprendre à écrire ?