Par prudence, le GIEC aurait sous-estimé les effets du réchauffement
►http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/09/28/par-prudence-les-experts-du-giec-auraient-sous-estime-les-effets-du-rechauff
Pour quelles raisons le GIEC tend-il souvent à minimiser la menace ? L’implication des gouvernements dans le processus du GIEC y contribue sans doute, dit en substance Naomi Oreskes. Cependant, d’autres éléments suggèrent que les communautés scientifiques sont, en elles-mêmes, très conservatrices. Dans leur étude, les auteurs évoquent même un « principe de moindre étonnement », selon lequel une hypothèse ou un résultat a plus de chances d’être accepté s’il ne heurte pas par ses aspects spectaculaires ou dramatiques.