Syrian Women Excluded From Prisoner Exchange

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  • Syrian Women Excluded From Prisoner Exchange
    http://english.al-akhbar.com/content/syrian-women-excluded-prisoner-exchange

    Turkish Airline pilot Murat Akpinar (R), who was kidnapped in Beirut in August, hugs his son upon arrival at the Istanbul Ataturk airport on October 19, 2013. (Photo: AFP - Ozan Kose) Turkish Airline pilot Murat Akpinar (R), who was kidnapped in Beirut in August, hugs his son upon arrival at the Istanbul Ataturk airport on October 19, 2013. (Photo: AFP - Ozan Kose)

    The deal that led to the release of the #Azaz hostages is not (...)

    #Mideast_&_North_Africa #Articles #Lebanon #syria #turkey

  • Libération des pélerins libanais retenus en otage depuis 17 mois en Syrie :
    http://www.assafir.com/Article.aspx?EditionId=2597&articleId=1868&ChannelId=62794&Author=زينب%20يا

    L’Orient-Le Jour, après un gros effort pour rationaliser l’enlèvement (17 mois tout de même), reprend la dénonciation de ces « médias provocateurs libanais » qui évoquent une grosse somme d’argent. Asharq al-Awsat, vraiment ?
    http://www.lorientlejour.com/article/838607/damas-na-toujours-pas-relache-les-detenues-reclamees-par-les-ravisseu

    Tempête du Nord a par ailleurs nié avoir reçu de l’argent en échange des otages, contrairement « à ce que des médias provocateurs libanais ont affirmé ». La somme de 100 millions d’euros avait été évoquée par le journal Asharq al-Awsat.

    Le New York Times ne publie pas de photos, mais reproduit les élucubrations :

    The Syrian rebels had accused the men of belonging to Hezbollah, the Lebanese militant group. Hezbollah officials and the captives’ families denied that, saying the men had been returning by bus from a pilgrimage to Iran.

    Avec les photos du Safir, ce genre d’élucubration devient évidemment grotesque :
    http://assafir.com/Photos/Photos21-10-2013/117010.jpg

    Puisque les photos montrent que les pèlerins ont assez nettement dépassé la limite d’âge pour être des combattants du Hezbollah, le New York Times sort cette plus très belle généralisation :

    Some local reports said the Syrian government was expected to release a number of female prisoners as demanded by the rebels in exchange for the captives from Lebanon, which is home to Hezbollah, a Syrian ally.

    • Ali Zgheib, ex-otage libanais en Syrie : « Notre rapt visait à faire pression sur toute une communauté »
      http://www.lorientlejour.com/article/838685/ali-zgheib-ex-otage-libanais-en-syrie-notre-rapt-visait-a-faire-press

      « Ils nous ont accusés d’être des membres du Hezbollah et des membres des Gardiens de la révolution islamique », précise-t-il, ajoutant qu’après avoir montré les passeports libanais aux ravisseurs, le comportement de ces derniers a changé. « Ils ont alors essayé de trouver des prétextes pour justifier notre enlèvement. Ils étaient clairement en colère contre l’implication du Hezbollah dans le conflit en Syrie », explique M. Zgheib, qui assure n’être rattaché à aucun parti politique, mais ne cache pas son admiration pour le parti chiite et son secrétaire général Hassan Nasrallah.

    • Syrian Women Excluded From Prisoner Exchange
      http://english.al-akhbar.com/content/syrian-women-excluded-prisoner-exchange

      However, Syrian sources told Al-Akhbar, “The release of the Syrian women prisoners had nothing to do with the original deal … The main pillars of the deal have been achieved.”

      “The Lebanese and Turkish state came out as winners, with the fulfilment of their demands,” said the sources. “But the release of the Syrian women prisoners was a request from the North Storm Brigade alone. However, some of its leaders agreed to receive money in return to close the deal.”

      “The demands of the North Storm Brigade will not be met,” especially since this opposition group is weak today and is reeling under the blows of the Islamic State of Iraq and Syria (ISIS) fighters. This forced them to negotiate with the Kurds about the release of the Lebanese prisoners.

      Syrian sources informed of the issue said, “None of the 112 Syrian women prisoners mentioned will be set free as part of the exchange, except eight or nine who do not have any criminal penalties.”

    • Al Qabas, quotidien koweitien, traduit par Mediarama :
      http://mediaramalb.files.wordpress.com/2013/10/mediarama-447.pdf

      Des sources proches de Damas à Beyrouth ont fait état de « nombreux mystères » entourant la libération des otages libanais d’Aazaz, les deux pilotes turcs au Liban et les détenues dans les prisons syriennes. Les dirigeants syriens estiment que la Brigade de la tempête du nord, qui détenait les pèlerins libanais et qui a mis la liste des détenues syriennes, n’existe plus, et les forces de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) ont pris sa place. Faut-il, par conséquent, livrer les prisonnières à l’EIIL ou régler cette question dans le calme et la précision ? s’interrogent les sources.

      Cependant, des opposants syriens basés à Beyrouth ont accusé de « traitrise » le régime syrien qu’il n’a pas respecté son engagement de libérer les détenues, précisant que la liste avait été établie par l’Armée syrienne libre (ASL) et non pas par la brigade de la tempête du nord. Si le régime syrien avait réellement voulu les libérer, il aurait pu les remettre à la Croix-Rouge internationale. Toutefois, ces opposants syriens reconnaissent que la situation des otages libanais était devenue critique car les forces de l’EIIL ne se trouvaient plus qu’à trois kilomètres de leur lieu de séquestration.

    • Le résumé de Mediarama du 21 octobre :
      http://mediaramalb.files.wordpress.com/2013/10/mediarama-445-1.pdf

      Les neuf Libanais avaient été enlevés à Aazaz, près d’Alep, alors qu’ils rentraient d’un pèlerinage en Iran. Un accueil officiel et populaire leur a été réservé à leur retour, samedi soir, au terme d’une difficile négociations menée par le directeur de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, qui a effectué plusieurs fois la navette entre Damas, Beyrouth et Istanbul, jeudi et vendredi, pour mettre la dernière touche à l’échange. Parallèlement à la libération des otages libanais, les autorités syriennes ont remis en liberté plusieurs dizaines de détenus, des femmes en majorité. Au Liban, les deux pilotes turcs enlevés sur la route de l’aéroport, le 9 août, ont également été relaxés par leurs ravisseurs.

      Le Qatar a joué un rôle important dans l’accord d’échange et a assuré le rapatriement des otages à bord d’un avion spécialement affrété. Le général Abbas Ibrahim a d’ailleurs remercié le Qatar mais aussi la Turquie et la Syrie, cette dernière ayant accepté d’examiner les demandes des ravisseurs et d’en satisfaire la majeure partie. Le quotidien libanais Al Akhbar a estimé qu’"en jouant un rôle de facilitateur, Doha cherche à se faire pardonner son attitude agressive et hostile à l’égard du Hezbollah et de la Syrie ces deux dernières années". Le journal estime que l’occupation d’Aazaz par l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL, proche d’Al-Qaïda)) et le retrait de la Brigade de la tempête du Nord, dont sont issus les ravisseurs, a transformé les otages en fardeau pour la Turquie et le Qatar, surtout que l’EIIL aurait exécuté les pèlerins s’ils étaient tombés entre leurs mains. Selon le quotidien, ces deux pays n’ont engrangé aucun dividende politique et ont seulement voulu clore un dossier qui risquait de devenir encombrant et embarrassant pour eux.

      D’autre part, des sources proches du dossier ont démenti le paiement de toute rançon pour la libération des neuf pèlerins. Le quotidien saoudien Ach Charq Al-Awsat avait rapporté, dimanche, qu’une rançon de 100 millions d’euros avait été versée pour clore cette affaire, sans préciser la partie qui aurait payé.

    • Al Bayan traduit par Mediarama :
      http://mediaramalb.files.wordpress.com/2013/10/mediarama-445-1.pdf

      La clôture du dossier des otages libanais d’Aazaz après un an et demi de détention a laissé chez les observateurs une série d’interrogations qui vont dans trois directions : Premièrement : le rôle du Qatar et la signification des efforts déployés par Doha pour régler ce dossier bloqué depuis plusieurs mois ainsi que les raisons des pressions exercées par l’émirat pour trouver une solution à cette affaire, alors que ce pays appuyait les rebelles. Deuxièmement : quelles sont les raisons pour laquelle la Turquie s’est employée à résoudre ce dossier un an et demi après l’enlèvement, alors que les familles des otages accusaient Ankara de blocage, à un point tel que deux pilotes turcs ont été enlevés pour être utilisés comme monnaie d’échange. Troisièmement : pourquoi la détention a-t-elle duré aussi longtemps et pourquoi la libération a-t-elle finalement eu lieu, bien que les ravisseurs, et ceux qui se tiennent derrière, ont réalisé dès le premier moment que cette carte ne pouvait pas être utilisée contre le Hezbollah. Preuve en est que la libération a eu lieu sans qu’il ne paye un prix politique.

      L’article d’origine :
      احتفاء لبناني بـ « محرري » أعزاز ورسائل شكر لقطر وتركيا - البيان
      http://www.albayan.ae/one-world/arabs/2013-10-21-1.1982860

      3 تساؤلات

      إلا أن إنهاء هذا الملف، بعد عام ونصف من عملية الخطف، خلّف لدى المراقبين سلسلة تساؤلات تقسم إلى ثلاثة محاور: الأول، الدور القطري ودلالات حراك الدوحة لحلحلة ملف عالق منذ أشهر طويلة، وسبب الضغط القطري في اتجاه الحلحلة، بعدما كانت الدوحة بالمقلب الآخر من الأزمة السورية.

      الثاني، مرتبط بالأداء التركي وسبب التجاوب بعد عام ونصف، بعدما كان الأهالي وجّهوا طوال هذه الفترة أصابع الاتهام بالتعطيل إلى حكومة رجب طيب أردوغان حتى بلغ الأمر حدّ الخطف المتبادل من خلال الطيّارَين التركيين.

      أما المحور الثالث، فعن مغزى إطالة مدة الخطف والقرار بإطلاقهم أول من أمس، على رغم أن الخاطفين أنفسهم، ومن خلفهم، أدركوا منذ اللحظة الأولى أن استعمال هذه الورقة للضغط على حزب الله وعلى بيئته لا يمكن صرفها، بحسب قول مصدر سياسي معني لـ«البيان»، والدليل أن الإفراج تمّ ولا ثمن سياسياً دفعه الحزب، وفق رأيه.