http://books.google.fr

  • Tous les #livres des éditions #Entremonde sont disponibles en libre accès PDF sur notre site internet depuis notre fondation en 2009.

    Depuis 2008 dans cette folle équipée éditoriale, malgré tous les obs­­ta­­cles qui jalon­nent la confec­­tion de nos ouvra­­ges, nous sommes plus obs­­ti­­nés que jamais à faire de l’édition un foyer de dys­­fonc­­tion­­ne­­ment du sys­tème et d’évoluer plei­­ne­­ment dans notre époque.

    Dans l’ancien régime, l’aris­to­cra­tie lit­té­raire pre­nait pos­ses­sion de la répu­bli­que des let­tres, leur pro­duc­tion mar­quée par la grâce royale était pro­duite par une cor­po­ra­tion qui mono­po­li­sait la chose impri­mée. Depuis, l’ancien régime a cédé sa place à de nou­veaux régi­mes. La pro­duc­tion lit­té­raire n’y est plus mar­quée de la grâce royale, mais de celle des capi­taux et les mono­po­les y sont confé­rés par le roi argent.

    https://entremonde.net/ebook
    #pdf #libre_accès

    J’utilise aussi le tag #continuité_pédagogique, car ça complète la liste de #films compilée ici :
    https://seenthis.net/messages/832035

    • Covid-19 : recensement des facilités offertes par les #éditeurs du fait de la pandémie

      Nous souhaitons pouvoir relayer les initiatives des éditeurs pour aider le monde académique, et la population en général, à faire face aux conséquences de la crise sanitaire actuelle. Ce recueil d’initiatives peut également avoir un caractère incitatif auprès d’autres éditeurs.

      https://www.couperin.org/site-content/145/1413-covid19-recensement-des-facilites-offertes-par-les-editeurs-du-fait-d
      #liste #recueil

      ping @karine4

    • A l’université de #Grenoble :

      Sélection d’#ebooks dans le cadre du confinement COVID19

      En raison de la crise sanitaire liée au COVID19 que la France et notre établissement traversent en ce moment et afin de faciliter le travail à distance, spécialement pour les étudiants, vous trouverez sur cette page quelques ouvrages numériques fondamentaux dans toutes les disciplines.

      https://bibliotheques.univ-grenoble-alpes.fr/collections/collections-numeriques/selection-d-ebooks-dans-le-cadre-du-confinement-co
      #ebook

    • #LibGen et #Sci-Hub, what and how ?

      Library Genesis et Sci-Hub sont deux projets, certes illégaux, mais utiles, visant à mettre à disposition de tous un grand corpus de littérature scientifique. Le second recense des articles de recherche, le premier des livres, et s’est étendu à des thèmes plus vastes (fiction, bande dessinée, manuels…). Les pages Library Genesis et Sci-Hub de Wikipedia expliquent en détail ce dont il s’agit, ainsi que l’histoire de ces projets :

      Puisque ces sites ne respectent pas la législation sur le droit d’auteur, des éditeurs scientifiques (Elsevier et Springer en tête) ont obtenu de la justice française que ces sites soient bloqués par les fournisseurs d’accès Internet (Orange, Free, Bouygues…).

      La méthode choisie est un blocage DNS — c’est-à-dire qu’ils ont retiré ces entrées de leurs serveurs DNS. Rappelons juste qu’un serveur DNS est une espèce d’annuaire qui transforme une adresse littérale (du genre academia.hypotheses.org en une adresse IP numérique telle 134.158.39.133).

      Il y a plusieurs méthodes pour contourner ce blocage.

      1. Utiliser un autre serveur DNS.

      Ceux proposés par Google sont très connus et faciles a retenir, mais on peut vouloir diminuer sa dépendance à ce géant, ni lui fournir la liste de toutes nos requêtes réseaux — nous ne savons pas ce qu’il en fera, mais lui sait ce qu’il pourrait en faire.
      Il faut ensuite modifier vos préférences réseaux pour le mettre en place.

      Une recherche sur « open dns server » va vous en proposer plein.

      C’est une solution efficace, surtout si, confinés chez vous, vous n’avez qu’une seule config réseau.
      2. Connaître par cœur l’adresse IP (numérique) de ces sites

      Plus prudent, car ces adresses ont tendance à changer : savoir les retrouver, par exemple grâce aux pages de Wikipedia ou au compte Twitter @scihub_love.
      Il est aussi possible d’utiliser un site comme nslookup qui est une espèce de « serveur DNS manuel ».

      3. Configurer son navigateur

      L’intérêt de de ne pas avoir à changer sa configuration réseau mais de laisser le navigateur s’en charger.

      Avec Firefox, l’option DnsOverHttps le conduit à demander à d’autres serveurs de lui fournir les adresses IP correspondant à une adresse texte. Pas mal de sites web expliquent comment activer cette option, cette explication dans Zdnet m’a semblé assez claire.

      Le navigateur Opera offre un VPN (virtual private network) qui, si je comprends bien, revient plus ou moins à cela.
      4. Utiliser Tor

      Tor ressemble de l’extérieur à un navigateur en mode de navigation privé, mais le fonctionnement interne est plus compliqué, de sorte que les sites ne puissent pas retracer l’origine de la requête, laquelle passe par tellement d’endroits que le blocage initial est inopérant.

      5. Et sur un téléphone portable (en 4G) ?

      Je ne sais pas mettre en œuvre l’option 1.
      Les options 2 (connaître l’adresse IP) et 4 (Tor) sont transparentes.
      L’option 3 (DnsOverHttps) est un peu plus compliquée à mettre en place parce que la page de paramétrage de la version Android de Firefox est moins conviviale.

      Il paraît aussi que des applications comme Intra ou nextDNS font ça automatiquement, très simplement.
      6. Et pour une solution légale ?

      De nombreuses institutions académiques ont souscrit des abonnements à des portails de littérature scientifique. L’accès est contrôlé par l’origine des requêtes Internet : si vous êtes depuis votre bureau, cela marche de façon transparente.

      Grâce au système de proxy, vous pouvez faire croire aux sites que vous êtes au travail. Par exemple, l’extension EzProxy, disponible pour Chrome ou Firefox (à ne pas confondre avec ce que propose l’entreprise privée du même nom) est préconfigurée pour vous permettre, en cliquant simplement sur l’icone de la toque universitaire puis en utilisant vos identifiants usuels d’ENT, d’accéder à ces sites. À l’installation, il faut juste sélectionner votre institution parmi les préférences de l’extension (à ce jour, l’extension en recense 591 ! dont 27 en France, si votre institution est absente, prenez contact avec le service informatique afin qu’ils s’ajoutent à la liste).

      Le logiciel Zotero a également une extension pour navigateur capable de reconnaître ces proxys.

      https://academia.hypotheses.org/21190
      #articles_scientifiques #édition_scientifique

    • #Dalloz, #La_Découverte : des éditeurs en accès libre pendant le grand confinement

      Plusieurs institutions culturelles ou médiatiques ont décidé de rendre accessibles une partie de leur fonds. C’est le cas du MET, du Berliner Philharmoniker, par ex.

      Pour ce qui est de la recherche, nous sommes heureux d’apprendre que les éditions La Découverte ainsi que les éditions Dalloz participent à l’effort national en donnant accès à une (petite) partie de leur catalogue.


      https://academia.hypotheses.org/21271

    • Où trouver des ouvrages en ligne ?

      Après la fermeture des bibliothèques universitaires et des écoles d’architecture (vous avez fait des stocks de livres impressionnants le vendredi de fermeture), et avec le passage en stade 3 de l’épidémie de coronavirus, c’était celle de « tous les lieux recevant du public non indispensables à la vie du pays » … dont les bibliothèques publiques (et les librairies) ! (et oui, votre plan B était à l’eau !).

      Mais les Lab&docs ont recensé pour vous les ouvrages numérisés que beaucoup de bibliothèques ou de services institutionnels proposent et dont l’accès est gratuit pour vous. Quand vous aurez épuisé toutes les bibliothèques d’ouvrages libre de droit et leurs milliers de livres numériques (Wikisource, Gutenberg Project, Gallica), les bibliothèques numériques académiques, les plateformes des éditeurs, les services d’accès aux ressources du CNRS ou de votre bibliothèque universitaire, il vous restera votre abonnement à la bibliothèque municipale … certaines possèdent des ressources numériques susceptibles de vous intéresser et leur accès est actuellement facilité (abonnement en ligne possible).

      Et si cela ne suffit pas, vous pouvez toujours relire (lire ?) certains livres de votre propre bibliothèque …

      Services de consultation de livres numérisés

      Google Livres : https://books.google.fr : si le livre relève du domaine public ou si l’éditeur ou l’auteur en a donné l’autorisation, un aperçu du livre est présenté et, dans certains cas, le texte intégral. Si l’ouvrage relève du domaine public, vous pouvez en télécharger librement un exemplaire en PDF

      Google Scholar : https://scholar.google.com : base de données bibliographique spécialisé sur la recherche de documents scientifiques et universitaires : articles approuvés ou non par des comités de lecture, thèses, livres, abstracts, rapports techniques, citations, etc. Tous ces documents sont issus de laboratoires de recherche, écoles et universités.

      HathiTrust https://www.hathitrust.org : bibliothèque numérique mettant en commun le contenu de plusieurs bibliothèques numériques d’universités des États-Unis et d’Europe, ainsi que de Google Livres et d’Internet Archive.

      Gutenberg project – http://www.gutenberg.org : livres numériques, revus et corrigés par des volontaires ; grande littérature mondiale, particulièrement les ouvrages anciens désormais libres de droits. Des titres disponibles en histoire de l’architecture

      Wikisource : https://fr.m.wikisource.org/wiki/Wikisource:Accueil : projet de bibliothèque soutenu par la Wikimedia Foundation. Il est animé, entretenu et élaboré par des contributeurs bénévoles. Catégorie Architecture

      Internet Archive : https://archive.org/details/texts

       : organisme à but non lucratif consacré à l’archivage du Web qui agit aussi comme bibliothèque numérique. Pour avoir accès à ces ouvrages, les internautes doivent s’inscrire à une liste d’attente.

      Open Library : https://openlibrary.org projet de l’Internet Archive visant à cataloguer tous les livres publiés, quelle que soit leur langue, dans une base de données librement accessible sur Internet

      COVID 19 : National Emergency Library : Internet Archive supprime cette contrainte en offrant un accès illimité jusqu’au 30 juin 2020.

      Nos livres : http://noslivres.net : La Bibliothèque électronique du Québec (BEQ), la Bibliothèque numérique romande (BNR), Ebooks libres et gratuits, éFéLé et Projet Gutenberg ont rassemblé sur le site près de 5500 livres catalogue de livres électroniques du domaine public francophone . Des titres pour l’architecture et le paysage
      Bibliothèques numériques issues d’initiatives institutionnelles et académiques

      Gallica Livres https://gallica.bnf.fr/services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&startRecord=0&maximumRecords=15 Plusieurs milliers de livres sont téléchargeables au format EPub gratuitement depuis Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF.

      Europeana : https://www.europeana.eu/fr/portal bibliothèque numérique permettant de consulter en ligne un grand nombre de documents de tous types, textes imprimés, images, vidéo, grâce aux liens donnant accès aux catalogues des institutions participantes.

      Numelyo : https://numelyo.bm-lyon.fr bibliothèque numérique de la Bibliothèque municipale de Lyon. En libre accès, elle regroupe des livres numérisés, des revues, des photos, des affiches et des estampes

      Cnum : Conservatoire numérique des Arts et Métiers : http://cnum.cnam.fr bibliothèque numérique consacrée à l’histoire des sciences et des techniques (Catalogues de constructeurs, Construction, Énergie, Expositions universelles, Transports …)

      Bibliothèque numérique de l’Institut national d’histoire de l’art : https://bibliotheque-numerique.inha.fr : collections des Bibliothèque de l’Institut National d’Histoire de l’Art, collections Jacques Doucet, Bibliothèque centrale des musées nationaux (BCMN), de l’École nationale supérieure des beaux-arts (ENSBA)

      Digital Collections | Library of Congress : https://www.loc.gov/collections

      https://www.loc.gov/search/index/location/?fa=partof:open+access+books : 300 ebooks

      Digital Public Library of America (DPLA) : https://dp.la La DPLA sert de point d’entrée aux collections numériques de plus d’un millier d’institutions culturelles ou d’enseignement américaines (dont la New York public library, les bibliothèques de Harvard…). Elle contient 5,5 millions de documents dont plus de 1,6 millions de livres et périodiques numérisés.

      Classiques des sciences sociales : http://classiques.uqac.ca hébergée par l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle propose en ligne des textes, libres de droit au Québec, d’auteurs classiques en sociologie, anthropologie, économie, politique ou philosophie. (ouvrages en français numérisés, sans droits d’auteur, et téléchargeables).

      La Bibliothèque numérique mondiale – World Digital Library (WDL) : https://www.wdl.org/fr : bibliothèque numérique lancée par l’UNESCO et la Bibliothèque du Congrès américain, elle regroupe un ensemble de documents en provenance du monde entier, dont des ouvrages .

      OAPEN (Open Access Publishing in European Networks) : la Fondation basée aux Pays-Bas gère deux plateformes : the OAPEN Library (www.oapen.org), plateforme de livres électroniques en texte intégral dans le domaine des sciences humaines et sociales et DOAB : www.doabooks.org : répertoire de livres numériques diffusés selon le modèle du libre accès par divers éditeurs universitaires comme Taylor & Francis ou Academia Press

      OECD Library (bibliothèque en ligne de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)) :https://www.oecd-ilibrary.org : permet l’accès à des publications ainsi qu’à une base de données statistiques

      Open Knowledge Repository (Banque Mondiale) https://openknowledge.worldbank.org :dépôt électronique en libre accès de livres, de rapports et de documents de recherche (working papers) produits par la Banque mondiale
      Services d’accès institutionnels

      BibCNRS : https://bib.cnrs.fr Accès aux ressources documentaires des unités de recherche du CNRS via Janus (Sésame) : livres électroniques openeditionBooks, Springer, 2500 livres électroniques Elsevier, 26 livres Ebsco, …)

      COVID-19 : liste des facilités offertes par les fournisseurs : https://bib.cnrs.fr/covid-19-liste-des-facilites-offertes-par-les-fournisseurs-portees-a-notre-connaissance/?category=biologie

      Services d’accès des éditeurs ou de fournisseurs

      Cairn livre : https://www.cairn.info/ouvrages.php : Service d’accès aux publications en sciences humaines et sociales de divers éditeurs francophones. L’abonnement donne accès au texte intégral portail web d’ouvrages et revues en SHS ; sur abonnement, consultez votre BU

      COVID -19 : Cairn propose aux établissements membres de votre réseau un test gratuit et sans engagement de ses offres d’ouvrages et de poches jusqu’à la fin du mois d’avril. Cairn.info propose temporairement une méthode simplifiée d’accès distant si votre institution ne le propose pas ou s’il vous est impossible d’utiliser le système d’authentification actuel

      Ebsco ebooks : https://www.ebsco.com/products/ebooks : plate-forme d’e-books . Sur abonnement, consultez votre bibliothèque et BU . (collection académique, collection Presses Universitaires)

      COVID-19 Tous les titres EBSCO ebooks passent en accès illimité (pour les éditeurs participant à l’opération) jusqu’au 30 juin 2020.

      OpenEdition Books : https://books.openedition.org Plateforme de livres électroniques, Open Edition Books permet l’accès à 233 titres en texte intégral en sciences humaines, majoritairement en français. La plupart sont édités par le CNRS ou par des presses universitaires.

      COVID 19 : Ouverture élargie des publications sur OpenEdition Books : https://leo.hypotheses.org/16941

      Quae Open : https://www.quae-open.com maison d’édition scientifique et technique issue de la recherche publique française ; Plus d’une centaine d’ouvrages scientifiques (développement durable, environnement, etc.) en français ou en anglais, disponibles gratuitement et librement aux formats PDF ou ePub.

      The National Academies Press (NAP) (Whashington, DC) : https://www.nap.edu : 3000 ouvrages à lire en ligne gratuitement sur le site de l’éditeur. Certains téléchargements sont payants (Sciences, Engineering, and Medicine)
      Bibliothèques universitaires et de recherche

      BNF- Bibliothèque de recherche : https://www.bnf.fr/fr/les-ressources-accessibles-distance pour les détenteurs du Pass Recherche, une centaine de bases de données thématiques (presse, droit, sciences) et 100 000 livres électroniques (accès à Scholarvox by Cyberlibris)

      Ressources des BU : les bibliothèques ont acquis de nombreuses ressources en ligne (accès par vos codes doctorants ou lecteurs)

      Covid-19 : les éditeurs et fournisseurs ont été contactés par les BU afin d’obtenir des accès gratuits à leurs revues et ouvrages. La situation évolue régulièrement : consulter les listes sur les sites de vos bibliothèques ou sur la liste de recensement proposés par le Consortium Couperin : https://www.couperin.org/site-content/261-a-la-une/1413-covid19-recensement-des-facilites-offertes-par-les-editeurs-du-fait-d

      Vous pouvez vous inscrire par exemple à :

      (frais d’inscriptions pour certaines hors convention !)

      BIS : Bibliothèque Interuniversitaire Sorbonne – La Sorbonne https://www.biu.sorbonne.fr/bius

      qui donne accès à :

      Numérique Premium : livres électroniques en sciences humaines et sociales.

      Covid 19 : Jusqu’au 19 avril 2020, l’éditeur a ouvert les accès à l’intégralité des collections.

      Cyberlibris ScholarVox : https://univ.scholarvox.com : bibliothèque numérique communautaire dédiée aux institutions académiques, écoles de commerce et écoles …

      Covid-19 : Accès aux collections jusqu’à la fin de l’été

      Cairn.info – Encyclopédies de poche : Accès en ligne à l’ntégralité des collections Que sais-je ? et Repères : environ 1600 titres disponibles dans toutes les disciplines.

      De Gruyter – Ebooks : 223 eBooks en langue française, édités par De Gruyter et publiés sous différentes marques éditoriales entre 1965 et 2017 dans sept disciplines des sciences humaines dont art et architecture

      Cambridge Histories Online : quinze domaines des sciences humaines et sociales, avec une concentration sur l’histoire politique et culturelle, la littérature, la philosophie, les études religieuses

      Wiley Online Library : 73 livres électroniques de l’éditeur Wiley en antiquité, histoire, religion et philosophie, etc. quelques titres en architecture

      Classiques Garnier en ligne – Livres numériques

      Dawsonera : plate-forme de livres électroniques de Dawson ; 2500 titres en architecture

      Numérique Premium – Atlas : collection “Atlas” des éditions Autrement

      COVID-19 : La BIS ouvre à la communauté universitaire un accès à ses collections électroniques aux étudiants et enseignants-chercheurs pouvant bénéficier d’une accréditation à la BIS (étudiants à partir du Master, enseignants et chercheurs) : inscription gratuite de 6 semaines, du 24 mars au 8 mai.

      Ou à :

      La BULAC : https://www.bulac.fr/?id=3604 négocie depuis son ouverture un accès distant aux ressources électroniques pour l’ensemble de son public, quel que soit son statut et son affiliation institutionnelle.

      https://labedoc.hypotheses.org/7565

    • Où trouver des #thèses en ligne ?

      Rechercher des thèses en France
      Les catalogues

      SUDOC : Catalogue du Système Universitaire de Documentation est le catalogue collectif français réalisé par les bibliothèques et centres de documentation de l’enseignement supérieur et de la recherche.
      Recherche avec type de document = thèse et mot sujet : « Architecture », « Paysage »,
      « Urbanisme ». Vous aurez les liens vers celles qui sont en ligne.
      TRHAA (Travaux de Recherche en Histoire de l’Art et Archéologie) : recense l’ensemble des travaux soutenus (maîtrises, DEA, master 1, master 2, doctorats, habilitations à diriger des recherches) et des sujets de doctorats déposés en histoire de l’art et en archéologie dans les universités et les grands établissements d’enseignement supérieur.

      Les portails

      Tel (thèses-en-ligne) : serveur d’auto-archivage en ligne des thèses de doctorat et habilitations à diriger des recherches (HDR). Elles sont toutes en ligne en version intégrale. Recherche par discipline : « Architecture et aménagement de l’espace », « Art et histoire de l’art ».
      Theses.fr : moteur de recherche des thèses en cours et soutenues en France depuis 1985. Recherche thèses soutenues par discipline et uniquement en ligne : « Architecture »,
      « Paysage », « Urbanisme ».
      Pastel : thèses soutenues dans les Grandes écoles parisiennes d’ingénieurs. Recherche par discipline : « Architecture et aménagement de l’espace ».

      Les bibliothèques numériques

      Bibliothèque doctorale numérique de la Cité de l’architecture et du patrimoine : accès aux thèses émanant des unités de recherche rattachées aux écoles nationales supérieures d’architecture françaises.
      Bibliothèque numérique Octaviana de la BU de Paris 8 : Fonds des thèses (1970-2014) : Plus de 800 thèses et mémoires avec recherche par thème dont « Architecture » et « Urbanisme ». Fonds de thèses nativement numérique depuis 2014.

      et quelques autres sites pour approfondir :
      – Liste des universités françaises : accédez à la liste des universités par académie.
      – Annuaire des bibliothèques universitaires : informations principales relatives à plus de 700 bibliothèques.
      – Les trésors des bibliothèques de l’enseignement supérieur : panorama des documents remarquables conservés dans les bibliothèques des établissements d’enseignement supérieur français.
      – Sites de l’ABES : sélection de site de l’ABES (Agence Bibliographique de l’Enseignement Supérieur) d’accès aux thèses en texte intégral.
      Rechercher des thèses en Europe

      Plusieurs bases de données, portails, bibliothèques numériques vous permettent d’accéder à des thèses en ligne en version intégrale en Europe.

      Ainsi, Dart-Europe, portail de thèses en texte intégral provenant d’environ 600 universités européennes et 28 pays et en recherchant avec mot clé : “Architecture“, “Paysage“, “Urbanisme“.

      Vous pouvez rechercher aussi via des portails nationaux :
      – BICTEL (répertoire commun des thèses électroniques des universités de la communauté française de Belgique),
      – Dialnet (portail des thèses espagnoles en SHS, Recherche avec mot clé : « Architecture »,
      « Paysage », « Urbanisme »),
      – DissOnline (base des thèses électroniques allemandes),
      – DIVA (base comportant les thèses et travaux de recherche de 28 universités scandinaves, Recherche avec Thèse et Sujet : « Architecture », « Histoire de l’art »),
      – EThOS (base national des thèses du Royaume-Uni),
      – ORBi (Open Repository and Bibliography) (open access de l’Université de Liège (Belgique) dont les thèses, Recherche avec type de document thèse et mot-clé : « Architecture », « Paysage »,
      « Urbanisme »),
      – RERODOC (bibliothèque électronique du réseau RERO (réseau de suisse romande) comportant livres, thèses, mémoires en texte intégral, Recherche avec type de document « thèse » et mot clé :
      « Architecture », « Urbanisme » ).

      Pour approfondir vos recherches par université, vous pouvez consulter la liste des contributeurs au portail Dart-Europe : 619 universités.
      Rechercher des thèses dans le monde

      Des moteurs de recherche et portails vous permettent de repérer et consulter des thèses en ligne dans le monde.

      4 moteurs de recherche vous donnent cette possibilité :
      – BASE (Bielefeld Academic Search Engine) : méta-moteur de recherche référençant et donnant accès à plus de 120 millions de documents universitaires en texte intégral, dont des thèses. Recherche avec type de document « Doctoral and postdoctoral thesis » et accès « Open Access » et entrées matières : « Architecture », « Paysage », « Urbanisme »
      – Dissertation reviews : recense les thèses qui viennent d’être soutenues, avec le résumé de la thèse et présentation des sources utilisées (Pas d’Open access).
      – FreeFullPdf : Indexe les documents .pdf, accessibles gratuitement en texte intégral, dont les thèses.
      – OATD (Open Access Thesis Dissertation) : moteur de recherche international dédié aux thèses électroniques diffusées en libre accès. Certaines thèses sont accessibles en texte intégral. Recherche avec sujet : « Architecture », « Paysage », « Urbanisme ».

      et 1 portail :
      – NDLTD : Networked Digital Library of Theses and Dissertations : thèses et mémoires électroniques dans le monde. Recherche avec sujet : « Architecture », « Paysage », « Urbanisme ».

      Plusieurs moteurs de recherche et portail vous donneront des thèses en ligne par pays :
      – ADT (Australasian Digital Theses) : thèses soutenues dans les 22 plus grandes universités australiennes Recherche de thèse avec mot-clé : « Architecture », « Paysage », « Urbanisme ».
      – Cybertesis : portail de thèses soutenues principalement en Amérique Latine et en Amérique du Nord Recherche sur type de document « Thesis » et sujet : « Architecture ».
      – Erudit : plateforme de diffusion et valorisation numérique de publications en SHS dont les thèses et mémoires de plusieurs universités canadiennes. Recherche avec Type de document thèse et mot-clé : « Architecture », « Paysage », « Urbanisme ».
      – Shodhganga : réservoir des thèses indiennes.
      – Theses Canada : catalogue des thèses et mémoires réalisés dans les universités canadiennes Recherche avec Mot-clé : « Architecture », « Paysage », « Urbanisme ».
      – Toubk@l : catalogue national des thèses et mémoires du Maroc.

      Via la plateforme BibCnrs avec vos identifiants Janus (pour les membres des UMR) :
      – ProQuest (Dissertations & Theses) : base proposant thèses et mémoires en arts, sciences sociales, langues et littérature des universités américaines et canadiennes.

      Vous pouvez consulter le site de NDLTD qui vous liste une sélection de sites par pays pour accéder aux thèses en ligne.

      https://labedoc.hypotheses.org/7511

    • #Public_Books_Database

      With university classrooms and libraries shuttered because of the COVID-19 crisis, scholars are facing disruptions not only in their teaching lives but also in their ability to access research materials. In response, many academic presses have made hundreds of their titles freely accessible online. The Public Books Database aims to catalog such resources in a single location and to highlight titles of particular interest. We’ll be updating the list regularly as additional materials are made available.

      https://www.publicbooks.org/public-books-database/#cornell

  • Bob Marley entre deux mondes - par Romain Cruse
    http://visionscarto.net/bob-marley-entre-deux-mondes

    Pour Robert Nesta Marley, plus connu sous le surnom de « Bob », l’histoire a commencé ici, il y a 70 ans aujourd’hui. C’était le 6 février 1945, dans une maison humble depuis laquelle on aperçoit à perte de vue une mer de petites collines verdoyantes ondulant sous l’écume légère des nuages bas. Le paysage typique du cœur de la Jamaïque rurale, le « jardin » de l’île.

    https://www.youtube.com/watch?v=g3Z4PX2JI_c

    #musique #Jamaïque #reggae

    (photos Romain Philippon)

    • Je recommande plus que chaudement le livre "bass culture" de Lloyd Bradley.
      Bob Marley n’occupe qu’un chapitre http://books.google.fr/books?id=T-LhulMdIJ4C&pg=PA455&hl=fr&source=gbs_toc_r&cad=3#v=onepage&q
      "pendant son séjour au sommet l’acteur le plus fameux du reggae n’exerça pratiquement aucune influence sur le développement de la musique à son niveau le plus basique-c’est à dire les studios de Kingstown.
      La puissance de Marley était d’ordre spirituelle, source d’inspiration, intelectuelle et socio-politique. I lévoluait en marge de l’histoire du reggae."
      Livre extraordinaire d’une ile en lutte contre deux colonialisme économique et politique avec l’Angleterre et culturel avec les Etats Unis. La possibilité d’une playlist...
      2 Dans la guerre froide – la révolte et son double
      Rock, soul, reggae et autres musiques
      “Ça fait longtemps que l’on attendait un livre comme Bass Culture, mais cela en valait la peine. C’est un livre qui prend la musique populaire de cette petite île des Caraïbes et la traite aussi sérieusement et intellectuellement que n’importe quelle forme musicale, mais ne perd jamais de vue l’esprit, la force et la joie qui entrèrent dans sa conception. Un livre qui sait que le reggae est une affaire sérieuse mais n’oublie jamais que vous devez pouvoir danser dessus. La musique reggae a enfin le livre qu’elle mérite.” (Prince Buster)
      Avec Bass Culture, Lloyd Bradley livre l’histoire passionnante et passionnée de la musique jamaïcaine, avec ses arrière-plans sociologique, politique, économique et spirituel, depuis les sound-systems des années cinquante en passant par le ska et le rocksteady, jusqu’à l’explosion de Bob Marley et au-delà. Il y analyse l’évolution musicale d’un genre qui, prenant sa source dans le calypso, va acquérir son autonomie et devenir l’une des formes les plus originales et fécondes de la musique populaire contemporaine. Tous les grands protagonistes de cette aventure donnent ici leur témoignage : Prince Buster, Horace Handy, Bunny Lee ; on y croise les figures mythiques de Lee “Scratch" Perry, Peter Tosh, Jimmy Cliff et bien d’autres. Au-delà de la musique, c’est une culture paradoxale qui est ici décrite, aussi bien en Jamaïque qu’en Angleterre, où se mêlent extrême violence (les combats de rue des rude-boys) et profonde spiritualité.

      n y apprend aussi que le reggae, que l’on associe facilement à une certaine "cool attitude", a été et reste un véritable chant de lutte de la population noire et des opprimés jamaïcains s’inscrivant dans un contexte mondial de lutte pour la conquête de droits civiques... bref, à chaque page son lot de surprises et de déconstructions d’idées reçues.
      Il est dur de synthétiser un ouvrage aussi dense, ’il s’agit là d’une véritable bible de la musique jamaïcaine. "

  • De la continuité entre le maintien de l’ordre et la répression militaire
    http://www.tantquil.net/2014/10/30/de-la-continuite-entre-le-maintien-de-lordre-et-la-repression-militaire

    La conséquence de ces évolutions est la création d’une zone grise entre maintien de l’ordre classique et répression militaire, d’une continuité entre « non-létal » et mortel.

    Le résultat direct de la mise en place de ce nouveau maintien de l’ordre a été une brutalité policière accrue. Les mutilations sont devenues plus fréquentes et on ne compte plus les yeux perdus à cause de tirs de flashball, (Lien manifeste flashball libération). A l’heure où nous écrivons ces lignes, c’est Rémi Fraisse qui a perdu la vie à cause d’une grenade offensive sur la ZAD du Testet.

    Ces nouvelles lois sont la matérialisation d’une militarisation du maintien de l’ordre ou plutôt d’une hybridation entre policier et militaire. Par ailleurs, l’armée est aussi formée au contrôle des foules, ce qui lui permet de faire du maintien de l’ordre à l’étranger (par exemple au Kosovo). Cela leur permet aussi de pouvoir intervenir en France comme le permet la loi, depuis le Décret 2007-586 du 24 avril 2007, ce qui fait froid dans le dos…

    « En dernier ressort, elles peuvent être requises pour des opérations de force nécessitant des mesures de sûreté exceptionnelles »

    #répression #France

    • L’intervention des forces armées pour le maintien de l’ordre n’est pas vraiment une nouveauté…

      Le décret 2007-586 http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000648213&fastPos=3&fastReqId=158, articles D1321-1 à D1321-4, ne fait que reprendre intégralement sur cette partie les article 1 à 4 du décret 95-573 sur la Dispersion des attroupements.

      Lequel 95-573 n’est que la reprise d’un décret antérieur (que je ne retrouve pas, j’aurais dit autour de 1959, de mémoire…)

      Et l’exigence d’une réquisition écrite (2007)

      Article D. 1321-4
      La réquisition est faite par écrit dans la forme suivante :
      « Au nom du peuple français.
      « Nous requérons en vertu de la loi, M. commandant, de prêter le secours des troupes nécessaires pour (indiquer de façon claire et précise l’objet de la réquisition et l’étendue de la zone dans laquelle elle doit être exercée).
      « Et pour garantie dudit commandant, nous apposons notre signature.
      « Fait à , le . »

      remonte à l’origine de la République… (loi du 3 août 1791) dans une forme qui n’a quasiment pas changé, à peine modernisée.

      Nous, … requérons, en vertu de la loi, N.… commandant, etc., de prêter le secours des troupes de ligne, ou de la gendarmerie nationale, ou de la garde nationale, nécessaire pour repousser les brigands, etc., prévenir ou dissiper les attroupements formés, etc., (…)
      et pour garantie dudit commandant, nous apposons notre signature.
      Fait à, etc.

      http://books.google.fr/books?id=YuZBAAAAcAAJ&pg=PA75&lpg=PA75&dq=%22Et+pour+garantie+dudit+com

  • Optimum démographique - Paul Mombert.
    Un nouvel ordre européen

    Paul Momber était un économiste allemand né en 1876, il traitait de la théorie et de la politique population avec l’histoire des dogmes, la théorie économique et les études sur les finances publiques. https://de.wikipedia.org/wiki/Paul_Mombert

    "L’optimum, c’est le nombre d’habitants qui permet de tirer des ressources du pays le profit le plus élevé possible. Si la population augmente, il faut, afin de nourrir cet excédent, soit diminuer le niveau de vie, soit élargir le champ d’extraction de la nourriture. Cette seconde hypothèse équivaut concrètement, au XXe siècle, à l’exigence de colonies.
    Le concept de “question démographique” ne décrit pas un fait objectif. Il s’agit plutôt d’un concept de combat, réévalué au plan scientifique, destiné à maintenir le statu quo dans la répartition des pouvoirs et à définir les crises et les problèmes connexes telles les conséquences d’un “excédent” de population)." http://boutique.monde-diplomatique.fr/extrait-vidal-historiens

    "Exprimés à travers de tels concepts, soulignent Aly et Heim, l’annexion de la Pologne occidentale devenait un « élargissement de l’espace d’alimentation », les meurtres de masse une « réduction de la population » et le vol de produits alimentaires dans les parties l’Europe occupées par l’Allemagne une « diminution du niveau de vie
    La question de savoir si la décision prise en 1941 d’exterminer les juifs européens n’a pas aussi été déterminée par la volonté de réduire, pour des raisons de politique alimentaire, le nombre global d’habitants de l’Europe mérite d’être posée"

    Structure même référence.

    "Industrie, bureaucratie, Parti et armée : tels furen tles quatre piliers de la domination nazie. si ces colonnes ont pu porter aussi longtemps le monstrueux palais, bientôt impérial, de l’Etat allemand, c’est justement parce que l’expertise scientifique les a reliées les unes aux autres et stabilisées en permanence ». C’est la raison pour laquelle les auteurs s’attardent sur le travail de ces économistes et gestionnaires, spécialistes en aménagement du territoire et en emploi de la main-d’œuvre, démographes, statisticiens et agronomes.
    Ainsi, durant la guerre, au cours de laquelle les ressources alimentaires, les matières premières et le capital devinrent de plus en plus rares, « la population représenta bientôt pour ces planificateurs le seul facteur économique qu’ils purent encore véritablement modifier."

    "Les experts qui y travaillaient ne conjuguaient pas seulement la préparation économique de la guerre... Ils érigeaient aussi la sélection démographico- politique en principe, lorsqu’il s’agissait de gérer des ressources limitées." http://books.google.fr/books?id=I571y5hE70IC&pg=PA69&lpg=PA71&ots=k_5gjLfsDl&focus=viewport&dq

    "Avant1945,l’histoire de la population était une spécialité allemande.Un nouveau départ se fera en France au début des années 50 par le traitement des dossiers paroissiaux.
    Les chercheurs ne traiteront plus de crises économique ou les structure sociales d’une région sans en appeler aux facteurs démographiques.
    Le principal acquis est d’avoir débordé les limites du continent européen
    Amérique latine, caraïbes, des pays d’Afrique et d’Océanie...
    Chaque pays aura ses spécialistes de la démographie historique et les échanges seront multilatéraux." http://www.journalbelgianhistory.be/fr/system/files/article_pdf/BTNG-RBHC,%2012,%201981,%201-2,%20pp%20007-026.pdf

    LE NOMBRE DANS LA POLITIQUE MODERNE
    www.cairn.info/revue-hermes-la-revue-1989-1-page-159.htm

    Démographie Responsable
    " Il ne faut pas avoir peur de le dire, l’homme est le cancer de la terre. Cette expression est utilisée aussi bien par Cioran, par Yves Paccalet ou par Paul Ehrlich. Notre expansion démographique est semblable à une cellule du corps (terrestre) qui se développe anarchiquement au détriment de la santé de l’ensemble. En conséquence, quoi qu’en pensent certains, la décroissance est forcément malthusienne : on a à la fois trop de voitures et trop d’êtres humains. Nous devons agir à la fois sur la quantité de biens et sur la quantité de personnes." http://boutique.monde-diplomatique.fr/extrait-vidal-historiens

    "MALTHUS ET LE MALTHUSIANISME 
    Malthus est un démographe qui est devenu célèbre en 1798 en publiant son « Essai sur le principe de population ». Il y explique que le frein le plus terrible à l’accroissement de la population est la misère, conséquence inéluctable du ‘’principe de population’’. Selon lui, les institutions sont peu responsables de la misère de beaucoup d’hommes… La société ne peut qu’être inégalitaire, composée de propriétaires et de travailleurs. S’il en était autrement, si la propriété était supprimée, si chacun partageait avec son voisin, si tout le monde était nourri correctement, la population augmenterait encore plus rapidement et dépasserait les subsistances disponibles. Donc, compte tenu du fait que « la population augmente plus vite que les subsistances, il ne faut surtout pas courir le risque d’un accroissement de la population en aidant les pauvres ».. "

    2012. "A Singapour, on discute en ce moment même de l’optimum démographique." http://www.liberation.fr/terre/2012/06/15/le-scenario-de-l-effondrement-l-emporte_826664

    2014. L’UDC et Ecopop. " la surpopulation menace-t-elle notre
    bien-être ?
    Les premiers veulent stopper l’immigration massive. Les seconds réduire l’accroissement démographique annuel en dessous de 0.2"
    http://www.cfjm.ch/travaux/documents/Interview_Epitaux.pdf

    La dépossession : une dimension majeure de l’accumulation capitaliste- Le néolibéralisme comme "projet de classe". Entretien avec David Harvey. http://www.contretemps.eu/interviews/n%C3%A9olib%C3%A9ralisme-comme-projet-classe-entretien-david-harvey

    Accaparement de terres : la Chine, l’Inde et les États-Unis aussi... http://visionscarto.net/accaparement-chine-inde-etats-unis

    L’invention de la démographie et la formation de l’État. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/arss_0335-5322_1995_num_108_1_3146

    #crise #néo_libéralisme #planification #accaparement

  • Djerbahood
    http://www.djerbahood.com

    https://www.youtube.com/watch?v=EK650n8yDQE

    Après la Tour Paris 13, la team Itinerrance dépose ses valises dans un village traditionnel de l’île de Djerba, Erriadh.

    Véritable musée à ciel ouvert, Djerbahood est un village investi par des artistes venus du monde entier. Le village d’Erriadh à Djerba accueillera cet été les oeuvres d’une centaine d’artistes de trente nationalités différentes. Erriadh, lieu authentique et traditionnel, deviendra un espace d’expression pour chacun des artistes issus de cultures diverses.

    Galerie des œuvres
    http://www.djerbahood.com/portfolio

    Et celle-ci que je n’y trouve pas par #Mkt_Artwork aka #INKMAN


    Mural poème de Mahmoud Darwich_
    http://books.google.fr/books?id=Nz1TCy39aPQC&lpg=PA120&ots=zTVss5DZwQ&dq=mural&hl=fr&pg=PA119

    https://www.behance.net/mktartwork

  • Amazon lance un appel par email à ses auteurs d’ebook pour qu’ils harcèlent Hachette ! Et ils ont le culot d’enrôler George Orwell (dont ils avaient déjà censuré 1984 pour une sombre histoire de droits d’auteurs)…

    From: Kindle Direct Publishing <kdp-support@amazon.com>
    8:55 AM (4 minutes ago)

    Dear KDP Author,

    Just ahead of World War II, there was a radical invention that shook the foundations of book publishing. It was the paperback book. This was a time when movie tickets cost 10 or 20 cents, and books cost $2.50. The new paperback cost 25 cents – it was ten times cheaper. Readers loved the paperback and millions of copies were sold in just the first year.

    With it being so inexpensive and with so many more people able to afford to buy and read books, you would think the literary establishment of the day would have celebrated the invention of the paperback, yes? Nope. Instead, they dug in and circled the wagons. They believed low cost paperbacks would destroy literary culture and harm the industry (not to mention their own bank accounts). Many bookstores refused to stock them, and the early paperback publishers had to use unconventional methods of distribution – places like newsstands and drugstores. The famous author George Orwell came out publicly and said about the new paperback format, if “publishers had any sense, they would combine against them and suppress them.” Yes, George Orwell was suggesting collusion.
    (...)

    We will never give up our fight for reasonable e-book prices. We know making books more affordable is good for book culture. We’d like your help. Please email Hachette and copy us.

    Hachette CEO, Michael Pietsch: Michael.Pietsch@hbgusa.com
    Copy us at: readers-united@amazon.com

    Please consider including these points:

    – We have noted your illegal collusion. Please stop working so hard to overcharge for ebooks. They can and should be less expensive.
    – Lowering e-book prices will help – not hurt – the reading culture, just like paperbacks did.
    – Stop using your authors as leverage and accept one of Amazon’s offers to take them out of the middle.
    – Especially if you’re an author yourself: Remind them that authors are not united on this issue.

    Thanks for your support.

    The Amazon Books Team

    http://www.readersunited.com

  • Voici l’arbre «magique» capable de produire 40 fruits - Wikistrike
    http://www.wikistrike.com/2014/07/voici-l-arbre-magique-capable-de-produire-40-fruits.html

    C’est l’idée révolutionnaire de Sam Van Aken. A l’heure actuelle, ce scientifique a déjà créé seize arbres à 40 fruits. Ils sont présentés dans les musées de New York, du Massachusetts ou du New Jersey.

    L’avantage de cet arbre hybride est qu’il ne submerge pas le jardin, vu que les fruits ne poussent pas forcément tous à la même époque. De plus, il évite le gaspillage.

    Prunes, abricots, cerises...
    L’arbre est une succession de boutures. On y retrouve des pêches, prunes, abricots, nectarines, cerises ou encore des amandes.

    L’idée de ce projet est de favoriser la culture de la diversité et de protéger des espèces qui ne sont pas cultivées pour la consommation.

    #arbre_magique #poésie

    • Faut que je vois plus précisément comment il fait ça. Bon déjà, ce n’est pas du bouturage mais du greffage, et il peut greffer une diversité relative car il faut que les espèces soient très proches. Il a évidemment choisi les Prunus car c’est l’espèce dans laquelle il y a le maximum de fruits différents (cerises, amandes, prunes, abricots ...), par contre dans les « 40 fruits » il ne faut pas s’attendre à 40 espèces mais une demi douzaines de plusieurs variétés.

      Toute la difficulté est de faire un arbre homogène, en choisissant des variétés de vigueur semblable. Ensuite si on veut maximiser l’étalement de fruits, ça devient un joli exercice. Mais au delà de la performance je ne suis pas sûr de l’intérêt d’un tel arbre. A petite échelle il peut y avoir un intérêt à greffer 2-3 variétés sur un même arbre pour économiser de la place et augmentation la pollinisation (en prenant des variétés compatibles). Mais là je sais pas à quel point son arbre est productif, parce que chaque bout de son arbre à son propre calendrier et ça doit se chevaucher (floraison, fructification ...) et l’affaiblir. De plus la taille est compliquée pour conserver les variétés et qu’une ne prenne pas le pas sur d’autres. Enfin je me demande si la multiplicité des espèces et variétés n’est pas une porte ouverte pour des maladies qui pourraient compromettre l’arbre ...

      Par contre je les vois bien au milieu d’une place urbaine, tant qu’à faire.

      Tomate-aubergine je n’avais jamais vu, mais je sais que tomate sur patate ça se fait bien, même si je doute de l’intérêt mis à part vendre des trucs chers aux particuliers. Sinon en magasin maintenant ils y a plein de pieds de légumes greffés, le porte greffe donnant des resistances aux maladies et une meilleure productivité. Je le suis pas trop intéressé aux greffes de légumes ou herbacées, mais je vais y venir pour mes projets d’amélioration variétale, comme par exemple stimuler la floraison ou augmenter la compatibilité de pollinisations difficiles car concernant des individus éloignés génétiquement. Oh oui y a de quoi s’amuser sans OGM :)

    • tomate/patate houblon/cannabis … une façon de tromper l’ennemi ! Ma grand-mère me racontait que c’était face au pillage des soldats allemands, une fois les tomates pillées, il leur restait encore les patates cachées sous terre.

    • Et tout ça semble plus relever d’un sympathique concept artistique qu’agricole, Sam Van Aken étant tantôt présenté comme scientifique, tantôt comme professeur d’art de l’Université de Syracuse aux États-Unis.

    • Le site de Sam van Aken et le CV qu’on y trouve ne laissent aucun doute sur le positionnement en tant qu’artiste.
      http://www.samvanaken.com

      Et il ne compte pas s’arrêter là : il est déjà sur un projet d’un arbre à 100 fruits.

      Árboles de 40 frutas se transforman en esculturas vivas
      http://adn.discovery.noblink.net/rboles-de-40-frutas-se-transforman-en-esculturas-vivas

      Puede parecer algo salido de una pintura, pero es la obra real que Sam Van Aken espera completar en unos años. Se llama El árbol de 100 frutas (The Tree of 100 Fruits) y representa la meta final de un curioso proyecto iniciado por este profesor y artista estadounidense.

      A completarse en 15 años, esta imagen ilustra el futuro de los árboles de 40 frutas que Van Aken ya creó injertando en un mismo tronco varios tipos de ramas de árboles frutales. Por ahora, sus creaciones producen duraznos, ciruelas, nectarinas, albericoques y cerezas. Pronto, si el experimento funciona, también tendrán almendras: todo en uno.

      Van Aken llama a su proceso “escultura a través de injertos”. Cada árbol se construye a partir de técnicas de injertado, donde el artista hace pequeños cortes en el tronco e inserta una rama nueva. Luego de atarla y encintarla, el corte se cierra y la rama comienza a crecer junto al tronco.

      Cada árbol tarda unos cinco años en desarrollarse lo suficiente para sumarle los 40 injertos que lo componen. El resultado es un árbol colorido, multifrutal y totalmente inusual.

    • Hi hi hi :) Je trouve la photo parfaitement artificielle, mais à part le fait que que toutes les variétés ne fleurissent pas en même temps, ce qui me chiffonne c’est cette histoire de greffes multiples. Je ne connais pas grand chose en greffe et obtention végétale mais de ce que j’en ai lu, pour réussir une greffe sur un prunus, il faut la pratiquer sur un scion d’un an, de deux ans tout au plus. Or, un scion d’un an, c’est une tige. Pour réussir quarante greffes, il faudrait quarante rameaux sur une tige d’un ou deux ans. Après, bon, je ne suis pas spécialiste mais ça semble tenir de la magie.

    • Pour revenir sur les patates greffées sur les tomates :

      A Graft-transmissible RNA from Tomato Rootstock Changes Leaf Morphology of Potato Scion

      Heterografting experiments were conducted using potato (Solanum tuberosum) as scion and tomato (Lycopersicon esculentum) as stock to test whether an RNA molecule responsible for changing leaf shape can be transported and function across the grafting junction. Results showed that a graft-transmissible RNA from the tomato rootstock without any leaves can indeed change leaf morphology of the potato scion. Therefore, if a transgenic stock plant with acquired RNA transport competence could be constructed, it would provide an effective system for transformation of scion plants. This combination of grafting and RNA transport could provide a novel technique for cultivar improvement in horticultural crops.
      http://hortsci.ashspublications.org/con ... 2/225.full

    • Je n’ai pas gardé un souvenir précis de la vidéo ; il me semble que c’est le même contenu que les différents articles.

      Après la photo (du projet) de l’arbre aux 40 fruits, l’une des photos suivantes


      présentée comme les prunes récoltées pendant une semaine au début du mois d’août provoque chez moi un certain scepticisme.

      En revanche, le pdf qui reprend une très grosse partie du contenu de son site contient (p. 11 à 13) un tableau qui me semble intéressant : l’ensemble des variétés et leur ordre de floraison.
      http://www.treeof40fruit.com/wp-content/uploads/2014/04/Tree-of-40-Fruit.pdf

    • The Grafting Process
      The Trees of 40 Fruits are developed through the process of chip grafting. In February each year, scions are collected throughout central New York and whenever possible from trees and orchards in the region where the tree has been planted. The scions are 12-18” sections of the current seasons growth and are collected from different cultivars (the types and varieties of stone fruits). Once the budstock are collected they are stored until spring when they are “top
      worked” on to the tree. This is done by chip grafting, slicing the small buds from the budstock and inserting them into equally sized chips removed from the branches of the interstock. 3-4 bud chip grafts are performed on each branch.
      The buds then heal to the branches and then emerge as new growth.

    • @odilon, greffer sur plusieurs branches d’un pommier différentes variétés, c’est sympa et ça donne bien des fruits, ça ressemble plus à ça qu’à la photo kitsch du début.


      Mais ne serait-ce que le peu de racines dont semblent disposer ces arbres, c’est pas très viable, un arbre a un volume de racines qui est souvent le même que celui de ses branches, et le réduire c’est réduire sa longévité.

  • Pour la première fois, le #potager ressemble à quelque chose ! Donc c’est avec plaisir que je montre quelques photos du travail de cette année :

    Vue d’ensemble de l’avancement des travaux :


    (les deux tiers de la deuxième butte est squatée par mes projets de sélection de tournesols et choux vivaces)

    Photo avantageuse du potager presque dans son ensemble actuel :


    Avec la pépinière en fond

    Courgettes, coriandre en fleur et patates :

    Salades et persil :

    Tournesol presque en fleur :


    (c’est un croisement entre tournesol et topinambour, je le teste pour voir si des individus s’avèrent être vivaces)

    Pépinière, où il y a de tout entre projets de sélection variétale, légumes vivaces et fruitier en attente d’une place au jardin, porte-greffes ...

    Et une greffe de cerisier nain :


    Dont je suis particulièrement fier car le pied mère acheté horriblement cher est sûrement mort ...

    C’est du boulot de faire ces buttes mais on n’aura pas à le faire l’année prochaine. C’est un mélange de potager en #biointensive (accent mis sur le décompactage du sol, distance de semis/plantations) et de potager synergétique (paillage, buttes).

    Je me suis souvent demandé si on ferait pas mieux de passer le motoculteur vu l’avancement en m²/heure mais vu toutes les potentilles au jardin, il vaut mieux enlever les racines à la main que de les découper et les « semer » partout, ou alors c’est roundup ...

    Par contre les buttes c’est pas terrible pour les tubercules donc on fera une partie à plat.

    #jardin #permaculture

    • Pour les côtés pas chouettes, comme j’ai pas de serre et que je voulais pas passer à côté des tomates une fois encore, j’ai acheté les plans au marché du coin. L’offre est très décevante, tout comme en jardinerie, donc j’ai des tomates sûrement hybrides, non étiquetées, toutes de couleur rouge. Pareil pour les salades, qui sont des laitues et feuilles de chêne classiques. Objectif l’année prochaine, sélectionner les variétés qui me plaisent et faire mes plants. J’ai fait mes plants pour les tomates de coulis (les petites au fond de la troisième butte), car le but n’est pas d’avoir les tomates le plus vite possible, donc j’ai trois variétés qui devraient faire des coulis du tonnerre. Pour les courgettes j’ai fait mes semis avec de la Costata Romanesca, évoquée par Carole Deppe dans The Resilient Gardener (http://books.google.fr/books?hl=fr&id=Xf5Q4jo_mEEC&q=costata#v=snippet&q=costata&f=false) et qui se sèche très bien avec un très bon goût (frais comme sec), ça permettra de caser les surplus cet hiver dans les soupes. D’ailleurs elle s’inspire du jardin d’une amérendienne évoquée ici (http://seenthis.net/messages/255105) pour le séchage des courge(tte)s. J’aimerai bien aussi acheter un mix de graines de salades pour voir celles qui poussent le mieux ici et sauver les graines.

    • @sombre oui et non, cette année j’ai surtout casé ce que je voulais absolument et qui je devais propager, le tout en construisant les butes en flux tendu en même temps que certaines plantes poussaient en godet. Mais sinon j’ai en tête l’essentiel comme pas de fabacées et d’alliacées ensemble, et pas de patates à côté des tomates. Les aromatiques (persil et coriandre) se sont retrouvées sous l’ombre des courgettes et tomates, et ne s’en trouvent que mieux. Le basilic a sa place à lui, mais met du temps à pousser.

      Mais j’ai pas encore trouvé de ressources satisfaisantes qui synthétise assez les associations, les rotations et les successions pour avoir un schéma clair de comment gérer la diversité au potager. Et aussi comment intégrer le mélange avec les distances de la biointensive, ou en mélangeant plus franchement (mais moins productivement) Richard Wallner dans son potager style permaculture.

      Faut que ça passe par le cérébral chez moi, je marche comme ça.

    • @nicolasm : merci pour la réponse avec les mésalliances à éviter. Cette année, je dispose de peu de place, donc j’y suis allé au petit bonheur pour associer les espèces en fonction du terrain dont je disposais. Je connaissais l’association œillet d’inde + tomate, les premiers évitant aux secondes d’attraper certains parasites ou certaines maladies.

      Je remarque également que tu cultives sur des buttes. As-tu fait un apport de terre pour constituer ces buttes ? Quels avantages procurent-elles ?

    • Oui il y a plein de plantes non comestibles compagnes, il faut que je m’y penche plus. Mais comme j’adore les menthes (et plus généralement les aromatiques), et qu’il va y en avoir un peu partout, ça fera aussi son effet sans que j’y pense beaucoup.

      Les j’en ai beaucoup entendu parler, et j’en suis venu un peu par hasard car le décompactage a apporté beaucoup de volume, et que j’y ai mis la terre d’allée car j’ai horreur de marcher sur de la bonne terre. J’ai mis du compost mais pas beaucoup, 100l en tout. J’aimerai bien intégrer du biochar l’année prochaine.

      Le principal avantage de la butte c’est d’offrir un grand volume de sol décompacté aux légumes. En biointensive c’est plutôt un décompactage sur deux profondeur de bêche. Ici sur 1-1,5 profondeur. Par contre c’est pas facile de faire des butes sans parois car il faut une pente sur les côtés, du coup sur la surface j’ai moins de superficie (ou je déborde sur les allées, au choix). J’ai peut être un plan pour aller couper du bambou, dans ce cas je ferais des parois en bambous. J’ai aussi un sol engorgé et qui reçoit les surplus de la marre en hiver, les butes permettront de canaliser et infiltrer l’eau dans les allées. C’est plus facile pour récolter certains légumes, mais difficile d’y mettre une bêche pour déterrer les tubercules.

    • Mais comme j’adore les menthes (et plus généralement les aromatiques), et qu’il va y en avoir un peu partout, ça fera aussi son effet sans que j’y pense beaucoup.

      Effectivement, les aromatiques semblent éloigner certains désagréments tant petites bestioles indésirables que parasites fongiques. J’ai remarqué que lorsque je taillais mes tomates et que je laissais traîner les « gourmands » sur le sol, cela maintenait à distance quelques jours les limaçons qui squattaient mes salades voisines. La tomate dégage elle aussi une forte odeur de ... tomate.

      J’ai peut être un plan pour aller couper du bambou, dans ce cas je ferais des parois en bambous.

      Un truc qui marche bien : des piquets de bambous entrelacés de baguettes d’osier ; c’est assez solide je pense pour maintenir la terre.

    • Pour les associations de légumes, je consulte mon bouquin « le potager bio » mais on trouve sur l’internet des sites de jardinage qui parlent de ces associations. Un truc bien, l’association carottes-poireaux, l’un éloignant les parasites de l’un et réciproquement. Auparavant, mes carottes étaient bouffées pas les vers de la carotte et depuis que je les sème entre les rangs de poireaux c’est nickel.

    • Pour les associations on en trouve un peu partout mais des fois c’est contradictoire. J’avais vu un doc qui pointait toutes les contradictions mais je le retrouve plus, dommage.

      Pour les rotations, un lien qui me plait bien : http://www.eatcology.com/vegetable-garden-crop-rotation-a-living-jigsaw-puzzle

      Pour l’instant je retiens :

      Mais j’ai envie de combiner ça avec les deux saisons de plantations : en gros les légumes d’été type tomates, et ceux d’hiver qui pourraient se planter après la récolte des légumes d’été et récoltés avant le semi ou la transplantation, comme la fève ou l’oignon, pas sûr que ce soit mûr à temps ? Et laisser un nombre minimum d’années entre le temps qu’une famille revienne au même endroit, éventuellement coupler des cultures « nettoyantes » avant des cultures plus sujettes aux adventices, les peu gourmandes après les gourmandes, et que les rotations prennent en compte d’éventuelles associations ... Bon c’est dans le meilleur des cas mais tant qu’à faire, autant jeté un coup d’œil. Mais je loupe sûrement plein de trucs par manque d’expérience. Faudrait qu’on en discute quand tu passeras @koldobika.

    • C’est vraiment débile de traduire « beyond sustainability » par « pour un mode de vie soutenable » dans le titre ...

      Sinon c’est pas « l’ouvrage de référence », même s’il apporte sa pierre à l’édifice en élargissant le champ. Un bouquin très spécial, je n’arriverai pas vraiment à le classer, en tout cas Holmgren a une finesse d’esprit remarquable. Par contre aborder la permaculture avec ce livre c’est aller droit dans le mur, il m’a fallu un moment avant de l’apprécier.

      (ça consiste en quoi une recension ?)

    • Hum je ne pense pas pouvoir faire une critique intéressante car ce qui serait intéressant de voir c’est si le livre est utile pour quelqu’un.e qui ne connait pas la permaculture, et qui en aurait une utilisation comme outil pour penser/transformer la société. Mais je ne sais pas si le livre se lit bien sans savoir ce qu’est la permaculture ...

      J’avais été très déçu par le bouquin, mais en y retournant quelques années après je m’en délecte, mais plus pour le génie d’Holmgren que pour une quelconque application.

      Pour le livre, tout dépend de ce que tu cherches. Comme intro, j’ai l’impression que le mieux est « Introduction à la permaculture » de Mollison, qui a été traduit par Passerelle eco. Les plus avancés par contre ne sont pas traduits.

  • La nuit d’Ukraine est calme et sur un ciel sans voiles,
    Sur un ciel azuré scintillent les étoiles.
    L’air parait sommeiller. La nature est sans voix.
    Des nobles peupliers les feuilles argentées
    Frémissent vaguement dans l’épaisseur des bois.

    Тиха Украинская ночь.
    Poltava, Pouchkine (1828)
    et Mazeppa, Tchaïkovski (1884)
    http://feb-web.ru/feb/pushkin/serial/psn/psn33734.htm

    =====================

    Connaissez-vous la nuit d’Ukraine ?…
    Oh ! que non, vous ne la connaissez point. Contemplez-la ! La lune ouvre son œil au centre du ciel, la voûte sans bornes du firmament se dilate encore, plus incommensurable que jamais, et cette voûte parle, elle respire. La terre entière s’inonde d’une lumière d’argent ; un air exquis, étouffant malgré sa fraîcheur, déborde de tendresse et fait déferler un océan de suaves exhalaisons. Nuit divine !… nuit enchanteresse !… Immobiles, les arbres inspirés se figent, et, gouffres de ténèbres, ils projettent loin d’eux une ombre démesurée. Qu’ils sont silencieux et calmes, ces étangs ! La glace opaque de leurs eaux s’encadre, morne repoussoir, du rempart vert foncé des jardins. Les fourrés inextricables de nerpruns et de merisiers allongent timidement leurs racines vers la fraîcheur des sources et de temps à autre, protestent de toutes leurs feuilles, comme sous le coup de la colère ou de l’indignation, chaque fois que, charmant compagnon, le vent nocturne est revenu d’un pas leste les lutiner sournoisement. La contrée entière dort, mais là-haut où tout halète, ce ne sont que merveilles et magnificences. Accessible au sentiment de l’infini, l’âme ne se sent plus d’aise et des multitudes de visions argentées surgissent de ses profondeurs en séries harmonieuses. Nuit divine !… nuit enchanteresse !… Mais soudain, tout renaît à la vie : les forêts, les étangs, les steppes, dès que s’égouttent, vibrantes et sublimes, les notes du rossignol d’Ukraine, et il semble que la lune elle-même se penche au bord des nues pour l’écouter.

    Nuit de mai, in Les veillées du hameau près de Dikanka, Gogol (1831)
    http://www.ebooksgratuits.com/html/gogol_veillees_du_hameau_1.html#_Toc243570112

    ===========================

    Знаете ли вы
    _______________украинскую ночь?
    Нет,
    ____вы не знаете украинской ночи!
    Здесь
    ______небо
    __________от дыма
    __________________становится черно,
    и герб
    ______звездой пятиконечной вточен.

    ДОЛГ УКРАИНЕ (La dette envers l’Ukraine), Maïakovski (1926)
    http://az.lib.ru/m/majakowskij_w_w/text_0520.shtml

    Connaissez-vous
    ____la nuit ukrainienne ?
    Non,
    ____vous ne connaissez pas la nuit ukrainienne !
    Ici
    ____le ciel
    ________de fumée
    ______________devient noir,
    et un blason
    ________à l’étoile à cinq branches y est gravé.

    http://books.google.fr/books?id=94En1cYM9ccC&pg=PA252&dq=%22la+nuit+ukrainienne%22&ei=_m8cU5Hs

  • C’est marrant, ce timing de l’actualité, y a comme un air de déjà vu.

    – J-2 Hollande se vautre avec les histoires de fiscalité, il perd 5 points dans les sondages
    – J-1 Sarkozy sort du bois, il dit qu’il va revenir car la France a besoin de lui
    – Jour J : Sarko se prend le retour de l’affaire Bettencourt et de l’affaire Guéant dans les dents.

    Parfois on est en droit de se demander si Hollande n’est pas plus puissant qu’il en a l’air...

    Le Point.fr est en mesure de révéler que l’ex-bras droit de Sarkozy a menti et que les 500 000 euros ont en réalité été payés par un avocat de Djibouti, dont le nom n’est pas inconnu dans le petit monde des grands contrats... On croiserait ainsi cet homme discret dans certaines opérations aux côtés de l’insaisissable homme d’affaires Alexandre Djouhri, un ami de Claude Guéant, très actif en Libye, notamment au cours du précédent quinquennat.

    http://www.lepoint.fr/societe/exclusif-affaire-des-tableaux-de-gueant-l-avocat-n-est-pas-malaisien-25-09-2

  • A propos de la conférence de Berlin en 1885

    The Scramble for Africa | 15 Minute History

    http://blogs.utexas.edu/15minutehistory/2012/10/24/episode-3-the-scramble-for-africa

    This episode provides an overview of the Scramble for Africa and how the 1885 Berlin Conference changed European colonialism on the continent. What did colonialism look like before 1885, and how did the Berlin Conference change the ways Europeans behaved? What did colonialism look like in various regions of the continent? And what are the lingering legacies of colonialism and de-colonization that continue to have an impact on contemporary Africa?

    #afrique #colonialisme #conférence_de_berlin

  • L’#odeur du #chocolat dope les #ventes de livres
    http://fr.myeurop.info/2013/07/24/l-odeur-du-chocolat-dope-les-ventes-de-livres-11700

    Quentin Bisson

    Des chercheurs belges de l’université de Hasselt ont eu du flair. Pendant dix jours, ils ont diffusé une odeur de chocolat dans une #librairie du pays. Surprise : leur drôle d’étude prouve que ce parfum booste la vente des livres.

    Voici une nouvelle qui fleure bon pour les libraires en mal (...)

    #Insolites #Société #Économie #Belgique #achats #consommateurs #inconscient #marketing_olfactif

    • Ca ressemble a du #neuromarketing
      il y a un exemple ici
      http://seenthis.net/messages/125850
      avec macDo qui voulait un parfum champêtre dans ses #toilettes et ses produits ménagers pour implanter une image plus « verte » dans l’esprit des gens. Ils avaient fait faire leurs études en GB car en France le docu dit que c’est interdit le neuromarketing. C’est légal en Belgique comme le montre cette étude.
      Il me semble qu’on utilise pourtant déjà les odeurs dans les commerces en France. Par exemple les boulangeries qui ne font pas leur pain genre dans le metro, diffusent une sorte de parfum beurre synthetique peu rassurante.

    • C’est de l’#éthologie. Maintenant, vous savez pourquoi je rame : je n’ai pas voulu que la science que j’avais étudié avec passion serve seulement à tromper les gens au profit de quelques multinationales. Sinon, y a le pschitt de « neuf » dans les voitures d’occase qui fait tu as l’impression que la voiture vaut plus cher qu’en vrai, les choix des couleurs des revêtements muraux, pour favoriser certains comportements.
      Mais y a aussi des chouettes trucs, comme la resonorisation des lieux de passages et transports en commun, pour limiter le stress et l’agressivité, ce genre de truc.

    • Je connait plutôt l’éthologie appliqué aux non-humains, mais c’est logique que cette science s’applique à l’homme, mais dans ce cas je pensait qu’on dirait #anthropologie. Par rapport à ce qu’on appel le #neuromarketing, est ce que c’est pas le mélange de plusieurs domaines (#marketing_olfactif, #design_sonore, #ergonomie, #éthologie, #psychologie...) ? Domaines qui ont en commun de pouvoir servir à vendre à travers l’inconscient individuel et collectif. C’est pas un nouveau mot pour dire #subliminal ?

      Je me demande aussi où est la limite de la manipulation dans ce cas. Par exemple je suis libraire et je met de l’encens dans ma boutique pour que sa sente bon, ou je propose du chocolat chaud tous les mercredi en hivers ou n’importe quelle idée conviviale pour rendre mon commerce plus sympas. Histoire que les clients reviennent et que les ventes augmentent. A quel moment je glisserait dans la manipulation ? Sans avoir besoin de faire une étude neuromachine, je me doute bien que si je pète derrière mon comptoir ça ne fait pas monter les ventes et que si ca sent bon le chocolat sa met de bonne humeur (enfin si on est pas la toute la journée, pour les salariés ca peut être aussi lourd que les musiques automatiques).

      Je part encore en digressions mais comme ca se passe toujours en #europe #myeurope ne m’en voudra pas ;)
      Sur la musique dans les commerces, j’ai eu pour la première fois à faire à une musique anti-squat dans un café à Bastille. C’était une toute petite musique discrète, très courte et répéter en boucle sans arrêt pendant les deux heurs que j’ai du passer dans le bar. J’ai pensé d’abord que c’était pour faire des économies à la #sacem mais je croi qu’en dehors de cet avantage, ca a fait tourner les clients. Elles m’ont incommoder ces 3 notes répétées sans fin, et pourtant j’aime la musique répétitive, mais là c’était un genre de boucle d’ascenseur insupportable. J’ose pas imaginer l’effet sur les serveurEs si deux heurs ont suffit à me faire fuir.

    • Dans le même ordre d’idée de trucs répétitifs qui rendent fou, je me demande quel est l’effet des milliers de validation des cartes navigo pour les conducteurs de bus, validation signalée par un son caractéristique et déjà, à petite dose, assez désagréable.

    • @baroug le compostage de billet fait pas un bruit génial non plus. Je ne sais pas ce qui est pire.
      @monolecte très interessant ton site, je vais m’y régaler :p
      Sur google book il y a quelques ouvrages disponibles sur le sujet par exemple ceci
      http://books.google.fr/books?id=zWyDobqWQooC&printsec=frontcover&dq=ethologie&hl=en&sa=X&ei=sS

      et puis j’ai trouvé aussi ceci que j’ai pas encore lu et que tu référence peut être déjà http://ethologie.unige.ch/etho1.01/4.Controle.du.cpt.Mecanismes.organisateurs.htm

      cette fois je suis totalement #hors_sujet j’espère que @myeurop ne me grondera pas ;)

    • Le neuromarketing, de l’IRM à l’acte d’achat
      http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/73482.htm
      Eline de Vries, chercheuse au CIC, a récemment donné une masterclass à la RUG sur un domaine actuellement en pleine expansion : le neuromarketing.

      Selon Eline van Vries, 80% des nouveaux produits mis sur le marché chaque année échouent à cause d’un mauvais marketing. Les conclusions présentées mettent en avant trois constats principaux :
      – le comportement des acheteurs est principalement déterminé par l’activation de deux zones du cerveau, celle liée à la douleur et celle liée à la récompense ;
      – si la zone liée à la récompense est d’avantage sollicitée, les consommateurs auront tendance à acheter le produit ;
      – l’activation de la zone liée à la récompense par rapport à celle liée à la douleur peut également fournir une indication importante quant au prix de vente optimal du produit.

      http://www.unifocus.nl/site/pagina.php?id_item=256&tab=journaals

    • @supergeante La raison principale qui fait que 80% des nouveaux produits échouent, c’est surtout parce qu’il s’agit de merdasses inutiles dont personne n’a besoin, sauf les mecs qui veulent conditionner les gens à les acheter quand même, juste pour leur remplir les fouilles.

      Du coup, bosser pour les entreprises qui entendent forcer les gens à acheter des choses contre leur gré est à mon sens une perversion majeure de l’esprit scientifique.

    • @myeurop c’est pas gagné, je suis capable d’aimer le roboratif...
      (je fait partie de la secte des adoratrice de la patate par exemple ^^)

      @supergeante & @monolecte
      je tique en particulier sur ceci

      – le comportement des acheteurs est principalement déterminé par l’activation de deux zones du cerveau, celle liée à la douleur et celle liée à la récompense

      qui fait penser à du dressage canin ou autre.
      http://www.youtube.com/watch?v=M3jkitf248c


      Le cerveau qui ne connaitrait que des punitions/récompenses ca fait très sado-maso, pas étonnant que le marketing domaine ultra-capitaliste ne connaisse que cela.
      Il y a un super roman de Victor Pelevin « Homo Zapiens »
      http://www.salon.com/2002/02/21/pelevin_2
      pas facile à trouvé en français et en plus je me suis fait endormir mon exemplaire, ce qui se comprend vu comme le livre est bien.
      Pelevin raconte l’histoire d’un marketeux de l’époque #Boris_Eltsin, qui par l’absorption de champignons hallucinogène parviens à voire derrière les apparences et découvre la grande déesse #Babylone qui se cache dans la boite de pub qui l’emploi. Il y a tout un passage sur la « wow stimulation anale » qui décrit le mécanisme punition-récompense que provoque le capitalisme moderne.
      Pour continuer dans la digression ca me fait pensé à la télé dont les programmes sont quasiment totalement construits sur ce schéma punition-récompense
      A la télé il y a des flics, plein de flics, plein de séries policières avec des policiers partout. Il y en a aussi pendant les JT. Ca doit faire deja 1/3 des programmes dédiés à la punition/récompense.
      après il y a le fric et ceux qui en ont. les émissions people, les trucs de jeux d’argent, les émissions sur l’économie, dans les JT aussi on invite souvent les riches. Comme les gens qui regarde la télé ne sont pas milliardaires contrairement aux gens qui sont dans la télé, il y a ce coté vivre par procuration, s’identifier à. Histoire que le spectateur se dise que l’argent ne fait pas le bonheur et sinon que voire des gens contant c’est un peu comme si on l’était. Tout ca est très bien expliquer par #Mona_Chollet dans son excellent texte « Rêver contre soi-même »
      http://www.peripheries.net/article311.html

      Bon pour le dernier tiers des programmes TV, je suis moins au point, j’ai plus ce machin depuis quelques années alors peut être que ca a changer, mais la télé dite « télé réalité » me semble très typique je sais pas si j’en avais deja parler ici.

      Un truc comme le Loft me semble parlant. Comme ca semble toujours rencontrer du succes, c’est que ca parle aux gens.
      Voila comment je voie le truc :
      Des gens sont enfermés et la punition c’est de leur donner la liberté, comme au paradis patriarco-monothéiste, l’idée c’est que le malheur c’est d’être libre*. C’est déjà un drôle de truc. On a des gens un peu comme tout le monde, c’est plus ou moins l’intention du dispositif ou ce qu’il veut faire croire au spectateurE. Je regarde des gens comme moi et plein de gens les regarde, c’est un peu comme si on me regardait. Ca fait plaisir, hop récompense.
      Après la personne sera punis ou récompensé. Moi aussi un peu en passant, toujours par procuration. Celleux qui survivent au dispositif sont l’objet d’une sorte d’intérêt publique. On leur donne accès à la Jet set, au Show-biz, au club des domiants et tout le bazar. C’est quelqu’un comme moi qui deviens un peu grâce à moi un élu, ca me récompense de plusieurs manières.
      La personne élu quant même n’est pas de « ce monde », et du monde se presse au portillon, on a pas arrêter de faire des émissions (perso une seule me suffisait amplement mais big brother ne me consulte pas !). Elle retombe vite dans l’anonymat, paf punition. Ca à l’aire de s’accompagner d’un tas de problèmes de dépressions et de toxicomanie. punition-punition-punition.
      Après une période plus ou moins longue, l’ex-élu sort un bouquin témoignage sur la traversé du désert post loft ou sujet de ce genre. La télé l’invite, le spectatateurE peut cette fois savourer la phase punition. Comme si il fallait que les choses reviennent à leur place et que les « élus » payent le privilège qui leur fut accorder. Après tout il n’y avait aucune raison pour que cet « élu » le soi. C’est bien normal qu’ille soit punis et moi aussi par procuration.
      Après la boucle peut reprendre, l’ex-élu peut refaire une télé-réalité et rejouer cette tragi-comédie du sado-maso.

      bon c’est peut être fumeux tout cela. Il fait bin chaud alors je m’excuse d’avance si c’est n’importe quoi mes histoires.

      *j’en avait fait un dessin à l’époque du Loft sur lequel j’avais plus ou moins écrit la réflexion dont je vous ai fait part ici. C’est l’Archange Loana chassant Adam & Eve du paradis télévisuel.

      Ahlala en plus de flooder je fait du #shamless_autopromo !!!

    • Digression suite - spécial cop culture 4 @mad_meg
      http://seenthis.net/messages/159934

      @monolecte : je cite, je n’ai pas commenté. Si on suit le concept du neuromarketing, il s’agit bien de parler à la part non consciente, d’influencer via la part animale de l’être humain. Que les objets soient utiles ou pas n’est pas le sujet. Ce que je me demande quand même, c’est si ces méthodes fonctionnent aussi avec des esprits réfractaires à la consommation impulsive. Dans le reportage http://seenthis.net/messages/159858 (digression n°2 suite à ce post) l’un des exemples montre bien une personne qui pense réagir à un certain stimuli d’une publicité alors qu’il s’avère que son corps trahit une réaction à un autre élément de la publicité : la photo du hamburger. C’est ce que dit l’expérience chocolat à l’origine de nos commentaires. Le neuromarketing agit là où on ne l’attends pas.

    • Ces trois classes composant le ménage forment une division à part dans la série des parasites. Elles cesseront d’y figurer dans l’état sociétaire...

      Autrement dit si on met plus de tâches en commun (meilleure répartition pas juste à l’intérieur d’une même famille), et que chacun participe à sa mesure aux tâches communes (y compris les enfants).

      Ses formulations paraissent mettre de côté toutes les tâches de « care » (soin des autres et de la maison), essentiellement effectuées par des femmes (encore plus en son temps), et sans lesquelles la société s’écroulerait. MAIS, je crois qu’en vérité il a en partie raison quand même, car une grande partie de ses tâches pourraient éventuellement être mises en commun (s’occuper des petits enfants par exemple) et cela réduirait effectivement le nombre de personnes faisant la même chose chacun dans son coin.

      Après, faut pas non plus prôner l’efficacité en permanence, c’est bien aussi de faire des choses inutiles (mais en fait c’est bien seulement si on ne s’y sent pas obligé de les faire, que ce n’est pas une obligation, si on est obligé et qu’en plus ça pourrait être inutile, là c’est vraiment parasitaire).

    • désolé @touti °x° ca m’a fait tout drôle aussi !

      @rastapopoulos je ne sais pas si il compte vraiment donner des tâches aux êtres « maladroits et malfaisants » que sont les enfants pour lui. Son histoire des 4 vaches est comique mais je ne suis pas certaine que Fourier la voulait humoristique. Pour les femmes et le care, je suis d’accord avec toi qu’il n’en tiens pas compte comme d’un travail. Il me semble que c’est une des raisons qui ont fait capoter beaucoup d’expérience de Phalanstères.

      Il faut du féminisme dans le fourierisme !

    • Remarquez que cette analyse est antérieure à la révolution industrielle.

      Depuis, le Capital s’est employé à résorber les contingents d’inemployés les plus nombreux : (femmes et domestiques). Pour les enfants, elle a inventé l’école obligatoire dans l’espoir de les rendre plus productifs une fois devenus adultes, pari à l’évidence tenu !

  • Victor Pyanet
     ?
    15/04/1860 Paris ?

    Montparnasse
    13è division (démolie en septembre 2009)

    Très peu d’informations sur ce sculpteur statuaire-ornemaniste.
    Certaines de ses œuvres sont mondialement (mé)connues puisqu’il a été la main qui a donné forme aux dessins de Viollet-le-Duc, notamment les chimères (et gargouilles, purs produits du néogothisme du XIXè) de Notre-Dame-de-Paris.

    WP Notre-Dame-de-Paris, les Chimères
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Notre-Dame_de_Paris#Les_gargouilles_du_Moyen_.C3.82ge_

    Ces statues monumentales, grotesques certes, mais surtout effrayantes, étaient destinées à recréer l’atmosphère fantastique dans laquelle baignait le Moyen Âge. Ces œuvres furent conçues par Viollet-le-Duc lui-même qui les dessina, s’inspirant des caricatures d’Honoré Daumier, d’une édition illustrée de Notre-Dame de Paris de 1844, de ses propres illustrations des Voyages pittoresques et romantiques dans l’ancienne France et des obsessions du xixe siècle (eugénisme, homophobie, physiognomonie et théorie de la dégénérescence) : singes et hommes sauvages, crétin unicorne, figures de la propagande antisémite (mythe du juif errant)50,51… Les statues furent réalisées par les membres d’une équipe de 15 sculpteurs remarquables du xixe siècle (le principal étant Victor Pyanet) rassemblés autour de Geoffroy-Dechaume

    Voir aussi Paris.fr http://www.paris.fr/accueil/accueil-paris-fr/notre-dame-les-chimeres-ces-monstres-qui-guettent-paris/rub_1_actu_123695_port_24329

    ou pour ses interventions en Bourgogne (restauration de Vézelay, toujours pour Viollet-le-Duc) http://books.google.fr/books?id=XEOyT81lEYIC&pg=PA125&lpg=PA125&dq=victor+pyanet&source=bl&ots

    Index : http://seenthis.net/messages/161324

  • Austérité en Grèce : la télévision publique va cesser d’émettre ce soir
    http://www.leparisien.fr/international/austerite-en-grece-la-television-publique-va-cesser-d-emettre-ce-soir-11-
    Oups !

    La décision est inattendue et soudaine. « C’est un choc total », commente un journaliste. Mardi, le gouvernement grec a annoncé la fermeture « à la clôture des programmes » à minuit de la télévision publique ERT, en raison de sa mauvaise gestion. Après cette annonce, des centaines de personnes commençaient à affluer autour du siège de la télévision publique, dans la banlieue nord d’Athènes.

    Pantelis Gonos, un journaliste de la rédaction explique sa stupéfaction : « Le gouvernement, sans consultation ni discussion, a choqué tout le monde en annonçant la suspension à minuit de la télévision. Tous les écrans vont être noirs et personne ne sait quand elle rouvrira. » « En tant que journalistes, nous allons essayer de la maintenir ouverte et de poursuivre les diffusions jusqu’à ce qu’on nous ferme. Peut-être vont-ils faire venir la police ? » s’est-il interrogé.

    #télévision #services_publics

    • Athènes éteint l’audiovisuel public par mesure d’économie
      http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20130611.REU6082/la-radiotelevision-publique-grecque-rattrapee-par-la-crise.html

      Le gouvernement grec a annoncé mardi la fermeture temporaire de la société de radiotélévision publique ERT dans le cadre des mesures d’économies budgétaires, suscitant les protestations des salariés et de certains partenaires de la coalition au pouvoir.

      Les trois chaînes de télévision de l’ERT ainsi que la radio publique cesseront d’émettre dès ce mardi à minuit et seront relancées à une date qui n’a pas été précisée, après des réformes prévoyant notamment une réduction des effectifs, a précisé le porte-parole du gouvernement, Simos Kedikoglou.

      « Au moment où l’on impose au peuple grec de lourds sacrifices, il n’est plus question de repousser au lendemain, d’hésiter, d’épargner les vaches sacrées », a-t-il ajouté - justement à la télévision publique.

    • La meilleure nouvelle depuis bien longtemps. Pour le coup, ils ne savent pas la chance qu’ils ont les grecs.
      T’imagines, en France, on t’annonce que la télé publique ferme aujourd’hui à minuit !! Plus de Pujadas, plus de canal 5 qui est le sommet de la merde, plus de navets sur la 3, plus de 4, un rêve.
      Peut-être un regret, Taddeï et encore.

    • Y’a toujours deux façons de voir les choses : la tienne, et sa traduction ici : « ben comme y’aura TF1 quand même après, alors on touche rien et il vaut mieux garder TF2, TF3, TF4, TF5, ... »

      Et pis y’a la mienne : « Ouais, mais ça ferait quand même bien le ménage. Ça pousserait peut-être les gens à regarder l’autre, à sortir de chez eux pour discuter comme dans le temps dans la rue, au bistrot. P’têtre que certains se mettraient à lire des trucs, à partager vraiment avec leurs gosses et pas avec leur télé, ... ». Je sais, c’est optimiste, trop peut-être, mais j’aime bien le croire.

      Choisi ton camp camarade, j’ai choisi le mien : Pujadas est pour moi plus un problème qu’une solution, avec ou sans TF1.

    • Pujadas n’existe que parce que France 2 est en concurrence avec TF1, c’est une sorte de métastase de la télévision privée. Mais si France TV disparaissait, ce serait encore pire : tu aurais une Laurence Ferrari quelconque qui réapparaitrait sur un TF2 ou un NRJ3.

      Il faut être bien naïf pour s’imaginer que la disparition de la TV publique ferait sortir les gens, les inciterait à lire, etc. La disparition totale des écrans peut-être. Mais pas seulement la disparition des moins cons.

    • Ah oui, bonne idée ...
      En même temps ; si la disparition de la télé publique réveille des gens, ça veut dire qu’ils y trouvent quelque chose ... (je ne sais pas quoi ... ?) de différent ... Parce que effectivement, TF1 ou F2, la différence n’est pas toujours flagrante, si ce n’est que TF1 fait fièrement caca tandis que F2/3/4/5/Ô a honte de sa merde.

    • On a décrété que France2 devait avoir le même niveau de « performance » que TF1. Que France2 devait faire « comme » TF1. Du coup, on a décrété que le modèle commercial devait être suivi, que les chaines publiques devaient être des chaines comme les autres. Ce qui est une aberration idéologique de plus, une façon de détourner le moyen de son objet et de faire dire aux gens biens « ah mais tant mieux, de toute façon, c’était pareil que les autres ».
      Cette mise en concurrence est artificielle, la télé publique n’a jamais eu besoin de vendre de la publicité, elle n’a jamais eu besoin que son journal soit visualisé par plus ou moins de monde que TF1... Seulement, il y a au pouvoir les mêmes gens que ceux qui possèdent les télés privées... Alors... Toutes les télés sont à la même enseigne, dirigés avec les mêmes objectifs, celui de contrôler le troupeau.
      L’audiovisuel serait indépendant et... rêvons... contrôlé par des gens tirés au hasard dans la population par exemple... Ca serait autre chose.

      Bref, ce qu’il se passe en Grèce est un précurseur de ce qu’il se passera dans tous les pays acceptant les ordres de la Commission Européenne, organe qui sera plus tard, dans les livres d’histoire, désigné pour ce qu’il est : l’exécutif d’une dictature soft au niveau européen.
      Nous aurons tous nos Aubes dorées, milices d’extrême droite dont l’objectif sera par la violence (rarement condamnée) de faire taire les méchants gauchistes (les articles sur le sujet pullulent... mais il paraît que ce sont des légendes, car tout le monde le sait, seuls les gauchistes sont violents, cf. ce qu’il se passe aussi à Istanbul...).

    • @biggrizzly

      Du coup, on a décrété que le modèle commercial devait être suivi, que les chaines publiques devaient être des chaines comme les autres. Ce qui est une aberration idéologique de plus, une façon de détourner le moyen de son objet et de faire dire aux gens biens « ah mais tant mieux, de toute façon, c’était pareil que les autres ».

      Oui l’idéologie libérale et son dogme de la gouvernance par le marché concurrentiel est en train de finir le job via le cheval de Troie européen. Les missions régaliennes de l’Etat finiront privatisées une par une. Filoche évoquait une directive européenne applicable en 2017 pour libéraliser le marché de collecte des cotisations sociales d’employeur (en gros privatiser l’URSAAF), puis, j’imagine, de libéralisation de ce qu’il reste des prestations de la Sécu (retraites, maladie..), bref, en gros à privatiser l’administration française..
      Faire disparaitre les télés publiques n’est sans doute pas un accident. Pour les libéraux, ça consiste juste à se débarrasser d’un « archaïsme »..
      Eu Europe, c’est finalement le capitalisme qui est en train de faire table rase du passé...

    • Via le black out de la radio-télévision publique grecque ERT, c’est un symbole fort qui vient d’être mis à bas : celui d’un service publique d’informations et d’accès à la culture.
      Maintenant, on pense ce qu’on veut de la qualité des contenus, du rôle de Pujadas par rapport aux journaux télévisés du privés, et de la nocivité des « sévices publiques ». Il n’empêche que si l’on confie ces missions à des officines privées, je rejoins @odilon dans ses craintes.
      Et quoiqu’il en soit, la contestation de l’ordre établi a plus de chance de passer par l’instance publique que par des sociétés privés.

      http://books.google.fr/books?id=NEvtSq3DXkQC&pg=PT29&lpg=PT29&dq=ORTF+contestation&source=bl&o

      (N’ayez pas peur (du bonheur) de Google, il n’existe pas.) #Fuck_big_brother

    • Désolé d’exhumer cette discussion, mais je voulais affiner ma pensée.

      Je souhaite rassurer ceux qui s’offusquent de la possible disparition de la télé publique française en leur disant … qu’elle a déjà disparu et depuis longtemps encore.

      Qu’est-ce qu’il y a dans tout l’audiovisuel public qui mérite encore que l’on se batte pour que ça perdure ? Arte, avec botul au directoire et Lecomte en expert ? la 5 avec Calvi en philosophe de caniveau, soeur caroline en spécialiste de tout et l’élaborateur de listes des « justes » en censeur ? france 2 avec Pujadas en zitrone moderne, mais en pire ?…

      L’audiovisuel public est mort depuis longtemps, vous essayez de sauver un fantôme.

      @odilon : tu as raison, fô se méfier de leurs envies de fermer l’internet, le seul espace de vie que nous laisse (encore) nos maîtres.
      Mais, je ne vois pas trop le rapport avec la TV et surtout,
      pour nous défendre, il faut se poser la question de savoir qui souhaite fermer internet et connaître ainsi les « ennemis ». Tu en truveras une liste (non exhaustive) dans le lien ci-dessous ;-) Ils ont l’air d’aimer la télé pourtant...

      Pour finir sur une note d’#humour, quand on atteint ce type de communion, alors il faut en déduire qu’il y a forcément de l’eau dans le gaz :

      Un tel œcuménisme ça laisse rêveur, même le nikos est choqué ;-) : http://teleobs.nouvelobs.com/actualites/20130612.OBS2893/en-direct-les-politiques-francais-reagissent-a-l-arret-de-la-tele

      #barnum

  • Project MUSE - Cartographie dans les médias / Cartography in the media (1983)

    https://muse.jhu.edu/books/9782760522930

    Cartographie dans les médias / Cartography in the media

    Majella J. Gauthier

    Les cartes et les diagrammes dans les médias - Approche théorique d’un savoir-faire graphique : étude de quelques produits graphiques des hebdomadaires nord-américains, Newsweek et Time - Essai d’évaluation des cartes dans les médias du Royaume-Uni - Un bilan des images graphiques (diagrammes et cartes) dans la presse française : 1980-1986 - La cartographie journalistique - Notes sur la cartographie dans Newsweek Magazine - La cartographie peut-elle être « sexy » ? - Nouvelles orientations cartographiques du magazine de la National Geographic Society - La remémorisation et le rappel des cartes et autres graphiques - Table ronde sur l . . . show more

    #bibliographie #cartographie #infographie #journaux

  • La rhétorique négationniste .

    Si le négationnisme visait la vérité historique, il ne multiplierait pas les attaques contradictoires contre les prétendus “exterminationnistes”. Le but est ailleurs. Il s’agit, par des moyens rhétoriques (généralisations abusives, citations controuvées, affirmations péremptoires, fabulations pseudo-historiques, démarche en crabe, dénégations, brouillage des références, argument d’autorité mêlé au sarcasme crispé...), de saper la crédibilité des universitaires et du monde savant, en les faisant passer pour des affabulateurs au service de l’idéologie dominante. Il s’agit surtout de briser le consensus propre à la démocratie, au nom d’un dissensus corrupteur se réclamant d’une liberté bâillonnée...

    Invités : Gilles Karmasyn, concepteur et animateur avec Nicolas Bernard du site Pratique de l’histoire et dévoiements négationnistes et Michael Rinn, professeur en sciences du langage à l’Université de Brest, agrégé de lettres, docteur en linguistique, qui a publié des travaux sur l’indicible de la Shoah (Les récits du génocide. 1998 ; « Imre Kertész. Une écriture de l’extrême contemporain », 2005 ; « L’effet de style. Au sujet du Sang du ciel de Piotr Rawicz », 2007). Depuis plusieurs années, il analyse les discours de l’extrême contemporain (Rhétorique de la communication publique, 2002), théorisant le fonctionnement argumentatif des nouvelles techniques de communication (« La mémoire courte d’Internet », 2006 : « Cybernégationnismes », 2006).
    Invité(s) :
    Gilles Karmasyn
    Michael Rinn, linguiste, professeur en sciences du langage

    http://www.franceculture.fr/emission-tire-ta-langue-la-rhetorique-negationniste-2013-03-03

    • Avec en dernier « lien(s) » le conseil d’aller lire :
      Le pathos négationniste des sites islamistes par l’intervenant Michael Rinn :
      http://books.google.fr/books?id=ouazL12hOAgC

      Hum…

      Et donc ce texte se termine par l’élégante conclusion :

      Or la radicalisation progressive des discours, partant de l’argumentaire pseudo-modéré d’un Tariq Ramadan, à la polémique ad hominem de Lounis Aggoun, en passant par le sémantisme erroné de François Burgat, permet de renforcer les liens toujours plus étroits entre antisionisme, antisémitisme, islamisme et totalitarisme. La pathos négationniste paraît ainsi délimiter les menaces de la barbarie contemporaine.

      Et allons donc… On part d’une analyse du discours négationniste pour en arriver à une dénonciation de l’antisionisme, avec imputation d’antisémitisme. Mais pourquoi ?

    • A titre rapide, et sans connaissance totale des implications de la lecture, je dirai qu’en France la critique des juifs est interdite sous peine d’être accusé de racisme (punis par la loi). Pour cette raison beaucoup d’auteurs d’extrême droite ont abandonné simplement le terme, pour le remplacer mécaniquement par « antisionnisme ». C’est ce que dénonce entre autre le dictionnaire sur l’extrême droite a l’article conspiration.
      Ce choix d’employer antisionnisme au lieu d’anti-juif, permet par ailleurs a cette extrême droite d’en rajouter avec le confusionnisme rouge-brun déjà accentué par certains groupes.
      D’une manière générale a mon avis, c’est à l’antisionnisme de gauche qui ne serait pas un antisémitisme de prendre toute les précaution nécessaire pour a la fois dénoncer cette confusion et affirmer qu’elle ne la partage pas.

    • C’est une plaisanterie ?

      c’est à l’antisionnisme de gauche qui ne serait pas un antisémitisme de prendre toute les précaution nécessaire

      Ta tournure au conditionnel : « qui ne serait pas un antisémitisme », est d’une élégance rare. Charmant, vraiment. Tu en as d’autres, des imputations automatiques de ce genre, ou c’est juste sur ce sujet-là ?

    • Ma formation me force a mettre des précautions particulière sur ces sujets la, tellement la confusion est courante, et les précisions pas toujours évidente. Beaucoup se sont réclamé de gauche, et a travers un parcours tournant autour de la laïcité et de la critique de la religion, se retrouve aujourd’hui effectivement dans des courants d’extrême droite. Comme je ne connais pas les gens a priori, que je ne vois que leur écris, pour moi l’affirmation de juste être de gauche et contre le sionnisme ne suffit pas a se prémunir des réinterprétation certes abusives, mais possible.
      Quand on écrit un texte sur ces sujets la, on le fait en connaissance de la scène sur laquelle a lieu le débat. A partir de là, il faut toujours prendre ses précautions pour éviter les interprétations abusives, quand c’est possible.

    • Par exemple sur un autre sujet, comme l’écologie, et surtout la décroissance, personellement je prends toujours le soin de critiquer les courants de droite et d’extrême droite qui pourrait se reconnaitre dans certaines des critiques que j’effectue. En particulier, je critique le malthusianisme et les localismes qui parfois servent en fait de prétexte a travers un « régionnalisme » a une transposition de l’idéologie du patriotisme.