« Au bout du compte, je ne sais évidemment pas à quoi nous avons vraiment affaire. Les catégories d’analyse classiques me semblent décidément impuissantes à décrire les nouveaux appareils de surveillance (ou bien je manque d’outils critiques). Cette surveillance à la fois omniprésente et sans pression véritable, déréalisée, abstraite, pour la majorité de ceux qui la subissent. Cette surveillance à laquelle participent, de manière de moins en moins inconsciente, les surveillés. Cette surveillance qui n’a potentiellement de limites ni dans l’espace, ni dans le temps. Comme le réseau, c’est à la fois une idée, et des paquets de données. » ▻http://www.techn0polis.net/2013/10/30/de-quoi-prism-est-il-le-nom
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