Denis Szalkowski exprime l’état d’esprit dans lequel je me trouve aussi, sauf que j’ai depuis bien longtemps arrêté de compter sur Le Monde de m’informer (il y a maintenant des sources plus variées, plus crédibles, plus riches et infiniment plus intéressantes et mieux renseignées qui permettent d’être tout à fait bien informé).
Et les quatre ligne minables de Jérôme Fenoglio ne vient que renforcer mon dégoût pour ce type de développement journalistique : pourquoi payer pour lire des mecs qui parlent comme des petits patrons de startups ? Et le mec sans honte met sa photo et te regardes droit dans le yeux.
Avec des « journalistes » de cette espèce (je n’évoque même pas Leparmentier), le Monde est devenu totalement inutile.