• Démobilisation générale - Quand L’autruche eternue
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    Avant même d’avoir pu parer aux urgences très concrètes affectant la population, Aléxis Tsipras fut contraint d’entamer la tournée des popotes européennes, à seule fin de rassurer les marchés financiers, ces grands inquiets du maroquin. Rarement une élection n’aura à ce point démontré l’innocuité du vote, déclaré nul et non avenu par le quarteron milliardaire dictant à la Communauté sa politique monétaire. Le principe est désormais publiquement revendiqué par Jean-Claude Junker lui-même, incendiaire pompier et président de la Commission : « il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens », est-ce clair ? En quelle langue faut-il vous le répéter, bande de… prolétaires ? Qu’on les punisse ! La bourse d’Athènes dévissait à hauteur de 10% dès le lendemain de l’élection, et la banque centrale européenne s’empressait de rapatrier 11 de ses précieux milliards, retirés des banques grecques. Le véritable événement est là, non dans la farce démocratique conduisant un pantin à régner sur du vide. « Attendons quelques mois », écrivait-on dans l’ « autruche » précédent celle-ci : dans les faits, il aura suffit de quelques heures pour que l’ordre des priorités se trouve bouleversé, que le candidat ne se transforme en élu « pragmatique », c’est-à-dire fortement tributaire de la Finance, euphémiquement parlant.

  • Le rat et les pigeons : fable - Quand L’autruche eternue
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    Une saloperie qu’on aimerait bien, elle aussi, voir disparaître, ce sont ces connards de pigeons qui dégueulassent tout, qui sont moches, qui sont cons et qui sont partout. Ces Ubus de trottoir, il faut voir comment ils se la pètent ! Suffit qu’une vieille folle leur refile un quignon, et ça roucoule, c’est le roi du monde ! Bien entendu, je ne parle pas ici de nos amis à plumes, délicieux avec des petits pois, de ces inoffensives bestioles aux déjections acides, non non, je parle du collectif virtuel de petits chefaillons d’entreprises naines, de ces nuisibles s’étant eux-mêmes baptisés « les pigeons ».

    C’est qui ? C’est trois trouducs, tyranneaux de bureau dirigeants de start-up — ça existe encore, ça, les « start-up » ? Oh, mais alors ça veut dire que Mylène Farmer chante encore, et vive les nineties ! — une petite palanquée de branleurs planqués derrière leur Mac et bien instrumentalisés, juste pour voir, par le Medef. Là, surprise : il aura suffit d’un pauvre texte de ces boutonneux se plaignant d’être trop taxés pour que Hollande, Ayrault, reculent et revoient leur copie. On rêve… « On nous prend pour des pigeons ! », ont chialé les fils à môman. Mais non, vous n’êtes pas des pigeons, imbéciles : vous êtes des rats. Et n’avez pas besoin de passer par le laboratoire pour développer vos tumeurs.

  • Reprise rapide du travail

    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? C’est fou comme les étés se suivent et se ressemblent… Me baladant tranquille dans un Saint-Imier noir d’anars (là-dessus, nous reviendrons), j’avisais la Une de Libé : « Roms, le devoir de la France » , annonçait-elle en gras. Suivait un blablabla signé Duflot, sans conséquence. (lire la suite ici) http://quand-l-autruche-eternue.over-blog.com/article-reprise-rapide-du-travail-109474411.html

    #Saint-Imier #Pussy Riot #Roms

  • Manuel Valls a mis le temps.
    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? Thierry Peugeot serait comme en dépression post-industrialo traumatique, tancé par Hollande lui-même et Montebourg-moi-le-mou, le voilà, l’automobileur, qui se rebelle : « il y a des limites à la critique », chiale le représentant d’une des premières fortunes de France. « Il y a des mots que je n’ai pas aimé, comme mensonge, dissimulation », continue-t-il, sanglotant. Puis, ce fils de chien de sa race de Peugeot d’héritier consanguin, de couiner : « nous avons des valeurs d’humanisme et de respect. » Respect de l’actionnaire, oui !... (lire la suite ici) http://quand-l-autruche-eternue.over-blog.com/article-manuel-valls-a-mis-le-temps-108624147.ht

  • Peugeot l’esclavagiste : Aulnay grillé

    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? Un régiment de marsouins défilait, hier matin, en tête des troupes s’il-vous-plaît ! Flipper le dauphin, en opération extérieure, n’était pas disponible. Il était cependant naturel d’honorer l’infanterie de marine, puisqu’on nous informe qu’elle prend une part active au toujours « rouge renforcé » plan vichypirate. Et que ça se ballade sur les boulevards, Famas en bandoulière, à mater la chalande… Bande de planqués !... (lire la suite ici)


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  • 264 éloges de la passe.
    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? Après avoir fêté comme il se doit la défaite des Morano, Lefèvbre, Guéant, Royal et autres Lang (sans bien sûr oublier Le Pen), après avoir soufflé grandement de soulagement lorsque le rideau est tombé sur la dernière séance de ce cinoche électoral, il a bien fallu constater que, branlée ou pas, rien ne semble devoir dissuader le personnel politique en matière d’enfilage de perles... (lire la suite ici)

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  • C’est l’été, Belle Province : l’Espagne n’est pas loin, la vaseline sent la rose.

    Tirant tête au hors du trou, qu’entends-je ? La « revanche du p’tit chauve », comme disait non sans joliesse ce suceur de Bic de Franz-Olivier Giesbert en parlant de l’élection de Hollande, cette revanche, nulle doute qu’elle est cette fois sur les rails. Reste à savoir de qui le petit chauve se venge : il pourrait s’agir d’Aubry, du Parti Socialiste, de certains de ses « camarades ». Il ne pourrait, par contre, s’agir de la bourse ou du patronat lesquels, rassurés par le mol retour de la social-démocratie, ressortent de sous le tapis les plans sociaux planqués un temps dans l’espoir d’une réélection de leur champion toute catégorie, j’ai nommé Sarko-le-Marocain. Ça a foiré, pas grave, on retourne au turbin, on dégraisse : à Air France, les « départs naturels (sic) et volontaires » se solderont par la suppression de rien moins que 5000 postes : en concurrence directe avec ArcelorMittal, qui vient de prolonger de six mois l’arrêt des hauts fourneaux de Florange. Depuis le temps que les copains se battent là-bas et répètent que jamais on les rallumera… Quoi encore ? Ah, Technicolor, fabriquant de matériel vidéo, en redressement judiciaire, Pétroplus, raffinerie ayant vu passer tout ce que le pays comptait de candidats aux présidentielles, à l’époque des folles promesses : elle est à l’arrêt aujourd’hui, et Arnaud Montebourg, ministre du redressement-de-ce-qui-s’affaisse avoue que le plan de sauvetage par ses soins agencé a « vingt pour cent de chances de réussir ». Encourageant… Tout cela, c’est sans compter le volailleur Doux, grand massacreur de poules, de dindons et d’emplois, dont la faillite menace 4000 salariés. Une paille… Tout continue donc de rouler comme naguère au pays du « président normal ». Les prolos vont s’en prendre plein les gencives, tandis que le patronat, lui, n’en finira plus d’engraisser. C’est que, selon Parisot, « le désendettement du pays ne doit pas se faire sur le dos des entreprises », mais sur le nôtre, cela va de soi. Et quand elle annonce, sans le prouver, que « la dégradation de l’économie française s’accélère », ce n’est pas aux victimes des plans sociaux qu’elle songe, mais bien au rétrécissement des marges colossales concédées aux entrepreneurs, aux profits générés par la grâce du CAC40.

    Face à la suffisance et à la morgue de ces bouffeurs de vies, face à l’appétit capital de cet ogre jamais rassasié, quelle solution proposent nos nouveaux maîtres et seigneurs ? Des coups de mentons sans gravité, des déclarations non suivies de décisions d’importance, rien pour stopper l’hémorragie, rien pour briser leur faconde et enfin les toucher au cœur, c’est-à-dire au porte-monnaie. Ça noie le poisson, comme d’habitude, ça attend de laisser passer la nouvelle salve d’élections avant d’annoncer que, finalement, ça renonce et recule, sur tous les fronts. Ça endort comme ça peut le peuple à grand renfort d’annonces ultra médiatisées mais toutes situées sur le plan des mœurs, mariage des homosexuels, dépénalisation éventuelle du cannabis, et autres écrans de patchouli. Ça pense que ça évitera ainsi de parler de l’essentiel, d’aborder les sujets qui risqueraient de fâcher la finance mondiale. Alors, les Grands Enjeux du moment sont et doivent rester : l’école, le samedi matin ou pas ? Pour ou contre le port du jeans lors du conseil des ministres ? Et mes fesses, tu les trouves belles, mes fesses ? Nulle doute que cette carabistouille fera sauce gribiche à nous faire avaler nawak, et quand nous serons bien habitués à ne pas voir la vie changer les mols socialos recommenceront à nous la mettre mais avec, cette fois, une vaseline qui sent la rose.

    Pendant ce temps certains Ump passent alliance, sans vergogne, avec le Front National. Il s’agit d’être réélu, quitte à vendre son cul. D’autres, tel le maire de Nice, n’ont pas encore osé franchir le Rubicon — comme son nom l’indique. Ils n’en multiplient pas moins les signaux clairs, nets et glaireux, en direction de l’électorat nazioïde : après avoir, sur le territoire de sa commune, « réglementé les activités des artistes de rue », après avoir purement et tout bonnement « interdit la consommation d’alcool sur les plages, dans les rues et les parcs du centre-ville », Estrosi vient de pondre un arrêté municipal contre les mariages dits bruyants, lesquels devront désormais « se dérouler sans cris ni sifflets, ni drapeaux étrangers ni groupe de musique folklorique non autorisé. » Re-sic. Outre qu’on ignorait qu’un drapeau puisse être bruyant, on devine assez facilement, à la lecture de l’arrêté, quelles communautés y sont expressément visées. Là aussi, la réponse apportée par le nouveau pouvoir à cet ostracisme local parfaitement assumé est un silence, assourdissant et tout à fait « bruyant ».

    Après avoir souillé de sa nauséeuse lascivité les palaces new yorkais et le Carlton de Lille, Strauss-Kahn viendra-t-il, sans sifflets ni trompettes, promener sa masse graisseuse sur la promenade des Anglais ? Peu de chances, l’empafé se terre. Il se terre depuis qu’il osa, le 6 mai dernier, réclamer par voie d’avocat à Melle Diallo, la victime avérée de sa couillopathologie, la somme pour lui modique d’un million de dollars, sans rire. Ceci en raison de ses « fausses déclarations, et pour avoir porté atteinte à sa réputation dans le monde, et lui ayant fait perdre d’autres opportunités professionnelles. » Arrêtons-nous un temps sur ce vocable, le voulez-vous ? « Opportunités ». A supposer que ce grand malade évoque là sa possible élection aux présidentielles, le mot est alors, avouons-le, parfaitement choisi : il ne s’agissait jamais, pour lui, que d’une « opportunité », à la hauteur de celle se présentant au VRP de Monsieur Meuble se voyant proposer un poste de directeur régional. Finalement, l’élection, c’est cela et rien d’autre. Une opportunité.

    Celui qui l’a saisie comme par défaut et roule désormais à tombeau ouvert entre Paris et Cabourg, Caen, Bruxelles, Vesoul, Montargis,… ne nous dit rien de ce qu’il pense de la situation pré-insurrectionnelle régnant désormais au Québec. On le comprend. Hollande, c’est le tonton rigolo qui, au repas de Noël, ne veut surtout fâcher personne, et dès lors s’échine à sourire à tout le monde, trinquons cousins, hop hop ! Le désintérêt qu’il affiche envers la Belle Province et le manque de courage qui s’ensuit lui sont largement reprochés du côté de Montréal. C’est que là-bas, non contente de braver chaque soir les flics et les lois d’exception, la population lutte pour que l’éducation ne soit pas transformée en simple marchandise. C’est pas assez « hollandais », ça ? Le mouvement dure depuis quatre mois, et les arrestations se comptent par centaines. Cependant, il ne faiblit pas et finira, n’en doutons pas, par avoir la peau du premier ministre Jean Charest, un ultralibéral de la pire engeance qui soit. Les pressions, diverses et variées (convocations des leaders, menaces, emprisonnements,…), s’accentuent à l’approche de la saison touristique et du grand prix de formule 1, évènement d’envergure mondiale, que comptent bien perturber les étudiants en lutte. Charest a, pour sa part, déclaré que « lorsqu’on s’attaque au Grand Prix, on s’attaque non au gouvernement du Québec, mais à tous les Québécois. » Rien que ça…

    Pareil silence émane de Hollande et de ses copains lorsqu’il s’agit d’évoquer la situation en Syrie. Certes, on s’étrangle sous les ors, on tousse sous les tentures, à chaque nouveau massacre on condamne, on s’insurge : on râle. Puis Poutine est reçu à Paris, réaffirme son soutien à son pote El Hassad, gueule un coup à l’oreille du président normal, dès lors la messe est dite et la France, ce petit pays sans allure, ferme sa gueule. Définitivement. Pas question de vexer « l’ami russe », lequel ne s’est pas gêné, en son temps, pour broyer sous les bombes la Tchétchénie rebelle, sans que l’ONU, là non plus, n’y trouve à redire. Il suffit donc que Poutine soutienne le régime syrien pour que le conseil de sécurité en devienne, du coup, muet, et la France pareillement. Décidemment, la seule solidarité internationale qui fonctionne dans ce monde taré est celle qui uni entre elles les dictatures.

    Et l’Espagne, mon bon François ? Tu sais, ce domino d’après la Grèce et d’avant le Portugal, d’avant l’Italie puis la France (il va nous falloir patienter quelques mois encore les enfants avant de succomber, à notre tour, sous les coups de butoir des banques), oui l’Espagne, t’en penses quoi, François ? Rien, encore ? Pas étonnant, tiens… C’est que c’est loin, l’Espagne, n’est-ce pas ? Pas tant que ça, François, tu verras.

    Frédo Ladrisse.

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  • Trop de pompiers, pas assez de feux

    tête hors du trou, qu’entends-je ? Au feu, les pompiers, la maison qui brûle du cul… 11 mises en examen dans le cadre de viols collectifs présentés comme autant de bizutages classiques, et le corps (sic) d’élite (re-sic) des gymnastes sapeurs dissout, d’un coup de pompe magique. Avant que ça ne se dissolve, ça a dû s’en taper de la vieille bloquée par les flammes, ça a dû en sortir de grandioses échelles du slip bleu blanc beurk ! Ne jamais oublier : les pompiers de Paris sont avant tout des militaires. Autrement dit, des brutes. Selon le commandant Glin, chef des pimpons morts de faim, « cette affaire éclabousse toute la brigade. » On ne saurait mieux dire.

    Dans le registre de la franche camaraderie sodomite, qu’il nous soit permis de citer cet autre chef d’œuvre de l’esprit, « l’association des amis de Nicolas Sarkozy. » Créée de fraîche date par Brice Hortefeux-nouille, elle a pour objectif de maintenir haut l’oriflamme du Sarkozystan-pour-mille-ans — lequel, finalement, en acheva péniblement cinq. « Ce n’est pas une démarche politique, c’est une démarche affective », nous assure Hortefeux-follet. Parce que ce qu’il lui faut, à Sarko, parce que ce qui désormais lui sied, c’est des poutous. Tout plein. Et venus de partout.

    Est-il bisouté assez, en les terres marocaines où il s’est réfugié avec force mallettes tel un brigand mondain ? On ne sait. Le nain freaks, oint d’onguents bas de gamme, cavalcaderait à coups-sûrs si il savait monter — mais lui ne sait que descendre —, traverserait ses terres sans brider trop avant son pur-sang pékinois. Au lieu de ça, regardons-le jogger comme un branque le long du mur d’enceinte de sa nouvelle propriété, de ce palais, cadeau d’un émirati inspiré lequel crût jusqu’au bout en la victoire de son rachitique poulain. Il se murmure, au Maroc, que ce cadeau fut fait à l’occasion de la naissance de la petite Giuila. Donc, durant le quinquennat de pôpa. Ce sera peut-être un jour confirmé par un juge en France, cela, et les multiples forfaits commis par cet Ali Baba et ses CAC40 voleurs. Mon petit doigt me dit cependant que si ce mafieux devait un jour finir encagé, c’est que ce serait produit quelque chose comme la révolution.

    En attendant que le drapeau noir flotte sur nos plus hauts mâts et que Sarko dorme en prison saluons, comme il se doit, la nouvelle troupe de branquignoles installés sous les ors. Salut à toi, Nicole Bricq, salut à toi George Paul-Langevin, salut à Alain Vidalies, à Marie-Arlette Carlotti, Dominique Bertinotti et à la flopée d’inconnus, pauvres figures et pâles silhouettes à peine embarquées qu’on les croirait déjà, pour partie, débarquées. A leurs côtés posent les vieilles barbes et les chapons frottés à l’ail des années, dont Fabius — cet homme occupait Matignon quand j’étais occupé à redoubler ma sixième ! —, plus extravaguant encore, Sapin, Michel de son prénom, dont le patronyme indique assez qu’on le pensait, de long temps, raide, claqué, enseveli. Sinon, qui ? La Duflot, autrement appelée l’éolienne tant son cerveau prend bien le vent, Duflot, la rescapée d’Europe-de-l’Ouest-Ecologie-les-Verts-Bouteille-à-la-Mer, tendance lécheuse de tongs du moment qu’elles sont socialistes. « Je ne suis pas une ministre écologiste », qu’elle dit. Personne ne l’a prévenu qu’elle n’était même pas ministre ? Dans le registre des drôlesses on pourrait aussi s’attarder sur Aurélie Filipetti, du ministère de la culture, dont l’action première fut d’aller se faire voir et rincer à Cannes, sans un mot bien évidemment pour les intermittents, de même qu’on pourrait s’étaler sur la môme Vallaud Belkacem, porte-parole du gouvernement, poupée kabyle de service aux allures de James Bond girl à la petite semaine, mais dont le glamour éculé ne fera pas longtemps illusion : « avec François Hollande, les Français vont pouvoir décider de mettre un banc là, un feu rouge ici » s’extasie la cruchonne. Cette fois n’en doutons pas, la révolution est en marche…

    Peut-être avancerait-elle, pas à pas et fussent-ils petits, si Manuel Valls ne guettait. Le tout nouveau patron de la maison poulaga n’est pas un perdreau de la veille, et s’il aime la carotte, il n’en dédaigne pas pour autant jouer à l’occasion du bâton. Ses états de service parlent pour le bonhomme. Ainsi, l’auteur de l’imbitable opus nommé « sécurité : la gauche peut tout changer », s’est-il fait, avec le temps, une spécialité des contre-vérités et dérapages contrôlés au sujet des « jeunes », des « banlieues », du « besoin de sécurité chez nos concitoyens » et autres galéjades qu’il serait, selon lui, dommage de laisser à la droite, comme la pétanque ou le Loto. Ainsi, en 2009, en balade sur le marché d’Evry, Valls le maire demanda à un de ses collaborateurs « tu me mets quelques Blancs, là, quelques Whites, quelques Blancos ! » Une sortie parmi d’autres, pour le pote d’Alain Bauer — docteur ès sécurité adoubé par la droite et le Fn réunis, théoricien puant de la « guerre des banlieues ». Valls, se définissant lui-même comme « défenseur de l’autorité, attaquée de toutes parts » (ah bon ?), fut par ailleurs l’un des trois seuls députés socialistes à ne pas voter contre l’instauration de l’état d’urgence, lors des émeutes de 2005. En un mot, Manuel Valls, c’est l’histoire d’un mec qui a fait carrière au Ps parce qu’à droite Pasqua et Pandraud prenaient toute la place. La « défense de l’autorité » à coup de taser et de flash ball a encore, n’en doutons pas, de beaux jours devant elle.

    Viendront aussi, comme il se doit, comme entre la poire et le fromage, entre les tours de piste de l’endormisseur Hollande et les vacances qui feront pause, ces dizaines de plans sociaux ressortis de sous le tapis, s’abattant en rafale sur les prolos, fussent-ils électeurs de gôche et dindon de la farce pas drôle. Quoi, on nous a menti ? Nous, en votons Ps on imaginait que… Eh non, même pas, et oui, tout faux : 30 000 emplois, à minima, devraient disparaître d’ici septembre, encore n’est-ce jamais que le début de la fin, maintenant que l’Europe entière est en voie de grécisation il n’y a aucune raison objective pour que la France en réchappe. Ici comme ailleurs, comme en ce moment au Québec, vous savez quoi ? Ce sera le feu. Non de joie, mais de hargne. Dès lors, vive le feu !

    Frédo Ladrisse.
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  • N’empêche : du passé, faisons table basse !
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    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? J’avais 15 ans les gens en 1981 et déjà, j’avais pas aimé : « changer la vie » par le truchement du socialisme de renoncement me paraissait ressortir de l’arnaque pure et dure —ce qui, au passage, s’est confirmé, avec l’amplitude qu’on sait. Ce 6 mai, c’est pareil, j’aime pas. Quand bien même les bonnes âmes n’en finissent pas de m’expliquer que c’est tout différent.. .(lire la suite ici)
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  • Rongeage d’ongles, arrachage de cheveux, ulcères et autres amertumes.


    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? Cette fois ça commence à suffire, si ça dure va falloir que ça cesse, marre, ras les fesses du Big Bazar ! Eric Charden est mort et tout le monde s’en tamponne, n’a d’yeux que pour les deux canassons concourant dimanche, merde alors ! Où va le monde, on se demande… (lire la suite ici)
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  • Ramicollages et beautés du parler rousseland


    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? Ils m’auront bien fait dégueuler les « on a gagné ! » de certains, les « on a pas perdu ! » des autres, en cette soirée vomitive marquée, comme au fer brun, par le score sans précédent des Fascistes Nationaux. Comme c’est crasse, de gueuler victoire quand la blondasse Le Pen joue le troisième homme et se gausse, se rengorge, s’en touche de plaisir... ( lire la suite ici) http://quand-l-autruche-eternue.over-blog.com

  • Ayez des couilles, votez Sticules.


    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? Alors comme ça il se murmure que l’élection serait jouée, en un seul tour au final, celui des sondages auxquels le fieffé Copé avoue « ne rien comprendre », quand ça l’arrange. C’est pourtant simple : en ce qui concerne la Sarkozie c’est fichu pour cette fois. C’est l’alternance, la belle, la si délicate alternance, celle qui coûte peau de balle et dont le but ultime est de tout changer pour que tout, toujours, continue... (lire la suite ici) http://quand-l-autruche-eternue.over-blog.com

  • Arrêt Total

    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? Dans la catégorie les Sous-doués battent la campagne, nous eûmes droit, ces jours derniers, à quelques furieuses billevesées. A ma droite, Dupont-Aignan, autrement surnommé aujourd’hui comme Yerres, qui clame sans retenue « moi, je regarde le monde. » Il semble, dans le même temps, que le monde, lui, regarde ailleurs qu’en direction de sa petite personne. Une autre fois, peut-être ? A ma gauche, si je puis dire, campe Bayrou-le-filandreux. Fatigué, l’haricot, pas dans le coup, à côté de l’assiette. Le voilà qui découvre, tout en finesse, qu’ « il y a des femmes qui pèsent lourd » , des « femmes qui pèsent plus de cent kilos et qui aiment nager. » Tiens donc ! Première nouvelle… Là-dessus le flageolant béarniais se rendort, sans même avoir livré sa vision des gens de petite taille, des piétons ou des femmes enceintes. Dommage. Il y a, pour finir, Le Pen, et son clip de campagne. J’ose espérer que tournera en boucle sur tous les webs qu’on voudra le passage où la candidate promet de lutter contre, je cite, « les ententes frauduleuses dans le commerce des endives. » Ça, c’est du programme, boudiou ! On aurait tort cependant de se moquer bêtement, vu le nombre de naves et autres céleris graves s’apprêtant à voter pour elle.

    Et tandis que tout ce petit monde s’ébroue, les papattes dans la gadoue, le procès de la catastrophe de l’Erika s’achève, en cassation, par un non lieu délivré à l’endroit des pollueurs. Le cargo ayant fait naufrage hors des eaux territoriales, communes, départements et autres collectivités ne verront pas la couleur d’un pauvre billet de banque. Ce jugement, scandale sans nom, risque bien entendu de faire jurisprudence. S’échouer, répandre son jus dégueulasse sur des kilomètres de côtes, pourra donc désormais se faire sans bourse délier, à condition que l’échouage ait lieu au-delà des frontières maritimes. C’est ce qu’on nommera certainement l’arrêt Total.

    Il y a tout aussi dégueu, dans un autre registre : les sms furtifs. Vous ne connaissez pas l’existence de ces petites saloperies ? Déjà utilisée par les services de police et de renseignement (lors d’une enquête publique, le parlement du Land de Rhénanie du Nord a admis, rien que pour 2010, l’envoi de 256 000 sms furtifs !), cette méthode consiste à envoyer un message à un autre portable à l’insu de son propriétaire, sans même qu’il en soit informé. Le but ? Localiser la personne. C’est beaucoup plus fin que le système Gps habituel, ça passe totalement inaperçu et, cerise sur le gâteau, c’est, juridiquement, quasi inattaquable : ces sms sans contenu ne sont pas considérés comme des communications, donc échappent au cadre des lois sur l’inviolabilité. Idéal mouchard… Déjà, des passerelles spécialisées, des développeurs de logiciels proposent clé en main ce système qui permet de « filaturer » suspects, justiciables, mais aussi et bien entendu syndicalistes, hommes et femmes politiques, ou, simplement, les salariés d’une entreprise. Le tout avec l’aval des opérateurs, complices, pour des sommes défiants toute concurrence en la matière, et dans la plus grande discrétion. Le marché étant sans limite, le pactole s’avère juteux, et attire les convoitises. Ah oui : inutile d’éteindre votre portable, le sms furtif le réactive sans souci. Il peut aussi, si envoyé en très grand nombre, le bloquer, décharger sa batterie en quelques minutes, interdire toute communication ce qui, dans certains cas, peut s’avérer fort utile. De nos jours, disent les gens, on ne peut plus se passer de portable. C’est sûr, surtout les flics.

    Frédo Ladrisse.


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  • Animal ? On est mal, humain ? On est pas bien - Quand L’autruche eternue
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    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? Cette petite voix qui questionne, Toulouse, Montauban, Merah, en parler ou pas ? Mouais. Tout a déjà été dit, non ? Non, justement, pas tout. Il n’a pas été dit à quel point la prison occupe, en cette affaire, en la formation ou plutôt la déformation de ce voyou à la petite semaine devenu tueur psychobarré dans les grandes largeurs, à quel point la prison occupe, disions-nous, un rôle, sans jeu de mot, central. Puisqu’il est désormais acquis que c’est de derrière les barreaux que Merah opéra son radical virage, pourquoi ne pas interroger la fonction carcérale, en pointer les dangers ? Pas un de nos glorieux Tintin-le-petit-reporter, micro au poing suivant le Raid, n’a semble-t-il trouvé le temps de soulever la question. Il faut admettre qu’elle pèse son poids : dans ce pays, ce n’est pas rien de vouloir ne serait-ce que relever les dérives de l’institution pénitentiaire, quatrième pilier de la République autoritaire (je vous laisse le soin de nommer les trois premiers). L’heure de sa remise en question n’a, bien entendu, pas sonné, aussi les tôles continuerons, pendant encore de longues années, à produire à la chaîne fadas, fêlés, dérangés et flingueurs. En revanche, en cette même heure, tintinnabulent et à outrance les glas nous intimant l’ordre d’honorer les forces de l’ordre, gloire à eux et aux 300 balles, 300 !, tirées sur le « terroriste » Merah, planqué dans sa salle de bain. Qu’on ne se méprenne pas : l’autruche ne pleure pas cette ordure, d’ailleurs l’autruche n’a plus de larmes. Elle refuse cependant de se joindre au troupeau crachant sur sa dépouille, psalmodiant l’ode au Raid et menaçant, furieux, quiconque rechigne à se réjouir de la mort d’un homme quel qu’il soit. Quant aux empêcheurs de jouir en rond autour d’un cadavre criblé, quant à celles et ceux qui questionnent, qui doutent et remettent en question le bien fondé de l’Action Glorieuse de Notre Police Nationale, ceux-là sont voués aux gémonies avant que d’être cloués au pilori de l’Anti-France. C’est bien le minimum.

  • Pour qui sonne le glagla ? - Quand L’autruche eternue
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    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? Houlala froid nous eûmes, les frères et sœurs, ça eut pincé ma gueule, ça pince encore, et donc ? Si le froid se contentait d’abîmer les enjoliveurs et autres chromes automobiles on en serait bien aise. Seulement voilà, parfois il tue. Aussi apprîmes-nous, pas plus tard que tout à l’heure, et de la bouche empâtée de crème anti-gerçures d’une journaleuse de gras terrain, que « dans l’Aube, c’est une hécatombe chez les flamands roses. » Bigre. Foutre dieu. Y’avait des flamands roses dans l’Aube et on nous avait caché ça ? Les hommes et femmes de la rue tombent, Nora Berra en sait quelque chose qui, secrétaire à la santé, conseille aux sans-abri de ne pas sortir de chez eux en période de grand froid. Ils tombent, mais les flamands roses c’est autres chose, cela gèle sur un seul pied, c’est autrement spectaculaire. On ne nous dit rien des flamands de l’Aube et pareillement, comme par un fait exprès, on ne pipe mot de l’état dans lequel doivent se trouver les autruches de l’élevage de Rambouillet. Vous ignoriez qu’à Rambouillet — ville qui pourtant vit mourir de septicémie François Ier —, à Rambouillet, oui oui, à 50 bornes de Paris, existait un élevage d’autruches ? Elles seraient près de 600, à s’y cailler les plumes. C’est rien que de l’élevage de bidoche, de ces steaks sur pattes dont raffolent les autruchophages crétins peuplant les restos boboïdes du onzième arrondissement de Paris et d’ailleurs. Au passage, et puisqu’on en cause : j’ai eu, de long temps, le projet de cisailler l’enclos de mes volatiles camarades. Ce projet, bien entendu, demeure d’actualité : quelques bonnes volontés armées d’une paire de tenailles suffiraient à ce qu’enfin on puisse admirer le spectacle, hautement réjouissif, de 600 autruches envahissant les rues de Rambouillet, commune des Yvelines, la nuit. Chouette panique en perspective, scènes d’anthologie en sus, mais : revenons à nos moutons, bien qu’ils soient de Panurge. Regardons-les sauter dans l’eau gelée, suivant le troupeau tout groupé, avalant sans broncher inepties et calembredaines, un œil sur le thermomètre l’autre guettant je ne sais quel bulletin météo. Quel temps fait-il, en Syrie ? On préfère l’ignorer, puisqu’il y pleut, à ce qu’il parait, des bombes et du tir de mortier. Pour qui sonne le glagla ? Il serait tombé, là-bas, quelques centaines de morts civils, depuis que fut reçut en grande pompe cette pointure de ministre russe des affaires étranges. Un blanc-seing, ou tout comme, pour un massacre supplémentaire. Qu’en pensent Merckel, Sarko, Obama et la clique ? Si peu de choses, en vérité… Le froid engourdit les méninges, et la moufle à cervelle n’est, chez ces gens, pas pour demain.

  • En direct de la Fête de fin d’année des crétins - Quand L’autruche eternue

    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? C’est reparti pour un tour de train-train, Noël et jour de l’an en guise d’arrêts forcés, Tchou-Tchou des fêtes mille-et-une fois recommencé et que rien, ou si peu de choses, n’osent venir perturber. Ainsi, les grèves cheminotes annoncées à l’orée de la période sacrée, n’auront finalement pas lieu. Celles et ceux qui comptaient sur le syndicat, les arrêts de travail, pour servir de prétexte et éviter le calvaire du réveillon chez tonton Serge, en seront pour leurs frais. A l’occase, on apprend comme ça comme en douce que la Cgt et la direction de notre glorieuse Sncf ont passé un « pacte antigrève », pour ne pas gêner l’entreprise au moment de l’ouverture à la concurrence. C’est beau, un syndicat qui veut pas gêner son patron.

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  • Un monde sans Leprest - Quand L’autruche eternue
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    Je me doutais qu’un jour il allait falloir vivre dans un monde sans Leprest. Dans un monde sans air, sans chanson. Aussi extravaguant que cela puisse paraître, ce monde est advenu. Plus d’amour, plus de guitariste, une solitude, seule en piste. C’est peu dire qu’à la suite de son départ suicidé ne reste qu’un gouffre, un abîme. Elles vont continuer de voler les sympathiques ritournelles, les chansons sans le sou, sans le souffle, où trouverons-nous les mots qui restent, ceux-là qui, en deux mots, s’en têtent ?

    « Ni dieu, ni maître, ni contremaître ! »,

  • Assomption, piège à cons - Quand L’autruche eternue
    http://quand-l-autruche-eternue.over-blog.com/article-assomption-piege-a-cons-81712119.html

    irant tête hors du trou, qu’entends-je ? Longue litanie bondieusarde en ce 15 août, ils ne nous lâchent plus, journaux, téloches, radios, entre JmJ de Madrid et autres assomptionnites aigües : à vous dégoûter, tiens, des weekends prolongés ! Ces têtes de cons tonsurés sont pas loin de nous gâter la joie d’un lundi pas bossé, tellement ça renifle la bure, ça schlingue grave la curetaille à l’hygiène peu sûre. Le service public n’est pas en reste, qui, vivant de nos fifrelins, n’en décida pas moins de déprogrammer Fort Boyard au profit, si j’ose dire, d’une retransmission live de la dernière niaiserie béni oui-oui de ce renfroqué d’Hossein, Robert. Vie de Marie et Evangiles, en direct de Lourdes, s’il-vous-plaît. Scandale ! Qu’on me rende mon chèque ! Au moins, qu’on envoie les mygales et autres cafards baveux au cul des apôtres, merde, qu’on balance la Marie au bout d’un câble, au-dessus des tigres adipeux ! Mais rien de cela, non, rien qu’une messe, à dégouliner, et de trois heures et sur F3, un samedi soir à 20h30 ! Vous me direz : faut vraiment se faire chier pour mater la téloche le samedi soir à 20h30. Certes. Et donc ? J’ai pas le droit, peut-être, un 15 août, de m’emmerder ? La religion l’interdit ?

  • J’en suis les filles, j’en suis les gars - Quand L’autruche eternue
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    Tirant tête hors du trou, qu’entends-je ? De ci de là, les plaintes des cocus ayant, comme un seul homme à cornes, voté Chirac en 2002 quand la peste brune, paraît-il, menaçait de nous submerger. Pacte républicain, qu’ils disaient. Ainsi, c’est en troupeau qu’ils accordèrent leurs suffrages à l’autre grand couillon, lequel allait s’employer à continuer de nous chier sur le crâne durant cinq pénibles années, tout en préparant l’avènement de ce pétainosarkozysme sous le joug duquel nous suons encore. Ils s’imaginaient, les idiots, que c’était à charge de revanche, que la droite, le temps venu, renverrait l’ascenseur. Les voilà donc fort marris face au Nini de Sarko, ni Front républicain ni Front National, qu’il dit. D’autant plus marrons dans l’affaire que ces tendres bêlants découvrent, sur le tard, qu’une large partie de l’électorat de droite préférera toujours voter pour les fachos plutôt que pour un socialiste, aussi mièvre soit-il. C’est à noter sur nos tablettes, tant c’est prome

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