Captain Phillips (film) - Wikipedia, the free encyclopedia

/Captain_Phillips_%28film%29

  • #livre « Il dovere di un capitano »
    http://rizzoli.rcslibri.corriere.it/shared_libri/cover/medium/1707019_0.jpg

    http://rizzoli.rcslibri.corriere.it/libro/7019_il_dovere_di_un_capitano_phillips.html

    Sorti en anglais :


    http://www.amazon.it/Captains-Duty-Somali-Pirates-Dangerous/dp/1401310443

    ... et il y aussi un film... « #Captain_Phillips »
    http://en.wikipedia.org/wiki/Captain_Phillips_%28film%29

    En train de lire le livre (cadeau de Noël), déjà un peu craintive qu’il s’agisse d’une vision très américano-centrée, je tombe sur cet extrait :

    «I pirati sostenevano di essere ex pescatori costretti a diventare banditi perché rimasti senza mezzi di sostentamento. Secondo loro, i pescherecci stranieri che operavano al largo delle coste somale catturavano centinaia di milioni di dollari di tonni, sardine sgombri e pesci spada. Altre navi scaricavano nelle loro acque rifiuti pericolosi in cambio di facili guadagni. I pescatori locali non potevano competere con le più moderne flotte spagnole e giapponesi, e quando avevano cercato di lavorare negli stessi tratti di mare, erano stati aggrediti dagli intrusi. E così si erano ritrovati a chiedere l’elemosina e a patire la fame.
    Ogni volta che ero sceso lungo la costa della Somalia avevo visto banchi di tonni, sgombri e molti altri pesci. Sembrava ce ne fossero abbastanza per tutti, ma i somali avevano semplicemente trovato un lavoro più facile: la pirateria» (p.85)

    Essai de traduction rapide :

    Les pirates soutenaient d’être des ex pêcheurs obligés à devenir des bandits car ils sont restés sans moyens pour vivre. Selon eux, les bateaux de pêche étrangers opéraient au large des côtes somaliennes et capturaient des centaines de millions de dollars de poisson. D’autres navires déchargeaient dans leurs eaux des déchets dangereux contre des gains faciles. Les pêcheurs locaux ne pouvaient pas rivaliser avec les plus modernes flottes espagnoles et japonaises, et quand ils avaient cherché de travailler dans les mêmes bout de mer, ils avaient été attaqués par des intrus. C’est comme cela qu’ils se sont retrouvés à faire la manche et à souffrir de la faim.
    Chaque fois que je suis descendu sur la côte de la #Somalie j’avais vu des bancs de poissons. Il semblait qu’il y en avait pour tout le monde, mais les Somaliens avaient simplement trouvé un travail plus facile : la piraterie.

    –-> un raisonnement un peu facile et ethnocentré, non ?
    –-> « millions de dollars de poissons »... kilos au lieu de dollars ?
    –-> « les #Somaliens »... comme si tous les Somaliens étaient des #pirates
    –-> les bancs de poissons qu’il voit depuis son navire, sont vraiment accessibles aux « Somaliens » ?

    Je ne connais pas la thématique, mais je pense qu’il y a des dizaines de questions à poser et surtout beaucoup de nuances à faire... @reka et @fil, j’imagine vous êtes d’accord avec moi !
     ;o

    #piraterie #pêche #pêcheurs