• A propos de Stiegler (cf http://seenthis.net/messages/213006)
    Passé du braquage à l’amour de la loi (cf son récit bio : Passer à l’acte), #Stiegler est un ignoble gros con de repenti. Tout son baratin #philosophique si modasse - lui aussi, comme Finkelkraut, et bien que plus #technolâtre que technophile, est dans la déploration constante et le c’était mieux avant « civilisationnel »… - se présente comme une offre de service destinée à un capitalisme qu’il propose de rénover.

    #réaction #conseiller_du_prince #poubelles_de_l'histoire

    Par ailleurs, pour ce qui est d’un dépassement de l’opposition producteur/consommateur, c’est pas parce qu’ils en causent que c’est pour autant absurde ou idéologique. Marx analysait déjà la production en termes de consommation productive (et pas seulement de « demande » keynésienne, comme on le dira plus tard). Si on accorde quelque valeur analytique à la notion de capital fixe , on doit bien constater que, pas plus que le travail, ce dernier ne reste enfermé dans l’entreprise. Plutôt que se centrer sur « ’la #technique » on peut partir de la socialisation de la production (l’usine sociale) pour analyser dans ce contexte les techniques et les dispositifs, en tant que formes de contrôle de l’activité… Dans l’aveuglement général, l’absence d’horizon d’émancipation, il est légitime de prendre le risque de la myopie, et de chercher ce qui pourrait avoir un rôle central dans le devenir de nos sociétés. Sauf que la conscience du désastre (et le small is beautiful autarcique qui va souvent avec des survivalistes aux alternativistes) ne peut à elle seule servir de point d’appui.

    Bon, c’est encore trop vite dit et mal, grossier et fainéant, tant pis.

    • Ce gros con de repenti, comme tu dis, prêche la restauration de la libido du capital.... mission dévolue aux artistes bien sur. Et je suis sure qu’il se considère comme l’un d’eux et non comme un éhonté marchand d’art-gens.
      Et j’arrête là itou !