Point médian - Wikipédia

#Utilisation_dans_le_langage_non_sexiste

    • Et pratiquement comment on fait ?

      En tout les cas, on évite de désigner les femmes par leur statut sexuel parce que c’est vraiment une sale habitude. On n’utilise pas mademoiselle, on arrête de parler des filles en désignant des femmes non mariées [6], et on ne dit pas les Hommes pour désigner les humains.

      #langage #sexisme #langue_française

    • VIVE le point médian ou point suspendu comme j’aime à dire ! (Alt Gr + Maj + . sur clavier spécial) je le trouve gracieux, je l’utilise tout le temps.
      Sinon, Alt Gr+149 relaché sur Qwerty / Azerty.
      >> ami·e <<

      Utilisation dans le langage non sexiste
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Point_m%C3%A9dian#Utilisation_dans_le_langage_non_sexiste

      En français, le point milieu est parfois utilisé — généralement dans une perspective militante — pour inclure dans un même mot féminin et masculin. Pour dire « les salariés et les salariées », on pourra ainsi écrire « les salarié·e·s ». C’est une variante du trait d’union ; il a l’avantage d’être neutre typographiquement, de prendre moins d’espace et de ne pas diviser les mots en fin de ligne . Il est également utilisé, dans la perspective informationnelle que ne respecte pas la règle du masculin « qui l’emporte » pour indiquer la présence de filles et de garçons ou d’hommes et de femmes dans l’énonciation. Exemple : « Des élèves appliqué·e·s. ».

      L’utilisation du point milieu a été privilégié par un grand nombre d’initiatives en faveur du langage non sexiste car il n’est pas utilisé dans la langue française , contrairement à d’autres signes de ponctuations qui servent parfois à ne pas "invisibiliser" le féminin. Il présente également l’avantage de ne pas induire de hiérarchie, comme peu le faire la parenthèse ou le tiret. En 2016, une agence de communication a lancé un document de sensibilisation à cette question, sous le titre de Manuel d’écriture inclusive.

      En économie linguistique, il permet la simultanéité de l’alternance des suffixes féminin et masculin à l’écrit : « Un·e directeur·trice » traduit à l’oral par « un directeur ou une directrice ».