Union Juive Francaise pour la Paix

http://www.ujfp.org

  • Tous les Israéliens sont coupables d’avoir brûlé une maison palestinienne - samedi 8 août 2015 par Gideon Levy - Traduction : GD/JPP
    http://www.ujfp.org/spip.php?article4323

    (...) Doivent être accusées aussi, bien sûr, les autorités ayant en charge l’ordre public, à commencer par la police du district de Judée et Samarie – le plus ridicule et scandaleux de tous les districts de police, et ce n’est pas par hasard. Neuf maisons palestiniens ont été incendiées au cours des trois dernières années, selon B’Tselem. Combien de personnes ont été poursuivies en justice ? Aucune. Et pour ce qui est arrivé à Douma vendredi ? Le feu, c’était simplement ce qu’il y avait de mieux, aux yeux des pyromanes et de leurs laquais.

    Leurs laquais comprennent aussi le silence, l’indulgence et tous ceux qui pensent que le mal restera à jamais limité à la Cisjordanie. Leurs laquais comprennent encore les Israéliens qui sont convaincus que le peuple d’Israël est le peuple élu, et qu’à ce titre, tout lui est permis – et notamment de mettre le feu à des maisons de non-juifs, avec leurs habitants à l’intérieur.

    Aussi, encore, beaucoup de ceux qui se sont dits choqués par l’acte, notamment les personnalités qui se sont rendues auprès des victimes au centre médical de Sheba, en dehors de Tel Aviv – le Président, le Premier ministre, le chef de l’opposition et leurs assistants – absorbant le raciste, exaspérant, « vous nous avez choisis parmi tous les peuples » avec le lait de leur mère.

    À la fin de d’une journée horrible, c’est cela qui porte à brûler des familles que Dieu n’a pas choisies. Aucun principe dans la société israélienne n’est plus destructeur, ni plus dangereux, que celui-là. Ni, malheureusement, plus courant. Si vous deviez examiner de près ce qui se dissimule sous la peau de la plupart des Israéliens, vous trouveriez : peuple élu. Quand cela constitue un principe fondamental, alors, pour le prochain incendie, ce n’est qu’une question de temps.(...)

    traduction de l’article signalé ici : http://seenthis.net/messages/395131

  • L’UJFP pratique la politique de l’autruche face aux tenants de l’antisémitisme de gauche. A propos d’une polémique loufoque (une de plus !) contre « Ni patrie ni frontières »
    http://www.mondialisme.org/spip.php?article2322

    « Benjamin Netanyahu, maître à penser de Monsieur Yves Coleman... » tel est le titre d’un article paru aujourd’hui sur le site Bellaciao et celui de l’UJFP, qu’un internaute m’a « gentiment » fait suivre. http://bellaciao.org/fr/spip.php?article146886 L’auteur fait flèche de tout bois et m’accuse (...) — Documents utiles, http://bellaciao.org/fr/spip.php?article146886, http://indigenes-republique.fr/mohamed-merah-et-moi, http://www.dailymotion.com/video/xp4jth_pour-lecture-decoloniale-de-la-shoah-enzo-traverso_news

    , http://www.mondialisme.org/spip.php?article2263, http://mondialisme.org/spip.php?article632, http://oumma.com/Ilan-Halimi-contre-tous-les, http://www.ujfp.org/spip.php?article1289, http://www.mondialisme.org/spip.php?article2128, http://mondialisme.org/spip.php?article1822, (...)

  • L’#UJFP pratique la politique de l’autruche face aux tenants de l’#antisémitisme de gauche. A propos d’une polémique loufoque (ou peut-être pas ?) - mondialisme.org
    http://mondialisme.org/spip.php?article2322

    « Benjamin Netanyahu, maître à penser de Monsieur Yves Coleman... » tel est le titre d’un article paru aujourd’hui sur le site Bellaciao et celui de l’UJFP, qu’un internaute m’a « gentiment » fait suivre.

    http://bellaciao.org/fr/spip.php?article146886

    L’auteur fait flèche de tout bois et m’accuse tour à tour d’être complice de Netanyahou, d’Ulcan (le persécuteur de Pierre Stamboul et de bien d’autres), du RAID, du Mossad, de l’extrême droite israélienne, et évidemment (le tableau n’aurait pas été complet sans cela) d’être... antisémite.

    Pour appuyer sa démonstration loufoque, Jean-Marc Capellero-Rabinovitz nous balance un florilège de citations de Juifs et d’Israéliens réactionnaires et racistes. Florilège qui aurait un intérêt si l’auteur avait affaire à un « sioniste », ce que je ne suis pas, ou à quelqu’un ayant des illusions sur l’Etat d’Israël et Tsahal, ce qui n’est pas du tout mon cas. Car critiquer « les limites de l’antisionisme » ne signifie pas être « sioniste ». Mais ces subtilités élémentaires échappent à notre polémiste primaire à la pensée binaire.

    Le plus curieux, dans cet article, est qu’il ne répond pas vraiment à un texte que j’aurais consacré à l’UJFP mais qu’il défend, par la bande, les Indigènes de la République (1) .

    « Par la bande », parce qu’il s’agit d’une défense masquée, indirecte, du PIR, et aussi « par la bande » parce qu’il s’agit d’un article de copinage, d’un pote qui défend ses amis de la bande alliée, celle du PIR, au nom de l’UJFP.

    Cette démarche est plutôt tortueuse mais elle illustre bien les moeurs de l’extrême-gauche : les « gauchistes » ne défendent pas des principes politiques, seulement des amis temporaires ou des alliés de circonstance, quelles que soient leurs positions par ailleurs...

    Le PIR cherche à radicaliser de plus en plus son antisémitisme et à lui donner une apparence respectable pour un public de gauche et d’extrême gauche. Ce groupuscule a besoin, pour cela, de la caution de « Juifs non juifs », expression qu’utilisait Isaac Deutscher pour se désigner et désigner certains juifs de gauche ou d’extrême gauche « antisionistes ». Mais à l’époque ceux-ci misaient sur l’unité entre les travailleurs juifs et arabes pour abattre tous les Etats du Moyen-Orient, pas simplement Israël. Ils étaient favorables à une révolution socialiste. Et ces « Juifs non juifs » ne soutenaient pas inconditionnellement des mouvements nationalistes laïques arabes, ou encore moins islamistes, antisémites comme le font le PIR aujourd’hui et une bonne partie de l’extrême gauche.

    Plus les frontières d’Israël s’accroissent par la force militaire et les agressions régulières de Tsahal, plus les gouvernements israéliens se montrent sans pitié avec les civils palestiniens et avec les Arabes d’Israël, plus la haine contre les Juifs s’accroît et est manipulée par toutes sortes de forces réactionnaires dans le monde.

    En France cette haine est meurtrière (d’Ilan Halimi (2) au massacre de l’hypermarché casher, les exemples ne manquent pas), mais elle ne se réduit pas du tout au conflit dit « israélo-palestinien », conflit totalement asymétrique entre une armée professionnelle, suréquipée, disposant de l’arme atomique, soutenue par les Etats-Unis, et des mouvements de guérilla à la puissance militaire bien inférieure même si leurs intentions criminelles et antisémites sont indéniables.

    Cette haine antijuive a acquis une audience mondiale, notamment en France, grâce à une vieille tradition antisémite-anticapitaliste (3) , qui se régénère et se transforme avec la crise économique mondiale depuis les années 70 et la montée des nationalismes en Europe depuis une vingtaine d’années. La haine antijuive est un fond de commerce très rentable, du moins si l’on en croit les centaines de milliers de gens qui regardent les vidéos de Dieudonné sur le Net ou qui payent pour écouter ses discours politiques antisémites, en « live » ou sous forme de DVD.

    La haine antisémite croît en France et le Parti des Indigènes de la République a décidé de ne pas laisser à Dieudonné, Soral et au Front national le monopole de l’exploitation de l’antisémitisme franchouillard. Il veut apporter sa propre petite pierre et en recueillir les fruits. Et l’antisionisme uniquement orienté vers la Palestine ne lui suffit évidemment pas. Il lui faut élargir sa cible, d’autant plus que ce même groupuscule a des sympathies religieuses-identitaires de plus en plus affirmées du moins si l’on en croit les déclarations de Mme Bouteldja. Or, comme l’on sait, alimenter un conflit ou des problèmes sociaux graves avec des considérations religieuses est la meilleure façon d’opposer les exploités les uns aux autres.

    En 2012, au moment des meurtres antisémites de Toulouse, dans un article intitulé « Mohammed Merah et moi » (http://indigenes-republique.fr/mohamed-merah-et-moi) Mme Bouteldja avait réservé toute sa compassion à la mère du tueur (4), ignorant la douleur des parents des trois enfants (Gabriel, Arieh et Myriam) que Merah avait assassinés froidement au nom d’une prétendue solidarité avec la Palestine que certains gauchistes prirent et prennent encore au sérieux.

    La même année, le PIR mobilisa l’intellectuel trotskisant Enzo Traverso pour effectuer une « lecture décoloniale de la Shoah » ( ?!) (http://www.dailymotion.com/video/xp4jth_pour-lecture-decoloniale-de-la-shoah-enzo-traverso_news

    ). Dans cette conférence, Traverso expliqua que Hitler et les nazis détestaient les Arabes : on se demande bien pourquoi le médecin personnel du Führer passa six heures à examiner Al Husseini pour lui délivrer un certificat d’aryanité ; pourquoi le dirigeant palestinien bénéficia d’une tribune radiophonique et de moyens financiers importants pendant toute la seconde guerre mondiale ; pourquoi Himmler organisa 10 000 musulmans bosniaques au sein de la SS ; pourquoi al Husseini fut si proche après-guerre de l’avocat néonazi François Genoud ; pourquoi plusieurs centaines d’anciens responsables nazis (anti-Arabes, donc, selon Traverso) se réfugièrent en Egypte ou ailleurs et occupèrent des postes importants dans l’appareil d’Etat et l’économie après-guerre au Moyen-Orient...

    En 2014, Mme Bouteldja falsifia (5) les écrits du trotskiste CLR James et du Workers Party prétendant que celui-ci aurait cautionné l’antisémitisme des Noirs américains, antisémitisme jugé « progressiste » par la porte-parole du PIR.

    Puis, en mars 2015, Mme Bouteldja en rajouta une couche pour expliquer que les Juifs français étaient les chouchous de la République depuis le décret Crémieux (6) , rejoignant ainsi les propos du « socialiste » Roland Dumas et d’une pléthore de politiciens français antisémites depuis Drumont....

    On utilise souvent l’expression d’ « idiots utiles » pour désigner ceux qui apportent de l’eau au moulin de leurs adversaires. Pour ce qui concerne l’aide que l’UJFP apporte aux antisémites du PIR et à leurs falsifications historiques grossières, on ne peut parler d’idiotie. Il s’agit plutôt d’une ligne politique consciente d’aide à un groupuscule qui falsifie l’histoire pour mieux attiser la haine contre les « Blancs », à commencer par les prolétaires « blancs », juifs compris.

    Car pour le PIR les Juifs, fussent-ils de l’UJFP, font partie des « Blancs » groupe social (selon lui) qui opprimerait les « non-Blancs ». Le PIR ne va pas encore, comme Dieudonné, jusqu’à expliquer que « les Juifs » auraient été les principaux organisateurs et bénéficiaires de la traite transatlantique. Il se contente (pour le moment) de soutenir le Hamas dont la Charte repose sur le Protocole des Sages de Sion et les passages les plus antijudaïques du Coran.

    L’UJFP est composée de ce que le PIR appelle des « Blancs », qu’ils soient juifs ou non juifs. Or, pour mériter la sympathie (ou du moins l’indulgence) du PIR quand on est « Blanc » (donc automatiquement complice de l’esclavage, du colonialisme et du néocolonialisme) et « juif » (donc automatiquement complice du « sionisme » et de tous les crimes de guerre de l’armée israélienne), les militants de l’UJFP comme bien d’autres individus d’extrême gauche ont décidé, en bons pénitents du gauchisme, de porter la lourde croix de leur « blanchitude » et de leur « judéité » intrinsèquement criminelles et racistes aux yeux du PIR.

    L’avenir nous dira quelle sera la prochaine « pénitence » que devront effectuer les militants de l’UJFP pour mériter l’indulgence de leurs alliés antisémites du PIR...

    Cette attitude ne les protégera pas (si tel est leur calcul) contre l’antisémitisme que veut entretenir le PIR à gauche et à l’extrême gauche. Pendant les années 20 et 30, de nombreux Juifs modérés ou réactionnaires ont fait le dos rond, pensant ainsi éloigner la menace ou ne pas attirer l’attention des racistes. Certains d’entre eux d’ailleurs partageaient les préjugés sociaux, xénophobes voire racistes de la droite et de l’extrême droite allemande ou française. Tous n’étaient pas des « progressistes », encore moins des révolutionnaires, loin de là, mais beaucoup étaient politiquement aveugles.

    Aujourd’hui, ce sont certains juifs d’extrême gauche, en France comme aux Etats-Unis, qui font le dos rond à leur tour et ignorent la montée de l’antisémitisme. Ils n’y voient qu’un fantasme, une manifestation de paranoïa juive ou plus trivialement un complot du Mossad. L’histoire se répète, hélas, et certains militants n’ont absolument rien appris.

    C’est très dommage pour eux comme pour nous tous car l’extrême droite (« blanche » ou « non blanche », qu’elle tienne un langage « sioniste » ou « antisioniste ») ne nous fera pas de cadeaux. Ramper devant elle en faisant passer ses lubies réactionnaires pour des théories radicales ne nous vaudra que leur mépris et leurs coups.

    Y.C., Ni patrie ni frontières, 23/7/2015

    1. Le titre de l’article paraphrase celui de mon texte sur... le PIR : « Edouard Drumont, maître à penser de Mme Houria Bouteldja : les Indigènes de la République réussissent leur examen d’entrée dans l’extrême droite gauloise » http://www.mondialisme.org/spip.php?article2263

    2. Cf. « Le meurtre d’Ilan Halimi et le malaise de la gauche multiculturaliste » (http://mondialisme.org/spip.php?article632). Déjà le 25 février 2006 l’UJFP s’était « distinguée », comme l’extrême gauche, par sa négation du caractère antisémite du meurtre d’Ilan Halimi (« le caractère antisémite de ce meurtre n’est pas avéré » ; l’UJFP « déplore que certains accréditent d’office la thèse du crime antisémite ». Cf. son communiqué incroyable sur oumma.com : http://oumma.com/Ilan-Halimi-contre-tous-les). Trois ans plus tard (http://www.ujfp.org/spip.php?article1289), l’enquête terminée, l’UJFP admit enfin qu’il s’agissait d’un acte antisémite, mais pas pour tous les participants à cette séquestration et à ces tortures, manifestant ainsi une curieuse indulgence pour des salopards qui torturèrent un Juif pendant trois semaines, le laissant pour mort, afin de lui extorquer de l’argent sous prétexte que sa « communauté » était riche. L’UJFP en profita pour attaquer le manque d’indépendance de la justice et les pressions du CRIF... renforçant ainsi, sans même s’en rendre compte, la vision complotiste selon laquelle l’Etat (justice comprise) serait sous le contrôle des « Juifs ».

    3. Cf. « Multiplicité des formes de l’antisémitisme et « antisémitisme mondialisé » actuel » (http://www.mondialisme.org/spip.php?article2128)

    4. Mohamed Merah, Houria Bouteldja et la compassion à deux vitesses http://mondialisme.org/spip.php?article1822

    5. http://mondialisme.org/spip.php?article2089. Mme Bouteldja falsifie CLR James au service d’un « antisémitisme progressif »... imaginaire !

    6. http://indigenes-republique.fr/racisme-s-et-philosemitisme-detat-ou-comment-politiser-lantirac

    • Post scriptum du 24 juillet. :

      Finalement, la nuit portant conseil, la diatribe de l’UJFP n’est pas si loufoque que cela.

      Entre identitaires de gauche (et parfois de droite), on se serre les coudes.

      L’UJFP, tout comme les Indigènes de la République, le CRAN, le CRIF et quelques autres occupe un créneau identitaire.

      Or, c’est bien connu, entre identitaires on se déteste férocement, mais on peut aussi conclure des alliances tactiques.

      Ainsi la Nation de l’Islam de Louis Farrakhan fit-elle alliance (temporairement) avec le Ku Klux Klan.

      Ou les protestants antisémites mais évangélistes américains peuvent-ils faire alliance avec les sionistes d’extrême droite.

      Ou encore les Naturei Karta antisionistes avec Dieudonné.

      Tous ces gens-là ont au moins UN point commun : ils mettent en avant leur identité religieuse, ethno-religieuse, raciale, ethno-politique, comme la SEULE solution aux problèmes de leur communauté d’appartenance, imaginaire, fantasmée, et se méfient comme de la peste de toute démarche soulignant l’importance de l’union entre tous les exploités, quelles que soient leur couleur de peau, leur religion, leur absence de religion, leur nationalité, etc.

      Dans ce cadre, effectivement la polémique "loufoque" de l’UJFP a un sens : adeptes des politiques identitaires ou identitaristes (ce qu’on appelle « identity" politics en anglais et qui n’est vraiment ni de droite ni de gauche d’ailleurs), les militants de l’UJFP tirent à vue sur celles et ceux qui défendent un point de vue non identitaire… même s’ils sont, comme c’est mon cas, à la fois « descendants d’esclaves » (titre fort recherché dans les milieux identitaires de gauche), métis (des « traîtres » pour leurs potes du PIR qui ne savent pas qu’au moins deux de leurs idoles, Malcolm X et Frantz Fanon, étaient métis) et portent un nom… juif et… non juif...

      Trois raisons pour des identitaires de gauche ou de droite d’utiliser l’arme de la calomnie à mon égard car les identitaires haïssent le métissage (qui ruinent tous leurs espoirs d’incarner une identité pure ou en tout cas vendable sur le marché politique) et « pensent » dans une logique binaire, mais jamais en termes d’opposition de classe.

  • Non à la destruction du village de Susiya en Palestine - [UJFP]
    http://www.ujfp.org/spip.php?article4301

    Non à la destruction du village de Susiya en Palestine
    dimanche 19 juillet 2015 par Plateforme des ONG françaises pour la Palestine

    Le village de Susiya en Palestine est menacé de démolition par les autorités israéliennes pour forcer les habitants à partir.
    L’histoire du village de Susiya est l’histoire de nombreuses communautés palestiniennes en Cisjordanie.
    A travers la mise en œuvre de lois d’aménagement du territoire, les autorités israéliennes recourent depuis des années à différents moyens pour forcer les habitants à partir.

    Écrivons à Laurent Fabius, Ministre des Affaires étrangères, pour que la France fasse pression sur Israël pour arrêter l’expulsion.

    Signez et partagez cette pétition proposée par la Plateforme Palestine en cliquant ici

    #SaveSusiya - Stoppons l’expulsion !

    https://www.change.org/p/monsieur-laurent-fabius-savesusiya-stoppons-l-expulsion#petition-letter

  • Demandes d’audience auprès du Premier ministre et du Ministre de l’Intérieur - [UJFP] - mardi 23 juin 2015 par le Bureau National de l’UJFP
    http://www.ujfp.org/spip.php?article4259

    À la suite de l’agression de notre camarade Pierre Stambul, co-Président de l’UJFP, par l’antenne marseillaise du Raid dans la nuit du 8 au 9 juin, en raison de la nième opération de piratage de numéros de téléphone et de dénonciation calomnieuse, en référence aux interventions policières intervenues sur un scénario semblable au domicile de notre camarade Jean-Guy Greilsamer, également co-Président ainsi qu’à celui de notre camarade Pessi Borrell, le Bureau national de l’UJFP a demandé par courriers du 12 juin à être reçu par le Premier Ministre [1]et par le Ministre de l’Intérieur [2].

    Le Premier Ministre ne nous pas encore répondu. Quant au Ministre de l’Intérieur il invoque des contraintes d’emploi du temps pour ne pas nous recevoir et renvoie notre lettre au Préfet de police des Bouches-du-Rhône en lui demandant d’examiner notre requête. Or le Préfet de police des Bouches-du-Rhône a déjà reçu Pierre Stambul.

    Dans ce contexte, nous sommes fondés à considérer que le gouvernement ne souhaite pas lutter contre la délinquance que nous dénonçons, qu’il la tolère à moins qu’il ne l’approuve et qu’il refuse de prendre en considération une parole juive qui condamne les graves violations du droit international par Israël. En se comportant ainsi, ce gouvernement suscite l’antisémitisme, parce qu’il soutient une représentation de la population juive comme étant solidaire de la persécution d’un peuple, le peuple palestinien. Ceci est très grave car, ce faisant, le gouvernement favorise ce qu’il prétend combattre.

    Le Bureau national de l’UJFP le 23-06-2015

    #Ulcan #UJFP #Stambul

    • « Ulcan » devient enfin une affaire
      Par Denis Sieffert - 23 juin 2015
      http://www.politis.fr/Ulcan-devient-enfin-une-affaire,31643.html

      Le gouvernement est-il enfin en train de passer à l’action dans l’affaire Ulcan, ce hacker ultra-sioniste qui s’en prend à des journalistes et à des responsables associatifs ? Mardi, Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, et Christiane Taubira, ministre de la Justice, ont longuement reçu ses trois dernières cibles, Pierre Haski (Rue89), Daniel Schneidermann (Arrêt sur images) et moi-même. La veille, Laurent Fabius, en visite en Israël, aurait évoqué l’affaire lors de sa rencontre avec Benyamin Netanyahou, puisque l’activiste franco-israélien réside à Ashdod, dans le sud du pays. Il en avait en tout cas manifesté l’intention dimanche au Caire. Devant les trois journalistes, le ministre de l’Intérieur et la garde des Sceaux ont confirmé qu’une enquête préliminaire avait été ouverte par le parquet de Paris. Les ministres ont dit être pleinement conscients de la gravité des faits.

      Par ailleurs, Bernard Cazeneuve s’est dit prêt à recevoir prochainement le co-président de l’Union juive française pour la paix (UJFP), Pierre Stambul, victime d’une descente particulièrement musclée du Raid à son domicile marseillais après un appel malveillant de Grégory Chelli, alias Ulcan. Il a également souligné que les services de police étaient eux aussi victimes du hacker lorsque celui-ci les mobilise pour de fausses pistes. Quant à Ulcan, il a précipitamment fermé son site et fait disparaître sa page Facebook sur laquelle il narguait la police en détournant le logo du Raid. (...)

  • Sur les sources de l’antisémitisme de gauche, anticapitaliste et/ou anti-impérialiste
    http://www.mondialisme.org/spip.php?article2055

    La destructuration des classes ouvrières et les formes prises par la désindustrialisation dans les principaux pays capitalistes occidentaux, l’augmentation du chômage et son maintien à un niveau élevé, l’extension du « précariat », ont totalement désorienté les militants libertaires et d’extrême gauche qui s’attendaient à une vague révolutionnaire victorieuse dans les années 60 et 70
    .
    Ces phénomènes imprévus, mal analysés, les ont rendus d’autant plus perméables à toutes les idéologies post-modernes, postcoloniales, qui prétendent déconstruire tous les discours, donc aussi les discours révolutionnaires classiques des « mâles blancs occidentaux », pour les remplacer par un relativisme qui morcelle les exploités à l’infini en autant de minorités, qui se définissent à partir des multiples formes spécifiques de domination qu’elles subissent. L’idéologie classiste du mouvement ouvrier, qui voyait dans le prolétariat le principal sujet révolutionnaire et l’avant-garde de la transformation sociale, n’avait pas que des avantages, loin de là,mais au moins elle constituait un certain garde-fou, une référence commune que l’on pouvait invoquer contre l’influence délétère de l’antisémitisme anticapitaliste. La propagande de moins en moins classiste, de plus en plus déconnectée du monde du travail salarié et des lieux de production, de la plupart des groupes libertaires et gauchistes ne peut que faciliter la régression politique générale en dehors même des tentatives de récupération idéologique ou d’infiltration de l’extrême droite
    .
    De toute façon, celle-ci mène une campagne idéologique très habile depuis trente ans, renforcée, depuis l’invention de l’Internet, par sa présence massive sur les réseaux sociaux. L’extrême gauche et les libertaires sont incapables de contrer efficacement cette campagne tant ils sont empêtrés dans les ambiguïtés de leur antisionisme et se refusent à faire le bilan de leurs responsabilités dans la diffusion de l’antisémitisme anticapitaliste et anti-impérialiste de gauche.

  • Dieudonné et la cause palestinienne
    http://www.alsacelibertaire.net/spip/spip.php?article160

    Mettons cartes sur table. J’ai fait parti des sempiternels soutien à Dieudonné, et il y a encore quatre ans, je participais à l’organisation de sa venue dans ma ville d’origine. Je n’ai jamais soutenu, et ne soutiens toujours pas, le fait d’interdire Dieudonné de jouer ses spectacles. Pour un certain nombre de jeunes, Dieudonné a même pu être source, à une époque, de prise de conscience politique en abordant et en dénonçant, avec humour, les dérives de la politique française et internationale. Lorsque (...)

    #Analyses

    / #Antifa, Dieudonné

    #Dieudonné
    http://lmsi.net/Un-negationnisme-respectable
    http://www.mamans-toutes-egales.com
    http://www.ujfp.org
    http://indigenes-republique.fr
    http://indigenes-republique.fr/houria-bouteldja-denonce-le-rapprochement-de-dieudonne-avec-lex

  • La ville la plus libérale d’#Israël crée des écoles maternelles séparées racialement

    Quand les enfants de #Tel_Aviv sud retourneront à l’#école mardi, ils seront dirigés vers des centres différents selon leur race. Les enfants des #demandeurs_d’asile d’Afrique sub-saharienne iront dans leurs écoles maternelles, et les autres enfants iront dans les leurs.

    http://www.ujfp.org/spip.php?article2865

    #ségrégation #éducation #séparation

  • Ilan Halevi, Juif et Palestinien, nous a quittés - [UJFP]
    http://www.ujfp.org/spip.php?article2816

    mercredi 10 juillet 2013 par le Bureau National de l’UJFP


    Ilan Halevi est mort dans la nuit du 9 au 10 juillet en France.

    L’Union Juive Française pour la Paix était très attachée au parcours et aux grandes qualités de cet homme exemplaire.

    Juif, né en France sous l’occupation, il a vécu ensuite en Israël, où il a fait partie d’associations antisionistes, dont l’organisation « Matzpen ». Infatigable défenseur des droits inaliénables du peuple palestinien, il a pris fait et cause pour les opprimés.

    Journaliste, écrivain, il a écrit en 1978 un livre prémonitoire : Sous Israël, la Palestine.

    Il n’a pas hésité à traverser la frontière, à devenir lui-même Palestinien. Par cet acte fort, presque unique, acte ouvrant une fenêtre comme les porteurs de valise pour l’indépendance de l’Algérie, Ilan Halevi a été de ceux, rares, pour qui l’éthique, c’est à dire la mise en conformité de leurs actes avec les valeurs qu’ils défendent, franchit les limites de la tribu.

    Il a rallié l’OLP, dont il a été le représentant officiel en Europe et pour l’Internationale socialiste. Il a également été vice-ministre des affaires étrangères de l’Autorité Palestinienne et membre du comité exécutif du Fatah.

    Nous nous souviendrons de lui comme d’un ami brillant, plein d’humour, très drôle, bon vivant, profond et sincère.

    En tant que Juifs internationalistes, nous poursuivrons son combat pour une Palestine libre.

    Le bureau national de l’Union Juive Française pour la Paix, le 10 juillet 2013

  • Dunkerque : conférence sur « l’eau et les technologies vertes en Israël » mardi - Dunkerque et ses environs - www.lavoixdunord.fr
    http://www.lavoixdunord.fr/region/dunkerque-conference-sur-l-eau-et-les-technologies-ia17b0n1353972

    L’association France-Israël organise mardi 25 juin, au studio 43, une conférence sur le thème « L’eau et les technologies vertes en Israël ».
    (...)
    le modèle développé en Israël peut servir aussi bien dans les zones arides que dans les pays les plus avancés. L’eau en est l’exemple le plus frappant. Un autre pôle d’excellence de cette économie israélienne est celui des énergies renouvelables et autres technologie vertes.

    • L’eau ? Oui mais laquelle ? http://www.un.org/french/Depts/palestine/issues_water.shtml

      Les territoires occupés Palestiniens, particulièrement dans les zones élevées de Cisjordanie, sont dotés d’abondantes ressources en eau, en comparaison au reste du Moyen-Orient. Cependant, les restrictions sévères imposées aux Palestiniens par Israël en matière de forage pour l’eau, de plantations et et d’irrigation, ont maintenu les quantités d’eau disponibles pour les Palestiniens à un faible niveau. Les politiques israéliennes garantissent que la plupart de l’eau de la Cisjordanie s’écoule sous terre vers Israël, assurant aux colons Israéliens un accès préférentiel aux ressources en eau. En conséquence, une crise de l’eau d’origine humaine dégrade les conditions de vie du peuple Palestinien. Une répartition juste et détaillée des ressources en eau du bassin du Jourdain et des aquifères de Cisjordanie et de Gaza reste à négocier entre les différentes parties.

      (La conclusion de l’ONU est lamentable cependant)

  • Mise au point sur le sionisme par un juif : Pierre Stambul de l’Union juive française pour la paix.

    Je m’appelle Pierre Stambul, j’ai 58 ans. Je suis professeur de mathématique à Marseilles. Je suis un juif de la deuxième génération. Mes parents ont émigré en 1938 de Bessarabie, un pays qui n’existe plus, entre l’Ukraine et la Moldavie. Mes parents ont été résistants. Ma mère a été la seule survivante de sa famille. Mon père faisait partie du groupe Manouchian. Il a survécu, mais il a été déporté à Buchenvald. Je parle un petit peu de ça parce que souvent on estime souvent que nous autres juifs antisionistes nous ne sommes pas juifs. C’est pour donner des preuves, entre parenthèses, de mes origines. J’appartiens à un mouvement qui s’appelle UJFP (Union Juive Française pour la Paix).

    Voir la vidéo :

    http://www.dailymotion.com/embed/video/xffcml

    http://www.ujfp.org

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_juive_française_pour_la_paix

    #antisionisme, #antisémitisme

  • Sur la révolte des tentes, impressions | Michèle Sibony (UJFP)
    http://www.ujfp.org/modules/news/article.php?storyid=970

    Le Mouvement a surpris dans une société rendue muette et immobile par des années de formolisation, et c’est un véritable soulagement de réaliser qu’elle est vivante et capable de secouer sa léthargie. Lors de la manifestation des 150 000 du 30 juillet, Gideon Levy écrivait déjà qu’il n’y avait pas eu de manifestation de cette ampleur depuis celle de... Sabra et Chatila.